Mardi 11 juin 1991 – Au bureau - Mercredi 10 juillet 1991 – En voiture

- Par l'auteur HDS Macerou -
Récit érotique écrit par Macerou [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : Mardi 11 juin 1991 – Au bureau - Mercredi 10  juillet 1991 – En voiture Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-12-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Mardi 11 juin 1991 – Au bureau - Mercredi 10 juillet 1991 – En voiture
Environ un mois après en faisant un détour et en ne m’arrêtant pas pour déjeuner, je pouvais envisager de passer une heure à Poitiers et y rencontrer Madeleine, histoire de la saluer et, éventuellement organiser, à une date prochaine, une autre rencontre, disons un autre corps à corps amoureux. Je lui passais un coup de téléphone et tout était OK. Donc le mardi 11 juin, vers 11 heurs j’arrivais à son bureau. Accueilli à l’entrée, j’étais accompagné jusqu’à son bureau ou je fus fort courtoisement reçu et on me pria de m’asseoir. Mon accompagnatrice partie, Madeleine se leva et vint vers moi et me faisant tourner sur mon fauteuil, s’assit sur mes genoux et les bras autour du cou : « Embrasses moi, …embrases moi vite, … » Ordre que je m’empressais d’exécuter. Ceci fait : « Tu sais, …ça fait 31 jours que j’espère un coup de fil, … » Bon, à part les mauvaises excuses habituelles, que dire et plutôt que de dire des bêtises, je m’empressais de lui fermer la bouche avec un nouveau baiser, mais avec aussi une incursion dans le décolleté de son corsage. J’avais cru qu’elle avait la poitrine libre, mais en fait elle avait un soutien gorge quart de bonnet, ce qui permettait de lui caresser les seins et non pas un bout de tissu. Sa réaction fut d’augmenter un peu plus son décolleté, tant et si bien que j’avais ses deux beaux seins à portée de bouche, et j’en profitais, disons qu’elle me les donnait à sucer et à téter. Le tout accompagné de soupirs qui exprimaient son plaisir d’avoir les seins ainsi appréciés. Au bout d’un moment vu ses bonnes dispositions et dans sa positon sur mes genoux et que sa jupe droite était remontée sur ses cuisses, une main curieuse se glissa entre ses cuisses et remonta doucement vers son minou, mais l’étroitesse de ces maudites jupes droites, fit que je ne pus remonter qu’à la limite du haut des bas.
Madeleine : « Dis donc, … qu’est-ce que tu fais, … »Moi : « Devines, … ces jupes droites, c’est élégant, … mais c’est pas pratique, … tu devrais la remonter, sinon, elle va craquer, … »Madeleine : « Tu exagères, … je ne peux pas, … »Moi : « Mais si, … tu peux, … d’ailleurs si tu mets des jupes droites, ce qui te va à ravir, … ça souligne tes formes agréables, … ton joli cul, … mais surtout c’est pour que je te demande de la relever, … ça t’excite, … je te soupçonne de n’attendre que ça, …»Madeleine remontant sa jupe jusqu’au niveau des bas : « Tu es vraiment un monstre, … »Moi : « Tu ne remontes pas plus haut, … un accès de timidité, … »Madeleine remontant sa jupe et découvrant ainsi son minou : « Ça te va, … » et surtout surprise elle était nue sous cette jupeMoi : « Wouah, … c’est en mon honneur, … que tu as mis ton minou à l’air,… »Madeleine : « Un malhonnête m’a volé ma petite culotte il y a un certain temps, … je n’en porte plus depuis ce temps, … ça te plait, … et je suis sensé faire quoi, maintenant, … »Moi : « Ou tu t’assieds sur mes genoux et je te caresse ta joli minou, … ou tu t’assieds sur ton bureau, … je t’écartes gentiment les cuisses et je te bouffe la chatte, … »Madeleine s’appuyant sur son bureau et ouvrant le compas de ses cuisses : « Tu es vraiment un monstre, … mais j’aime ce que tu me fais, … oui, … viens, … »Sans hésiter, j’allais me saouler de son odeur et gouter de son jus d’amour, qui humidifier légèrement ses grosses lèvres, à peine mes lèvres posées sur les siennes, et ma langue allant lui chatouiller l’intérieur, les soupirs de satisfaction m’indiquaient le plaisir qu’avait ma partenaire aux gentillesses que je lui prodiguais. « Oui, … continues, … prends moi avec ta langue, … oui, … avec tes doigts, … oui j’aime, … » Elle était en pleine forme et surtout demandeuse de sexe en fait plutôt de jouissance, et j’étais bien décidé à la satisfaire au mieux. « Oui, … continues, … j’aime te sentir comme ça, … ne t‘arrêtes pas, … je suis tellement excitée, … ou, … » J’abandonnais la partie, doigtage, dégrafais et descendais à la vitesse grand V, pantalon et caleçon et la prenant sous les genoux je la soulevais, ce qui mettait sa chatte à niveau de ma bite, mais avant que je puisse la prendre il y eut une réaction violente : « Salaud, … pourquoi tu t’arrêtes, … je sentais que ça venait, … » et je la pénétrais brutalement : « OH, … OH, … oui, … c’est bon, … oui prends moi comme ça, … c’est mieux, … oui, … baises moi, … baises moi fort, … je suis à toi, … fais moi jouir, … j’attends ça, …j’en ai tellement envie, … oui, … OOOOHHH, … OUIIII, … OOOOHHHH, … OUIIIIII,… » Ses jambes qui s’étaient largement ouvertes alors que je la ramonais, se refermèrent brusquement autour de moi et elle eut un spasme qui la fit se cambrer et pousser un fort cri de gorge, alors que je remplissais son minou de mon plaisir. Se relevant, elle se colla contre moi. « J’espère que tu as aimé, … » et rabaissant sa jupe : « OH, … ça déborde, … je vais tâcher ma jupe, …t’as été généreux, … » et sans attendre elle glissa deux doigts dans sa chatte et en ramassa le sperme qui coulait, enfin me regardant elle se mit à sucer ses doigts : « Comme ça je sais et je reconnais ton goût, … embrasses moi, … je sais que tu ne peux pas rester, … tâches de venir plus souvent, …et si tu me préviens 24 heures en avance, … je ferais en sorte d’être disponible, …»Un dernier baiser et je partais, déjà à la bourre.
Mercredi 10 juillet 1991 – En voitureEnviron trois semaines après, c’était un mercredi et j’avais organisé mon planning de façon à passer vers midi à Poitiers, une mauvaise plaisanterie me fit penser, je saute un repas mais je saute Madeleine, pas très fin, mais enfin, … donc elle m’avait demandé de l’attendre dans la parking de l’immeuble ou elle avait ses bureaux qu’elle nous conduirait dans un endroit tranquille. Comme j’étais garé, je pouvais la voir arriver, mais ne reconnaissant pas la voiture, elle passa devant moi et le temps que je descende et lui fasse signe, je pus admirer son joli cul qui se balançait agréablement au rythme de sa démarche. Je lui fis signe et me remis dans la voiture. Alors qu’elle s’installait je lui dis : « J’ai pu admirer ta démarche élégante, … et ton joli cul, … » Madeleine : « Tiens tu t’en aperçois maintenant, …il te plait, … ce n’est pas la première fois que tu le vois, … et c’est la première fois que tu me le dis, … » Que répondre ?
Elle s’installa et colla ses lèvres contre les miennes pour un long baiser gourmand. J’en profitais pour prendre possession d’un de ses seins et le caresser. Elle m’arracha la main avec : « On s’en va, … »Nous voilà partis, une main sur le volant l’autre entre les cuisses de Madeleine.
Madeleine : « Continues comme ça, … et on va avoir un accident, …arrêtes, … tu pourras tout avoir, … mais à l’arrêt, … je suis venue pour ça, …»Moi : « Bon, … mais alors ouvres un peu ton corsage, … »Madeleine : « Non, … regardes la route, … » Impossible d’obtenir quoi que ce soit, ceci étant, elle n’avait pas entièrement tort dans la mesure ou je devais suivre ses indications, pour enfin arriver dans un endroit tranquille entre futuroscope et ZAC. Enfin garé à l’abri des regards, nous passâmes sur la banquette arrière. Au moment ou elle pénétrait dans la voiture, son splendide fessier fut à portée de main et je ne manquais pas de le caresser. Sentant ma main sur ses fesses, elle s’immobilisa quelques secondes, le temps pour moi d’apprécier, par le toucher la fermeté de son joli cul.
Nous étions dans la voiture, sans hésiter elle ouvrit son corsage qui enserrait ses seins son soutien gorge quart de bonnet les mettant en valeur et surtout laissant un libre accès à ma gourmandise de les gouter, j’en profitais pour glisser une main entre ses cuisses légèrement ouvertes, mais cette maudite jupe droite m’empêchait d’atteindre sa chatte. Pleine de bonne volonté, elle se tortilla pour la remonter, mais c’était presque mission impossible. Sans hésiter Madeleine ouvrit la porte et plus ou moins cachée par celle-ci elle remonta sa jupe jusqu’à la ceinture « Ce sera plus pratique, … »Moi : « Mais tu fais prendre l’air à ton minou, … c’est formidable, … »Madeleine : « Un petit voyou m’a volé ma petite culotte, … »Moi : « Il a bien fait, … c’est agréable de le voir ainsi, … approches toi que le caresse, … »Un coup d’œil à droite, l’autre à gauche et elle s’avança à portée de main, écarta légèrement les jambes : « Juste une petite caresse, … dépêches toi, … … arrêtes, … je vais avoir besoin de plus, … » et elle s’installa dans la voiture et écartant généreusement les cuisses, avec, entre autres, une jambe sur le dossier avant, elle dit : « Viens, … lèches moi, … c’est à toi, … j’en ai tellement envie, … viens, … » Je ne pouvais refuser une telle demande et je m’occupais, lèvres et doigts de sa chatte, jusqu’à ce que : « Arrêtes, … tu vas me faire jouir, … mais je veux que tu me baises, … d’abord défais toi, … » Ce que je fis avec son aide, sortant ma bite et avant de la prendre en bouche : « Je veux sentir si tu es bien dur, … te gouter avant que tu me prennes, … » et elle se mit à me pomper, juste assez et me dire : « Oui, … viens prends moi, … » et me tournant le dos m’enjamba et elle s’empala sur ma queue bien raide : « C’est plus pratique comme ça, … tu es mon sextoy, … je vais me faire jouir, … oui, … c’est bon, … » Moi la tenant par les hanches elle montait descendait à son rythme, … je n’avais qu’à subir.
Moi : « T’es pas une peu garce, … merci pour le sextoy, … »Madeleine : « C’est pour ça que t’as plaisir à me sauter, … mais c’est quand même mieux avec toi, … c’est bon, … tiens toi bien raide, … j’aime m’empaler sur toi, … continues, … retiens toi, … je sens que je vais jouir, … n’arrêtes, … OOOHHH, … OUIIIIIIIII, … » Elle eut un beau spasme qui lui fit relever les jambes donc s’empaler plus encore sur ma bite, alors que j’éjaculais dans sa grotte d’amour avec un soupir de satisfaction et de plaisir. Se retirant de mes genoux elle sortit de la voiture : « C’est pas tout ça mais ça déborde, … tournes toi que je m’ajuste, … » ainsi réappropriés je la ramenais à son bureau et reprenais la route. J’avais quand même un problème enfin une interrogation en tête.

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