Ça c’est passé simplement 9

- Par l'auteur HDS Macerou -
Récit érotique écrit par Macerou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Ça c’est passé simplement 9 Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-02-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Ça c’est passé simplement 9
Mercredi 15 octobre 1986 – Le soir
Du au regroupement des entreprises de TP, l’organisation devait être complètement modifiée, ou plutôt devait évoluer, donc le siège avait provoqué une grande réunion, à Poitiers, au niveau du quart sud ouest pour nous parler de la réorganisation de l’entreprise au niveau local. Nous étions une cinquantaine de cadres et encadrement technique et administratif à être invité. Les éloignés comme moi, devions arriver le Mercredi soir, pour être prêts au démarrage de cette réunion le jeudi à 9,00 h, le départ pour le retour étant prévu, pour les éloignés le vendredi matin.
Ce que je savais c’était que la grande responsable de l’organisation était Mireille, ce qui m’assurait de la revoir après près de 17 mois, où nous n’avions eu aucun contact. Enfin, cela n’est pas tout à fait exact, dans la mesure où, quelques temps après mon installation dans mon nouveau poste, nous avions pris contact par téléphone, mais passant par nos standards réciproques, nous avions vite compris et stopper toutes conversations personnelles, celles-ci pouvant être entendues par les standardistes. C’était donc pratiquement des retrouvailles, enfin une espérance de mon coté.
Nous devions donc nous rendre dans un hôtel assez grand pour accueillir toutes ces personnes. Je le connaissais bien pour y avoir séjourné plusieurs fois et qui me rappelait les très bons souvenirs dont la nuit passée avec Mireille. J’arrivais vers 19,00 h et entrais dans le hall d’accueil. Il y avait, bien indiqué, un desk spécial pour nous, où je me rendis. La première personne que je vis fut Mireille. S’en suivit le dialogue habituel et courtois entre personnes se connaissant bien et ayant travaillées dans la même agence. Elle m’expliqua que nous serions par table de 10 et qu’elles les remplissaient par ordre d’arrivée, (ordre de la direction) de façon à ce que les gens ne se regroupent pas par centres, … et rencontrent les personnels des autres centres souvent éloignés. Egalement elle me remit ma clé portant le N° 102. Pendant tout son discours, je remarquais qu’elle avait un corsage blanc avec un large col, qui s’étalait sur une veste de tailleur gris bleuté très élégante, qu’elle était maquillée, certes discrètement, mais bien maquillée, enfin elle avait les ongles parfaitement fait, ce que je n’avais jamais vu avant. Comme j’ai mauvais esprit, je me suis dit qu’elle était au minimum passé chez une manucure, et peut-être chez l’esthéticienne pour le maquillage, mais il m’arrive d’avoir très mauvais esprit.
Après ces explications elle me remit une enveloppe kraft, avec le tampon de l’hôtel (Certainement un appel de mon agence de Bordeaux, naturellement « extrêmement important », mais ça attendrait). Je la mis dans mon attaché-case. Enfin Mireille se retournant vers une autre jeune femme qui était elle aussi à l’accueil : « Annie, je vous laisse. Vous prenez en charge les nouveaux arrivants, je vais dans ma chambre, prendre une douche, et serais de retour dans une demi-heure, en cas de problèmes vous m’appelez en utilisant ce bouton (appel intérieur) et vous faites les 100.
Je pensais : Tiens, tiens, nous avons nos chambres voisines, des fois, enfin, rêvons un peu. Et je la regardais partir et je remarquais deux choses, une, son tailleur, élégant, mettait sa silhouette en valeur, deux, je l’avais toujours vu en tallons plats ou en trotteurs, là, elle était chaussée d’escarpins, sa démarche en était d’autant plus élégante et ça lui faisait un cul d’enfer. Elle était vraiment en beauté encore plus que l’année passée. D’ailleurs je n’étais pas le seul à l’avoir remarquée, certains clients assis dans le salon jouxtant le desk, l’avaient suivis du regard.
Je décidais de rejoindre ma chambre qui était effectivement à coté de celle de Mireille. Posant mes affaires, je me souvins de l’enveloppe, j’avais pensé être tranquille pendant cette réunion et de façon à me débarrasser du problème et à contre cœur me décidais à l’ouvrir. J’ouvris donc cette enveloppe kraft, à l’intérieur une enveloppe blanche format lettre, et écrit dessus 16 mois. Je l’ouvre et à l’intérieur une touffe de poils dont l’odeur me rappella de bons souvenirs et un mot : « demandé il y a 487 jours, fraichement coupés il y a 5 jours ». J’étais stupéfait. Wouah, la garce s’était souvenue de mon ironique demande. C’était pas possible, et là, je me mis à rêver.
En entrant je m’étais aperçu que dans cette chambre classique, de ce genre d’hôtel, il y avait un une porte, qui était close, donnant sur la chambre à coté. J’avais entendu dire que certains hôtels avaient de telles portes de communication pour permettre de loger des familles avec enfants. Ceci étant il était clair que cette porte devait donner dans la chambre de Mireille. Il me devenait évident que cette répartition des chambres était voulue. Je m’hasarder à ouvrir les loquets de mon coté et frappais à la porte, et j’entendis : « Tu en as mis du temps, entres, la porte est ouverte ». Je rentrais et lui disais : « Tu as dit à ta collaboratrice que tu allais prendre une douche »
Elle : « Il me semble me rappeler qu’un jour tu m’as dit : je n’aime pas lécher du savon ou quelque chose comme ça, donc, … comme nous avons deux jours et surtout deux nuits à nous, ... »
Après cet échange, nous sommes allés l’un vers l’autre nos lèvres se retrouvèrent et nos langues reprirent leurs caresses. Son bassin reprit sa danse d’enfer, ce qui, entre le contenu de l’enveloppe et nos frottements entrainèrent une érection intéressante.
Moi : « Je te remercie pour ton cadeau, … la coupe a été faite exactement là où il fallait,.. »
Elle : « Ça te plait, … embrasses moi, …caresses moi,… j’en rêve depuis que je sais que tu venais. Et ce n’est pas une image,… toutes ces dernières nuits je rêvais à nos retrouvailles, c’était fou... »
Moi : « Wouah, … et en quoi consistait ce rêve »
Elle était contre moi, bien serrée, … et me regardant.
Elle : » Tu veux vraiment le savoir ? … »
Moi : « Oui, racontes »
Elle : « Tu vas me prendre pour une folle, …ou une obsédée… »
Moi : « Allons racontes, … ça va peut-être me donner des idées !!! »
Elle : « Bon, … Je suis dans la chambre d’hôtel et tu arrives par la porte du couloir, complétement nu et avec … enfin bandant très fort, … et … »
Moi : « Wouah, … continues, … »
Elle : « Te voyant ainsi, … j’enlevais ma veste de tailleur, … et la jetais au loin, … »
Revivant son rêve par sa narration, elle s’était un peu éloignée de moi.
Moi : « C’est ce que tu devrais faire »
Elle : « Tu veux, … tu aimerais, … »
Moi : « Fais le que je vois, … c’est mieux que d’imaginer, … ce doit être excitant, … »
Elle : « Qu’est-ce que tu vas penser de moi, …ça te fait plaisir,…je vais le faire, … » et elle jeta sa veste de tailleur sur le lit. Elle ne portait rien sous sa veste comme je l’imaginais, ayant enlevé son corsage elle avait également du enlever le soutien-gorge.
Moi : « Continues, … »
Reprenant son compte rendu. « Je remontais ma jupe, … et ainsi presque nue, je me couchais sur le lit … et là je me réveillais brutalement, … surprise, … » Elle avait la respiration qui s’était légèrement accélérée. Je décidais de prendre la suite du récit, à mon compte. « Ta jupe bien relevée, tu t’es couchée sur le lit, qu’attends tu pour le faire ? »
Sans une ombre d’hésitation, elle remonta sa jupe et se coucha et me regardant dit : « Viens, …prends moi, … j’ai envie de toi, … mais t’es encore habillée, … je regarde je m’ouvre à toi, … viens, … je t’attends,… » et largement elle écarta les cuisses, ses doigts ouvrant sa chatte, en une invite non déguisée.
Déshabillé, je le fus très très rapidement et je m’engageais entre ses cuisses largement ouvertes.
Elle : « Non, pas ça, pas de préliminaires, …, viens, prends moi, … je suis chaude, … à consommer immédiatement, … oui, … à baiser immédiatement, …, rentres doucement que je te sente m’envahir, …, me remplir , … je veux sentir le poids de ton corps sur le mien, … j’en ai tellement rêvé, …» Pendant ce temps, je m’étais présenté à l’entrée de sa grotte d’amour et guidé par Mireille, je l’avais investi doucement, complétement et facilement et j’avais entamé, doucement pour qu’elle me sente bien, mes va et vient dans son fourreau chaud et humide et rapidement la sono s’était mise en route. « Oui, … prends moi, …j’aime te sentir me prendre, … sentir ta queue me pénétrez, … oui, vas-y, …, prends moi fort, …OOOOHHH, … c’est bon, …, ne t’arrêtes pas ,… plus fort, …, je vais jouir, …OUIIIII, … encore, … remplis moi, … je suis à toi, … je JOUIIIIIIIIS, …. OUIIIII JE JOUIIIIS, … » Ne pouvant plus me retenir j’avais joui juste un peu avant qu’elle s’éclate.
Voulant rouler sur le coté, elle m’avait retenu : « Restes encore sur moi, …j’aime te sentir sur moi, … te tenir dans mes bras, … » Puis quand même je me dégageais, pour reprendre notre souffle. Je me levais, quant à Mireille elle s’assit et écartant les cuisses dit : « Ça déborde, … j’espère que tu en as gardé pour la suite, … tu sais qu’on a deux nuits à nous, … si tu veux, … » …et elle glissa un doigt dans sa chatte et me regardant droit dans les yeux elle prit un peu du trop plein, et porta son doigt à sa bouche et le suça avec gourmandise : « Il ne faut rien perdre, ... » et elle partit d’un éclat de rire. Et continua en disant « Excuses moi, je dois m’isoler un instant, … ça déborde de trop, … » Elle se leva et se dirigea vers la salle de bains pendant que je lui disais : « Bien sur que je compte sur ces deux nuits,…, mais c’est toi qui décide, …, c’est toi qui m’accueil dans ton lit et ,… entre tes cuisses, … t’as toujours un joli cul, … les escarpins ça le mets en valeur, … » Quelques instants après elle était de retour, recoiffée et elle rabaissa sa jupe et remit sa veste de tailleur. « Y-a des fois tu serais presque grossier, … et j’accepte de t’écouter, … je me demande pourquoi, … je suis complétement folle, … tu arrives, … tu me reprends, … j’accepte, …j’ai envie de toi, … je me plis à tes désirs,… je ne dois pas être normale, … Bon, je vais reprendre du service à l’accueil »
Moi : « Je suis peut-être un peu grossier, … mais je suis le seul mec avec qui, non seulement, tu aimes faire l’amour, enfin, non avec qui tu aimes baiser, … mais surtout avec qui tu aimes parler sexe … et ça ca t’excite, … et qui fait ce que tu veux, … ce dont tu as envie, … je dirais qui se plie à tes phantasmes, sans juger, …»
Elle : « Arrêtes psychologue de chantier, … à toute à l’heure, … »
La voyant partir ainsi, je lui dis : « Tu n’oublies rien »
Elle : « Je ne pense pas, … tu m’as dit que tu aimais que je sois nue sous ma robe, …ça te donnera des idées, … et ça me fera penser à toi, … »
Moi : « Tu m’embrasses »
Elle : « Oui, mais pas sur les lèvres je viens de mettre du rouge »
Moi : « Sur les lèvres du bas, peut-être »
Elle : « C’est pas vrai, je nous connais, si tu m’embrasses là je ne suis prête de retourner à l’accueil »
Moi : « Bien, un petit baiser dans le cou » et elle partit en disant : « N’oublies pas de fermer la porte de communication, certains pourraient avoir de mauvais pensées »
Je retournais dans ma chambre, fermais la porte de communication et rangeais mes affaires, tout en ayant, avant, repris et humer le contenu de l’enveloppe. C’était bien elle.
Aux environs de 20,00 heures nous étions à l’apéritif, ça discutait par petits groupes, surtout entre collègues de travail se connaissant. Un moment Mireille quitta son groupe et se dirigeant vers le bar pour prendre un verre, je lui emboitais le pas et lui glissais discrètement : « T’as vraiment un beau cul ». Elle partit rejoindre son groupe en se tortillant le joufflu. Puis l’heure du diner fut annoncée et chacun prit la place qui lui avait été indiquée lors de son arrivée. Pour l’entrée, c’était buffet, le plat principal fut servit et les desserts c’était buffet. Avec Mireille nous nous sommes retrouvés au buffet dessert.
Moi : « Tu prends quoi comme dessert ? »
Elle : « En général, comme tu sais, j’aime les glaces, … pour les sucer, …après le diner, tâche de ne pas trop tarder, … je connais un jeune et jolie femelle qui attends pour se faire sauter »
Avant que je puisse réagir elle était partie. Le diner finit, je conservais un œil sur Mireille pour le moment de son départ. Enfin, elle partit, je me levais pour en faire autant quand quelques collègues me proposèrent de rester pour le dernier verre. Je dus m’excuser, cause fatigue. Cette réunion était faite trop loin de ma base. Je pus enfin me dégager, et me dirigeais vers ma chambre. J’hésitais à prendre une douche, mais cela risquait de retarder ma rencontre avec Mireille et peut-être en prendrions nous une, ensemble ?
Je me déshabillais et passais une serviette autour des reins, pour enfin frapper à notre porte de communication.
Elle : » Entres, c’est ouvert, … je t’attends » J’entrais, là le choc. Elle était appuyée sur le chambranle de la porte de la salle de bain dans une position que n’aurait pas reniée les playmates photographiées dans Play-boy, langoureuse et excitante. Ajouté à cela qu’elle était vêtue, enfin non, dévêtue, d’une nuisette en voile noir absolument transparent. Celle-ci était tenue par deux fines bretelles qui maintenaient un petit soutien-gorge, qui ne cachait rien et surtout qui mettait en avant ses tétons, qui pointaient avec orgueil. Entre les seins un petit nœud maintenait le tout en place ? Sous le dessous le voile flottait, arrivant au-dessus de sa chatte et ne dissimulant rien. Elle avait gardé son porte-jarretelles et se bas, ainsi que ses escarpins, ce qui la faisait se cambrer. Le tout était excitant au possible et se traduisit chez moi par une excroissance dans mon peignoir.
Elle : « T’es encore habillé » Il ne me fallu que peu de temps pour évacuer la serviette et être contre elle. Chacun offrant ses lèvres à l’autre, nous eûmes un baiser long et tendre, pendant que nos langes se retrouvaient et se caressaient. Ses hanches commencèrent leurs danses d’excitation, ce qui était d’autant plus efficace que son ventre se frottait à mon sexe qui devenait dur et tendu. Je décidais d’avancer et la soulevant je la portais et la posais sur le lit. Sans une hésitation elle se laissa aller sur le dos et écartant ses cuisses, je pus découvrir sa chatte dont la toison était finement taillée.
Elle : « Viens c’est à toi, … depuis le temps, je suis entièrement à toi, … j’ai envie de toi, … je t’attends, …»
Je plongeais entre ses cuisses, dont le compas s’ouvrit encore plus, et m’approchais de sa chatte, pour sentir son odeur qui m’enivrait. Elle était chaude et très humide. En fait, se promener depuis nos retrouvailles, la chatte à l’air avait du l’exciter, et à peine, le nez dans sa touffe courte et odorante, d’où ses grosses lèvres gonflées sortaient, la sono se mit en route : « Ouiiiii, …c’est à toi, … prends moi, … j’attends ça depuis longtemps, … Je veux ta langue, … lèches moi, … j’aime,… baises moi avec tes doigts, … ouiiii, … encore, … » Utilisant sa mouille qui coulait généreusement, j’en profitais pour humidifier sa rosette et en même temps que je lui pénétrais la chatte, je m’hasardais dans son petit trou, ce que je savais, par expérience, qu’elle appréciait.
Elle : « Ouiiiii, … continues, … j’aime quand tu me prends des deux cotés, … ouiiiii, encore, … tout est à toi, …»
Pour ma part, je bandais fort et il me fallait un exutoire et lui dit : « Je vais te prendre, … »
Elle, me maintenant la tête entre ses cuisses : « Non, …, n’arrêtes pas, …, je vais jouir, … continues comme ça, …, tu me prendras après comme tu veux, …je m’occuperais de toi après, … ne t’arrêtes pas, … ça vient, … OUIIIIIIII, … OOOOHHH, … OUIIIIII, … JE JOUIIIIIS, …, OOOH OUIIIII, … » Elle eut un bel orgasme qui la fit se contracter, avancer son bassin en m’enserrant la tête entre ses cuisses et : « OOOOHHH, … OUIIII,… c’était bon,… OOOHHHH, …OUIIII, … » et elle s’affala sur le lit, le souffle court.
Elle : « C’était bon, ooohhh, … ouiii, c’était bon, … viens contre moi, … » et elle glissa sa main entre nous deux et attrapant ma tige : « Je vais m’occuper de toi, … laisses moi faire, … »
Elle glissa jusqu’à mon sexe, à genoux entre mes cuisses, elle commença à le caresser, puis à titiller le gland avec le bout de sa langue, puis à l’introduire dans le fourreau de ses lèvres douces et chaudes et le prendre complétement en bouche pour me pomper en faisant des aller-retour, sa langue finissant sur le gland et de recommencer. Emporter par le plaisir qu’elle me faisait je lui dis : « Tu suces merveilleusement bien, … continues, … je sens que tu vas me faire jouir, … »
Ce compliment fut que sa langue devint de plus en plus active, caressante et excitante. Tant et si bien que n’y tenant plus je lâchais tout dans sa bouche, ce qu’elle avala sans problème en disant : « J’espère que tu m’as tout donné, … » et elle vint se coller à moi.
Elle : « J’ai aimé que tu me fasses jouir comme ça, et a tu aimé ce que je t’ai fait ? »
Moi : « J’aime lécher ta chatte et la prendre avec ma langue et mes doigts, et pour le reste, tu suces admirablement bien, mais j’aime aussi te prendre, te faire l’amour, … te baiser, … »
Elle : « Nous avons encore deux nuits et une pleine journée. …, Bien, je vais enlever mes atours sexy, que j’ai mis pour toi, …ça m’a fait l’impression d’être la fille d’un soir, … j’espère que ça t’a plu, … tu peux rester dormir ici cette nuit, … ça me ferait plaisir, … »
Elle descendit du lit, enleva nuisette et bas et revint se coucher contre moi, car vue sa proposition, je resterais avec elle pour la nuit. Un gros câlin et elle s’endormit relativement vite. Pour moi, le sommeil fut un peu plus long à venir, mais il arriva.
Aux environs de trois heures du matin, je me réveillais avec une sérieuse trique, je commençais par caresser les hanches, le dos, les fesses de ma compagne de lit.
Elle : « Arrêtes chéri, j’ai sommeil, … »
Je pensais que le « chéri » n’était pas pour moi, mais, peu importe, c’était moi qui était dans le lit de cette jolie femelle, je continuais donc mes caresses et Mireille finit par se mettre sur le dos, ce qui me facilita la tâche, car je pus entreprendre de caresser son ventre avec comme but son intimité, et cette position me facilitait également l’accès à ses seins que j’entreprenais aussitôt. Elle : « Qu’est ce que tu fais ? … non, … arrêtes, j’ai sommeil, … si tu continues, … »
Alors que je suçais et tétais ses seins, alors que ma main s’approchait délicatement de sa grotte d’amour »
Moi : « Je veux continuer, … je veux te faire l’amour, … te prendre, … écartes les cuisses, … je veux caresser ton minou, .. »
Elle : « Non, s’il te plait, … je veux dormir, …tu ne vas pas recommencer, … »
Moi : « Laisses moi faire, … laisses toi aller, …je suis certain que t’en as encore envie, … donnes moi tes seins, … oui, … comme ça, … je vais te caresser le minou, … laisses moi faire, … »
Effectivement je m’activais sur ses seins sachant qu’ils étaient d’autant plus sensibles qu’elle était plus chaude et j’atteignais enfin sa chatte, qui commençait à s’humidifier, il fallait que je persévère et elle serait prête à écarter les cuisses et se laisser prendre.
Elle : « T’en as vraiment envie,… »
Moi : « Regardes, … enfin tâtes, … »
Elle descendit se main vers ma trique et poussa un OH de surprise et : « T’es insatiable, … mais je veux dormir demain sera une dure journée, … arrêtes, … non arrêtes, … OOOHHH, … »
Pendant tout son discours débité d’une voix endormie et peu convaincante et même, peu convaincue, j’avais progressé, non pas sur les seins dont ma bouche s’occupait sérieusement, mais j’avais rejoint sa toison et commencé à investir le doux sillon d’entre ses grosses lèvres, ce qui me permettait d’avancer dans la conquête de la chatte de ma partenaire, d’autant que les cuisses s’étaient légèrement ouvertes, permettant un accès plus facile au but fixer.
Elle : « Arrêtes, … OOOHHH, … non, ne rentres pas, … OOOHHH, ouIIII, … tu es un salaud, … tu profites de ma faiblesse envers toi, … rentres, … arrêtes ce jeu de me faire attendre, … viens, … prends moi, … t’as gagné, … continues, …je te veux, … »
Moi : « Tournes toi, … »
Elle : « Non, je veux que tu me prennes comme ça, … je veux te sentir sur moi, … dans mes bras,… entre mes cuisses, … te sentir me prendre, … oui, … viens, … après tu me montras, promis, … j’aime aussi que tu me montes dessus, … mais maintenant comme ça, … je te veux entre mes bras, … entre mes cuisses, …»
J’étais sur elle, elle me guida dans sa grotte d’amour, ses bras m’enserrèrent comme ses jambes et je commençais mes va et vient dans son fourreau chaud et humide. Il fallut peu de temps pour que la sono se mette en route. « Oui, prends moi, … fais moi jouir, ... je suis à toi, … fais moi l’amour, comme je veux, … après tu pourras me prendre comme tu voudras, … je ferais ce que tu voudras, … mais maintenant, … baises moi fort, … fais moi jouir, …, oui, fais moi jouir fort, …, je suis en manque, … »
Suite à cette révélation, qui avait due lui échapper et qui m’ouvrait de vastes horizons, enfin, plutôt de vastes espoirs, je continuais à la baiser avec énergie de façon à la satisfaire au mieux de mes futures envies. D’ailleurs, elle subissait mes assauts avec plaisir et le disait, mais je sentais que j’arrivais au bout de ma résistance et heureusement, elle était en train de partir : « Ouiiii, … continues, … je sens que ça vient, … plus fort, … OOOOHHHH, … je vais jouir, … OUIIIIII ,… je JOUIIIIIIIS, …. OOOHHHH, … OUIIIII… ». Le souffle court, je me dégageais d’elle de façon à ne plus l‘écraser, et elle me dit : « J’aime quand je te sens sur moi, … ainsi je sur que tu es avec moi, … fais moi faire mon câlin, …» et tout le monde se rendormit rapidement.
A 7,00 heures le réveil sonna, j’avais une heure de retard sur mes habitudes, et nous étions en train de nous réveiller et de nous faire des gentillesses, quand on frappa à la porte et on entendit « Mireille, ouvres, … c’est Annie, … » Panique à bord .
Elle doucement : « Prends tes affaires, file et ferme la porte » puis plus fort « Oui, … j’arrive, … j’allais prendre la douche » et elle se dirigea vers la porte de la chambre, j’avais déjà disparu.
Elle : « Qu’est-ce qui se passe »
Annie : « Le chef de Paris, voulait voir la salle de conférence, pour savoir si elle convenait, il voulait voir les responsables et l’accueil me l’a envoyé. Heureusement j’étais debout, je me lève de bonheur pour prendre mon petit déjeuner tranquillement, il m‘a gâché la journée. »
Elle : « Qu’as tu fait ? »
Annie : « Je l’ai amené à la salle de conférence, lui disant que j’allais chercher la responsable »
Elle : « OK, va lui dire que j’arrive, je prends la douche et je viens, vas prendre ton petit déjeuner, je m’occupe du reste, Merci »
Entendant la porte intérieure de Mireille se fermer, je pointer mon nez dans sa chambre.
Elle : « Ces parisiens, … quoi, ils pensent qu’on n’est pas capable d’organiser une réunion, … il faut que j’y aille, je prends une douche et j’y vais, on se revoit au petit déjeuner »
Petit déjeuner. 8,30 h début de réunion, 10,00 h pose café, 10,30 heures reprise des speechs, jusqu’à 12,00 heures. Nous avions stand bye, enfin apéritif, et discussions informelles entre nous par petit comité, et ce jusqu’au déjeuner à 13,00 heures. Environ 10 minutes après l’arrêt de la réunion, je vis Mireille filer discrètement vers sa chambre, tout aussi discrètement je lui emboitais le pas. Je pénétrais dans sa chambre juste après elle. Elle n’eut pas le temps de se retourner que l’avais saisi dans mes bras.
Elle : « Qu’est ce que tu fais ? »
Moi : « Devines, … » et je posais mes mains sur ses seins et commençais à les caresser, les peloter « Défais tes boutons, que je puisse les caresser»
Elle : « Tu es fou, … lâches moi, … »
Elle avait posé ses mains sur les miennes et m’accompagnaient dans mes caresses à ses seins. « Tu devrais enlever ta veste, je risque de la froisser »
Elle : « Non, … tu es vraiment fou, … »
Moi les lèvres dans son cou en train de l’embrasser : « Enlèves ta veste, … qu’est ce que tu préfères que je te fasse un suçon ou que je te morde ? »
Elle : « Salaud, … pas de marque, … c’est du chantage, … qu’est-ce que tu veux … »
Moi : « Oui, c’est du chantage, … Je veux ce que tu veux, … tu es toute chaude, … »
Elle, en enlevant sa veste : « T’es content,… et maintenant, … Quoi encore … ? »
Je lui fis faire demi tour et collais mes lèvres sur les siennes et lui caressais tendrement le dos.
Elle : « Oui caresses moi, … j’aime quand tu me caresses, … ça m’électrise, … je sens plein de frissons qui courent sur ma peau, continues s’il te plait … ».
Elle frissonna, eut quelques secondes d’hésitation et enfin écarta légèrement les lèvres, l’affaire était en bonne voie, puis elle se mit à participer activement, lèvres et langues se retrouvèrent et s’agacèrent. Je la poussais contre la table et je me mis à m’occuper de ses seins sachant qu’ils étaient très sensibles. Les tétons étaient déjà bien dressés et ne demandaient qu’à être un peu maltraités pour faire monter l’excitation de la propriétaire. Le résultat de mes caresses fut relativement rapide, les tétons durcirent et je pouvais ainsi les pincer, les tourner entre mes doigts.
Elle : « S’il te plait, …arrêtes, … »
Moi : « Je suis sur que tu as filé toute à l’heure, en espérant que je le verrais et que je te suivrais ? »
Elle : « Tu es bien sur de toi, … »
Moi : « Non, tu avais envie que l’on termine ce qui a été interrompu ce matin et je veux ce que tu veux, … je vais te prendre là, debout, … je suis certain que tu en as envie, … je veux te faire jouir, … relève ta jupe, … »
Un NON énergique fut la réponse.
Moi : « Relève ta jupe, … je suis sur que ta chatte est toute gonflée, … qu’elle s’ouvre pour m’accueillir, … que tu as envie de me sentir en toi, … »
De nouveau « Relèves ta jupe, … » un nouveau non, mais moins brutal, moins agressif, me permettait de penser que j’étais sur la bonne voie.
J’avais presque gagné la première manche il me fallait arriver au but.
Elle : « Tu es fou, … je ne peux pas, … on n’a pas le temps, … OH, … puis si, … tu as raison, … j’espérais que tu verrais que je partais, …que tu viendrais pour me faire l’amour, …pour me prendre, … je suis complétement folle, … mais j’ai envie de toi, … t’es un monstre, … oui, … viens, … prends moi , …baises moi, … je suis venue pour ça, … tu vas penser que je suis une salope, une garce, … mais je te veux, … » et elle remonta sa jupe au niveau des reins, puis s’appuyant sur le bureau, son joli cul bien en vue et les jambes bien écartées, je glissais une main entre ses cuisses et pouvais constater que toutes ses hésitations n’étaient que de fausses excuses et, qu’avant tout, elle était d’accord pour arriver là où nous en étions, mais il fallait une certaine résistance de la femelle pour exciter le mâle et essayer de le rendre plus performant.
Je décidais de jouer un peu avec elle, pour la faire grimper au rideau et qu’elle demande grâce. N’ayant plus accès à ses seins, position oblige, je décidais de m’attaques sa chatte, que je savais sensible, quand elle était bien chaude, donc je glissais ma main entre ses cuisses et couvrais son intimité, que j’entreprenais de caresser en laissant mon majeur glisser entre ses grosses lèvres, que je sentais gonflées. Après deux ou trois caresses, je continuais à suivre le sillon de sa chatte en remontant le sillon d’entre ses fesses et en m’arrêtant sur sa rosette que j’humidifiais de sa mouille, puis je redescendais et recommençais mon petit manège en pénétrant un peu plus sa chatte et sa rosette à chaque passage. Deux réactions se firent jour, la première fut que la poitrine sur le bureau, ses mains se portèrent sur ses fesses pour les écarter la seconde fut que la sono se mit en route : « J’aime tes caresses, … oui, … rentres un peu, … (quand je pénétrais sa rosette il y eut) un « OOHHH, … oui, … continues, j’aime, …»
Je continuais, mais en changeant un peu de tactique. J’avais l’index et le majeur dans son minou alors que mon pouce pénétrait son petit trou, ce qui entrainait « Oui,… continues, … j’aime que tu me prennes comme ça, … OOOHHH, … c’est bon, … je sens que ça vient, … »
Je m’arrêtais car, j’avais une trique qui se posait là. Je tombais pantalon et caleçon et je m’introduisais dans son fourreau, chaud, ouvert et humide, très humide, car je la pénétrais vraiment en douceur ce qu’elle accepta avec un « OH, … oui, … » de satisfaction. Je la cramponnais aux hanches, bien décidé à lui bourrer la chatte et à la faire gémir de plaisir de façon qu’elle en redemande.
Elle : « Oui, … prends moi, … fort, … très fort, …je veux te sentir me remplir, … j’aime quand tu me prends fort, … (et, je lui claquais les deux fesses) … oui, …salaud tu aimes, … oui, … encore,… (et je remettais ça), OOOHHH, … oui, … » Chaque fois que je lui claquais les fesses, elle se raidissait et ses muscles internes me serraient la queue, ce qui était agréable. Je lui dis : « T’as vraiment un beau cul »
Elle : « Tu en as envie , …, tu l’auras, …, mais pas maintenant, …, finis moi comme ça, …, je sens que ça monte, … ouiiii, continues, … ouiii baises moi fort, …, je vais jouir ,…, OUIIIII, …., encore, ne continues pas, …, OUIIIIIIII, …, je JUOIIIIIIIIS, … OUIIIII , ….OUIIIIII, … » Moi, j’avais tout lâché un peu avant qu’elle ne parte, mais cela avait été bien, enfin bon, très bon. Puis dame nature faisant son travail, je me retirais de son fourreau chaud, quand Mireille se retourna et s’accroupissant, prit ma queue, un peu tristounette, me caressant me prit en bouche en disant : « J’aime le goût de notre plaisir mélangé, … j’aime te lécher, … après que tu m’a prise, … laisses moi faire, …»
Cette gentillesse terminée, elle se releva et se collant contre moi : « Embrasses moi, … c’était bon,…tu auras le reste plus tard, … je te l’ai promis,… bien il faut y aller, … fais attention en sortant, … «
Moi : « Ne t’inquiète, je vais sortir par ma chambre, je n’avais pas fermé les loquets en partant, … à toute à l’heure, je t’embrasse »
J’ouvrais la porte commune, et j’étais déjà dans ma chambre, quand j’entendis : « Merci, … Je t’adore, … » La porte était fermée ????
On se retrouva dans la salle à manger. 13,00 déjeuner heures. 14,30 heures reprise de la réunion, 16,00 heures, pose, 16,30 heures reprise jusqu’à 18,00 heures – FIN dislocation. Les personnels vivant proches de Poitiers partirent rejoindre leur résidence, d’autres restèrent pour ne quitter l’hôtel que le lendemain entre autres les éloignés. Des petits groupes restèrent à discuter, d’autres regagnèrent leur chambre. Mireille quant à elle étant la responsable de l’organisation eut à rencontrer la direction pour régler les derniers problèmes c’est à dire rendre le matériel, … Ce qui l’occupât jusqu’à vers 19,30 heures. Quand elle fut de retour, elle avait changé de tenue, portant blouse blanche et jupe trapèze à gros boutons, qui me rappelaient de bons souvenirs. Il y eut un nouvel apéritif, puis le diner vers 20,00 heurs où nous n’étions plus qu’une vingtaine et qui se prolongea jusque vers 21,00 heurs. On allait se séparer quand un des membres du groupe dit à la ronde : « C’est bien tout ça, mais moi je vais aller en boite me changer les idées et m’envoyer une verre. Est-ce qu’il y a des volontaires pour m’accompagner »
Il y eut un moment de surprise, les filles, enfin les 3 jeunes femmes qui étaient à notre table regardèrent Mireille, qui était plus ou moins leur chef. Celle-ci acquiesça : « Excellente idée, si je n’étais pas si fatiguée, je t ‘accompagnerais volontiers. Amusez vous bien »
Les 3 jeunes femmes, après cette acceptation tacite, acquiescèrent et se levèrent qui pour aller chercher qui un tricot, … alors, 3 autres concives décidèrent de se joindre au groupe.
Serge dit : « Je vais à la réception demander où il y a un boite sympa » Mireille lui répliqua : « Si tu veux une boite techno j’en connais une, on y est allé pour l’anniversaire de Damiens. Tu prends la route de Limoges, dans la zone industrielle, sur la droite un Hyper marché, tu vas vers lui et la boite est juste derrière »
Quant à moi, je me retirais en bon ordre, vers ma chambre, sous le prétexte que le lendemain je devais retourner à Bordeaux et me payer 250 km.
Quelques minutes après la porte intermédiaire s’ouvrait et Mireille apparaissait : « Alors que fais-tu ? »
Moi : « J’attends de savoir ce que tu as décidé »
Elle : « Bon, quand ils seront tous partis en boite, je déplace la voiture pour qu’elle soit visible quand ils rentreront de boite, et on prend la tienne et on va dans la boite rétro, que tu connais, car j’ai envie de danser, j’ai envie d’être dans tes bras, de te sentir contre moi »
Ainsi décidé, il n’y avait qu’à exécuter et environ une demi-heure après nous entamions notre première danse. Ses bras autour de mon cou, nos corps collés, on se frottait l’un à l’autre et Mireille commença sa danse du diable, ses hanches roulaient contre moi et la série de slows terminés, une certaine bosse apparaissait à la hauteur de ma braguette, ce qui réjouit Mireille. Car à peine revenu à notre table, discrètement, elle mi sa main sur ma braguette et elle dit : « Huumm, … je vois que la forme revient, … ». Une série de tango arriva, nous étions sur la piste, j’aime bien cette danse, car, pour bien la pratiquer, il faut que la jambe de l’un soit entre les jambes de l’autre et inversement. Mireille savait parfaitement se positionner ainsi, et, chaque fois qu’il lui était possible, elle frottait son intimité sur ma cuisse, point n’est besoin d’une description pour savoir ce qui se passait dans mon pantalon et je pouvais imaginer, que le minou de ma cavalière devait commencer à se chauffer, ou plutôt à se gonfler et à s’humidifier. Après cette série, retour à la table pour s’humidifier le gosier et re-série de slows. Et de nouveau, nous étions collés l’un à l’autre et ses hanches se remirent en mouvement d’une façon extrêmement persuasive.
Elle : « J’ai envie de toi, … et toi, … dis moi, … que tu as envie de moi, … dis moi ce que tu veux, … ce dont tu as envie, … j’aime savoir, … »
Cette série terminée, nous retournions à notre table et je reprenais la discussion.
Moi : « Tu vas déboutonner ta jupe, jusqu’à la ceinture, … comme ça je pourrais te caresser les cuisses entre deux danses, … et au prochain tango tu pourras frotter ta chatte contre ma cuisse, … tu aimes ça, …»
Elle : « T’es fou, … pas ici, … je te vois venir, … un tango encore, peut-être, … mais tu serais capable de vouloir danser un rock, …»
Moi : « Tiens, je n’y avais pas pensé ? … c’est une bonne idée, … »
Elle : « T’es complètement fou, … je veux bien en déboutonner quelques uns, … mais pas jusqu’en haut, ... simplement pour sentir ta main me caresser, … et puis, …, non, …, tu me rends dingue, …, bon, quelques uns, …» et effectivement, elle déboutonna sa jupe, mais grosso modo, jusqu’à mi-cuisses, en fait il restait 4 boutons. Caché par le dessus de la table je pouvais glisser ma main entre ses cuisses, gainées de bas, et je passais le haut des bas, là ou la peau est très douce. Même en me facilitant l’accès, comme elle le faisait, la jupe m’empêchait d’aller plus avant. « Tu devrais en déboutonner deux de plus, je suis bloqué, … »
Elle : « Non, … tu me fais faire n’importe quoi, .., mais je suis dingue, … dès que t’es là je perds toute volonté, … je ne pense qu’à une chose, …et je reste là, à me laisser faire, … à faire ce qu’il veut, …voilà des tangos, invites moi, …, on verra après, …»
Nous étions sur la piste : « Serres moi fort, …ooohhh, ouii, comme ça, … encore plus, … » Elle était collée à moi, enfin nous étions collés. Si ses hanches avaient repris leur danse du diable, elle n’avait pas oublié à chaque passage possible de frotter son entrejambe sur ma cuisse et au deuxième tango, rapidement elle pu sentir l’effet qu’elle me faisait, mais cela lui faisait aussi de l’effet, car sa respiration se faisait plus haletante et elle dit : « Ça te ferait plaisir que je déboutonne complètement, … ça te donnerait envie de moi, … j’ai tellement envie de toi, … OOOHHH, je sens ta place, ..»
Moi : « C’est à toi que ça fait envie,… mais tu aimes que je te le demande, … ça t’excite, … le risque t‘excite, … tu te déboutonnes jusqu’à la ceinture, … je te caresse, … et quand tu es prête on s’en vat, … pour terminer plus loin, … »
Elle : « Oui, … D’accord, … et après, … dis moi, … » et nous partîmes pour la série de slows, avant d’aller sur la piste je constatais que même entièrement déboutonnée, il y avait tant de tissu, que rien n’était visible, mais je me gardais bien de lui dire, cela aurait rompu l’équivoque. Ses bras autour de mon cou, son corps incrusté dans le mien. J’avais quand même réussi à glisser les mains sous sa blouse et pouvais ainsi lui caresser, discrètement, le dos. La série terminée, nous regagnâmes nos places et profitant de la couverture du dessus de la table je tentais de me glisser dans l’ouverture de sa jupe, ce qui fut facile. Les pans de celle-ci ayant été préalablement repoussés par sa propriétaire. J’eu donc un accès aisé à l’intérieur de ses cuisses, légèrement ouvertes, ce qui me permettait un accès possible et rapide à son minou. Quelques caresses de l’intérieur de la cuisse et la chatte était investie. Ce qui se traduisit par un profond soupir que je jugeais de contentement. L’objectif était atteint, il fallait le pénétrer. Une légère avancée du bassin, une ouverture du compas de ses cuisses et mon majeur titillait l’intérieur de sa chatte ouverte, chaude, humide. A près quelques minutes de ce jeu un peu pervers certes :
Elle : Ça y est, … tu es arrivé à tes fins, …tu es content, … maintenant arrêtes, … si tu continues tu vas me faire jouir, … s’il te plait, finis moi dehors, … qu’est ce que tu veux, … je sens ta place, … »
Je me penchais dans son cou et lui murmurais : « Je veux bouffer ta chatte et le reste, … »
Nous quittâmes la boite pour nous retrouver près de la voiture, je la pris dans mes bras et nous nous collâmes l’un à l’autre, je commençais par passer sous sa blouse et lui caresser le dos, puis descendant je dégageais un pan de sa jupe et arrivais ainsi sur sa cuisse et me retirant j’investissais sa chatte, il y eut une petite résistance, mais qui céda sans difficultés. La pénétrer ne posait aucun problème tellement son intimité était accueillante et d’autant plus qu’elle écarta légèrement les cuisses et avançant un peu son bassin s’empala sur mon majeur.
Elle : « T’es content, … tu es arrivé à ce que tu voulais, … ooohhh, …n’arrêtes pas, … »
Vue sa disponibilité je la soulevais et l’asseyais sur le capot, tout en écartant les cuisses elle me dit : « Non, … pas ici, …pas comme ça, … OOOHHH oui, …on va nous voir, … »
Vu l’emplacement de la voiture, éloignée de l’entrée, seule éclairée, il était peu probable que l’on puisse être surpris, je continuais mes manœuvres.
Elle s’était quand même décidée à se coucher sur le capot, la jupe entièrement ouverte, les cuisses largement ouvertes, j’avais à disposition sa chatte, que je m’empressais d’investir avec bouche et doigts à la satisfaction de ma partenaire. Son odeur de femelle bien chaude me saoulait littéralement et je m’empressais de laper son jus à la source, pendant que mes doigts s’enfonçaient sans problème dans son fourreau coulant de plaisir. La musique douce à mes oreilles se mit en route et : « Ouiii, … c’est bon, … prends moi avec tes doigts, … oui, comme ça, … OOOHHH, … OOOHHH, … oui, rentres, … ça m’excite de faire ça, là, …, oui,…»
J’avais profité de son ouverture pour titiller son petit trou et elle avait apprécié cette initiative. En même temps que ma langue s’occupait de lécher et aspirer ses grosses lèvres, mes doigts accéléraient leur va et vient dans ses orifices humides et ouverts à ces jeux, ce qui s’entendait : « Ouiiii, … continues,… ne t’arrêtes pas, … je sens que ça vient, … ouiiii, … OOOHHH, … OUIIIII, … j’aime ça, … continues, tu vas me faire jouir, … OUIIIII, … OOOHHH, ... JE JOUIIIIIIIIS, … OUIIIII, … »
Ses cuisses se refermèrent brutalement sur ma tête et un flot de son jus de plaisir s’écoula dans ma bouche gourmande. Il lui fallut quelques instants pour revenir de son voyage et se laissant glisser du capot elle atterrit dans mes bras : « Salaud, … t’es content de toi, … me faire ça ici, … sur le capot d’une voiture, … je ne me reconnais plus, … embrasses moi, … c’était bon, … dépêches toi, on rentre à l’hôtel, … je veux te sentir me prendre, … je veux m’offrir à toi, … viens,…»
Nous étions dans la voiture, je commençais à écarter les pans de sa jupe. Elle m’arrêtât et les dégageant, elle même, écarta les jambes, et dit : « C’est ça que tu veux ? », … c’est ainsi que nous arrivâmes au parking de l’hôtel. Après m’être garé, je lui conseillais de rentrer seule : « C’est mieux, certains pourraient avoir des idées idiotes !!! On se retrouve dans la chambre »
Environ cinq minutes plus tard je rejoignais ma chambre. Je frappais à la porte intermédiaire qui s’ouvrit aussitôt, Mireille m’attendait, vêtue d’un soutien-gorge quart de bonnet en dentelle, qui propulsait ses seins en avant, d’un porte jarretelles tendant ses bas et de ses escarpins.
Elle : « T’es encore habillé, … » Il ne me fallut pas beaucoup de temps pour me trouver nu comme un vers et avec une trique visible et bien tendue. Mireille s’approchant, nous nous collâmes et nos lèvres se rejoignirent, nos langues se caressèrent et son bassin se frotta à ma bite bien dressée. Après un baiser chaud et humide, ses mains qui étaient autour de mon cou se détachèrent et s’accroupissant, en me regardant droit dans les yeux, ses mains glissant sur mon corps, c’était d’un érotisme … Elle se saisit de mon sexe et toujours me regardant commença à lécher mon gland, puis elle l’entourait de ses lèvres légèrement entre-ouvertes, j’entrais dans un fourreau chaud et humide, pour enfin m’avaler entièrement et commencer à me pomper avec ardeur.
Plus elle allait plus cela devenait insupportable et à ce régime, je n’allais pas tarder à me vider complétement et être dans l’impossibilité d’honorer ma partenaire
Moi : « Arrêtes, … si tu continues, je vais éclater, … je ne pourrais plus m’occuper de ta chatte, … »
Heureusement elle s’arrêta et remontant en me couvrant de petits baisers aussi rapides que légers, elle arriva à ma hauteur et se colla de nouveau.
Elle : « A toi, … je suis à toi, … entièrement à toi, … j’ai envie de toi, … prends moi, … » et elle se positionna à genoux sur le lit, la tête dans les draps et les fesses à hauteur de queue. Après cette invite il n’était pas possible d’hésiter. Je me présentais à l’entrée de son intimité et me saisissant elle me guida dans elle et mon introduction dans sa chatte se traduisit par un soupir de satisfaction. Et je commençais mes va et vient dans son fourreau chaud, bien lubrifié où je coulissais avec douceur et plaisir, en peu de temps la sono se mit en route me faisant comprendre sa satisfaction.
« Oui, … c’est bon, … j’aime te sentir là, … continues, … mes fesses, …»
Appréciant ses commentaires et cramponné à ses hanches j’obéissais à son injonction et lui claquais la fesse droite, la réaction fut rapide, un « OOOHHH, … oui, .. » et une contraction des tous ses muscles, un peu comme un spasme, s’en suivit. Je remettais cela sur l’autre fesse, la réaction fut identique, mais il me fallait accélérer le rythme si je voulais arriver à la faire jouir. Après ces deux claques, alors que j’avais son beau cul ferme et bien rond devant moi, elle posa ses mains sur ses fesses et les écarta, exposant ainsi son petit trou à mon regard,
Elle : « T’en as envie … ? »
Avant d’avoir répondu elle continua : « moi aussi, … oui prends mon cul, je te l’ai promis, … encules moi, … j’en ai tellement envie,… oui montes moi, j’aime, … fais doucement, … oui, …»
Ressortant du fourreau doux et chaud de sa chatte, je commençais une pénétration douce, pour lui permettre de se détendre et de s ‘ouvrir à moi, ce qui ne demanda pas beaucoup de temps, tellement elle était prête à vouloir, à avoir envie, se faire prendre par là, d’autant qu’en commençant mes va et vient, comme je m’y attendais, sa main droite commença à s’occuper, avec ardeur, de sa chatte. Il ne nous fallu pas longtemps pour déclencher la sono :
Elle : « Oui, … c’est bon, fais doucement, … je m’habitue, … oui, … continues, … j’aimes quand tu me prends comme ça, … OOOHHHH, … Oui, … »
Moi : « Tu aimes prendre ta chatte avec tes doigts ? »
Elle : « OOOHHH, Oui, … J’aime être prise des deux coté en même temps, … c’est bon, … oui, accélères, … plus vite, .., je sens que ça vient, … OOOHHH, … OUIiiii, … n’arrêtes pas, … remplis moi, … OUIIIIIII, … je JOUIIIIIS, … OUIIIIIII, … »
Elle s’aplatit sur le lit, un peu essoufflée, mais paraissant ravie de ce qui venait d’arriver, pour ma part je m’étais éclaté et vidé dans son cul alors qu’elle même prenait son pied. Je m’allongeais à coté d’elle et elle vint se blottir contre moi.
Elle : « Fais moi faire mon câlin avant que je parte »
Moi : « Tu ne reste pas ici, pour la nuit ? »
Elle : « Non, … je te connais et je me connais, si je reste on va recommencer et la nuit est déjà courte et je voudrais dormir un peu avant de prendre la route. On se revoit au petit déjeuner vers 8,00 h. »
La nuit passa rapidement, heureusement, 7,00 h, la sonnerie du réveil m’indiqua qu’il fallait se remuer. Douche, refaire la valise, ranger les documents, vers 8,00 h j’étais au restaurant pour le petit déjeuner. Mireille n’était pas là, j’attendis une dizaine de minutes, toujours personne et tout d’un coup, je me souvins de ce qui c’était passé lorsque j’avais quitté Limoges. Elle s’était fait porter malade. Je stoppais mes agapes et me rendais sur le parking, sa voiture avait disparu, …
J’étais un peu dépité, mais bon, j’avais, nous avions passé de bons moments dommage, j’aurai bien aimé un adieu plus … tangible. Fin de petit déjeuner, je vidais ma chambre et rendais la clé, quand la jeune femme à l’accueil me remit une enveloppe. Prudent j’attendais d’être dans la voiture avant pour l’ouvrir. Elle contenait une feuille avec écrit dessus : « Je t’M à coté la marque de ses lèvres et en dessous Adieu »
Traduction libre : « Je = Moi … M = Mireille … lèvres = baiser, … Adieu »
Ce rébus était clair et précis, … on pouvait dire et écrire fin.
Mais pourquoi le : « t’ » incompréhensible ??? Je démarrais en direction de Bordeaux. Il me fallut au moins 150 km pour trouver une explication à cette petite énigme. Et quand je l’ai résolue je me suis dit que Mireille était folle complétement dingue, enfin si ce que j’avais trouvé était la réalité. En effet « M » on prononce : « aime » et l’énigme devient, à mon sens : « Je = Mireille … t’ M = t’aime … lèvres = baiser, … Adieu » !!!!!

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