Les cadeaux de mes 18 ans. (2 ème partie)
Récit érotique écrit par Billyboy [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 14 récits publiés.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-01-2010 dans la catégorie Pour la première fois
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Les cadeaux de mes 18 ans. (2 ème partie)
Après cette nuit agitée, je devais redormir avec la chère mère de famille. Je jouais un jeu quand même dangereux. D’un coté je fricotais avec la petite sœur de mon meilleur ami, de l’autre je dormais avec sa mère. Je devais faire en sorte que cela ne se sache de personne ni pour la sœur, ni pour la mère. J’avais l’impression d’être un agent secret et surtout un ami pas très fidèle.
Je passais donc la journée avec mon ami a jouer, discuter, etc. Catherine faisait comme si rien ne s’était passé. Un bonjour très simple. J’ai vite compris qu’elle non plus elle ne voulait pas que ça se sache.
Le soir arriva vite, et le dîner fila comme une fusée, j’étais impatient de m’endormir à nouveau dans les bras d’une femme. Marie me faisais du pied sous la table, je répondis. Sa mère elle me faisait de petit sourire. En face de moi j’avais certainement ma future petite amie et de l’autre, ma première relation sexuelle. Cette situation était tout aussi malsaine qu’excitante. Je n’aurais jamais cru que ça m’arriverait à moi. C’est le genre d’histoire qui arrive à tout le monde, enfin surtout dans les films et en Amérique.
Je finissais la soirée avec Marie et mon ami Marc dans sa chambre. Dans quelques heures j’allais regagner les bras de mon fantasme. Marie alla se coucher et Marc aussi, je faisais mine de dormir et attendit ses ronflements. C’était si long d’attendre.
Enfin il ronflait ! Impatient je sortit de la chambre sans bruit et monta les escaliers en faisant encore moins de bruit. Je marchais lentement sur le sol pour ne pas non plus faire de bruit. La lumière était allumé, pas de télé, pas de radio d’allumer. Elle m’attendait. J’avançais prudemment et dans le renfoncement du grenier, je la vis lire tranquillement. Elle tourna sa tête vers moi et me sourit puis me chuchota de venir.
- Vous lisez quoi ? Elle me pinça le bras.
- Je t’es dit de me tutoyer quand on est pas avec les enfants !
- Désolé, tu lis quoi ?
- Un roman, l’histoire d’une femme de Capitaine qui tombe amoureuse d’un jeune soldat ennemi.
- Ah…faisait t-elle des sous-entendu ? Elle posa son livre.
- Merci de dormir avec moi encore, elle m’enlaça, je fis de même.
- Je me disais que pour que ça soit plus pratique on pourrait dormir à l’hôtel non ? De temps en temps.
- Oui c’est pas bête, on serait déjà plus tranquille, on aurait pas à se cacher.
- Et puis on pourrait faire du bruit au lieu de chuchoter…Elle glissa sa main sous mon tee-shirt pour caresser mon torse imberbe à l’époque. Cela me troubla, la boule dans le ventre revint. Je me demandais si elle avait conscience de ce qu’elle faisait, mais je n’osais pas lui demander.
- Tu sais depuis que j’ai ce lit, tu es le premier homme à dormir dedans.
- Oh je suis pas encore un homme tu sais.
- Ah tu es toujours vierge ?
- Eh bien oui…Gêné je lui avoua et je ne voulais pas qu’elle sache pour ma première relation bi.
- Tu trouveras vite. Mercredi tu voudrais aller au cinéma ?
- Oui bien-sûr.
- Je viendrais te chercher pas loin de chez toi, après on ira se balader.
- Pas de soucis, je caressais son dos. Je me souviens qu’elle ferma les yeux et m’embrassa sur la joue. J’étais obligé de me souvenir de ça. Encore que les paroles qu’on échangeaient pendant plusieurs mois soient floues mais ce simple bisou sera éternel.
- Et pourquoi ce bisou ?
- J’en avais envie. Pour la taquiner et rassemblant mon courage à deux mains, je me penchais sur elle caressant son bras et l’embrassais dans le cou.
- Hum pas ici…Ces yeux étaient fermés et elle souriait, elle était vraiment trop belle.
Et pourquoi ce bisou ? Me demande t-elle en mettant ses bras autour de ma nuque.
- J’en avais envie.
Sans un mot elle me tira vers elle et nous nous embrassâmes. Ses lèvres étaient brûlantes et terriblement tendres. Je les savourais de longues secondes. Nous nous sommes souri puis elle se mit à caresser mes cheveux. Je sentais ses cuisses m’envelopper. Immédiatement je me suis mis à bander et elle le sentit.
- Hum tu as l’air en forme ce soir…
- Euh…je crois bien.
- Tu sais comme tu es puceau et que moi je suis saine, tu n’a pas besoin de redescendre chercher un préservatif dans la chambre a mon fils.
Quel choc quand elle me dit ça ! Je n’en croyais pas mes oreilles.
- Hum…et qui te dit que ce soir je serais un vrai homme ?
- Tu me résisterais ? Une femme comme moi ?
- Et toi tu pourrais résister encore plusieurs années à un vigoureux jeune homme ?
- Hum…non impossible. Elle souriait coquinement et retira une bretelle de sa nuisette.
J’embrassais le haut de sa poitrine encore couverte puis remontait sur sa gorge avec ma langue. Elle serrait contre elle, elle sentait si bon ! On s’embrassa à plusieurs reprises. Mon tee-shirt vola, elle dévorait mon torse, le léchait et le griffait. Dans son chevauchement, elle sentit la bosse entre ses cuisses toucher son shorty. Elle baissa l’autre bretelle, sa nuisette ne tenait que par sa grosse poitrine.
- Je reconnais cette bosse, c’est celle de la salle de bains…
Je lui souriait et tirais doucement sa nuisette tandis qu’elle se dandinait sur mon sexe bien dur.
Ses gros seins se libérèrent. Fermes et gros, bien ronds comme j’aime. J’étais aux anges ! ils étaient magnifiques, ses auréoles étaient rose bonbon, ni trop gros ni trop petits. Pour ses 45 ans elle était vraiment bien faite. Son ventre avait quelques rondeurs qui la rendait encore plus excitante.
- Ils te plaisent ?
- Beaucoup oui…Je les prirent en main et les malaxèrent doucement. J’aurais jamais pensé qu’ils soit comme ça ?
- Et pourtant c’est bien un 95 C. Elle se pencha sur moi.
Tiens goûte les mon chéri.
Je les pris en bouche rapidement et commençais à lui sucer les tétons, tout en les léchant, je n’hésitais pas à les pétrir. Elle gémissait doucement. Sans un mot elle descendit sur mon ventre, l’embrassa et le lécha. Puis embrassait mon caleçon dressé. Elle le baissa doucement. Mon sexe comme un diable de sa boite sortit et tomba sur le côté.
- Oh mon dieu…Elle restait bouche bée.
- Qu’est ce qui y a ?
- Eh bien…elle est vraiment grosse. Elle ne la quittait pas des yeux. J’étais gêné qu’elle me voit nu comme ça.
- Ah c’est un problème ?
- Hum, non du tout mon chéri. Elle l’embrassa plusieurs fois de haut en bas puis le saisi. Me branlant doucement elle était à genoux entre mes jambes, elle me sourit puis pencha sa tête en avant pour aspirer mon gland. Je sentais l’effet de succion ainsi que sa langue tourner autour.
- Hummmm, tu es très gourmande dis donc…
- Enormément, ça fait si longtemps tu sais…Elle rougit en me regardant. Je lui souriait à nouveau en caressant ses cheveux.
- Laisse moi continuer s’il te plait, elle est vraiment délicieuse. Elle l’embrassa, elle semblait attendre mon autorisation.
- Délicieuse ? A ce point ?
- Quand j’étais jeune j’ai goûté plein de mecs, mais toi alors…Que ce soit par la taille et le goût, c’est vraiment la première fois !
- Alors régale toi grosse gourmande.
Elle me fit un grand sourire et avala la moitié de ma queue dans sa bouche. Quel bonheur ! enfin je me faisais sucer par mon fantasme ! Ses mouvements étaient lents, sa bouche très chaude. J’appréciais tous ses mouvement. Elle caressait mes cuisses et mon ventre tandis que j’avais mes mains dans ses cheveux. Je retenais mes gémissement de plaisir me contentant de soupirer.
Catherine accéléra la cadence progressivement. Elle suçait encore mieux que l’Américain. C’était un déesse ! Sa galerie a au moins durer une bonne demi heure, elle ne se lassait pas et moi non plus d’ailleurs. De temps à autre elle me regardait, mais la majeure partie du temps, elle ne se contentait que de fermer les yeux et gémir. Je sentais sa salive couler sur mes couilles. Elle le remarqua et s’empressa et de les lécher, puis les goba doucement. Sa bouche si chaude me faisait frémir de bonheur. Inconsciemment j’appuyais sur sa tête pour qu’elle ne s’arrête pas de les sucer.
Je gémissais de plus en plus fort et me tortillait de plus en plus. Elle a du comprendre que j’allais jouir et à nouveau replongea mon sexe dans sa bouche pour me sucer plus vigoureusement. Sans attendre je me crispais et libérais un flot de sperme dans sa bouche. Mon gémissement était long et étouffé, je contractais mes fesses qui me faisaient me courber et donc enfoncer ma queue plus profonde en elle vu que je la tenais par la tête.
Je l’entendais avaler mon sperme plusieurs fois au rythme de mes saccades. J’avais la bite en feu à force qu’elle me l'ai aspirait plus fort.
Elle me suça quelques instant pour la nettoyer, mais mon gland toujours si sensible, cela me chatouillait trop et je la repoussais.
Elle vint s’allonger près de moi m’embrassant tendrement, ses lèvres avaient le goût de mon sperme mais ça ne me dérangeait absolument pas. Elle me souriait encore longuement. Pas besoin de parler pour savoir qu’elle me remerciait de lui avoir offert ce plaisir. Cet instant restera dans ma mémoire. On s’enlaçait nus, ses gros seins sur mon torse.
- Tu suces comme une reine Catherine.
- C’est que le début mon chéri…N’oublies pas de partir tôt demain matin. Je te réveillerais ne t’inquiète pas. Repose toi.
Je l’embrassais une dernière fois, puis elle éteint la lumière et se mit toujours dans la même position : Une jambe sur moi et ses bras m’enlaçant. Je trouvais vite le sommeil pour la prochaine partie du récit…
J’espère que cette histoire vous plait, si vous avez des commentaires, il y a mon adresse.
Je passais donc la journée avec mon ami a jouer, discuter, etc. Catherine faisait comme si rien ne s’était passé. Un bonjour très simple. J’ai vite compris qu’elle non plus elle ne voulait pas que ça se sache.
Le soir arriva vite, et le dîner fila comme une fusée, j’étais impatient de m’endormir à nouveau dans les bras d’une femme. Marie me faisais du pied sous la table, je répondis. Sa mère elle me faisait de petit sourire. En face de moi j’avais certainement ma future petite amie et de l’autre, ma première relation sexuelle. Cette situation était tout aussi malsaine qu’excitante. Je n’aurais jamais cru que ça m’arriverait à moi. C’est le genre d’histoire qui arrive à tout le monde, enfin surtout dans les films et en Amérique.
Je finissais la soirée avec Marie et mon ami Marc dans sa chambre. Dans quelques heures j’allais regagner les bras de mon fantasme. Marie alla se coucher et Marc aussi, je faisais mine de dormir et attendit ses ronflements. C’était si long d’attendre.
Enfin il ronflait ! Impatient je sortit de la chambre sans bruit et monta les escaliers en faisant encore moins de bruit. Je marchais lentement sur le sol pour ne pas non plus faire de bruit. La lumière était allumé, pas de télé, pas de radio d’allumer. Elle m’attendait. J’avançais prudemment et dans le renfoncement du grenier, je la vis lire tranquillement. Elle tourna sa tête vers moi et me sourit puis me chuchota de venir.
- Vous lisez quoi ? Elle me pinça le bras.
- Je t’es dit de me tutoyer quand on est pas avec les enfants !
- Désolé, tu lis quoi ?
- Un roman, l’histoire d’une femme de Capitaine qui tombe amoureuse d’un jeune soldat ennemi.
- Ah…faisait t-elle des sous-entendu ? Elle posa son livre.
- Merci de dormir avec moi encore, elle m’enlaça, je fis de même.
- Je me disais que pour que ça soit plus pratique on pourrait dormir à l’hôtel non ? De temps en temps.
- Oui c’est pas bête, on serait déjà plus tranquille, on aurait pas à se cacher.
- Et puis on pourrait faire du bruit au lieu de chuchoter…Elle glissa sa main sous mon tee-shirt pour caresser mon torse imberbe à l’époque. Cela me troubla, la boule dans le ventre revint. Je me demandais si elle avait conscience de ce qu’elle faisait, mais je n’osais pas lui demander.
- Tu sais depuis que j’ai ce lit, tu es le premier homme à dormir dedans.
- Oh je suis pas encore un homme tu sais.
- Ah tu es toujours vierge ?
- Eh bien oui…Gêné je lui avoua et je ne voulais pas qu’elle sache pour ma première relation bi.
- Tu trouveras vite. Mercredi tu voudrais aller au cinéma ?
- Oui bien-sûr.
- Je viendrais te chercher pas loin de chez toi, après on ira se balader.
- Pas de soucis, je caressais son dos. Je me souviens qu’elle ferma les yeux et m’embrassa sur la joue. J’étais obligé de me souvenir de ça. Encore que les paroles qu’on échangeaient pendant plusieurs mois soient floues mais ce simple bisou sera éternel.
- Et pourquoi ce bisou ?
- J’en avais envie. Pour la taquiner et rassemblant mon courage à deux mains, je me penchais sur elle caressant son bras et l’embrassais dans le cou.
- Hum pas ici…Ces yeux étaient fermés et elle souriait, elle était vraiment trop belle.
Et pourquoi ce bisou ? Me demande t-elle en mettant ses bras autour de ma nuque.
- J’en avais envie.
Sans un mot elle me tira vers elle et nous nous embrassâmes. Ses lèvres étaient brûlantes et terriblement tendres. Je les savourais de longues secondes. Nous nous sommes souri puis elle se mit à caresser mes cheveux. Je sentais ses cuisses m’envelopper. Immédiatement je me suis mis à bander et elle le sentit.
- Hum tu as l’air en forme ce soir…
- Euh…je crois bien.
- Tu sais comme tu es puceau et que moi je suis saine, tu n’a pas besoin de redescendre chercher un préservatif dans la chambre a mon fils.
Quel choc quand elle me dit ça ! Je n’en croyais pas mes oreilles.
- Hum…et qui te dit que ce soir je serais un vrai homme ?
- Tu me résisterais ? Une femme comme moi ?
- Et toi tu pourrais résister encore plusieurs années à un vigoureux jeune homme ?
- Hum…non impossible. Elle souriait coquinement et retira une bretelle de sa nuisette.
J’embrassais le haut de sa poitrine encore couverte puis remontait sur sa gorge avec ma langue. Elle serrait contre elle, elle sentait si bon ! On s’embrassa à plusieurs reprises. Mon tee-shirt vola, elle dévorait mon torse, le léchait et le griffait. Dans son chevauchement, elle sentit la bosse entre ses cuisses toucher son shorty. Elle baissa l’autre bretelle, sa nuisette ne tenait que par sa grosse poitrine.
- Je reconnais cette bosse, c’est celle de la salle de bains…
Je lui souriait et tirais doucement sa nuisette tandis qu’elle se dandinait sur mon sexe bien dur.
Ses gros seins se libérèrent. Fermes et gros, bien ronds comme j’aime. J’étais aux anges ! ils étaient magnifiques, ses auréoles étaient rose bonbon, ni trop gros ni trop petits. Pour ses 45 ans elle était vraiment bien faite. Son ventre avait quelques rondeurs qui la rendait encore plus excitante.
- Ils te plaisent ?
- Beaucoup oui…Je les prirent en main et les malaxèrent doucement. J’aurais jamais pensé qu’ils soit comme ça ?
- Et pourtant c’est bien un 95 C. Elle se pencha sur moi.
Tiens goûte les mon chéri.
Je les pris en bouche rapidement et commençais à lui sucer les tétons, tout en les léchant, je n’hésitais pas à les pétrir. Elle gémissait doucement. Sans un mot elle descendit sur mon ventre, l’embrassa et le lécha. Puis embrassait mon caleçon dressé. Elle le baissa doucement. Mon sexe comme un diable de sa boite sortit et tomba sur le côté.
- Oh mon dieu…Elle restait bouche bée.
- Qu’est ce qui y a ?
- Eh bien…elle est vraiment grosse. Elle ne la quittait pas des yeux. J’étais gêné qu’elle me voit nu comme ça.
- Ah c’est un problème ?
- Hum, non du tout mon chéri. Elle l’embrassa plusieurs fois de haut en bas puis le saisi. Me branlant doucement elle était à genoux entre mes jambes, elle me sourit puis pencha sa tête en avant pour aspirer mon gland. Je sentais l’effet de succion ainsi que sa langue tourner autour.
- Hummmm, tu es très gourmande dis donc…
- Enormément, ça fait si longtemps tu sais…Elle rougit en me regardant. Je lui souriait à nouveau en caressant ses cheveux.
- Laisse moi continuer s’il te plait, elle est vraiment délicieuse. Elle l’embrassa, elle semblait attendre mon autorisation.
- Délicieuse ? A ce point ?
- Quand j’étais jeune j’ai goûté plein de mecs, mais toi alors…Que ce soit par la taille et le goût, c’est vraiment la première fois !
- Alors régale toi grosse gourmande.
Elle me fit un grand sourire et avala la moitié de ma queue dans sa bouche. Quel bonheur ! enfin je me faisais sucer par mon fantasme ! Ses mouvements étaient lents, sa bouche très chaude. J’appréciais tous ses mouvement. Elle caressait mes cuisses et mon ventre tandis que j’avais mes mains dans ses cheveux. Je retenais mes gémissement de plaisir me contentant de soupirer.
Catherine accéléra la cadence progressivement. Elle suçait encore mieux que l’Américain. C’était un déesse ! Sa galerie a au moins durer une bonne demi heure, elle ne se lassait pas et moi non plus d’ailleurs. De temps à autre elle me regardait, mais la majeure partie du temps, elle ne se contentait que de fermer les yeux et gémir. Je sentais sa salive couler sur mes couilles. Elle le remarqua et s’empressa et de les lécher, puis les goba doucement. Sa bouche si chaude me faisait frémir de bonheur. Inconsciemment j’appuyais sur sa tête pour qu’elle ne s’arrête pas de les sucer.
Je gémissais de plus en plus fort et me tortillait de plus en plus. Elle a du comprendre que j’allais jouir et à nouveau replongea mon sexe dans sa bouche pour me sucer plus vigoureusement. Sans attendre je me crispais et libérais un flot de sperme dans sa bouche. Mon gémissement était long et étouffé, je contractais mes fesses qui me faisaient me courber et donc enfoncer ma queue plus profonde en elle vu que je la tenais par la tête.
Je l’entendais avaler mon sperme plusieurs fois au rythme de mes saccades. J’avais la bite en feu à force qu’elle me l'ai aspirait plus fort.
Elle me suça quelques instant pour la nettoyer, mais mon gland toujours si sensible, cela me chatouillait trop et je la repoussais.
Elle vint s’allonger près de moi m’embrassant tendrement, ses lèvres avaient le goût de mon sperme mais ça ne me dérangeait absolument pas. Elle me souriait encore longuement. Pas besoin de parler pour savoir qu’elle me remerciait de lui avoir offert ce plaisir. Cet instant restera dans ma mémoire. On s’enlaçait nus, ses gros seins sur mon torse.
- Tu suces comme une reine Catherine.
- C’est que le début mon chéri…N’oublies pas de partir tôt demain matin. Je te réveillerais ne t’inquiète pas. Repose toi.
Je l’embrassais une dernière fois, puis elle éteint la lumière et se mit toujours dans la même position : Une jambe sur moi et ses bras m’enlaçant. Je trouvais vite le sommeil pour la prochaine partie du récit…
J’espère que cette histoire vous plait, si vous avez des commentaires, il y a mon adresse.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Cette histoire est agréable à lire, mon plaisir étant toutefois un peu gaché par les
fautes d'orthographe, de grammaire et de temps de conjugaison.
fautes d'orthographe, de grammaire et de temps de conjugaison.