Ça avait bien failli ne pas se faire - histoire érotique

Tout d'abord, petite présentation, je suis une (très) petite rousse d'1m60 de début de quarantaine, au fessier rebondi et à la poitrine généreuse (merci maman). Je reste fine grâce à une pratique sportive régulière (pas assez) et éreintante (trop).


Je suis mariée depuis plus de 10 ans mais cette histoire, récente, ne concerne pas mon mari.


Oui, je suis une femme infidèle. Mon mari et moi n'en avons jamais véritablement parlé, mais il le sait. Et je pense qu'il sait que je sais. Toute cette situation date d'avant même notre mariage. Cela nous convient jusqu'à présent et ne nous empêche pas de rester parfaitement attachés l'un à l'autre.


Est-ce que je le trompe par manque de sentiments ? Absolument pas !


Pour le sexe alors ? Oui et non. Mon mari est bon amant et me fait jouir régulièrement (Il faut dire qu'il connaît mon corps par cœur.). Cependant ce n'est pas lui faire offense que de reconnaître que mes rencontres ont parfois pu me pousser dans les bras (et sur les queues) d'amants exceptionnels, que ce soit en matière de performance, d'endurance et de dimension... L'amant de cette histoire figure d'ailleurs dans le haut de cette liste.


Je fais l'essentiel de mes rencontres sur des sites libertins, où une fois le tri effectué parmi les faux comptes, les faux libertins et les vrais imbéciles, je peux tomber sur des perles rares.


L'histoire de cette rencontre commence ainsi, un homme de plus d'une dizaine d'années mon cadet, m'envoie un message somme toute extrêmement poli (et flatteur). Nous discutons et je comprends au fil de nos échanges qu'il débute dans le libertinage, mais certainement pas dans le sexe. Le site permettant de consulter les avis, je me rends compte que les siens sont pour le moins élogieux. Pour résumer grossièrement, si j'en crois les témoignages, cet homme a une queue de très belle proportion sait parfaitement s'en servir et ne compte pas que dessus.


J'ouvre une parenthèse pour une précision importante, chaque personne que je rencontre passe par l'étape du dépistage des IST au préalable. Je n'aime pas les préservatifs, mais je tiens à ma santé ainsi qu'à celle de ceux qui m'entourent (et en profitent).
Fin de la parenthèse


Une rencontre est organisée, chez lui pour des raisons évidentes, puis repoussée. Reprogrammée... Puis annulée.


Je m'impatiente, je m'énerve, cela fait maintenant un moment que je n'ai pas eu un nouvel amant et l'attente m'insupporte. Il s'excuse, cherche à s'expliquer, mais mon tempérament, semblable à ma chevelure, étant de feu, je l'envoie paître.


Les semaines passent et sexuellement je me contente de mon mari, avec satisfaction la grande majorité du temps. Mais l'envie d'autre chose gronde et se fait de plus en plus ressentir. Et voilà qu'un jour, le presque amant éconduit me recontacte, me repropose une rencontre et me jure que cette fois, oui, cette fois c'est la bonne.


Cette rencontre ... Repoussée… De semaines en semaines, de jours en jours...


Oui …. Ça avait bien failli ne pas arriver !


Et ça aurait été très dommage !


Alors pour marquer cela, j’ai cherché une surprise. Un ensemble de lingerie ouverte, assorti d'un bustier et d'un porte-jarretelles, le tout entièrement noir.


Je suis arrivée. Et nous n'avons vraiment pas perdu de temps. Nous avions suffisamment discuté en ligne pour savoir à quoi nous en tenir.


Sa queue remplissait son pantalon, et au toucher, elle était effectivement grosse, déjà très dure et ne demandait qu’à le prouver.


Déjà, il me déshabillait. Le bustier, le porte-jarretelles, les bas noirs, les talons …. Toute ma tenue semblait lui convenir : " J’adore ça… On a accès partout " m'a-t-il dit. Oui… C’était le but !


Il m'a enlevé mon string, puis a pris mon sexe à pleine main et enfoncé ses doigts dedans.


J’étais déjà mouillée. Trempée !!!!


Il s'est mis à nu. J'avais déjà pu voir son corps en photo et il était évident qu'il en prenait grand soin, avec de nombreux tatouages de tailles diverses répartis sur les bras, les épaules et le torse. Très grand, je me sentais minuscule devant lui.


Mais ce qui retint mon attention était raide, gonflée, imposante …. Oui, sa queue était prête pour moi !!


Mais sans aucune précipitation, il m'a fait patienter, alors qu'il aurait pu me prendre dans l'instant.


Il m'a allongée sur son lit et sa bouche a pris possession de ma chatte. Il a commencé à me lécher avec avidité, m’aspirer, y faire entrer 1 puis 2 doigts, et délicieusement déraper vers mon cul qui déjà s’ouvrait en grand pour mieux l’accueillir. (Plus de 2 doigts ??? Je ne sais pas. Je n’étais pas en capacité de faire un état des lieux).


Je me suis vite rendu compte que ce jeune homme avait un goût (très) prononcé pour les cunnilingus et semblait y prendre un plaisir certain. Mon mari me le fait régulièrement, mais jamais avec une telle ... avidité, ni aucun autre amant par ailleurs.


Sa bouche, sa langue, ses doigts décuplaient mes sensations. Le désir, le plaisir, montaient de plus en plus fort, m’envahissaient pleinement. Il me faisait gémir, haleter, crier… Mes mots étaient en boucle : "oui … ooohh ouiiii …. Encore … C’est booon …. J’aime …. Encore…" Je ne savais plus dire que cela. J’avais besoin de parler, de partager mon excitation, mes émotions.


Le cerveau vidé, le corps traversé de décharges électriques, ses caresses étaient précises, dosées pour décupler mon plaisir, une ronde infernale d’excitations et de sensations de toutes sortes que je ne voulais pas voir finir. Jamais. Et je jouissais à répétition, encore, encore et encore, incapable de m’arrêter.


Et puis il m’a fait me lever, moi les jambes toutes tremblantes ... Il a enfoncé ses doigts dans ma chatte inondée et il m’a doigtée, puissamment, vigoureusement, prodigieusement ... Et là, j’ai coulé. En fontaine !


Je me suis écroulée à plat ventre sur son lit.


Il fallait absolument qu'il me prenne. Sa grosse queue, ma chatte l’exigeait ! Il m’a fait me mettre en levrette et m’a pénétrée, directement, profondément, j’étais inondée et totalement remplie. Je me souviens avoir béni les dieux du sexe qu'avec une telle queue, il prenne autant de soins et de temps à faire les préliminaires pour faciliter le passage de son membre par la suite.


Je ressentais ses coups jusqu’au fond de mon vagin. J’ai joui à nouveau violemment ... Puis une nouvelle fois... Et encore une fois où j'ai de nouveau coulé. J'en perdais le compte et le fil.


Il m'a demandé si je sentais à quel point je le rendais dur, à quel point il bandait pour moi. Je ne sentais que ça !


C’était tellement bon !!!


Mais il me/nous manquait quelque chose ... Le plaisir ultime de ce moment...Nous en avions discuté en ligne et nous savions l'un comme l'autre ce qui arrivait...


Alors qu'il se retirait de ma chatte, je m'écartais déjà les fesses avec mes mains... Pratiquant régulièrement la sodomie, je savais que mon cul pouvait et était prêt à le recevoir.


Il a enduit sa queue de lubrifiant et il m’a enfin sodomisée, longuement, fortement, de plus en plus intensément, à grands coups de butoirs en me faisant crier mon plaisir. Je devenais folle, complètement ivre de sexe !!! Entre chaque soubresaut de jouissance, entre chacun de mes "Encore... Ouiiiiii....baises moi !!!!"... Mes fesses s'ouvraient pour sa queue et il ne se faisait pas prier pour les prendre comme elles avaient été rarement prises, voir jamais. Puis au bout d'un moment qu'il me semble encore aujourd'hui incapable à estimer, j'ai senti sa queue, sa si grosse queue si dure, prendre des proportions à la limite du tolérable. Ses coups de reins se sont encore intensifiés jusqu'au coup final où je le sentis dans un râle, me remplir les fesses de sa jouissance.


Voilà !!! On recommence quand ?




PS - Il s'agit de ma première publication sur ce site. N'hésitez pas à me faire des retours sur ce témoignage.