BERNADETTE ET LES SEPT GLANDES
Récit érotique écrit par Marcus74 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-06-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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BERNADETTE ET LES SEPT GLANDES
Il y a quelques fois dans une vie, des personnes qui sont là pour vous faire changer de monde, l'espace d'un instant, courte parenthèse qui restera inscrite toute le long de votre vie.
Cette personne était une cliente de longue date que je voyais professionnellement plusieurs fois par mois. Elle avait 76 ans, d'un milieu fort modeste, et un physique au niveau de son âge, c'est à dire plutôt repoussant. D'un esprit sain mais franchement au raz des pâquerettes et d'une culture sans curiosité, elle ne suscitait que dégoût et méprit de ma part.
Nos conversations était plates et sans saveurs.
Jusqu'au jour où elle me demanda après un échange un peu plus léger que les autres, si elle pouvait me demander un service « un peu délicat ».
- Ne me demander pas la lune, je n'en ai ni les moyens ni l'envie dis-je.
- J'ai pensé a vous, depuis longtemps on se connaît...et à vrai dire, vous êtes le seul
homme que je côtoie depuis le décès de mon mari me confiât elle.
Ma curiosité native fut sans détours excité.
Je vous rappel que je suis astreint au secret professionnel, cela ne sortira pas de ces quatre murs.
Je sais que vous êtes avec une jolie fille, mais pourriez vous agrémenter mon plaisir d'un don... ? Me dit elle tête basse.
Un don de quoi madame ?
Je ne vous demande pas de me faire l'amour, je suis bien trop vielle et je sais que je vous agace, je vous demande juste un peu de votre sperme pour m'aider à passer mes longues soirées seule.
Je restais sans voix non pas parce que j'étais surpris de son aveu mais par une forte impulsion d’excitation qui me submergeait. Une chaleur franche et soudaine envahit mon corps.
Pourquoi ne viendriez vous pas après la fermeture du cabinet ce soir à la maison, je vous aiderais si vous le voulez, je fait ça très bien, ou bien vous ferez ça seul dans ma salle de bain ? Rendez moi ce service s'il vous plaît.
Jamais je vous toucherai, comment avez vous pu imaginer une chose pareil ?
Je le sais bien, je veux juste votre semence tout simplement pour me caresser et m'aider avoir du plaisir. Vous savez à mon âge, cela a du mal à fonctionner.
Il existe des lubrifiants en pharmacie voire même des traitements Dis je pour rester professionnel.
Je continuais mes geste de thérapeute machinalement et embrayai sur un autre sujet, histoire de faire tomber la forte pression en moi qui risquait de me faire prendre une décision que j'allai regretter.
A la fin de la séance, je lui lançais brutalement sur un ton inquisiteur, histoire de m'affranchir de ma du conflit qui régnait dans mon esprit:
Ce soir chez vous à 8h00. OK.
Et oui … nous les hommes sont d'une faiblesse tellement légendaire ! Et prévisible, les femmes le
savent si bien.
Toute l’Après midi, un délicieux frémissement parcourait mon dos et mon entre-jambe, je sentais mon périnée engorgée d'un liquide qui remontait le long de mon urètre pour enfin inonder mon slip.
Je fus obligé de porter une blouse blanche plus longue de peur que mes clients s’aperçoivent de mon état surexcité.
Curieusement mon sexe restait au repos.
Puis le stress de ce qui pouvait se passer le soir me rendit les idées plus lucides, après tout, je pouvais décommander au dernier moment en prétextant une urgence.
Ce fut ma compagne qui reçu cette excuse.
Bernadette habitait à deux pas de mon cabinet, je trouvais cela plus pratique pour la discrétion ; je n'avais pas à déplacer ma moto qui était reconnaissable dans la ville.
Au moment de sonner au parlophone, mon geste se figea, mon cœur battait très fort dans tout mon corps, et d'une impulsion j’enfonçai le bouton.
L'électroaimant débloqua la lourde porte en métal...ce sésame donnait réalité à mon choix pleinement assumé.
Je montais les escaliers pour être sûr de ne pas croiser quelqu'un à la sortie de l'ascenseur, j'avais une réputation à tenir tout de même.
Elle m'attendait au pas de son appartement, un peu agitée ou plutôt gênée. Cela me rassura, il valait peut-être mieux en rester là.
Une fois dans ses lieux, un petit chien tout blanc m’accueillit, je n'aime pas les chiens miniatures et je pensais que le coté glauque de la situation pouvait largement l'emporter sur mon excitation sexuelle.
Je ne pensais pas que vous viendriez me dit elle.
Je n'ai pas l'habitude de ne pas m'en tenir à ce que j'ai dit et de plus, je n'ai rien contre un bon moment.
Elle rit, ravie, et me proposa un whisky tout en repoussant son chien qui m’agaçait particulièrement. Elle sut savamment me mettre à l'aise pour calmer le stress de la situation.
Au bout d'un bon quart d'heure d'échanges insipides, elle me lança soudain
Et bien maintenant si l'on passait aux choses plus alléchantes
Je ne répondis pas, mon cœur rebattait la chamade à gogo.
Levez vous je vais m'occuper de vous comme jamais personne ne vous l'a fait.
Je suis très douée vous savez, mon mari adorait tout comme moi ce que je lui faisait.
Je m’exécutais tant bien que mal, mon corps et surtout mes mains tremblaient. Je réussis à me tenir debout prés d'elle où elle entreprit de me caresser le bas ventre au travers de mon Jean. Je ne bandait pas, trop de tensions. Elle enleva mon ceinturon puis je l'aidait à retirer la toile de coton.
Je me retrouve maintenant nu devant elle, mon sexe toujours timide.
Enlever le haut pour tout me montrer, vous êtes bien balancé.
A trente ans, j'étais un bien joli garçon et très coquin aussi, mais ce soir l'incongruité de la situation me paralysait et m'ôtait toutes entreprises. Il faut dire qu'elle était tellement âgée !
Sa main se posa sur mes glandes et m’électrisa tout le corps comme si elle avait un gant branché sur le 220 Volt.
Vous vous épilez dit elle en me caressant le pubis et ses poils en forme de ticket de métro ainsi que mon scrotum totalement lisse portant mes lourdes testicules .
Ma compagne est esthéticienne et perso les poils, c'est pas mon truc.
A voilà qu'elle relève le museau dit elle le regard brillant !
Ma queue enfin daignait s'inviter aux festivités et déployait ses 20 Cm de pieux de chaire. Bernadette me caressait en poussant des soupirs du bonheur perdu de la métamorphose du mâle.
Et qu'elle métamorphose ! Je bandait de plus en plus fort, mon gland se tendait vaillamment, mes veines traçait de gros reliefs de méandres sur tout le pourtour de mon sexe, mon frein commençait à blanchir tellement il semblait jouer son rôle (de freiner).
Mes glandes de Cooper recommençaient à s’affoler. Leur liquide perlait sur mon méat à demi ouvert du fait de la tension extrême de ma queue.
Mon dieu quel sexe ! Bien plus gros que celui de mon mari ! J'en connais une qui ne doit pas s'ennuyer quand elle prend ça dans son ventre.
Et dans son anus ! dis je, retrouvant mon caractère provocateur.
J'aimerai tant la prendre...
Oubliez ça, nous avons un marché.
Très bien fit elle, maintenant vous allez me laisser faire, je vais m'occuper de bien remplir vos glandes pour une récolte maximum. Ne vous inquiétez pas, je suis experte. Je vais beaucoup vous exciter et après je vous ferez jouir dans le bol que j'ai posé sur la table. Mettez vous à quatre pattes sur la chaise, cela sera plus pratique, je vais vous faire beaucoup couler, vous allez voir.
Surpris mais surexcité je m'exécutais comme si j'avais l'habitude. Les avant bras sur le dossier de la chaise, les fesses serrées devant elle, un filet de mouille tomba à terre. Le chien se jeta dessus pour le lécher aussitôt. Quelle dinguerie en visualisant la scène, pourtant j'abandonnais mon corps à cette femme lubrique avec un plaisir indescriptible.
Elle empoigna mes couilles enflées pour les faire rouler entre ses doigts, son autre main s'enroulait autour de ma queue pour la tordre dans tous les sens comme pour évaluer son extrême rigidité. Un plaisir intense m'envahissait. De gros filet de mouille s’échappaient en continu, je les sentais le long de mon canal. Ma prostate semblait repousser mes viscères tellement elle s'enflait.
Quelle délicieuse sensation. Je sentais que j'allais jouir, mon corps était devenu totalement incontrôlable. Bernadette le sentis et ralentit ses stimulations tout en récoltant le produit claire et visqueux de mes glandes de Coopers dans le réceptacle qu'elle avait préparé.
Au bord de l'orgasme, je sentis une quantité incroyable de fluide s'échapper de mon sexe d'acier, en fait du sperme sans spermatozoïdes. Elle savait s'y prendre cette vielle chienne.
Whaaaou quelle merveille s'exclama-t-elle, fantastique ! Je vais les remplir encore pour en avoir plus.
Elle me mordit le gland sans le sucer, goba mes testicules tour à tour puis les deux en même temps, sans oublier de me lécher mes grosses veines en poussant des soupirs de contentement. Puis, elle
remonta de long de la couture jusqu'à l'orée de mon anus tout faisant de long et amples va-et-vient sur ma queue.
attendez dis je, je suis pas sûr que ce soit une bonne idée, j'ai quand même une journée de travail entre les jambes !
Le musc de votre cul est le plus enivrant des parfum fit elle, laissez vous faire, diable !
Je compris plus tard dans ma vie ce qu'elle éprouvait, pour l'heure je me cambrai de plus en plus pour ouvrir ma raie à sa vision et à sa bouche. Sa langue titillait mon trou vierge à cette époque, j'étais toujours au bord de l'orgasme mais elle se débrouillait pour le retarder dés que mes couilles remontaient contre mon pubis et récolter le produit de mes glandes internes qui crachaient leur liquide sans jets, en continue.
C'était divin, c'était hallucinant.
Je me retrouvait tellement cambré comme une femme qui offre sa vulve à la verge en rut que mes sphincter s’entrouvrirent pour laisser de l'air me remplir le rectum.
Son bol de récolte contenait en fait le produit de mes deux vésicules séminales que Bernadette excitait, par sa méthode, au paroxysme. Je su plus tard les vider sans éjaculer.
Au bout de trois traites, plus rien ne sorti.
Je n'en pouvait plus, mes burnes commençaient à me faire mal à force de monter et descendre.
Elle, elle admirait ma queue dans toute sa longueur jusqu'à mon trou de cul épilé et me faisait remarquer que la totalité était aussi long que son avant-bras.
ha non fit elle en comparant, la main est en trop. Il est temps maintenant de faire sortir les protéines.
Je compris, malgré mon épuisement que cette sorcière sexuelle allait me faire éjaculer. Après m'avoir souhaité de beaucoup jouir, elle entrepris avec sa langue fourré dans mon anneau un va et vient à l'intérieur de mon rectum, synchrone avec sa main droite qui me branlait doucement, après avoir, au préalable, saisit le bol sur la table pour le placer entre mes genoux.
Je me cambrai de plus en plus, les muscles du dos me faisaient mal, le rebord de la chaise s'enfonçait dans les muscles de mes avant-bras, mes genoux étaient douloureux à force. Autant de misères qui potentialisaient mon immense plaisir.
Je sentais sa langue me pénétrer au delà de mon anus pour venir claquer les muqueuses de mon rectum emplis d'air. Elle me mordis les fesses et tentais d’attraper l'énorme boursouflure de mon périnée et repartais à l’assaut de mon trou maintenant complètement dilaté.
Je tournais la tète pour apprécier encore plus la scène. Je vis la courbure de ma fesse droite avec son visage enfoui dans ma raie offerte, je trouvais l'image tellement belle, tellement incroyable que mon plaisir pris une nouvelle approche.
Je sentis dans tout mon corps une vibration qui montait crescendo pendant une bonne dizaine de seconde. Ma tète semblait en surpression, ma bouche entrouverte, haletante, ne pus retenir un gémissement lorsque le plus puissant des orgasme de ma vie se déclencha. Mes contractions se propageaient des muscles de mon entre-jambe à tout le corps avec comme vecteur la colonne vertébrale. Je sentais mon anus se serrer autour de sa langue pendant que mes testicules se libéraient enfin de leurs spermatozoïdes. Mon ventre faisait un bruit rauque du même rythme que mes contractions, mon anus s'était transformé en évent, ce qui intensifiait mon orgasme.
L'intensité des ondes de plaisirs ne cessaient pas, bien au contraire, elles montaient encore en puissance lorsque le muscle du périnée, à force de pulser, entra dans une crampe douloureuse et extrêmement voluptueuse. Je me souvient avoir paniqué face à la puissance de cet orgasme sans fin, je me rappel même avoir crié. Il s'estompa doucement, lentement me laissant tremblant comme une feuille face au choc de la sensation extrême que je venais de vivre.
Bernadette me prouva qu'elle avait bien vécu cette intensité par un massage doux et relaxant de mon entre-jambe pour détendre mes muscles endoloris.
Pendant que je me dépliais tout ankylosé elle dit :
Bon retour parmi nous... hé bien j'en ai compté quinze, de contractions. Bravo, mon mari ne dépassait pas les dix. Vous êtes un sacré étalon dit elle en me présentant le fruit de mes glandes, je ne pensais pas qu'un sexe d'homme pouvait être aussi imposant. Cela va hanter mes souvenirs lorsque je serais bien seule le soir.
C'est stupéfiant, je ne me doutais pas que mon corps pouvait produire autant de liquide.
Mes testicules avaient expulsé un sperme opalescent en très importante quantité mais qui ne se mélangeait pas avec ce que Bernadette avait réussi à traire auparavant.
ce sont d'autres glandes dit elle, vous les hommes ne juraient que par votre queue et vos balles, des années de pratique avec mon mari nous ont révélé bien d'autres secrets. J'ai d'autres pratiques à vous faire connaître si vous le désirez mais elles sont, comment dire, plus intimes et surtout plus profondes.
Pas de doute, vous êtes une sorcière
Mais non, tout simplement une femme qui aime la vie et qui aime le corps des hommes quant il jouissent très fort. Mais reposer vous, vous avez l'air complètement sonné.
En effet, j'étais vidé de mes glandes mais aussi de mes forces. Quand elle me parlait une odeur de fauve puissante sortait de sa bouche hideuse. Je découvrais ces effluves suaves de mon derrière pour la première fois.
En me remettant mes vêtements, je regardais incrédule le bol au tiers plein de mes semences. Je savait que Bernadette allait se masturber après mon départ et pas devant moi pour ne pas m'imposer la vision de son naufrage physique.
A Jeudi me fit elle en rigolant, oui nous avons RDV Jeudi dit elle devant mon air surpris.
Presque deux heures de plaisir, je n'avais pas vu le temps passé, je cherchais dans ma tète encore sous le choc des sensations, une excuse recevable pour mon amie. Il était très tard mais peu importe … une idée m’obsédait en descendant les escaliers en sentant mon anus nettoyé qui rendait la salive de Bernadette par de petits pets humides :
Quels sont les autres secrets que Bernadette voulait me révéler dans le plaisir du corps ?
C'était en 1996. Pendant prés de sept ans, plusieurs fois par mois je filais en catimini chez elle pour jouir et jouir encore. Je ne sais pas combien de litre de semence j'ai pu lâcher chez elle.
Elle me fit découvrir d'autres possibilités de plaisirs intenses que je pratique encore aujourd'hui avec ma femme.
Lorsque j'éjacule aujourd'hui, les derniers jets translucides perpétuent la mémoire de Bernadette qui, à force, a hypertrophié mes glandes reproductrices. C'est pour cela que souvent, je me retire du vagin ou du cul de ma femme pour admirer cette douzaine de pulsations liquide.
Bernadette mourut en 2005.
Je lui rend hommage par ce récit autobiographique.
MARCUS
Cette personne était une cliente de longue date que je voyais professionnellement plusieurs fois par mois. Elle avait 76 ans, d'un milieu fort modeste, et un physique au niveau de son âge, c'est à dire plutôt repoussant. D'un esprit sain mais franchement au raz des pâquerettes et d'une culture sans curiosité, elle ne suscitait que dégoût et méprit de ma part.
Nos conversations était plates et sans saveurs.
Jusqu'au jour où elle me demanda après un échange un peu plus léger que les autres, si elle pouvait me demander un service « un peu délicat ».
- Ne me demander pas la lune, je n'en ai ni les moyens ni l'envie dis-je.
- J'ai pensé a vous, depuis longtemps on se connaît...et à vrai dire, vous êtes le seul
homme que je côtoie depuis le décès de mon mari me confiât elle.
Ma curiosité native fut sans détours excité.
Je vous rappel que je suis astreint au secret professionnel, cela ne sortira pas de ces quatre murs.
Je sais que vous êtes avec une jolie fille, mais pourriez vous agrémenter mon plaisir d'un don... ? Me dit elle tête basse.
Un don de quoi madame ?
Je ne vous demande pas de me faire l'amour, je suis bien trop vielle et je sais que je vous agace, je vous demande juste un peu de votre sperme pour m'aider à passer mes longues soirées seule.
Je restais sans voix non pas parce que j'étais surpris de son aveu mais par une forte impulsion d’excitation qui me submergeait. Une chaleur franche et soudaine envahit mon corps.
Pourquoi ne viendriez vous pas après la fermeture du cabinet ce soir à la maison, je vous aiderais si vous le voulez, je fait ça très bien, ou bien vous ferez ça seul dans ma salle de bain ? Rendez moi ce service s'il vous plaît.
Jamais je vous toucherai, comment avez vous pu imaginer une chose pareil ?
Je le sais bien, je veux juste votre semence tout simplement pour me caresser et m'aider avoir du plaisir. Vous savez à mon âge, cela a du mal à fonctionner.
Il existe des lubrifiants en pharmacie voire même des traitements Dis je pour rester professionnel.
Je continuais mes geste de thérapeute machinalement et embrayai sur un autre sujet, histoire de faire tomber la forte pression en moi qui risquait de me faire prendre une décision que j'allai regretter.
A la fin de la séance, je lui lançais brutalement sur un ton inquisiteur, histoire de m'affranchir de ma du conflit qui régnait dans mon esprit:
Ce soir chez vous à 8h00. OK.
Et oui … nous les hommes sont d'une faiblesse tellement légendaire ! Et prévisible, les femmes le
savent si bien.
Toute l’Après midi, un délicieux frémissement parcourait mon dos et mon entre-jambe, je sentais mon périnée engorgée d'un liquide qui remontait le long de mon urètre pour enfin inonder mon slip.
Je fus obligé de porter une blouse blanche plus longue de peur que mes clients s’aperçoivent de mon état surexcité.
Curieusement mon sexe restait au repos.
Puis le stress de ce qui pouvait se passer le soir me rendit les idées plus lucides, après tout, je pouvais décommander au dernier moment en prétextant une urgence.
Ce fut ma compagne qui reçu cette excuse.
Bernadette habitait à deux pas de mon cabinet, je trouvais cela plus pratique pour la discrétion ; je n'avais pas à déplacer ma moto qui était reconnaissable dans la ville.
Au moment de sonner au parlophone, mon geste se figea, mon cœur battait très fort dans tout mon corps, et d'une impulsion j’enfonçai le bouton.
L'électroaimant débloqua la lourde porte en métal...ce sésame donnait réalité à mon choix pleinement assumé.
Je montais les escaliers pour être sûr de ne pas croiser quelqu'un à la sortie de l'ascenseur, j'avais une réputation à tenir tout de même.
Elle m'attendait au pas de son appartement, un peu agitée ou plutôt gênée. Cela me rassura, il valait peut-être mieux en rester là.
Une fois dans ses lieux, un petit chien tout blanc m’accueillit, je n'aime pas les chiens miniatures et je pensais que le coté glauque de la situation pouvait largement l'emporter sur mon excitation sexuelle.
Je ne pensais pas que vous viendriez me dit elle.
Je n'ai pas l'habitude de ne pas m'en tenir à ce que j'ai dit et de plus, je n'ai rien contre un bon moment.
Elle rit, ravie, et me proposa un whisky tout en repoussant son chien qui m’agaçait particulièrement. Elle sut savamment me mettre à l'aise pour calmer le stress de la situation.
Au bout d'un bon quart d'heure d'échanges insipides, elle me lança soudain
Et bien maintenant si l'on passait aux choses plus alléchantes
Je ne répondis pas, mon cœur rebattait la chamade à gogo.
Levez vous je vais m'occuper de vous comme jamais personne ne vous l'a fait.
Je suis très douée vous savez, mon mari adorait tout comme moi ce que je lui faisait.
Je m’exécutais tant bien que mal, mon corps et surtout mes mains tremblaient. Je réussis à me tenir debout prés d'elle où elle entreprit de me caresser le bas ventre au travers de mon Jean. Je ne bandait pas, trop de tensions. Elle enleva mon ceinturon puis je l'aidait à retirer la toile de coton.
Je me retrouve maintenant nu devant elle, mon sexe toujours timide.
Enlever le haut pour tout me montrer, vous êtes bien balancé.
A trente ans, j'étais un bien joli garçon et très coquin aussi, mais ce soir l'incongruité de la situation me paralysait et m'ôtait toutes entreprises. Il faut dire qu'elle était tellement âgée !
Sa main se posa sur mes glandes et m’électrisa tout le corps comme si elle avait un gant branché sur le 220 Volt.
Vous vous épilez dit elle en me caressant le pubis et ses poils en forme de ticket de métro ainsi que mon scrotum totalement lisse portant mes lourdes testicules .
Ma compagne est esthéticienne et perso les poils, c'est pas mon truc.
A voilà qu'elle relève le museau dit elle le regard brillant !
Ma queue enfin daignait s'inviter aux festivités et déployait ses 20 Cm de pieux de chaire. Bernadette me caressait en poussant des soupirs du bonheur perdu de la métamorphose du mâle.
Et qu'elle métamorphose ! Je bandait de plus en plus fort, mon gland se tendait vaillamment, mes veines traçait de gros reliefs de méandres sur tout le pourtour de mon sexe, mon frein commençait à blanchir tellement il semblait jouer son rôle (de freiner).
Mes glandes de Cooper recommençaient à s’affoler. Leur liquide perlait sur mon méat à demi ouvert du fait de la tension extrême de ma queue.
Mon dieu quel sexe ! Bien plus gros que celui de mon mari ! J'en connais une qui ne doit pas s'ennuyer quand elle prend ça dans son ventre.
Et dans son anus ! dis je, retrouvant mon caractère provocateur.
J'aimerai tant la prendre...
Oubliez ça, nous avons un marché.
Très bien fit elle, maintenant vous allez me laisser faire, je vais m'occuper de bien remplir vos glandes pour une récolte maximum. Ne vous inquiétez pas, je suis experte. Je vais beaucoup vous exciter et après je vous ferez jouir dans le bol que j'ai posé sur la table. Mettez vous à quatre pattes sur la chaise, cela sera plus pratique, je vais vous faire beaucoup couler, vous allez voir.
Surpris mais surexcité je m'exécutais comme si j'avais l'habitude. Les avant bras sur le dossier de la chaise, les fesses serrées devant elle, un filet de mouille tomba à terre. Le chien se jeta dessus pour le lécher aussitôt. Quelle dinguerie en visualisant la scène, pourtant j'abandonnais mon corps à cette femme lubrique avec un plaisir indescriptible.
Elle empoigna mes couilles enflées pour les faire rouler entre ses doigts, son autre main s'enroulait autour de ma queue pour la tordre dans tous les sens comme pour évaluer son extrême rigidité. Un plaisir intense m'envahissait. De gros filet de mouille s’échappaient en continu, je les sentais le long de mon canal. Ma prostate semblait repousser mes viscères tellement elle s'enflait.
Quelle délicieuse sensation. Je sentais que j'allais jouir, mon corps était devenu totalement incontrôlable. Bernadette le sentis et ralentit ses stimulations tout en récoltant le produit claire et visqueux de mes glandes de Coopers dans le réceptacle qu'elle avait préparé.
Au bord de l'orgasme, je sentis une quantité incroyable de fluide s'échapper de mon sexe d'acier, en fait du sperme sans spermatozoïdes. Elle savait s'y prendre cette vielle chienne.
Whaaaou quelle merveille s'exclama-t-elle, fantastique ! Je vais les remplir encore pour en avoir plus.
Elle me mordit le gland sans le sucer, goba mes testicules tour à tour puis les deux en même temps, sans oublier de me lécher mes grosses veines en poussant des soupirs de contentement. Puis, elle
remonta de long de la couture jusqu'à l'orée de mon anus tout faisant de long et amples va-et-vient sur ma queue.
attendez dis je, je suis pas sûr que ce soit une bonne idée, j'ai quand même une journée de travail entre les jambes !
Le musc de votre cul est le plus enivrant des parfum fit elle, laissez vous faire, diable !
Je compris plus tard dans ma vie ce qu'elle éprouvait, pour l'heure je me cambrai de plus en plus pour ouvrir ma raie à sa vision et à sa bouche. Sa langue titillait mon trou vierge à cette époque, j'étais toujours au bord de l'orgasme mais elle se débrouillait pour le retarder dés que mes couilles remontaient contre mon pubis et récolter le produit de mes glandes internes qui crachaient leur liquide sans jets, en continue.
C'était divin, c'était hallucinant.
Je me retrouvait tellement cambré comme une femme qui offre sa vulve à la verge en rut que mes sphincter s’entrouvrirent pour laisser de l'air me remplir le rectum.
Son bol de récolte contenait en fait le produit de mes deux vésicules séminales que Bernadette excitait, par sa méthode, au paroxysme. Je su plus tard les vider sans éjaculer.
Au bout de trois traites, plus rien ne sorti.
Je n'en pouvait plus, mes burnes commençaient à me faire mal à force de monter et descendre.
Elle, elle admirait ma queue dans toute sa longueur jusqu'à mon trou de cul épilé et me faisait remarquer que la totalité était aussi long que son avant-bras.
ha non fit elle en comparant, la main est en trop. Il est temps maintenant de faire sortir les protéines.
Je compris, malgré mon épuisement que cette sorcière sexuelle allait me faire éjaculer. Après m'avoir souhaité de beaucoup jouir, elle entrepris avec sa langue fourré dans mon anneau un va et vient à l'intérieur de mon rectum, synchrone avec sa main droite qui me branlait doucement, après avoir, au préalable, saisit le bol sur la table pour le placer entre mes genoux.
Je me cambrai de plus en plus, les muscles du dos me faisaient mal, le rebord de la chaise s'enfonçait dans les muscles de mes avant-bras, mes genoux étaient douloureux à force. Autant de misères qui potentialisaient mon immense plaisir.
Je sentais sa langue me pénétrer au delà de mon anus pour venir claquer les muqueuses de mon rectum emplis d'air. Elle me mordis les fesses et tentais d’attraper l'énorme boursouflure de mon périnée et repartais à l’assaut de mon trou maintenant complètement dilaté.
Je tournais la tète pour apprécier encore plus la scène. Je vis la courbure de ma fesse droite avec son visage enfoui dans ma raie offerte, je trouvais l'image tellement belle, tellement incroyable que mon plaisir pris une nouvelle approche.
Je sentis dans tout mon corps une vibration qui montait crescendo pendant une bonne dizaine de seconde. Ma tète semblait en surpression, ma bouche entrouverte, haletante, ne pus retenir un gémissement lorsque le plus puissant des orgasme de ma vie se déclencha. Mes contractions se propageaient des muscles de mon entre-jambe à tout le corps avec comme vecteur la colonne vertébrale. Je sentais mon anus se serrer autour de sa langue pendant que mes testicules se libéraient enfin de leurs spermatozoïdes. Mon ventre faisait un bruit rauque du même rythme que mes contractions, mon anus s'était transformé en évent, ce qui intensifiait mon orgasme.
L'intensité des ondes de plaisirs ne cessaient pas, bien au contraire, elles montaient encore en puissance lorsque le muscle du périnée, à force de pulser, entra dans une crampe douloureuse et extrêmement voluptueuse. Je me souvient avoir paniqué face à la puissance de cet orgasme sans fin, je me rappel même avoir crié. Il s'estompa doucement, lentement me laissant tremblant comme une feuille face au choc de la sensation extrême que je venais de vivre.
Bernadette me prouva qu'elle avait bien vécu cette intensité par un massage doux et relaxant de mon entre-jambe pour détendre mes muscles endoloris.
Pendant que je me dépliais tout ankylosé elle dit :
Bon retour parmi nous... hé bien j'en ai compté quinze, de contractions. Bravo, mon mari ne dépassait pas les dix. Vous êtes un sacré étalon dit elle en me présentant le fruit de mes glandes, je ne pensais pas qu'un sexe d'homme pouvait être aussi imposant. Cela va hanter mes souvenirs lorsque je serais bien seule le soir.
C'est stupéfiant, je ne me doutais pas que mon corps pouvait produire autant de liquide.
Mes testicules avaient expulsé un sperme opalescent en très importante quantité mais qui ne se mélangeait pas avec ce que Bernadette avait réussi à traire auparavant.
ce sont d'autres glandes dit elle, vous les hommes ne juraient que par votre queue et vos balles, des années de pratique avec mon mari nous ont révélé bien d'autres secrets. J'ai d'autres pratiques à vous faire connaître si vous le désirez mais elles sont, comment dire, plus intimes et surtout plus profondes.
Pas de doute, vous êtes une sorcière
Mais non, tout simplement une femme qui aime la vie et qui aime le corps des hommes quant il jouissent très fort. Mais reposer vous, vous avez l'air complètement sonné.
En effet, j'étais vidé de mes glandes mais aussi de mes forces. Quand elle me parlait une odeur de fauve puissante sortait de sa bouche hideuse. Je découvrais ces effluves suaves de mon derrière pour la première fois.
En me remettant mes vêtements, je regardais incrédule le bol au tiers plein de mes semences. Je savait que Bernadette allait se masturber après mon départ et pas devant moi pour ne pas m'imposer la vision de son naufrage physique.
A Jeudi me fit elle en rigolant, oui nous avons RDV Jeudi dit elle devant mon air surpris.
Presque deux heures de plaisir, je n'avais pas vu le temps passé, je cherchais dans ma tète encore sous le choc des sensations, une excuse recevable pour mon amie. Il était très tard mais peu importe … une idée m’obsédait en descendant les escaliers en sentant mon anus nettoyé qui rendait la salive de Bernadette par de petits pets humides :
Quels sont les autres secrets que Bernadette voulait me révéler dans le plaisir du corps ?
C'était en 1996. Pendant prés de sept ans, plusieurs fois par mois je filais en catimini chez elle pour jouir et jouir encore. Je ne sais pas combien de litre de semence j'ai pu lâcher chez elle.
Elle me fit découvrir d'autres possibilités de plaisirs intenses que je pratique encore aujourd'hui avec ma femme.
Lorsque j'éjacule aujourd'hui, les derniers jets translucides perpétuent la mémoire de Bernadette qui, à force, a hypertrophié mes glandes reproductrices. C'est pour cela que souvent, je me retire du vagin ou du cul de ma femme pour admirer cette douzaine de pulsations liquide.
Bernadette mourut en 2005.
Je lui rend hommage par ce récit autobiographique.
MARCUS
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci, j'ai aimer lire ce superbe récit, qui m'a beaucoup excité.
Que de bon moments tu as du vivre. J aimerai bien le vivre.