Un cadeau surprise - histoire érotique

Bonjour, je m’appelle Candice, vingt six ans, et d’après mes amis, je suis assez belle, avec un corps superbe, aux hanches parfaites, aux seins hauts perchés.
Ce soir, Jérôme, mon époux, a décidé d’invité des amis à diner. Manon et Joris, un couple rencontré en boites, Aurore et Eric, mariés depuis peu. Seul Hervé est célibataire.
Hervé est un copain d’enfance, qui était très amoureux de moi, et qui l’est toujours du reste. On formait un trio inséparable. Pourquoi, à cette époque, j’ai choisi Jérôme ? La sécurité peu être. Hervé a été très déçu de mon choix. Mais il ne m’en à jamais voulu. » C’est la vie me disait-il ».

Comme à son habitude après quelques verres, Jérôme devient désagréable, voire méchant. Si la conversation s’oriente sur le sexe, il ne peut s’empêcher de m’humilié. Il me reproche d’être froide, absente et nulle au lit. Chaque fois, Hervé prend ma défense.

-Arrêtes Jérôme. Ta femme est magnifique. J’en connais qui aimerai bien l’avoir à leur bras.
-Belle peut être, mais nulle au plumard. Elle ne sait pas baiser.

La soirée terminé je raccompagne Hervé à la porte. Je connais sa réputation avec les femmes C’est, parai-il, un bon coup au lit.

-Tu rentres directement chez toi ?
-Ben oui, j’avais bien dit à une copine que je passerais la voir, mais je suis fatigué…et il est tard…je vais me caler, et regarder un film porno…tu veux venir, poursuit Hervé en rigolant. ?
-Si je pouvais…par contre, Jérôme n’est pas là demain, tu peux passer prendre le café ?
-Pas de problème, se dévoue Hervé. Rien de grave…dis moi.
-Mais non, juste un service à te demander.
-D’accord, demain vers neuf heures, ça va ?

Toute la nuit, j’ai cogité à savoir ce que j’allais offrir à Jérôme pour son anniversaire, qui à lieu dans quinze jours. Je crois que j’ai trouvé. C’est là que j’ai besoin des services d’Hervé.
A neuf heures pétante, Hervé sonne à ma porte. Je lui ouvre et tombe dans ses bras.

-Oh mon dieu, merci d’être venu.
-Hey, doucement, dit Hervé surpris. Que t’arrive-t-il ?
-J’en ai mare que Jérôme me traite de nulle au lit. Je voudrais que tu m’essaies, pour savoir.
-Quoi, mais t’es folle. Tu sais les sentiments que j’ai pour toi, mais de là trahir mon copain…
-S’il te plait Hervé, rends moi ce service. J’ai tout prévu, il ne sera pas que c’est toi.

Il s’est écoulé pas mal de jour avant qu’Hervé n’accepte ma proposition, même s’il est fou amoureux de moi. J’espère qu’il ne va pas mal me juger, et garder le silence.
Un jour, ou je ne m’y attendais pas, il m’envoie un mail, me disant qu’il acceptait le deal.
Rendez-vous est pris chez lui, le jeudi suivant, à quatorze heures.
Là, j’explique ce que j’attends de cette relation. Il bloque sur mon projet, mes exigences.
En effet, j’exige que tout soit filmé, dans les moindres détails. D’emblée, il refuse. Je le rassure en lui disant que, pour ne pas nous reconnaitre, on portera un masque, et moi, une perruque brune. Je lui donne le coup de grâce quand je lui dis que je veux qu’il soit brutal avec moi, sans pitié.
Il me traite de folle, me dit qu’il ne comprend pas mon attitude. Mais il m’avoue aussi être excité, qu’il a vraiment envie de moi, et qu’il est prêt.

Nous allons à la chambre ou doit se dérouler la scène.
Là, je reste scotchée en découvrant une chambre immense, avec un lit rond au milieu, une glace au plafond. L’endroit idéal pour faire l’amour…pas mal de femmes on du ce faire baiser sur ce lit, ont du hurler de plaisir. Je souhaite de tout mon cœur, que c’est ce qu’il va m’arriver.
Hervé fait les derniers réglages, oriente la caméra au centre du lit, règle le zoom.
Quand il se retourne, je pousse un « oh » d’admiration en voyant les mensurations dantesques de son sexe...
Nos ébats se terminent vers dix sept heures. Une tuerie.

-Qu’est-ce que tu ne me fais pas faire. Ce n’est pas dans ma nature d’être brutal comme ça.
-Non, tu as été génial dans ton rôle. En tout cas, j’ai adoré, tu m’as mis le compte. Comme tu m’as faite crier salaud. Je n’avais jamais connu ça avant. T’es un amant merveilleux.

Malgré une bonne douche, je repars de chez Hervé, épuisée, lessivée des cernes sous les yeux. J’ai passé un après-midi formidable, même si je me dis que j’ai trompé mon mari. Hervé a répondu à mes attentes, m’a fait découvrir autres choses, jusque là inconnus pour moi. C’est un amant exceptionnel, increvable, créatif. J’ai du jouir cinq ou six fois.

Le jour de l’anniversaire de Jérôme, c’est toujours les mêmes copains qui sont invités. Comme à son habitude, Jérôme y va de ses petites réflexions, quant à mes performances au lit.
Puis arrive le champagne, et les traditionnels cadeaux. Bien sur, j’offre le mien, mais insiste à ce qu’il ouvre quand on sera que tous les deux. Hervé a compris, me fais les gros yeux.

-C’est quoi, encore une connerie…un DVD, porno, à tous les coups…si ça pouvait te décoincer.

Les invités prennent congés vers minuit. Je raccompagne Hervé sur le pas de la porte. Il me donne un tendre baiser, et me dit qu’il est prêt à remettre ça. Je réponds que je suis prête aussi, ajoutant que, selon comme ça va se passer, il risque d’être obligé de m’héberger pour la nuit.
Après une douche, je rejoins mon mari, déjà installé sur le canapé. Je suis vêtue d’une simple nuisette, sans rien dessous, lui, d’un boxer. Il appuie sur lecture.

Je n’ai pas visionné le film. Je le découvre en même temps que mon mari, et vais vous le commenter
.
Les premières images me montrent entièrement nue. Hervé ôte la serviette nouée autour de sa taille. On voit bien ma stupéfaction, quand je découvre son énorme bite.
Il me prend par les cheveux, et me culbute sur lit, prenant le risque d’arracher ma perruque. Nos lèvres se soudent entre elles dans un baiser torride.
Il se penche sur moi, parcourt mon corps, le couvre de baisers. Il s’arrête sur mes seins, suce les bout, puis descend jusqu’à ma chatte parfaitement épilée. Sa langue force mes lèvres intimes, pénètre ma grotte d’amour, s’humecte de ma cyprine naissante, puis remonte sur mon clito sorti de sa capuche, l’aspire de ses lèvres. Hervé fait le tour du lit, s’accroupit légèrement. Sa bite en érection, pleine d’arrogance, balance devant mon visage. Je la saisis, la décalotte, enroule ma langue autour du gland, puis l’engloutis dans ma bouche. Lentement, je commence à la sucer. Lui, a envoyé une main entre mes jambes, caresses mon minou, fait tourner un doigt sur mon petit bouton, puis pénètre ma chatte. Je sens le désir monter en moi.

-Tu te régales hein ? Petite salope. T’aimes te faire branler la chatte, sens comme elle mouille.
-Arrêtes…tu vas me faire jouir, dis-je en espérant que mon mari ne reconnaisse pas ma voix …ta queue, donne moi ta queue…je la veux dans ma chatte…oui, comme ça…vas-y…
-Hum…la coquine, serait-elle en manque de baise avec son mari.
-Oui…je suis en manque en ce moment.

-« Oh, la salope, elle est mariée en plus, dit mon mari. Hé, elle est toute épilée …oh la, comme il l’a chatte… comme il lui doigte le clito…elle doit avoir une sacrée envie pour réclamer sa queue…
-C’est vrai qu’elle a envie d’avoir une bonne bite dans sa chatte, dis-je pour aller dans son sens ».

Hervé se montre brutal, comme je lui avais demandé. Il me prend la chatte en levrette, change de trou, va au petit, comme ça, d’un coup sec. Il me gifle les fesses, me traite de salope, de pute…Ces insultes m’excitent. Je suis entièrement soumise, méconnaissable, comme envahie par le démon du sexe. C’est la première fois que je me fais enculer. Je rampe sur le lit circulaire, comme si je voulais m’enfuir. Je suis aussitôt agrippée aux hanches, par deux mains ferment, qui me tire en arrière, sans ménagement, jusqu’à ce que je m’empale sur l’énorme bite. Je sers de jouet sexuel au copain de mon mari. Tantôt je me fais bourrer la chatte, tantôt défoncer le cul. Je cambre ma croupe, pour mieux me le faire mettre. Il me prend dans les positions les plus perverses, face à la caméra, axée essentiellement sur le lit, pour bien montrer ma chatte béante, prise par son énorme bite, pendant qu’il me baise, qu’il me sodomise, ou quand je le suce. Et surtout, bien montrer à mon mari, comment il joue avec mon clitoris, doigté qu’il est par des doigts experts, habiles. Il me prend la main, m’entraine vers la caméra. Là, il me demande de lui tailler une pipe. Il veut faire un gros plan. C’est à ce demandé s’il ne veut pas humilier Jérôme, son copain. « Allez, salope, suce, je sais que t’aimes ça. »
Quand il sent qu’il va jouir, il enfonce sa queue dans ma bouche, me pince le nez, prend tout son temps pour vider copieusement ses grosses couilles. Sa semence épaisse n’en fini pas de couler sur ma langue et au fond de ma gorge.

-Voila, souffle Hervé, t’as eu ta récompense…c’est pas mieux qu’avec ton mari?
-Oh si…beaucoup mieux…encore, donnes moi encore…ta queue est tellement bonne.
-Sale pute, t’aimes la queue…une vrai chienne…dis le que tu es une chienne…allez…dis le…
-Oui, je suis une chienne…une chienne qui a envie de se faire saillir par une grosse bite…
-Tu vas voir, tu vas bien la sentir quand je vais te la mettre dans le cul…ouah…tu l’as sent là…
-Putain…si je la sens…comment ne pas sentir un tel calibre…vas-y, défonce mon petit trou…

-« Putain, comme il est monté l’enfoiré…dit Jérôme, entends comme il l’a fait couiner…il est en train de lui mettre le compte…oh le con, tu as vu, elle a tout avalé…et elle en redemande, ça c’est de la meuf…tu devrais prendre exemple ma chérie. Tiens, donne ta main…sens comme je bande. Tu pourrais me sucer tout en regardant le film… ça ne t’excite toi pas de voir cette salope se faire prendre par tous les trous…oh si ça doit t’exciter, je suis sur que ton minou est tout mouillé ».
-« Bien sur que ça m’excite…elle a l’air de tellement se régaler…et quel mâle. T’as vu comme il assure au lit ».

Il ne croit pas si bien dire en disant que ça m’excite. De voir mon propre corps investi par ces caresses perverses, de voir cet énorme bite pilonner mes orifices, déclenche une agréable chaleur au creux de mon ventre. Discrètement, je glisse une main entre mes cuisses, caresses ma chatte humide, remonte jusqu’au clito, que je décalotte, l’excite avec un doigt. Il faut que je me maitrise, je ne vais quand même pas avoir un orgasme en me regardant tromper mon mari, en me faisant baiser par son meilleur copain. Mais tout ça prouve qu’Hervé a su réveiller la chienne qui sommeillait en moi. Il a fait de moi, une garce.

Je reprends le fil du film, au moment ou on fait une petite pause, enlacés dans les bras l’un de l’autre. Hervé n’arrête pas de m’embrasser, me fait crier quand il me mordille l’oreille.
« Mais arrêtes enfin…bouffes moi la chatte plutôt »
Hervé ne se fait pas prier. Il se couche sur moi, la tête entre mes cuisses, commence à me lécher la chatte, sucer mon petit bouton devenu énorme. Je ne reste pas inactive, je prend son calibre en bouche et le suce. On ne se maitrise plus. Mon orgasme gicle dans la bouche de mon amant, tandis que sa semence coule au fond de ma gorge.
Après cette tumultueuse relation, Hervé quitte la chambre. Il a été phénoménal.

Lentement, je me lève, m’approche de l’objectif. J’ouvre ma bouche pour montrer le sperme stocké sous ma langue, puis l’avale, d’un trait.

« Putain, fait Jérôme, elle avait sacrément faim, la salope. Ca fait deux fois qu’elle avale ».
« Elle a l’air d’aimer, dis-je, regarde comme elle se lèche les lèvres…elle n’en perd pas une goutte »

Je suis seule dans le champ de la caméra. Calmement, j’enlève mon masque et ma perruque.

-Alors mon chéri, elle n’est pas bonne ta femme au lit…ou c’est toi qui ne sait pas t’en servir. Tu as vu, lui il a su jouer avec moi…quel mâle.

Mon mari reste figé sur le canapé, les yeux grands ouverts.

-Non, ce n’est pas vrai, hurle-t-il, mais pourquoi t’as fait ça...c’est qui cet enfoiré que j’aille lui cassé la gueule…oh mon dieu, quand je vais dire à Hervé que tu m’as trompé….salope.

Je n’éprouve aucun remord d’avoir trompé mon mari. Il m’a tellement humilié devant nos amis, fait passer pour une nulle au lit, que je ne peux pardonner. Je décide d’enfoncer le clou.

-S’il y a un passage qui t’a échappé, repasse le film…ou attends la suite, s’il y en a une. Allez, bonne nuit mon lapin. A oui, j’oubliais, tu prendras la chambre d’ami ce soir.

Arrivée dans mon lit, j’appelle Hervé. Il attendait mon coup de fil pour savoir si la soirée c’était bien passé, et que lui fasse un résumé.
« Allo mon chéri…oh le pauvre, il est effondré sur le canapé…par contre, le film est super…il m’a vraiment excitée…j’ai la chatte toute mouillée…je crois que je vais me faire une petite gâterie… dommage que tu ne sois pas là…j’ai tellement envie de toi…allez, bonne nuit mon amour…à bientôt ».