Deux femmes en une journée (1 ère partie)

- Par l'auteur HDS Billyboy -
Récit érotique écrit par Billyboy [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Deux femmes en une journée (1 ère partie) Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-02-2010 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Deux femmes en une journée (1 ère partie)
Les jours s’écoulaient. Depuis que je connaissais mon meilleur ami, on prenait l’habitude de se voir le mercredi et le week-end. Quand on était au collège on allait chez lui directement après les cours et déjà lors des premières semaines je flashais sur sa magnifique sœur et sa mère. Elle était déjà bien formée pour son âge et sa mère s’habillait quand même plutôt sexy (jean moulant, jupe et collant et bottes etc).

Pour tout vous dire, j’avais flashé rapidement sur les deux femmes. Et maintenant je couchais avec les deux. L’une était très amoureuse et l’autre apparemment très attachée à moi aussi. Mon soucis est que j’éprouvais des sentiments pour les deux femmes. Mais je savais déjà que l’histoire avec Marie allait mener au moins a quelque chose tandis qu’avec Catherine on vivrait une relation cachée, difficile à assumer qui poserait problème sur du long terme.

Pour combler le manque, j’envoyais des sms à Marie, on passait du temps à discuter et donc fortifier notre lien. Elle essayait toujours de me provoquer en me disant ce qu’elle portait de quoi elle avait envie dans des petites allusions.
Mercredi approchait je ne savais pas trop ce qui allait se passer puisque je venais essentiellement voir mon ami et non pas pour du sexe. Ce que je craignais le plus c’était que je me retrouve avec la mère et la fille a discuter. Je craignais vraiment que l’une d’elle fasse une erreur et me décrédibilise devant l’autre.

Quand j’arrivais je saluais tout le monde, une poignée de main à Marc, la bise que je craignais à Marie qui fît mine de rien et un simple bonjour souriant à Catherine. L’après-midi passa, je rigolais avec mon pote tranquillement. De temps en temps Marie venait nous voir et s’appuyait sur mon dos. Je sentais sa grosse poitrine s’écraser sur mes omoplates. Le genre de truc qui m’excitait rapidement. Je crois qu’elle prenait un malin plaisir à me provoquer, puisqu’elle ne portait pas de soutien gorge sous son fin débardeur, ce qui faisait que un sa poitrine ondulait au rythme de ses pas, deux qu’on voyait clairement ses tétons et mamelons et trois que je la sentais mieux sur mon dos.

Une nouvelle fois j’ai eu une boule au ventre d’excitation quand mon meilleur me dit :

- Eh demain y a des grèves à mon lycée (en pleine période toujours) tu dors chez moi ?
- Ouais, bien-sûr.

Je ne pouvais refuser pour pouvoir être avec lui et tenter un câlin avec Catherine. Bizarrement elle car même si j’avais une petite amie, le fait que ce soit elle m’excitait beaucoup plus. Peut-être l’expérience ou l’interdit. Je me réjouissais donc et le dîner arriva. J’avais la mère et la fille en face de moi bien-sûr. Mais mes angoisses disparurent quand je vis que Catherine m’ignorait totalement. Elle me voyait vraiment comme le meilleur ami de son fils. Je me posais certaine question. Voulais t’elle encore de moi ?
Tandis que sa fille, elle me regardait souvent, me souriait et…me faisais du bien très discrètement sous la table en parlant. Je les voyait toute les deux en débardeur, cela m’excitais encore plus de savoir ce qui se cachait en dessous. De savoir que j’avais couché avec les deux et qu’elle était l’une à côté de l’autre. Le dîner terminer j’aidais a débarrasser comme un enfant bien élevé tandis que Marc et Marie allaient regarder la télé. J’en profitais donc pour questionner Catherine au sujet de son comportement :

- Pourquoi tu m’ignores ? Lui demandais-je tout doucement en débarrassant.
- Je ne t’ignores pas mais les enfants ne doivent jamais savoir. Elle me le dit très discrètement sans me regarder tout en rangeant les affaires.
- Tu m’a fait peur tu sais.
- Non ne t’inquiètes pas.

Elle commença à nettoyer la table avec une éponge, je me mis à coté d’elle et comme nous étions en face de la porte, si quelqu’un arrivait il ne pourrais pas voir ma main caresser sa fesse.

- On peut dormir ensemble ce soir ? Elle repoussa ma main rapidement.
- Arrêtes ! J’en ai très envie oui…Tu m’a manqué ces derniers jours.
- On rattrapera le temps perdu ce soir, mais tu sais que je n’aime pas trop monté, c’est vraiment très risqué.
- On peut pas faire autrement tu le sais pour l’instant.

Elle déposa un rapide baiser sur ma joue et continua à ses occupations. Je rejoignais le groupe devant la télé. La soirée passa toujours si lentement car j’attendais que tout le monde aille se coucher. Mais j’étais soulagé car je savais que Catherine serait très discrète devant ses enfants donc je ne risquais rien. Par contre Marie…

Elle avait l’habitude de dormir avec un grand tee-shirt qui lui arrivait à mi-cuisses et en dessous soit un caleçon ou un string selon ses envies d’après ce qu’elle me disait. J’avais l’habitude de dormir avec Marc, toujours lui dans sa mezzanine et moi sur un matelas au sol. C’était quand même sympa car je me voyais mal dormir avec lui. pendant la soirée, Marie continua son petit jeu et venu en « pyjama » passer la soirée avec nous. On était là tout les trois sur le matelas à discuter et regarder la télé dans sa chambre. Elle s’amusait à bouger, se tortiller pour se remettre à l’aise et en profitait à chaque fois pour remonter un peu plus son tee-shirt et montrer ses cuisses bien en chairs. Elle m’avait manquées. Je les regardais très discrètement et ne pu m’empêcher de bander. Mais ça s’arrêtait là.

Dans mon matelas j’attendais. Marc semblait dormir. Je reçu un sms de Marie qui me disait :

« je peux venir dormir avec toi ? »
« non je suis vraiment fatigué » Je mentais bien-sûr.
« juste être dans tes bras stp »
« insiste pas c’est trop risqué »

Elle me souhaita bonne nuit, je fis de même. Ce n’étais pas que je voulais pas prendre le risque mais une autre femme m’attendais. Je l’entendis ronfler et pu enfin sortir très discrètement. J’avais déjà une érection de la revoir, pouvoir la serrer contre moi et braver encore une fois cet interdit. J’esquiva encore les marches qui grinçait et montait rapidement pour la rejoindre. Il était 1h du matin environ.

Toujours cet affreux calme, un calme oppressant mais terriblement excitant. J’avançais à pas de velours et la vit encore dans le coin gauche du grenier, allongée dans son lit à lire un bouquin avec la radio en fond sonore tout bas. Le genre de petit coin très douillet. Elle mit son livre de coté et me sourit avec ses petites lunettes. Je lui souri et m’allongea sur elle pour l’embrasser et l’enlacer. Comme c’était bon de la retrouver. On discuta encore et encore. Ce qu’on avait fait de nos journées etc.

J’adorais ce genre de moment très doux. Rapidement les choses s’échauffaient. On avais pu grand chose a se dire et elle m’embrassa passionnément comme quoi je l’avais manqué. Je l’enlaçais rapidement par les reins et soulevait sa nuisette. Cette fois-ci elle était noire en soie, très sobre. Nos langues tournèrent lentement l’une sur l’autre. Je caressais ses fesses bombées. Elle portait un petit short assorti à la nuisette. J’étais si excité que je le lui retira rapidement ainsi que sa nuisette. Nue elle était magnifique. Un corps toujours aussi mûre mais ferme avec ses éternel rondeurs qui la rendait plus que gracieuse.

Je me suis mis à lui malaxer les seins en les suçant. Chose qu’elle adorait puisqu’elle m’attira vers elle en me caressant les cheveux. Je me régalais de sucer cette grosse poitrine, et profitait pour grignoter ses tétons, elle ne pu s’empêcher de lâcher un petit soupir. Elle retira mon tee-shirt et me fit la même chose. Sa main gauche caressait mon boxer. Cela me fit rapidement durcir. Tandis qu’elle léchait et suçait mes tessons, je caressais sa tête et roulais ses tétons entre mes doigts. L’agilité de ses doigts me surprenais. Elle me caressait lentement et habilement, c’était très agréable. Et dans tout ça, elle profitait de son autre main libre pour se masturber.

Je sentais qu’elle libérait ses gémissements dans de grands soupirs pour ne pas faire de bruit.

- Chérie, tu es bien excitée…
- Oh ça oui ! Tu m’a trop manqué tu sais.

Elle venait de finir sa phrase qu’elle embrassait et léchait mon ventre. En même temps elle baissa mon caleçon et attrapa mon sexe rapidement en bouche. Elle tétait mon gland et caressait mes boules. Elle était recroquevillée sur elle. Apparemment elle voulait se retrouver seule avec mon sexe. Je la laissais faire silencieusement. Elle se mit d’un seul trait mais lentement à enfoncer mon sexe au fond de sa bouche. Elle mettait les trois quarts. Et quand elle sentait ses limites, elle se mit à me sucer rapidement quelques secondes puis recommençait. Je gémissais fortement et me crispais.

- Chérie si tu veux un câlin tu devrais t’arrêter…
- Oh, tu ne sais pas tenir plus longtemps ? Elle se remit à mon niveau pour m’embrasser et me chevaucha pour poser sa tête sur mon torse.
- Je ne sais pas trop. Tu oublies que je suis débutant et que tu suces merveilleusement bien.
- Tu sais ton sexe est vraiment délicieux, si gros et large. Pour ton âge c’est étonnant. J’adore l’avoir…

Y avait pas photo côté pratique Catherine se débrouillait beaucoup mieux. Elle savait ce qu’elle faisait. J’avais mes mains sur ses reins.

- Tu veux dormir ?
- Oh que non…

Elle saisit mon sexe et pointait le bout vers son vagin puis s’enfonçait délicatement dessus dans un long soupir. Quand elle fut entièrement mise, elle s’appuya sur mon torse pour se relever et commença des vas et viens d’avant en arrière. Son sexe était toujours si chaud et mouillé. Ca glissait sans soucis, et cela me permettais de me laisser aller. Ses lourds seins gigotaient au rythme de ses déhanchements. Elle ne me quittait pas des yeux. Son visage semblait sans émotions, mais elle rougissait. L’acte était calme, sans bruit, juste le frottement de nos deux corps l’un contre l’autre et aussi contre le draps. Elle prenait son temps.

- Tu aimes comme ça chéri ?
- Oui beaucoup.
- C’est l’une de mes positions préférées. Et toi ?
- Mmmh je préfère la levrette.
- Tu trouves que j’ai des grosses fesses ?
- Non pourquoi ? Elle accéléra ses mouvements.
- A mon âge tu sais, on a pu un corps comme à 20ans.
- Je te rassure, tu es très sexy.
- Sexy à quel point ? Elle accéléra encore plus vite. Je lui parlais en gémissant
- Sexy au point que j’aimerais te prendre bien fort chaque soir…
- Tu voudrais me défoncer chéri ?

J’hésitais à répondre voir si c’était un piège mais l’excitation était si intense que je me laissais aller à mes pulsions.

- Oui…te défoncer chaque soir…
Elle se pencha sur moi et instinctivement je me mis à bouger mon bassin de haut en bas en la tenant par les fesses.
- Alors commence par me défoncer ce soir mon homme adoré, me soupira t’elle.

Ni une ni deux, je commençais a brusquement accélérer la cadence de mes coups. On ne pouvait malgré tout faire trop de bruit. Elle m’enlaça la nuque et commençait à baver sur mon torse. J’accélérais encore suffisamment pour faire valser mes couilles de haut en bas et la faire gémir.

- Oh putain ! Oui comme ça chéri, vas-y appliques toi !
- Oui mon ange…
- Allez défonces moi s’il te plait ! Je sens que ça vient !

Je m’agrippais bien à ses fesses pour avoir une meilleure prise et me donna à fond quelques secondes.

- Oui comme ça ! Voilà !

Elle poussa un long petit cri de souris et se crispa brusquement sur moi, enfonçant ses ongles dans ma nuque. De mon coté je n’avais pas jouis mais elle continuait à m’encourager. Je ne tarda pas à venir dans son sexe dans un râle étouffé. Je sentais le sperme se déverser par flot. Je me tenais fort à ses fesses et leva mon bassin tellement le plaisir était fort.

Silencieusement on se calma, nos respirations ralentissèrent. Elle m’embrassa tendrement avec un grand sourire.

- Mmmmh merci mon chéri..
- Merci à toi aussi.

On resta là un bon moment, une heure à du s’écouler selon moi.

- Tu veux dormir avec moi ce soir ?
- Je sais pas trop c’est vraiment risqué tu le sais bien.
- Bon d’accord, tu dors en bas.
- En plus je serais trop fatigué si je dois me lever tôt encore.
- Je comprends…

Elle m’embrassa et me regarda me rhabiller :

- Hum ptit cul va…

Je lui souris et lui souhaita bonne nuit pour redescendre dormir sur mon matelas. Il ronflait toujours, c’était un grand soulagement pour moi à chaque fois. Au pire même si il se réveillerait il se lèverait que pour pisser et me poserai pas de questions si il restait dans son lit. Même si c’était désagréable, ses ronflements étaient pour moi synonyme d’innocence…


Le lendemain je me réveillai après que Marc soit levé réveiller par ses conneries. Il me questionna si j’avais dormi ou non j’étais quand même assez fatigué. J’allais pas lui dire :

- Bah tu vois j’ai pas beaucoup dormi car j’ai baisé ta mère hier soir donc…

Il serait devenu tout blanc, et moi tout mort.

Je pris le petit déjeuner avec lui, sa mère était déjà parti au travail. Toujours à discuter et rigoler. En milieu d’après-midi on alla faire un foot, et je lui demandais que comme y avait grève aujourd’hui, je pourrais dormir chez lui ce soir pour passer plus de temps avec lui et le lendemain, je partirais dès que je me réveille. Il était censé débuter tard donc on pouvait un peu veiller. Avec ce plan, j’avais plusieurs idées en tête. Pour commencer sa mère avait dit qu’elle ne travaillait pas vendredi. Deuxièmement je repensais au sms de Marie. Je priais qu’il accepte, et à ma plus grande joie il accepta.

Il prévenu sa mère par téléphone qui bien-sûr accepta sans problèmes. La nuit arrivait vite, quand je me suis couché je discutais tranquillement par sms. Catherine voulait que je dorme encore avec elle mais je prétextais que j’étais fatigué de la nuit d’hier et donc voulais dormir. Je demandais à Marie par sms si elle voulait toujours dormir avec moi ce soir. Elle me dit que oui et je lui ai dit qu’elle devait attendre que son frère dorme pour me rejoindre, je la préviendrais par sms. En attendant d’entendre les ronflements, on commençais à se chauffer et s’avouer nos sentiments en même temps. J’avais volontairement laisser la porte entrouverte pour pas qu’elle ai à tourner la poignée qui faisait trop de bruit.

Les ronflements enfin présents je lui dit de venir très discrètement dans la chambre. Comme en journée il avait fait très chaud, il pleuvait fortement depuis une bonne heure. Mais malgré ça, je l’entendais descendre de son lit en aluminium. Il faisait vraiment un bordel pas possible. Quelques secondes après elle poussa la porte et apparu. Elle portai un long tee-shirt toujours. Discrètement elle me rejoint dans le matelas. On s’embrassa doucement et on se chuchotait de ne pas faire l moindre bruit à l’oreille. J’étais tout excité de pouvoir l’avoir dans mes bras enfin après tout ce temps. Depuis que je l’avais dépucellé je n’avais pas pu retrouver un moment intime avec elle. On se fit un longue étreinte. Je me mis rapidement à caresser ses fesses nues et son dos. On s’embrassaient comme deux jeunes amoureux fou de passion. Nos mains parcouraient le corps de l’autre rapidement. La température monta rapidement sous la couette et ses mains se fit de plus en plus indiscrète. Je fis de même et lui retira son tee-shirt pour caresser sa grosse poitrine. Elle poussa de petits soupirs que je contrôlais en l’embrassant. Rapidement elle se mit à me branler, tandis que moi je la doigtais d’un doigts. Quelle surprise, elle était plus que mouillée !

Apparemment les sms avaient fait son petit effet. Faut dire que la situation aussi. Ces gestes étaient maladroits mais je me sentais si bien avec elle que je m’en fichais. Ca vient avec le temps de toute façon. Sans un mot elle fila sous la couette pour m’administrer une longue fellation. Elle se mit bien en place alors que moi je voulais encore profiter de son p’tit minou. Comme elle était à genoux entre mes jambes, cela faisait une grosse bosse sous le draps. Vraiment pas discret.

Je me laissais donc aller à ce plaisir. Elle me suçait très lentement en la tenant par la base et de l’autre caressait ma cuisse. Moi j’avais les jambes bien écartées et ne faisait aucun bruit. De toute façon on ne faisait aucun bruit, sauf elle pour reprendre son souffle de temps en temps, et encore c’était léger. Elle aimait vraiment faire ça on dirait puisque cela faisait plus de 20 minutes. J’ai cru mourir quand j’entendis son frère arrêter de ronfler. Je me suis dit « ça y est c’est la fin ». La pluie continuait à tomber fortement et faisait beaucoup de bruit car il y avait des buissons devant la fenêtre donc cela amplifiait le bruit. Surtout que la fenêtre était ouverte à l’espagnolette. Rapidement je passa mes mains sous la couette pour l’empêcher de continuer à sucer. Comme elle avait naturellement accéléré la cadence, elle se contenta de ralentir fortement. Je ne pouvais pas me débattre sinon ça serait suspect. Je fis mine de dormir et je l’entendis descendre de sa mezzanine. Lui qui dort chaque soir sans soucis, il fallait que comme par hasard le soir où j’invite sa petite sœur à dormir avec moi il se réveille !

Mon cœur battait fort, je n’entendais que ça. J’avais cette horrible sensation qu’il savait ce que je faisais et qu’il entendait mon cœur battre. Sa sœur continuait de me sucer lentement et même de tourner sa langue autour de mon gland, alors qu’elle savait que son frère était réveillé ! Il se dirigea en titubant vers l’entrée. J’ai pensé qu’il alla pisser car durant la journée on avait pas mal bu de jus etc.

N’entendant plus ses pas, j’ai immédiatement soulevé la couette et lui ai ordonné de rejoindre sa chambre. Elle refusa, je la repoussais du mieux que je pouvais mais elle ne voulait vraiment pas partir. Je ne pouvais pas le croire. Je vivais déjà une situation inhabituel, mais alors c’était le comble ! Elle me dit que cette situation l’excitait beaucoup. Puis sans un mot elle continuait à me sucer lentement comme si de rien n’était. Qu’est ce que je pouvais faire ? Je ne pouvais pas crier ni me débattre. Je pouvais que subir, à mon grand bonheur mais à quel prix ?

Je craignais le retour plus que tout ! Par chance, le matelas était dans un coin de la pièce de telle sorte que la lumière de dehors, du moins le peu de lumière ne passait pas et on voyait que le haut du matelas c’est a dire ma tête, et encore il fallait regarder dans un coin de la chambre.

Je l’entendais donc arriver et fis appel à mes talents de comédien pour que tout se passe bien. Je priais intérieurement que les bruits de succions ne s’entendent pas. Il arriva, et poussa la porte sans me regarder. J’oubliais qu’il portait des lunettes et qu’il était myope. Il ne les avait pas pour ce genre d’occasion et il faisait vraiment sombre. Il rejoigna donc son lit. J’avais toujours les yeux fermées et attendit qu’il se mette à ronfler pour les rouvrir. Je me disais que ça allait prendre du temps pour qu’il retrouve le sommeil mais au bout de 15 minutes il se rendormit. J’ai certainement vécu ce soir là la situation la plus excitante et dangereuse de ma vie.

Quand elle en eu assez, elle remonta à mon niveau et me montra un préservatif.

- Tu es folle chérie ! On va faire trop de bruit !
- Mais non il suffit que tu sois doux ! T’inquiètes je vais me retenir.

J’enfilais le préservatif et elle se mit à cheval sur moi, puis s’allongea pour m’embrasser. C’était exactement la même position 24 heures plus tôt que j’avais avec sa mère !
J’introduisis mon sexe en elle doucement car ce n’était que sa deuxième fois. Et je ne voulais vraiment pas qu’elle pousse un gémissement de plaisir. La pluie continuait de nous couvrir.
Mon sexe bien dur pour l’occasion , glissa en elle jusqu’au fond. Je la tenais par les fesses, ces belles fesses rondes et grosses. Elle avait se tête plongé dans mon cou et poussait de long soupirs. Ses gros seins écrasées sur mon torse allait d’avant en arrière comme deux boules de pâte à pain qu’on pétrit. Elle caressait mes bras qui lui malaxaient les fesses en rythme de mes coups de reins. Cette position était vraiment bonne car je pouvais m’enfoncer profondément en elle. Le temps passait et mes coups s’accéléraient. Ca restait malgré tout très sobre. Elle poussait de petit soupir rapide très discret. Je voyais qu’elle faisait un effort. Progressivement je voyais qu’elle se détachait de moi et commença à se relever tel un cobra prêt à attaquer.

Son frère ronflait toujours aussi fort, de plus on étaient plus que silencieux. Elle se déhancha donc sur moi les yeux fermées, la tête en arrière. Je caressais son petit ventre rondelet et admirais la légère lumière blanchâtre de la lune éclairé ses seins ferme qui gigotaient tranquillement. Mon Dieu comme elle était sexy. Elle avait l’air très concentrée. Je prenais mon plaisir aussi à sentir tout son poids s’écrasé sur mon gland et tiré sur mon prépuce. C’était une petite tentation tout à fait exquise !

Le moment était dangereux mais romantique, elle me chuchota des mots d’amour. Je lui répondis en souriant ne pensant plus à son frère mais plutôt à l’effet qu’avait son sexe étroit sur le mien. La pluie, la lune, ses gémissement, une chaleur et la plus belle fille du monde. Tout était réunis pour que je jouisse. Elle accéléra ses mouvements et je sentais un chatouillement dans mes couilles. Je savais que ça allait venir. Je pris ses bras pour qu’elle vienne sur moi que je la défonce pour me finir mais elle refusa et accéléra encore plus la cadence. Les draps commençaient à se frotter trop fort et la pluie diminuait d’intensité. Ça devenait vraiment dangereux mais au pire je jouirais comme un fou même si c’est la dernière fois.

- Oh putain j’adore ta grosse bite mon amour ! Me chuchota t-elle.

Cette phrase me fis atteindre le 7eme ciel. Je jouis en elle dans un plaisir encore plus fort que la première fois. Je serrais ses cuisses fortement sous l’effet de l’injection de plaisir qui traversait mon corps. Elle a du comprendre que je jouissais puisqu’elle c’est déchaîné quelques seconde en poussant de petit couinement léger.

Elle s’affala sur moi après avoir jouit, elle respirait rapidement. La pluie avait du cesser car on ne l’entendais plus. Seulement dans la pièce les ronflements de Marc. Je me suis mit a rigoler silencieusement en lui expliquant la situation. Elle rigola aussi. On se fit un long câlin très doux et romantique. Je me sentais plus qu’heureux. Encore plus qu’avec sa mère. Elle ne cessait de me dire qu’elle m’aimait. Redevenus froid, je lui conseillais de rejoindre son lit car si il devait se lever tôt pour aller en cours, et qu’après ce câlin on seraient incapable de se réveiller avant lui. De toute façon elle aussi devait aller en cours le lendemain. Là ça serait vraiment dangereux. Elle comprit et rejoignit sa chambre discrètement après m’avoir longuement embrassé.

Je l’entendis remonter dans son lit et je m’endormis vite. La nuit était courte, vraiment courte. Son atroce réveil de portable me réveillait mais lui non. Le genre de sonnerie très forte et désagréable. C’était un Sagem et la sonnerie était un coq suivie d’une trompette. Je suis sûr que vous l’avez déjà entendu. Même sa mère aurait pu être réveillé !

C’est la que je compris qu’il avait le sommeil vraiment lourd et que les petits couinements de Marie ne l’aurait pas du tout réveillé. Il sonnait plusieurs fois sur un quart d’heure et enfin il se réveilla. Il se prépara et partit une heure après. Je pouvais enfin me rendormir pour récupérer de ma nuit. Après tout je pense que j’en aurais eu besoin. J’étais si fatigué que je ne me rendais pas compte de la journée que j’aurais….

PS : Désolé pour les fautes de grammaire. :)

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
j'adore !!!!



Texte coquin : Deux femmes en une journée (1 ère partie)
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