De sacrés retrouvailles - histoire érotique

L’histoire se passe lors d’une fête organisée aux profits de médecin sans frontière. Pour l’évènement, la municipalité a gracieusement prêté une salle. Plus de cent personnes, tout âge confondu assistent à la soirée. Notamment, Francis et son épouse Marguerite, Marcelle et Georges, tous âgés d’une cinquantaine d’années. Il y a aussi des jeunes lycéens, la plus part âgés de dix huit ans, qui sont venus pour danser.
Il y a Guy, un garçon très séduisant, Michel et sa copine Francine, jeune couple inséparable. Du reste, Michel n’aime pas Guy, et c’est réciproque. Michel le trouve sournois, toujours prêt à jouer de son charme pour embarquer une femme mariée, ou une fille qui a déjà un petit copain. Du reste, Michel a recommandé à Guy de se tenir à distances de sa copine. Mais Guy cherche à lui faire un mauvais coup, baiser sa cop.
La fête bat son plein. Les gens dansent, mangent, mais surtout, boivent, peut être un peu trop. Et il n’en faut pas beaucoup pour que ça dégénère. Des couples se perdent, font de chaudes rencontres. Derrière une haie, Louis voit son épouse Margueritte, dominée par son amie Marcelle, un femme de cent kilos :
« Qu’est- ce- que tu me fais, gémit Marguerite, tu sais que j’aime me faire gouiner…oh…je joui…oui…oui…
-Hé oui, je sais que tu te régales quand je te doigte le clito…je te l’ai bien décalotté là… joui ma chérie…«
Un peu plus loin, c’est Jeanne qui tombe sur une scène hallucinante. L’inspecteur de police, un gaillard d’un mètre quatre vingt dix, en train de se faire sodomiser par un jeune délinquant qu’il a mainte fois arrêté.
« Ha, râle-t-il, ça fait si longtemps que tu ne me l’as pas mis. Vas-y mon chéri…encule moi…bourre moi le cul…fais toi plaisir…tu dois avoir envie de te vider les couilles…ha…ha…quelle bite ».
L’ex détenu passe une main sous le ventre de l’inspecteur, saisit les couilles, joue avec la bite décalottée. « Toujours aussi petite, sourit-il. Aller, tourne toi, taille moi une pipe maintenant, et de tout avaler ».
Quant à Laure, elle tombe sur une scène pour le moins surprenante. Derrière une haie, Francine est en train de se faire prendre par Guy. Déjà, elle les avait surpris en train de danser ensemble, sans que Michel ne s’en aperçoive, trop occupé au bar.
Mon dieu, se dit-elle, pas lui, si Michel apprend
Surtout que Guy a déjà une certaine expérience des femmes. Il sait que Francine est pucelle, qu’elle garde sa virginité à Michel, l’amour de sa vie. Le contact est chaud. Leur corps, entièrement nues, roulent sur la pelouse, s’entrelacent. La bite de Guy, en érection, se faufile entre les cuisses de Francine, pour son plus grand plaisir. Celui-ci joue avec elle, l’excite, caresse la chatte pleine de mouille. Il attend qu’elle le supplie de la baiser pour mieux savourer sa victoire.
-Qu’est- ce-que tu me fais salaud…vas-y…nique moi…prend ma fleur…je veux que tu sois le premier. Guy est honoré par la demande. Il va prendre Francine dans toutes les positions, lui imposer les jeux érotiques les plus pervers, la posséder comme s’il voulait humilier Michel, celui qu’elle doit l’épouser.
Laure assiste en direct au dépucelage de sa meilleure amie, ce qui lui provoque une agréable sensation au creux de son ventre. Elle glisse ses doigts entre ses cuisses, se chatte violemment, se fait jouir. Elle est ramenée à la réalité en entendant Francine gémir sous les coups de queues de Guy.
-C’est bon de se le faire mettre, sourit-il, tu crois que Michel sera capable de te faire crier comme ça…
-Tais toi salaud…j’en sais rien encore …vas-y…t’arrête pas…nique moi…oui…je viens…ho oui…je joui…
Francine va jouir à trois reprises, devant les yeux médusés de Laure. Elle met une main devant sa bouche en entendant sa copine supplier Guy de l’enculer, puis insister pour lui tailler une pipe.
Une fois satisfaite, Francine regagne la salle, rencontre Laure. Elle comprend à son regard qu’elle sait.
-Oh ma chérie, dit-elle, j’ai fais une énorme bêtise. J’ai perdu ma virginité…c’est Guy qui me la prise.
-Je sais, répond Laure, j’ai tout vu. Je ne te penser pas aussi chaude. Tu te l’es bien fait mettre.
Dix ans ont passé. Francine est mariée avec Michel, et ont un enfant âgé de deux ans.
Aujourd’hui, Francine enterre la vie de jeune fille de Laure, sa meilleure amie.
Vers deux heures du matin, Francine rencontre Guy, se souvient de leur forte relation. Ils ont le même âge. Guy est toujours aussi séduisant, moustache style Charles Bronson, très dragueur.
-Tient, dit-il, Francine, qu’elle surprise, toujours aussi belle à ce que je vois. Ton mari t’a laissé sortir ?
-Salut toi, sourit-elle, non, j’enterre la vie de jeune fille d’une copine. Et toi, es-tu marié ?
-Toujours célibataire, quelques conquêtes de ci de là, répond-il. Tu veux qu’on danse ?
-Pourquoi pas, ça fait si longtemps que je n’ai pas dansé avec un charmant garçon. Sur la piste, Guy prend Francine par la taille. Gênée, Francine n’a d’autre choix que de passer ses bras autour de son cou. Guy devient de plus en plus entreprenant, lui chuchote des mots à l’oreille qui la font rire. Elle essaie malgré tout de garder ses distances, elle est quand même mariée. A la fin du slow, elle rejoint sa copine restée au bar.
-Ca avait l’air chaud ma chérie, dit Laure. Il t’a draguée non ? -Un peu, répond Francine, il n’en fallait pas beaucoup pour que je lui cède. Dommage, je suis mariée.
-C’est vrai, poursuit Laure, d’un autre côté, la vie est si courte, il faut en profiter. Vas-y si ça te dis. Au slow suivant, Guy remarque que Francine le cherche. Il s’avance et l’invite. Là, elle va succomber. Laure, elle, la cherche, ne la trouve pas. Elle ne trouve pas Guy non plus. Elle sourit, elle a compris.
Guy emmène sa conquête dans sa voiture aux vitres teintées. Le couple s’enlace, se donne un sulfureux baiser, les langues se nouent entre elles. La main de Guy glisse sous la courte jupe, écarte le string. Il fait courir ses doigts sur la fente, écarte les lèvres et pénètre la chatte.
-Houa, mais ta chatte est toute mouillée.
-C’est ta faute salaud, c’est toi qui l’a mise dans cet état, souffle-t-elle, tu savais que j’allais craquer.
En un tour de main, Francine et Guy se trouvent entièrement nus, et partent à la découverte de leur corps.
-Doucement, dit-il, on a le temps. Et si ton mari apprenait qu’on est ensemble, s’il rappliquait.
-Mon mari est à la maison, répond Francine, il garde le bébé, et moi, j’ai envie de me faire niquer ce soir.
Prise dans sa tourmente érotique, Francine ne remarque pas le visage qui se colle sur le pare brise avant de la voiture, trop occupée à tailler une pipe à Guy. Pendant ce temps, celui-ci a pris soin de décalotté le clitoris, qu’il doigte du majeur. Le petit organe commence à durcir, Francine à gémir.
-Arrête, soupire-t-elle, prend moi maintenant, j’ai envie d’un bon coup de queue.
Francine se lève et enfourche le corps de Guy. Elle se hisse sur ses genoux, empoigne l’énorme bite, et s’y empale dessus. Elle commence à onduler sur la hampe qui lui laboure le ventre, gémit de plaisir. Elle s’accroche au cou de son amant, pendant que celui-ci lui suce le bout des seins. Les respirations deviennent de plus en plus haletantes, les lèvres se mordent. Francine hurle de plaisir.
-Hou…hou…enfoiré…comme tu me baises…quel étalon tu es…oui… oui…oui…je joui…oh putain… Tu te régales, hein, elle est bonne ma bite. Tu te souviens du jour ou tu as perdu ta rondelle.
-Bien sur que je m’en souviens…c’est toi qui m’a dépucelé…dire que Michel croit que c’est lui…s’il savait.
Francine est en chaleur, elle veut tout oser ce soir. Guy le sait. Il l’à force à se mettre à genoux sur la banquette, les mains appuyées sur le dossier. Francine ouvre ses jambes pour se faire prendre en levrette. C’est une position qu’elle affectionne tout particulièrement. Elle aime sentir les couilles frapper contre ses fesses, elle peut aussi tout à loisir gratter les testicules, ou se doigter le clitoris. Le mâle est fort, très fort. Francine succombe dans un terrible orgasme. Pour que la boucle soit bouclée, elle lui taille pipe, pendant qu’il lui bouffe la chatte. Ils jouissent ensemble, dans des feulements de bêtes. Goulûment, elle avale la semence de son partenaire, nettoie le gland, descend lécher les couilles.
-Tu veux qu’on finisse la nuit chez moi, propose Guy. Je suis capable de te niquer toute la nuit tu sais.
-Tu me tentes salaud, répond Francine. J’imagine la tête de mon mari s’il sait que j’ai passé la nuit avec l’homme qu’il déteste le plus. Tu sais que je ne prends pas la pilule !!! -Quoi, mais tu es folle, sursaute Guy, tu te rends compte, depuis que je te rempli le ventre…ça craint.
-Oh mon chérie, j’aimerai tant tomber enceinte de toi…Michel gardera ton bébé quand je passerai la nuit chez toi à me faire baiser.
-Proposition très séduisante, sourit Guy, faire un petit à la femme de mon pire ennemi. Ok, si tu y tiens.
Un peu plus tard, Francine rencontre Laure dans un coin obscur. Celle-ci est collée au mur par une superbe rousse, qui lui a enroulé la robe autour de la taille. Le string git au sol. Les doigts de la jeune fille pénètrent profond dans la chatte, le pouce excite le clitoris décalotté. Malgré le baiser, on entend les râles de plaisir de Laure. Francine parvient à lui glisser à l’oreille que Guy lui a demandé de finir la nuit chez lui. Elle ne reconnait pas la fille qui gouine Laure. C’est Aurore, sa nièce, l’inconnu collée au pares brise.
-Vas-y ma chérie, murmure Laure, je te couvre, vas t’amuser…je dirai que tu étais chez moi. D’autant que cette jeune fille veut passer la nuit avec moi, ho…si tu voyais comme elle gratte ma petite chatte…comme elle doigte mon clitoris…hou…elle me fait jouir…oui…je suis une pute…dire que je me marie samedi, et que je trompe mon futur époux avec une fille…mais c’est tellement bon ce qu’elle me fait…oh oui…oui…
Deux ans après, Guy et Francine poursuivent toujours leur relation. Une fois tous les quinze jours, Francine passe la nuit chez son amant à se le faire mettre. Elle adore la façon qu’il a de se servir d’elle, de la niquer, l’enculer, des heures entières. Pendant ce temps, Michel garde le bébé…de Guy.