En cloque et en chaleur
Récit érotique écrit par Norbert [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-05-2008 dans la catégorie Dans la zone rouge
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En cloque et en chaleur
Voici quelques temps que j'avais remarqué que l'une de mes jeunes voisines s'arrondissait au fil des mois et j'avoue que si elle était belle avant, enceinte elle était resplendissante.
Je me posais quand même la question de savoir qui était le géniteur car elle vivait seule et elle semblait être une célibataire endurcie.
Un jour, alors que je tondais ma pelouse, elle vint me voir plus ronde que jamais et me demanda si je pouvais lui rendre un petit service, car vu son état elle ne pouvait déplacer seule un meuble dans la chambre du futur bébé.
Je ne peux nier que je n'allais pas refuser mon aide à cette belle fille qui ne serait pas toujours enceinte. Je la suivais donc chez elle et elle me conduisit vers une petite pièce ou elle m'expliqua que ce serait la chambre de son fils qui devait arriver dans deux mois. Je déplaçais donc l'armoire et mis le lit d'enfant à la place.
Je lui demandais si elle avait besoin d'autre chose, elle me répondit que non, mais que j'allais bien boire un verre en sa compagnie, pour me remercier du coup de main,.
Je dois vous dire que Lucie, elle m'apprit son prénom dans la conversation, était une petite brune piquante aux formes épanouies d'ordinaire mais amplifiées par son état.
Ses seins moulés dans une petite robe à fleurs semblaient vouloir faire craquer le tissus à tous moments, on devinait les bouts qui pointaient comme une invite à la bouche. La robe en plus était plutôt courte et lorsqu'elle se baissa pour me servir ma bière je pu voir le haut de ses cuisses et la naissance de ses fesses.
J'étais assis dans le canapé et elle vint s'asseoir à mes cotés avec son verre de coca.
Mais rendue maladroite par son état elle renversa une partie de son verre sur mon short, (nous étions au mois de juillet), et de ce fait une large tache s'étalait sur ma braguette. Elle s'excusa et me proposa de réparer les dégâts, je la remerciais en lui disant que ce n'était pas grave et qu'il aurait fallu que j'ôte mon short, sous lequel je n'avais pas de slip.
Lucie, avec son oeil mutin me dit que justement elle aimait les sucettes au coca et que je ne pouvais empêcher une femme enceinte de satisfaire une envie. Elle me dit aussi que si c'était son gros ventre qui me freinait, ce n'était pas grave, sa bouche et son cul étaient encore disponible.
Je dois avouer que j'avais beaucoup aimé Jeanne lorsqu'elle portait notre fils et que nous prenions beaucoup de plaisir en faisant attention bien sur. Je me souviens encore des fabuleuses cravates de notaires entre ses seins gonflés et laiteux.
Jeanne était toujours en chaleur et je n'étais pas surpris des avances de ma voisine qui me dit que l'enfant qu'elle portait était le fruit d'une rencontre sans lendemain et qu'elle assumait entièrement son état.
Elle se pencha donc sur ma braguette et commença à suçoter le coca qui imprégnait ma braguette, inutile de dire que cela me fit bander rapidement, et cette cochonne me dit alors : "Pelote moi les seins, fais moi mal, tords moi les bouts, et claque mon gros cul de salope pour le chauffer avant de m'enculer comme une chienne en chaleur."
Ces paroles loin de me calmer mon excité au point que j'obéissais à Lucie, lui maltraitant les mamelles et lui claquant le joufflu, pendant ce temps elle avait ouvert mon short et embouché ma bite jusqu'aux couilles, à la limite de l'étouffement.
Cette fille était vraiment une salope et en plus une experte, elle taillait les pipes aussi bien que Jeanne mais en plus elle était gourmande, on sentait qu'elle se régalait, elle salivait beaucoup et montait et descendait sur ma bite allant jusque sur mes couilles qu'elle gobait l'une après l'autre. Elle me mit ensuite la langue dans le cul et me lapa la raie sans aucune retenue.
Elle prit ensuite une position qui me permit de lui bouffer la chatte et de lui languer l'anus qu'elle avait épilé comme sa moule, qui me bavait dans la bouche, je me régalait de ce bon jus, je profitais de cette lubrification pour lui mettre le pouce dans le cul et l'index dans la chatte, pendant ce temps elle continuait à ce faire les seins, en les malaxant et se tordant les bouts. Son autre main branlait son clito qui bandait comme une petite bite.
Après quelques instants, elle me supplia de l'enculer à sec, juste en mouillant mon gland dans sa moule baveuse, elle se mit en levrette et s'écarta les fesses m'offrant ainsi une vue imprenable sur sa chatte trempée et sa rondelle dilatée par mon pouce.
Je pointais mon gland à l'entrée de la porte des délices et m'enfonçais d'un coup jusqu'aux couille lui arrachant un cri de douleur mêlé de plaisir. Je stoppais mon mouvement, et elle me dit " bourres moi le cul connard, encules moi, défonces moi la rondelle, c'est par là que je jouis le mieux, une morue comme moi tu n'en enculeras pas tout les jours, surtout enceintes jusqu'aux yeux."
Devant ces encouragements, je redoublais de vigueur et accélérais mes va et viens dans ce divin cul, sur lequel je donnais de temps à autre une claque sèche qui le faisait rougir.
Après un moment, je la prévenais que j'allais jouir, elle me dit alors, viens me décharger dans la gueule je veux boire ton foutre et me masser le ventre avec, ainsi que les seins.
Je déculais donc et déchargeais de longs jets de foutre épais sur son visage, ses seins et son ventre, pour me remercier elle me nettoya la queue en la léchant et la gobant.
Quelques jours plus tard elle déménageait et je ne l'ai jamais revu.
Je garde de cette aventure un souvenir impérissable.
Je me posais quand même la question de savoir qui était le géniteur car elle vivait seule et elle semblait être une célibataire endurcie.
Un jour, alors que je tondais ma pelouse, elle vint me voir plus ronde que jamais et me demanda si je pouvais lui rendre un petit service, car vu son état elle ne pouvait déplacer seule un meuble dans la chambre du futur bébé.
Je ne peux nier que je n'allais pas refuser mon aide à cette belle fille qui ne serait pas toujours enceinte. Je la suivais donc chez elle et elle me conduisit vers une petite pièce ou elle m'expliqua que ce serait la chambre de son fils qui devait arriver dans deux mois. Je déplaçais donc l'armoire et mis le lit d'enfant à la place.
Je lui demandais si elle avait besoin d'autre chose, elle me répondit que non, mais que j'allais bien boire un verre en sa compagnie, pour me remercier du coup de main,.
Je dois vous dire que Lucie, elle m'apprit son prénom dans la conversation, était une petite brune piquante aux formes épanouies d'ordinaire mais amplifiées par son état.
Ses seins moulés dans une petite robe à fleurs semblaient vouloir faire craquer le tissus à tous moments, on devinait les bouts qui pointaient comme une invite à la bouche. La robe en plus était plutôt courte et lorsqu'elle se baissa pour me servir ma bière je pu voir le haut de ses cuisses et la naissance de ses fesses.
J'étais assis dans le canapé et elle vint s'asseoir à mes cotés avec son verre de coca.
Mais rendue maladroite par son état elle renversa une partie de son verre sur mon short, (nous étions au mois de juillet), et de ce fait une large tache s'étalait sur ma braguette. Elle s'excusa et me proposa de réparer les dégâts, je la remerciais en lui disant que ce n'était pas grave et qu'il aurait fallu que j'ôte mon short, sous lequel je n'avais pas de slip.
Lucie, avec son oeil mutin me dit que justement elle aimait les sucettes au coca et que je ne pouvais empêcher une femme enceinte de satisfaire une envie. Elle me dit aussi que si c'était son gros ventre qui me freinait, ce n'était pas grave, sa bouche et son cul étaient encore disponible.
Je dois avouer que j'avais beaucoup aimé Jeanne lorsqu'elle portait notre fils et que nous prenions beaucoup de plaisir en faisant attention bien sur. Je me souviens encore des fabuleuses cravates de notaires entre ses seins gonflés et laiteux.
Jeanne était toujours en chaleur et je n'étais pas surpris des avances de ma voisine qui me dit que l'enfant qu'elle portait était le fruit d'une rencontre sans lendemain et qu'elle assumait entièrement son état.
Elle se pencha donc sur ma braguette et commença à suçoter le coca qui imprégnait ma braguette, inutile de dire que cela me fit bander rapidement, et cette cochonne me dit alors : "Pelote moi les seins, fais moi mal, tords moi les bouts, et claque mon gros cul de salope pour le chauffer avant de m'enculer comme une chienne en chaleur."
Ces paroles loin de me calmer mon excité au point que j'obéissais à Lucie, lui maltraitant les mamelles et lui claquant le joufflu, pendant ce temps elle avait ouvert mon short et embouché ma bite jusqu'aux couilles, à la limite de l'étouffement.
Cette fille était vraiment une salope et en plus une experte, elle taillait les pipes aussi bien que Jeanne mais en plus elle était gourmande, on sentait qu'elle se régalait, elle salivait beaucoup et montait et descendait sur ma bite allant jusque sur mes couilles qu'elle gobait l'une après l'autre. Elle me mit ensuite la langue dans le cul et me lapa la raie sans aucune retenue.
Elle prit ensuite une position qui me permit de lui bouffer la chatte et de lui languer l'anus qu'elle avait épilé comme sa moule, qui me bavait dans la bouche, je me régalait de ce bon jus, je profitais de cette lubrification pour lui mettre le pouce dans le cul et l'index dans la chatte, pendant ce temps elle continuait à ce faire les seins, en les malaxant et se tordant les bouts. Son autre main branlait son clito qui bandait comme une petite bite.
Après quelques instants, elle me supplia de l'enculer à sec, juste en mouillant mon gland dans sa moule baveuse, elle se mit en levrette et s'écarta les fesses m'offrant ainsi une vue imprenable sur sa chatte trempée et sa rondelle dilatée par mon pouce.
Je pointais mon gland à l'entrée de la porte des délices et m'enfonçais d'un coup jusqu'aux couille lui arrachant un cri de douleur mêlé de plaisir. Je stoppais mon mouvement, et elle me dit " bourres moi le cul connard, encules moi, défonces moi la rondelle, c'est par là que je jouis le mieux, une morue comme moi tu n'en enculeras pas tout les jours, surtout enceintes jusqu'aux yeux."
Devant ces encouragements, je redoublais de vigueur et accélérais mes va et viens dans ce divin cul, sur lequel je donnais de temps à autre une claque sèche qui le faisait rougir.
Après un moment, je la prévenais que j'allais jouir, elle me dit alors, viens me décharger dans la gueule je veux boire ton foutre et me masser le ventre avec, ainsi que les seins.
Je déculais donc et déchargeais de longs jets de foutre épais sur son visage, ses seins et son ventre, pour me remercier elle me nettoya la queue en la léchant et la gobant.
Quelques jours plus tard elle déménageait et je ne l'ai jamais revu.
Je garde de cette aventure un souvenir impérissable.
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