Récit érotique écrit par Norbert [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-02-2007 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Couleur du fond :
Avec Jeanne nous etions sorti un soir il y a quelques années et en rentrant en voiture il était environ 1h du mat, nous sommes tombés en panne avec la voiture.
Dans le noir et ce coin desert loin de tout, nous étions bien dans la panade.
Nous guettions la venue éventuelle d'un véhicule qui aurait pu nous raprocher de chez nous.
Au bout d'un bon moment d'attente dans la nuit et le froid, nous vimes au loin, deux lumières qui se raprochaient. Deux trois minutes plus tard, une vieille deudeuche s'arrétait à notre hauteur, son chauffeur, un homme d'une cinquantaine d'année, sans doute un agriculteur du coin vu ses habits et son allure, nous demanda ce qui nous arrivait.
Je lui expliquais que nous étions en panne et qu'il serait bien aimable de nous conduire jusqu'a la ville qui était à une vingtaine de Kms. Que j'étais près à la dédomager si il le voulait.
Javais remarqué qu'il regardait Jeanne avec intérêt et qu'elle ne semblait pas le laisser indifferend, mais vu son age et les circonstances je n'imaginais pas ce qui allait suivre.
Il déclina mon offre de le dedomager, mais me dit qu'il habitait une ferme a trois Kms d'ici et qu'il pouvait nous heberger pour la nuit.
Je me tournais vers Jeanne l'interrogeant du regard, elle me dit, ce sera topujours mieux que de rester sur la route jusqu'a on ne sait quand.
Au moment de monter dans la 2cv, Louis, c'était son prénom, me dit de monter derrière et de laisser Jeanne a ses cotés devant.
Je commençais à me poser des questions, mais nous étions dans la galere autant laisser le destin faire.
Pendant le court trajet, je voyais Louis reluquer les cuisses de Jeanne qui avait ouvert son manteu et que sa position faisait remonter sa jupe jusqu'a la lisière de ses bas.
Nous arrivames dans la cour de la ferme et celle-ci n'étant pas éclairée, Louis proposa a Jeanne de la guider, ce qu'il fit en lui caressant les fesses, (elle me l'a dit plus tard), cette chienne n'a pas proteste et se laissait peloter le cul sans vergogne.
Nous entrames dans la ferme, et Louis nous dit qu'il vivait seul avec son ouvrier de 30 ans et qu'il dormait dans la chambre atenante à la pièce principale ou nous étions;
Louis désigna un canapé et nous déclara que nous pourrions dormir dessus.
Je lui demandais ou il dormait, il me repondit avec mon fils.
Le fils, sans doute reveillé par notre conversation, aparu les yeux brumeux, il était en marcel et caleçon; Je vis Jeanne ecarquille les yeux, car le caleçon laissait aparaitre la plus belle bite que j'ai vu, elle était au repos mais on devinait ce qu'elle devait etre en érection.
Louis nous presenta Jean.
Il sortit une bouteille de cidre, que nous bumes avec plaisir, puis prit la cafetière sur la cuisinière a charbon, il accompagna le café d'un calva maison servi avec générosité.
Nous étions plus que rechauffés et Jeanne avait le feu au joues et peut-etre ailleurs, Louis lui ayant genereusement tripoté le cul avant.
Jean, n'était pas bavard, mais il avait des yeux qui parlaient pour lui, assis sur le banc aux cotés de Jeanne il matait ses cuissses comme un fou, ce qui le faisait bander comme un ane, sa queue sortait par la braguette de son caleçon.
Louis nous demanda si nous avions faim et nous dit qu'ils avaient du saucisson maison, il disait cela en regardant Jeanne et je compris de suite que ce saucisson n'était pas pour moi.
La dame veut peut-être gouter au saucisson de jean?
Je regardais Jeanne et cette salope fit oui de la tête en meme temps qu'elle plongeait sur l'enorme bite de Jean, elle se mit a le lecher à suçoter le gland, tentant de le prendre dans sa bouche. Elle y arriva avec difficulté et azu bout d'un moment elle se poignardait la gorge avec ce mandrin dantesque.
Louis me fit signe de participer, et nous entourames la suceuse, commençant à lui caresser les seins, lui tordant les tétons a travers son corsage sous lequel elle ne portait rien.
Nous avons ensuite retiré le corsage et fait tomber la jupe de Jeanne qui sur mon ordre ne portait pas de culotte. Jean en profita pour lui doigter vicieusement l'anus après avoir mouille son doigt dans la chatte trempée et imberbe de mon épouse.
Louis qui continuait a peloter les seins de Jeanne sorti à son tour sa queue et la présenta à Jeanne qui se trouvait ensuite avec deux queues à sucer, et quelles bites, noueuses, le gland violet, degageant une odeur musquée, sur lesquelles Jeanne ne se lassait pas de faire des allé retour, la bave degoulinant sur son menton tellement elle avait de mal a engouffrer ces deux delicieuses bites.
Louis me dit alors, faut pas croire qu'on veut baiser ta bourgeoise sans que tu en profite, viens donc dans la chambre avec nous, une salope comme ça ne doit pas avoir peur de trois bites, la tienne dit être plus petite tu 'enculera pendant que Jean la baisera et qu'elle me bouffera la queue.
Nous partimes donc vers la chambre ou un grand lit de deux personnes siègeait.. Jean s'allongea sur le dos et invita Jeanne a le chevaucher, il promena sa queue dans sa raie pour lui lubrifier le petit trou et m'invita a venir enculer mon épouse; Cette dernière avait eu du mal a decendre sur la bite de Jean qui l'écartelait comme elle ne l'avait jamais été, mais ce dernier très doux avait aprivoise la chatte de Jeanne en de lents va et viens arrivant enfin a l'enfiler jusqu'aux couilles.
Je m'approchais avec mes 18 cm et pointais mon gland sur cet orifice que j'avais maintes fois honoré, j'eu du mal a entrer car Jean prenait toute la place devant.
Louis montat sur le lit et tendit sa queue a la bouche de Jeanne qui partit dans une serie d'orgasmes provoqués par cette triple pénétration.
Ses orgasmes étouffés par la queue de Louis entrainèrent d'abord l'éjaculation de Jean qui lui balança tout sur la chatte, la mienne dans son intestin, puis peu de temps après celle de Louis qui lui gerba un foutre epais et copieux sur les seins et le visage.
Jeanne en bonne épouse nous fit notre toilette avec sa langue et sa bouche, avalant gouluement les reste de foutre et autre qui maculait nos queues.
Louis nous invita a aller dormir après ces ébats, et nous dit que demain il farait jour, ce qui augurait d'autres ébats; mais cela fera l'objet d'une autre histoire.
Dans le noir et ce coin desert loin de tout, nous étions bien dans la panade.
Nous guettions la venue éventuelle d'un véhicule qui aurait pu nous raprocher de chez nous.
Au bout d'un bon moment d'attente dans la nuit et le froid, nous vimes au loin, deux lumières qui se raprochaient. Deux trois minutes plus tard, une vieille deudeuche s'arrétait à notre hauteur, son chauffeur, un homme d'une cinquantaine d'année, sans doute un agriculteur du coin vu ses habits et son allure, nous demanda ce qui nous arrivait.
Je lui expliquais que nous étions en panne et qu'il serait bien aimable de nous conduire jusqu'a la ville qui était à une vingtaine de Kms. Que j'étais près à la dédomager si il le voulait.
Javais remarqué qu'il regardait Jeanne avec intérêt et qu'elle ne semblait pas le laisser indifferend, mais vu son age et les circonstances je n'imaginais pas ce qui allait suivre.
Il déclina mon offre de le dedomager, mais me dit qu'il habitait une ferme a trois Kms d'ici et qu'il pouvait nous heberger pour la nuit.
Je me tournais vers Jeanne l'interrogeant du regard, elle me dit, ce sera topujours mieux que de rester sur la route jusqu'a on ne sait quand.
Au moment de monter dans la 2cv, Louis, c'était son prénom, me dit de monter derrière et de laisser Jeanne a ses cotés devant.
Je commençais à me poser des questions, mais nous étions dans la galere autant laisser le destin faire.
Pendant le court trajet, je voyais Louis reluquer les cuisses de Jeanne qui avait ouvert son manteu et que sa position faisait remonter sa jupe jusqu'a la lisière de ses bas.
Nous arrivames dans la cour de la ferme et celle-ci n'étant pas éclairée, Louis proposa a Jeanne de la guider, ce qu'il fit en lui caressant les fesses, (elle me l'a dit plus tard), cette chienne n'a pas proteste et se laissait peloter le cul sans vergogne.
Nous entrames dans la ferme, et Louis nous dit qu'il vivait seul avec son ouvrier de 30 ans et qu'il dormait dans la chambre atenante à la pièce principale ou nous étions;
Louis désigna un canapé et nous déclara que nous pourrions dormir dessus.
Je lui demandais ou il dormait, il me repondit avec mon fils.
Le fils, sans doute reveillé par notre conversation, aparu les yeux brumeux, il était en marcel et caleçon; Je vis Jeanne ecarquille les yeux, car le caleçon laissait aparaitre la plus belle bite que j'ai vu, elle était au repos mais on devinait ce qu'elle devait etre en érection.
Louis nous presenta Jean.
Il sortit une bouteille de cidre, que nous bumes avec plaisir, puis prit la cafetière sur la cuisinière a charbon, il accompagna le café d'un calva maison servi avec générosité.
Nous étions plus que rechauffés et Jeanne avait le feu au joues et peut-etre ailleurs, Louis lui ayant genereusement tripoté le cul avant.
Jean, n'était pas bavard, mais il avait des yeux qui parlaient pour lui, assis sur le banc aux cotés de Jeanne il matait ses cuissses comme un fou, ce qui le faisait bander comme un ane, sa queue sortait par la braguette de son caleçon.
Louis nous demanda si nous avions faim et nous dit qu'ils avaient du saucisson maison, il disait cela en regardant Jeanne et je compris de suite que ce saucisson n'était pas pour moi.
La dame veut peut-être gouter au saucisson de jean?
Je regardais Jeanne et cette salope fit oui de la tête en meme temps qu'elle plongeait sur l'enorme bite de Jean, elle se mit a le lecher à suçoter le gland, tentant de le prendre dans sa bouche. Elle y arriva avec difficulté et azu bout d'un moment elle se poignardait la gorge avec ce mandrin dantesque.
Louis me fit signe de participer, et nous entourames la suceuse, commençant à lui caresser les seins, lui tordant les tétons a travers son corsage sous lequel elle ne portait rien.
Nous avons ensuite retiré le corsage et fait tomber la jupe de Jeanne qui sur mon ordre ne portait pas de culotte. Jean en profita pour lui doigter vicieusement l'anus après avoir mouille son doigt dans la chatte trempée et imberbe de mon épouse.
Louis qui continuait a peloter les seins de Jeanne sorti à son tour sa queue et la présenta à Jeanne qui se trouvait ensuite avec deux queues à sucer, et quelles bites, noueuses, le gland violet, degageant une odeur musquée, sur lesquelles Jeanne ne se lassait pas de faire des allé retour, la bave degoulinant sur son menton tellement elle avait de mal a engouffrer ces deux delicieuses bites.
Louis me dit alors, faut pas croire qu'on veut baiser ta bourgeoise sans que tu en profite, viens donc dans la chambre avec nous, une salope comme ça ne doit pas avoir peur de trois bites, la tienne dit être plus petite tu 'enculera pendant que Jean la baisera et qu'elle me bouffera la queue.
Nous partimes donc vers la chambre ou un grand lit de deux personnes siègeait.. Jean s'allongea sur le dos et invita Jeanne a le chevaucher, il promena sa queue dans sa raie pour lui lubrifier le petit trou et m'invita a venir enculer mon épouse; Cette dernière avait eu du mal a decendre sur la bite de Jean qui l'écartelait comme elle ne l'avait jamais été, mais ce dernier très doux avait aprivoise la chatte de Jeanne en de lents va et viens arrivant enfin a l'enfiler jusqu'aux couilles.
Je m'approchais avec mes 18 cm et pointais mon gland sur cet orifice que j'avais maintes fois honoré, j'eu du mal a entrer car Jean prenait toute la place devant.
Louis montat sur le lit et tendit sa queue a la bouche de Jeanne qui partit dans une serie d'orgasmes provoqués par cette triple pénétration.
Ses orgasmes étouffés par la queue de Louis entrainèrent d'abord l'éjaculation de Jean qui lui balança tout sur la chatte, la mienne dans son intestin, puis peu de temps après celle de Louis qui lui gerba un foutre epais et copieux sur les seins et le visage.
Jeanne en bonne épouse nous fit notre toilette avec sa langue et sa bouche, avalant gouluement les reste de foutre et autre qui maculait nos queues.
Louis nous invita a aller dormir après ces ébats, et nous dit que demain il farait jour, ce qui augurait d'autres ébats; mais cela fera l'objet d'une autre histoire.
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