Une sodo frustrante
Récit érotique écrit par Billyboy [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-07-2012 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Une sodo frustrante
Avant tout, je remercie ceux qui m’ont écrit pour me féliciter de mes aventures passées et de m’excuser pour les éventuelles fautes d’orthographe.
Pour ce récit j’avais 22 ans, cela faisait un bout de temps que je n’avais rien fait avec un mec. A vrai dire depuis ma première fois à 17 ans, et ça me travaillais de plus en plus. Alors je me suis rendu sur un tchat dans l’espoir de trouver un passif le temps d’une après-midi.
Je ne tarde pas à trouver un mec plus jeune que moi, 17 ans je crois sur Paris. En discutant je voyais qu’il était bien chaud et surtout en manque donc je me prépare comme il faut et file le voir quelques jours plus tard âpres l’avoir mieux connu.
Vers 13h-14h je devais le retrouver pas loin de chez lui car il n’y avait personne. On se donna donc rendez-vous prés d’un arrêt de bus qu’on devait prendre ensemble pour aller chez lui. Je le vois arriver. Une sorte de petit minet espagnol à la peau matte, jean en cuir noir, bottines noir en cuir, et petit sac à main pour « homme » enfin bref une ptite tata en puissance. Un peu mal à l’aise on discute de tout et de rien avec bien-sûr mon seul intérêt était de le baiser, il me fît marcher et encore marcher, et me sors à un moment avec son petit accent efféminé :
- On va chez moi si tu m’embrasses.
J’ai dis non merci direct. En plus dehors. En gros depuis le début il me faisait marcher autour de chez lui. Il me menait en bateau mais je lui ai vite fais comprendre qui commandait. Donc on arrive chez lui après un moment de marche, petit appart tranquille au 4eme. Il vivait avec sa mère séparée depuis X années. On file dans sa chambre, où il y ferme les volets, puis viens vers moi me saisi pour me faire allonger sur le lit. J’avais juste eu le temps de retirer ma veste et mes chaussures. Je me retrouve avec mon jean à mi-cuisses. Il se mit à caresser mon boxer puis sortir ma bite déjà bien assez dure par l’excitation de penser à ce qu’il allait me faire. Rapidement il se mît à me sucer sans vergogne. On voyait qu’il avait faim. Il ne se débrouillais pas trop mal d’ailleurs, un bon suceur.
Ah cette sensation de sa main froide sur ma queue chaude, puis de sentir sa bouche brulante gober mon gland et le reste de mon sexe bien en érection ne me déplaise jamais. Je le voyais donc m’aspirer comme il fallait. J’appuyais sur sa tête âpres quelques secondes, puis progressivement une deuxième main pour lui imposer mon mouvement et finir ma domination par relever mon bassin en rythme pour enfoncer le reste de ma queue dans sa gorge. Je voyais bien que c’était trop gros pour lui car il avait des hauts le cœur à chaque fois que j’allais trop profond. Il continua à me sucer de cette manière, en alternant de temps en temps à gober mes couilles avec force, limite il me faisait mal tellement il aspirait fort dessus. Rapidement je vins à l’insulter pour l’encourager, et lui baisait ouvertement la bouche en lui donnant de petite gifle.
Après une bonne vingtaine de minutes où je sentais sa langue tourner autour de mon gland, je décida de changer de position pour lui baiser la bouche en missionnaire. Il prit un petit coussin qu’il plaça derrière sa tête de manière à ce qu’elle soit surélevée. Puis je vins m’allonger sur lui, et lui enfourna ma queue au fond de la gorge. Il n’était pas prêt qu’il se mis quand même à sucer. Penché sur lui, je prenais appui sur un bras, et de l’autre main je le prenais par les cheveux pour le faire sucer plus en profondeur et lui mettais encore des claques. Il semblait adorer puisqu’il caressa mes petites fesses poilues et appuya dessus en gémissant.
Je lui baisais donc la bouche dans cette position très dominatrice quand soudain le drame…J’entends la deuxième porte de sa chambre s’ouvrir. Car j’explique sa chambre est composé deux trois portes ; une qui donne sur le couloir mais qui ne servait pas, une sans porte justement qui donnait sur le salon et la dernière qui donnait sur la salle de bain. C’est justement celle-ci que j’entends s’ouvrir et instinctivement je regarde dans sa direction et voit sa mère entrer dans la chambre. Le choc ! Je restait donc là, ma bite en plein dans sa bouche immobile ne sachant quoi faire.
- Oh excusez-moi, je suis désolé ! Rougit-elle. Malgré sa gêne je remarquais qu’elle ne détachait pas son regard de ma bite.
- Maman ! Se plaint l’autre homosexuel efféminé.
- Désolé je ne vous avez pas entendu.
C’est vrai que dans un sens nous n’avions pas fait de bruit à peine rentré chez elle. Elle devait dormir dans sa chambre. Il dégagea ma bite baveuse de sa bouche pour briser la gêne occasionné. Elle referma la porte rapidement et fit le tour par le couloir.
- Elle dit rien ta mère ?
- Non, non elle a l’habitude t’inquiètes.
- Ok. Je lui repris la tête pour me faire sucer sans me préoccuper de l’incident. Il l’a reprit avec gourmandise en se laissant faire.
Sa mère elle s’était installé dans le salon devant la télé. Je dois avouer que de savoir qu’aucune porte ne nous séparait du salon et qu’elle pouvait voir et entendre tout ce qui se passait, m’excitait et me perturbait en même temps. Je n’osais pas trop soupirer ou même gémir de plaisir. Au bout d’un quart d’heure encore j’en avais marre de me faire sucer.
- Jveux t’enculer, mets toi à quatre pattes. Il m’obéit .
- Va doucement au début ca fais longtemps que j’ai rien fais.
- T’inquiètes. Bien-sûr je ne comptais pas aller doucement mais il était si étroit que même après avoir forcé son anus il se crispait et s’avançait.
- Arrête de bouger, putain !
- Mais ca me fais mal !
- T’inquiètes, ça va passer. Je recommençais encore a forcer mon gland capoté mais rien n’y faisais.
- Attends j’ai du lubrifiant. Il en prit donc un peu, se le mit sur le cul et ma queue. Malgré après avoir réessayé de cette manière ca ne rentrait pas, de plus à force de frustration je commençais à débander. Il se mit dans une autre position. Celle où il a les jambes posées sur mes épaules, allongé sur le dos.
La enfin je réussissais à lui mettre mais pas totalement profond car je lui faisais trop mal. Je ne voulais vraiment pas être doux. Je sentais vraiment bien son petit trou étroit aspirer mon gland. Je commença donc un va et vient lent mais tout en forçant un peu plus à chaque fois, poussant bien sur mes reins, mais rien n’y faisait. Il me regardait bouche bée le regard plein de douleur en me tenant le ventre pour pas que j’aille plus loin mais à chaque fois je le giflais pour qu’il retire ses mains. Je continua à le baiser de cette manière un petit moment essayant d’enfoncer ma queue à chaque fois un peu plus profond. Il gémissait de plaisir et de douleur.
Voyant que ça ne donnait rien au bout d’un moment, je me retira et vira la capote, la jetant dans un coin de la pièce.
- Bon ça marche pas. Suces moi dépêches toi. Je lui pris la nuque et le tira vers moi. Mon autre main tenant la base de mon sexe orienté vers son visage. Il eut à peine le temps d’ouvrir sa bouche baveuse que mon sexe força l’entrée. Je ne pu m’empêcher sous cette exquise sensation de pousser un gémissement assez fort que sa mère du entendre vu qu’elle baissa le son de sa télé.
- Vas-y, suces moi ma chérie !
Comme je voulais jouir je n’hésitais plus à me laisser aller en gémissant fort. Sa succion faisait de plus en plus de bruit, il gémissait de temps en temps aussi comme une fille. Et rapidement à force de lui baiser la bouche, je sentis le sperme monter. Je lui tenais la tête pour ne pas qu’il recule et dans un long gémissement haut perché lui inonda la bouche de mon lait chaud. Je lui en envoya tellement qu’il ne pu tout avaler et quelques gouttes débordèrent de sa bouche pour couler sur sa joue et tomber par terre.
A peine ais-je jouis que je me rhabillai. Je le vis s’allonger et s’assoupir. Sorti de la pièce et souris à sa mère d’un air victorieux, disant au revoir en me remettant la bite en place à travers le jean et me barra. Je suis vraiment un salaud.
Pour ce récit j’avais 22 ans, cela faisait un bout de temps que je n’avais rien fait avec un mec. A vrai dire depuis ma première fois à 17 ans, et ça me travaillais de plus en plus. Alors je me suis rendu sur un tchat dans l’espoir de trouver un passif le temps d’une après-midi.
Je ne tarde pas à trouver un mec plus jeune que moi, 17 ans je crois sur Paris. En discutant je voyais qu’il était bien chaud et surtout en manque donc je me prépare comme il faut et file le voir quelques jours plus tard âpres l’avoir mieux connu.
Vers 13h-14h je devais le retrouver pas loin de chez lui car il n’y avait personne. On se donna donc rendez-vous prés d’un arrêt de bus qu’on devait prendre ensemble pour aller chez lui. Je le vois arriver. Une sorte de petit minet espagnol à la peau matte, jean en cuir noir, bottines noir en cuir, et petit sac à main pour « homme » enfin bref une ptite tata en puissance. Un peu mal à l’aise on discute de tout et de rien avec bien-sûr mon seul intérêt était de le baiser, il me fît marcher et encore marcher, et me sors à un moment avec son petit accent efféminé :
- On va chez moi si tu m’embrasses.
J’ai dis non merci direct. En plus dehors. En gros depuis le début il me faisait marcher autour de chez lui. Il me menait en bateau mais je lui ai vite fais comprendre qui commandait. Donc on arrive chez lui après un moment de marche, petit appart tranquille au 4eme. Il vivait avec sa mère séparée depuis X années. On file dans sa chambre, où il y ferme les volets, puis viens vers moi me saisi pour me faire allonger sur le lit. J’avais juste eu le temps de retirer ma veste et mes chaussures. Je me retrouve avec mon jean à mi-cuisses. Il se mit à caresser mon boxer puis sortir ma bite déjà bien assez dure par l’excitation de penser à ce qu’il allait me faire. Rapidement il se mît à me sucer sans vergogne. On voyait qu’il avait faim. Il ne se débrouillais pas trop mal d’ailleurs, un bon suceur.
Ah cette sensation de sa main froide sur ma queue chaude, puis de sentir sa bouche brulante gober mon gland et le reste de mon sexe bien en érection ne me déplaise jamais. Je le voyais donc m’aspirer comme il fallait. J’appuyais sur sa tête âpres quelques secondes, puis progressivement une deuxième main pour lui imposer mon mouvement et finir ma domination par relever mon bassin en rythme pour enfoncer le reste de ma queue dans sa gorge. Je voyais bien que c’était trop gros pour lui car il avait des hauts le cœur à chaque fois que j’allais trop profond. Il continua à me sucer de cette manière, en alternant de temps en temps à gober mes couilles avec force, limite il me faisait mal tellement il aspirait fort dessus. Rapidement je vins à l’insulter pour l’encourager, et lui baisait ouvertement la bouche en lui donnant de petite gifle.
Après une bonne vingtaine de minutes où je sentais sa langue tourner autour de mon gland, je décida de changer de position pour lui baiser la bouche en missionnaire. Il prit un petit coussin qu’il plaça derrière sa tête de manière à ce qu’elle soit surélevée. Puis je vins m’allonger sur lui, et lui enfourna ma queue au fond de la gorge. Il n’était pas prêt qu’il se mis quand même à sucer. Penché sur lui, je prenais appui sur un bras, et de l’autre main je le prenais par les cheveux pour le faire sucer plus en profondeur et lui mettais encore des claques. Il semblait adorer puisqu’il caressa mes petites fesses poilues et appuya dessus en gémissant.
Je lui baisais donc la bouche dans cette position très dominatrice quand soudain le drame…J’entends la deuxième porte de sa chambre s’ouvrir. Car j’explique sa chambre est composé deux trois portes ; une qui donne sur le couloir mais qui ne servait pas, une sans porte justement qui donnait sur le salon et la dernière qui donnait sur la salle de bain. C’est justement celle-ci que j’entends s’ouvrir et instinctivement je regarde dans sa direction et voit sa mère entrer dans la chambre. Le choc ! Je restait donc là, ma bite en plein dans sa bouche immobile ne sachant quoi faire.
- Oh excusez-moi, je suis désolé ! Rougit-elle. Malgré sa gêne je remarquais qu’elle ne détachait pas son regard de ma bite.
- Maman ! Se plaint l’autre homosexuel efféminé.
- Désolé je ne vous avez pas entendu.
C’est vrai que dans un sens nous n’avions pas fait de bruit à peine rentré chez elle. Elle devait dormir dans sa chambre. Il dégagea ma bite baveuse de sa bouche pour briser la gêne occasionné. Elle referma la porte rapidement et fit le tour par le couloir.
- Elle dit rien ta mère ?
- Non, non elle a l’habitude t’inquiètes.
- Ok. Je lui repris la tête pour me faire sucer sans me préoccuper de l’incident. Il l’a reprit avec gourmandise en se laissant faire.
Sa mère elle s’était installé dans le salon devant la télé. Je dois avouer que de savoir qu’aucune porte ne nous séparait du salon et qu’elle pouvait voir et entendre tout ce qui se passait, m’excitait et me perturbait en même temps. Je n’osais pas trop soupirer ou même gémir de plaisir. Au bout d’un quart d’heure encore j’en avais marre de me faire sucer.
- Jveux t’enculer, mets toi à quatre pattes. Il m’obéit .
- Va doucement au début ca fais longtemps que j’ai rien fais.
- T’inquiètes. Bien-sûr je ne comptais pas aller doucement mais il était si étroit que même après avoir forcé son anus il se crispait et s’avançait.
- Arrête de bouger, putain !
- Mais ca me fais mal !
- T’inquiètes, ça va passer. Je recommençais encore a forcer mon gland capoté mais rien n’y faisais.
- Attends j’ai du lubrifiant. Il en prit donc un peu, se le mit sur le cul et ma queue. Malgré après avoir réessayé de cette manière ca ne rentrait pas, de plus à force de frustration je commençais à débander. Il se mit dans une autre position. Celle où il a les jambes posées sur mes épaules, allongé sur le dos.
La enfin je réussissais à lui mettre mais pas totalement profond car je lui faisais trop mal. Je ne voulais vraiment pas être doux. Je sentais vraiment bien son petit trou étroit aspirer mon gland. Je commença donc un va et vient lent mais tout en forçant un peu plus à chaque fois, poussant bien sur mes reins, mais rien n’y faisait. Il me regardait bouche bée le regard plein de douleur en me tenant le ventre pour pas que j’aille plus loin mais à chaque fois je le giflais pour qu’il retire ses mains. Je continua à le baiser de cette manière un petit moment essayant d’enfoncer ma queue à chaque fois un peu plus profond. Il gémissait de plaisir et de douleur.
Voyant que ça ne donnait rien au bout d’un moment, je me retira et vira la capote, la jetant dans un coin de la pièce.
- Bon ça marche pas. Suces moi dépêches toi. Je lui pris la nuque et le tira vers moi. Mon autre main tenant la base de mon sexe orienté vers son visage. Il eut à peine le temps d’ouvrir sa bouche baveuse que mon sexe força l’entrée. Je ne pu m’empêcher sous cette exquise sensation de pousser un gémissement assez fort que sa mère du entendre vu qu’elle baissa le son de sa télé.
- Vas-y, suces moi ma chérie !
Comme je voulais jouir je n’hésitais plus à me laisser aller en gémissant fort. Sa succion faisait de plus en plus de bruit, il gémissait de temps en temps aussi comme une fille. Et rapidement à force de lui baiser la bouche, je sentis le sperme monter. Je lui tenais la tête pour ne pas qu’il recule et dans un long gémissement haut perché lui inonda la bouche de mon lait chaud. Je lui en envoya tellement qu’il ne pu tout avaler et quelques gouttes débordèrent de sa bouche pour couler sur sa joue et tomber par terre.
A peine ais-je jouis que je me rhabillai. Je le vis s’allonger et s’assoupir. Sorti de la pièce et souris à sa mère d’un air victorieux, disant au revoir en me remettant la bite en place à travers le jean et me barra. Je suis vraiment un salaud.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'aime beaucoup dans ton histoire l'irruption de la mère, c'est rare à lire et
particulièrement excitant
particulièrement excitant
Salut, petite histoire sympa, et si c'est toi sur la photos en meme temps ca donne envie
de t'avoir au lit avec soir.
de t'avoir au lit avec soir.