La fin d'une belle époque.

- Par l'auteur HDS Billyboy -
Récit érotique écrit par Billyboy [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : La fin d'une belle époque. Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-02-2010 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Note attribuée à cette histoire érotique par HDS :
(8.0 / 10)

Couleur du fond :
La fin d'une belle époque.
Hâté du week-end qui s’annonce, je me précipitais au plus tôt chez Catherine en fin de matinée. Elle m’accueillit en nuisette rouge. Je crois que seule, c’était sa façon de me voir. Je pris de ces nouvelles par rapport au dépucelage d’hier, elle me dit qu’elle eu un peu mal mais qu’elle avait adoré. Qu’elle serait même prête à recommencer.

Le week-end a été épuisant, enrichissant, jouissif, intense.

En gros on a fait l’amour tout le week-end, du moment où je suis venu jusqu'à une demi-heure avant que ses enfants reviennent.
Ca a commencé sur le canapé du salon après une série télévisé. Puis dans le lit à son fils après qu’elle m’ait rejoint quand je jouais à la console. Ce qui me troublait mais me rendais fou d’excitation est quand dans le lit de Marc elle m’enlaçait fort en me disant « Fais du bien à maman ». Sûrement par rapport à la situation. Puis en fin de journée on a remis ça dans un endroit qui m’a beaucoup excité : la chambre de sa fille. Je cherchais des CD et elle a commencé à me caresser après être revenu de la douche. D’abord les préliminaires sur son bureau puis l’acte dans cet horrible lit grinçant. Les draps sentaient Marie, j’avais presque l’impression de lui faire l’amour quand je fermais les yeux.

Elle semblait à chaque fois plus excitée et plus soumise. Au début de notre relation elle me suggérait des positions, mais plus le temps passait plus j’imposais mes choix et mes envies. Et elle accepta sans rechigner. C’était terriblement excitant de lui imposer mes choix alors que j’étais plus jeune. Nous avons fait l’amour 4 fois ce samedi. La dernière fois dans sa chambre pour s’endormir profondément tout les deux. On en avait vraiment besoin. J’ai pu la sodomiser ce week-end plusieurs fois en allant un peu plus fort que d’habitude. Je la complimentais toujours sur son corps et en particulier sur sa poitrine et ses fesses larges. Cela la faisait rougir.

Le lendemain après un petit déjeuner très câlin sur la table de la cuisine, comme il faisait beau on avait décidé de bronzer. C’était une femme assez coquette et elle ne voulait pas laisser les marques de son bronzage donc se mettre au milieu de son jardin n’était pas possible. Les habitants d’un bâtiment à coté pouvaient la voir. Je lui ai proposé de venir bronzer sur la terrasse du salon. L’avantage c’est que personne ne pouvait la voir puisque la terrasse était protégée par un brise-vue monté sur le garde-corps. Elle pouvait donc se mettre nue et bronzer tranquillement. Il faisait assez chaud et un grand soleil brillait. A sa demande je lui mis de l’huile sur tout le corps et en profitait un peu pour la masturber à l’huile. Elle ne s’en plait pas mais je la laissais malgré tout tranquille.

Mais j’ai pu quand même lui faire l’amour discrètement. Sur son corps tout glissant c’était plus que bon, ça m’a procuré des sensations nouvelles. Elle se retenait de gémir fort pour ne pas alerter le voisinage. Il faisait si calme, surtout un dimanche après-midi. On fit l’amour sensuellement et tendrement comme jamais. J’ai pu redécouvrir son corps et apprendre d’autre chose qui la rendait folle.

Comme un bon petit couple, elle me demanda après ce gros câlin qui sentimentalement nous avait rapprochés, d’assembler un kit pour un banc-balançoire. Le genre de truc qu’on trouve à Ikéa. Je lui assemblais son objet de jardin sous ses yeux. Alors je ne sais pas ce qui lui ai passé par la tête, peut-être que je sois torse nu et en jean sous un soleil accablant. Mais quand je remis touts les outils dans le petit abri de jardin délabré au fond après avoir terminé en fin d’après-midi son kit, elle ferma la porte derrière elle à ma surprise et m’administra la meilleure des fellations qu’elle m’ait faite depuis que je la connaissais !
Malgré que j’aie transpiré depuis notre dernier câlin et par l’assemblage du kit, elle y mettait tout son cœur. J’étais appuyé contre un petit établi et elle en profita pour même me lécher l’anus, chose qu’elle n’avait jamais faite à aucun homme après confession. J’étais gêné que l’odeur la dérange mais pas du tout. Elle semblait se régaler à tout lécher et sucer. Je sentais sa langue tourner autour de mon trou, et elle s’amusait en me branlant à l’enfoncer pour faire de petits vas et viens. Je ne me gênais pas pour le frotter sur sa bouche et l’encourager.

Bien-sûr je la pris passionnément sur le petit établi par ses deux bons trous. C’était vraiment le « moment très intense d’un couple illégitime dans les années 50 ». Aussi bien le filet de lumière qui passait à travers les planches de bois accentuait magnifiquement ses courbes et me rendait fou d’excitation, aussi bien l’échange de nos souffles, nos soupirs, gémissements et mots doux intensifiaient mon plaisir et le sien, vu son regard brûlant qu’elle me lançait à chaque coup de reins.

Dans une longue étreinte reposante, je lui pris son bikini et m’enfuia de l’abri pour rejoindre la terrasse. Si elle voulait prendre sa douche ou autre, elle devait obligatoirement franchir le jardin nue. Je lui imposais ce choix. Elle couru comme une petite fille en tenant sa poitrine.
Ce week-end a été mémorable.

Les mois défilèrent. Je continuais cette double relation. Je couchais régulièrement avec Catherine et Marie sans que Marc ne le su jamais. Au bout d’un an environ ils durent déménager dans le sud pour des raisons professionnelles. Ça a été un choc pour moi.
Quand je le su, je multipliais les fois où je pouvais faire l’amour redoublant de fougue et de perversité avec mes deux partenaires. A leur plus grand plaisir.

Les choses que j’apprenais avec Catherine, je les pratiquais sur Marie. Avec le temps Catherine fut de plus en plus soumise et Marie par mon expérience en réclamait toujours plus et proposait des scènes encore risqué. Du genre : la masturber pendant un dîner, la prendre dans les toilettes de son lycée, ou la prendre dans le même lit de sa copine avec qui on devait dormir un soir faute de mieux lors d’une sortie nocturne. A 3 dans un grand lit et sous la jouissance expressive très forte de Marie, sa copine refusa de se joindre à nous après la choquante proposition de ma petite amie.

J’ai pu rester en bon terme avec Catherine mais pas avec Marie. Son immaturité m’énervait trop et je me suis séparé d’elle quelques jours avant son départ, sous prétexte que la distance nous tuerait. Elle le prit mal, tant pis. Au début je pensais que je souffrirais plus de la séparation avec Marie que sa mère mais finalement se fut l’inverse. Je me sentais plus proche d’elle que de sa fille.

Durant cette année, j’ai pu faire l’amour à Catherine et Marie dans toutes les pièces de la maison. Sauf le garage et l’abri de jardin qui restaient pour moi les uniques endroits où j’utilisais mon sexe avec Catherine.
Le garage était situé à côté de l’entrée principale mais n’étais jamais utilisé, de plus il était en dehors de la maison, situé à quelques mètres du perron dans une petite cour. Un soir où on organisa un rendez-vous de fortune avec Catherine, elle prit les mauvais clés sous la vitesse et le retard (enfin d’après elle) et donc se retrouva avec les clés du garage. Je la raccompagnais le soir après un cinéma et il se mit à pleuvoir ce soir là. Après s’en être rendu compte, je me souviens lui avoir fait glisser deux doigts entre les fesses sur sa robe pour proposer d’attendre sagement que la pluie cesse en bonne compagnie. C’est ce soir là dans ce garage qu’ils n’utilisaient jamais que j’ai essayé de l’insulter pour voir où allait sa domination. Chose que j’ai pu essayer aussi avec sa fille et elle a adoré. Catherine adorait que je la traite de chienne et elle s’amusait à jouer le rôle d’un chien obéissant et jovial. J’ai pu aussi dépuceler l’anus de Marie, lui faire goûter les joies du sperme et l’annulingus. J’ai pu découvrir avec Catherine mon attirance pour les pieds, j’adorais les embrasser et les lécher, je trouve ça tellement sexy (quand ils sont présentable). J’ai pu aussi tester l’uro sous la douche ce qui m’a bien plu.

Voilà comment en un peu moins d’un an j’ai vécu une forte expérience sentimentale et sexuelle. J’ai maintenant 23 ans (à l’heure où j’écris) et Marc ne sait toujours rien. Marie n’a jamais rien avoué sur notre relation, et certainement pas Catherine. Je ne les ai revu qu’une seule fois le jour où ils fêtaient l’anniversaire de leur père sur paris. Je devais avoir 20-21 ans et j’ai pu retrouver ma Catherine à l’hôtel pour une dernière nuit. On repensa au passé se remémorant nos câlins. J’ai hâte de descendre un jour dans le sud pour les retrouver quelques jours. Depuis son départ je n’ai plus eu de nouvelles d’elle, ça nous as permis d’avancer sentimentalement.

Mais ce qui me rassura un jour au téléphone c’est qu’elle m’avoua n’avoir trouvé aucun homme qui puisse la satisfaire comme moi…

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Histoire sexe : Une rose rouge
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