Education libertine 2 (Tante, cousin, cousines)

- Par l'auteur HDS Verdon -
Récit érotique écrit par Verdon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin :  Education libertine  2  (Tante, cousin, cousines) Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-03-2016 dans la catégorie Pour la première fois
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Education libertine 2 (Tante, cousin, cousines)
Ces Demoiselles se débrident…

Dans le milieu des années 50, je passe des vacances assez inattendues avec deux cousines, chez un Oncle très rigoriste et son épouse qui l’est apparemment beaucoup moins. C’est ce que nous apprenons très rapidement car lors des absences de son mari elle nous entraine dans des dévergondages des plus lubriques.
En fait elle nous fait découvrir nos corps, nos sexes, la façon de nous en servir et les joies du plaisir sexuel. Elle dédramatise nos craintes, flatte nos instincts, excite notre curiosité et nous conduit sur des chemins qui de découverte en découverte vont nous mener dans le monde surprenant et merveilleux du libertinage.
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En ce début du mois d’Août ce fut la grande ambiance, le tonton s’étant encore absenté, les bonnes parties reprennent avec encore plus de lubricité. Nous sommes nus, sauf Ginette qui jusqu’à ce jour ne nous a pas dévoilé tous ses charmes, sans doute par pudeur face aux beaux atours de notre jeunesse ou peut-être pour nous exciter davantage en cherchant à nous faire languir.
Un soir Betty est en train de chahuter avec sa cousine. Elles se gamahuchent, se caressent, se pelotent comme deux petites chattes dans un panier, tout en me présentant leurs délicieux atours ruisselant de sueur et de cyprine.
Ginette m’invite à me placer en 69 sur le ventre et la poitrine de Betty et je commence à fourrager à l’intérieur de son petit nid d’amour. J’apprends à bien faire saillir son impétueux clitoris et à le gober en douceur avec mes lèvres. « Ce petit bouton est un détonateur » m’explique Ginette. Il a besoin d’être bien flatter du bout d’un doigt ou de la langue pour prendre feu, mais c’est surtout quand il sent le frottement d’une bonne pine qu’il fait se lâcher une fille.
Avec ma langue plate, je lisse les rivages rosés de sa craquette et Betty commence à s’émouvoir et la source de ses amours commence à envahir sa foufoune d’une délicieuse marée que je lape avidement comme un chat affamé.
Mon amoureuse a tôt fait de jouir alors en faisant des soubresauts avec son ventre et en me griffant le dos.
Pendant ce temps, Coralie et la Tante placées derrière moi, jouent avec mon sexe qui a quitté le palais de Betty, pour se faire branler par la maîtresse de maison. Tandis que notre benjamine mate mes couilles. « Il a une boule plus grosse que l’autre » s’écrie-t-elle, croyant à une anomalie, mais la tante la rassure aussitôt et l’invite à bien les faire rouler à l’intérieur de mes bourses.
C’est délicieux, mais à ce rythme-là, je ne tiens plus et soudain je crache mon foutre à en veux-tu, en voilà sur le visage de Betty qui encore sous le coup de ses émotions n’a pas vu venir l’averse qui la submerge des cheveux jusqu’à ses nichons.
Elle me bouscule et en me relevant j’asperge à leur tour les deux autres concurrentes.
« Cochon ! Tu es un cochon ! » S’écrie Betty en se redressant. « Cochon ! Un jour je te pisserai au visage !
Elle est divine. En colère et décontenancée. Ses yeux pleins de larmes de foutre, tout autant que son bout du nez, elle se pourlèche les babines et de la commissure de ses lèvres des gouttes s’abattent sur ses tétons qui pointent et que Ginette s’empresse de sucer.
Coralie embrasse à pleine bouche sa cousine, tandis que Ginette avale mon pénis pour ingurgiter mes dernières livraisons salées qu’elle a l’air vraiment d’adorer.
Finalement Betty apprécie en faisant un large sourire à travers ses joues maculées et ses cils festonnés de paillettes d’amour.
(C’est qu’elle peut avouer avoir été vraiment gâtée la petite veinarde. Et si la douche fut une surprise, elle ne fut pas pourtant si désagréable…et après tout ça fait bien partie de l’éducation d’une jouvencelle avant de devenir Dame du monde!).
« Allez ! Tout le monde à la baille » déclare Ginette, encore toute émotionnée par nos gracieuses agapes. Et on se retrouve tous les quatre à se savonner voluptueusement dans sa grande baignoire, avant de descendre à la soupe qui va sûrement bien nous requinquer.
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Toutes ces péripéties finissent par nous exciter follement.
Ainsi, un soir en rentrant dans la chambre des filles, je les trouve toutes deux en train de se gamahucher.
Devant ce magnifique spectacle et cette chaleureuse ambiance, je bande comme un diable. Betty quitte sa cousine et calée au bord du lit, elle lève ses jambes à la verticale en poussant son ventre dans ma direction et cherche à s’empaler sur mon mât de misaine. Aussi je m’apprête à planter mon dard bien au fond de son joli petit con qui s’ouvre et clapote au milieu de ses cuisses.
Ç’est alors que Ginette, grâce à sa grande expérience, se précipite et en me bousculant empêche à temps le vilain vireton de pénétrer dans le paradis rose alors que déjà tellement excité je lâche mon foutre sur le minou et les cuisses de ma tendre cousine en ébullition. Je trempe son duvet blond et j’inonde son ventre de ma laitance. En geignant elle réclame encore son dû en donnant des grands coups de pubis dans ma direction.
Finalement elle étale la crème chaude sur son corps de déesse déçue mais heureuse de se faire encore asperger les seins par ma quéquette qui se balance, furieuse, entre mes cuisses.
- Quel déluge ! S’écrie Ginette.
- Imprudent ! Qu’allais-tu faire ?
- Fais attention. Voyons, ce n’est pas le moment qu’elle se retrouve avec un polichinelle dans le tiroir !
Je suis tout penaud, bien déçu, Betty aussi…
Tantine est fâchée et nous gronde sévèrement.
Désolé, on essaie de se faire pardonner en la cajolant tous les trois, mais la soirée s’arrête là et on va se coucher.
J’ai bien compris la leçon, je crois qu’elle a eu très peur que je fasse une bêtise qui aurait pu gâcher la vie des filles et la sienne et nos belles aventures.
C’est promis je ne recommencerai plus……(Hum !)
C’est qu’elles sont irrésistibles ces petites diablesses !
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Par la suite on se retrouve chaque fois que le tonton est absent et les choses reprennent comme avant.
Elle a un sacré caractère la tantine, le sang très chaud et elle sait mener son monde, comme nous allons le voir dans la suite de l’histoire.
Je suis très attiré par son cul et par ses gros seins. Quand j’étais petit garçon elle était une splendide jeune femme et je lorgnais souvent sur son beau postérieur qu’elle trimbalait insolemment sous ses robes légères et transparentes et sous le nez des plus grands qu’elle devait terriblement aguicher.
Ce cul est resté gravé dans ma mémoire et j’ai toujours eu le désir de l’approcher de plus près, de le toucher et d’aller voir ce qu’elle camouflait entre ses grosses fesses.
(C’est fou ce que le cul d’une femme peut provoquer de curiosité et d’émotions érotiques !).
Aussi lors de cette aventure estivale, l’idée ne m’ayant jamais quittée, je décide un jour de lui mettre la main au cul à un moment où penchée sur une de mes cousines elle dévoile raz sa blouse, sa belle nudité. Oh la jolie fente ! Avec effronterie, je glisse ma main dans la chaude échancrure. Mon index tutoie son anus tout chaud.
La réponse ne se fait pas attendre, du revers de sa main elle dégage la mienne et je suis très déçu car je ne comprends pas ; si bien qu’une autre fois je récidive avec toupet mais avec le même échec, bien que ma main s’étant attardée légèrement dans la moiteur de son trou, m’a semblé être moins vigoureusement repoussée que la première fois…(Des fois le cul a des envies que n’ont pas les méninges !).
Devant cet acharnement, pourtant bien naturel, et sentant que mon excitation risque de me mener à faire de nouvelles sottises avec les filles, elle prend la décision de m’attacher pour se trouver libre de faire ses frasques comme elle le désire.
Elle me fait asseoir sur une chaise basse et me ligote les bras et les jambes sur les pieds et les accoudoirs de la chaise, tout en me laissant nu évidemment, afin de m’abandonner à la convoitise de ces femelles affamées.
(À mon avis ce n’est pas sans une certaine perversité de sa part, mais ça fait partie sans doute de sa façon d’éduquer et de mettre en soumission ses amants).
Pour ma part, d’abord surpris et ennuyé je trouve que finalement c’est aussi une façon de faire grimper très fort ma libido et de faire durer le plaisir encore plus longtemps.
Alors toutes les trois, elles se lâchent davantage et s’en donnent à cul joie ; se moquant de mon désarroi et de ma position, elles me taquinent, me titillent et me sucent la bite tout en me tripotant les roustons et en rigolant de me voir toujours en alerte et grimaçant de désir sous l’action efficace de leurs petites mains et de leurs lèvres qui vadrouillent autour de mon sexe.
Elles se plaisent à le malaxer quand il est tout mou pour le faire grossir et retrousser mon prépuce pour bien dégager le gland rubicond. « Oh putain qu’il a un gros zob ! S’écrie Betty… ». « On va le faire cracher », répond sa cousine en me masturbant à toute allure jusqu’à ce que je gicle dans ses mains.
Elles me présentent leur cul pour que je leur lèche, sans même pouvoir le toucher de mes mains…Je boue, j’adore, je bande, elles se marrent et elles me pètent au bout du nez. Des petits pets agressifs qui sortent de leur cul en faisant vibrer leurs muqueuses. Odeurs sauvages, saveurs de femmes !
Elles font un peu les mijaurées soit disant choquées par l’insolence de la situation, elles tentent mutuellement de se boucher le petit trou avec un doigt, mais en fait ça les amuse énormément et c’est à celle qui fera le plus de bruit…Ah les cochonnes ! Ça m’excite, et Ginette se marre comme une grosse vicieuse qu’elle est.
Leurs trous du culs sont admirables. L’un plus arrondi que l’autre révèle en son centre un anneau rond comme un hublot minuscule et donne l’impression d’être toujours ouvert et affamé, sans rien cacher de son petit vestibule. J’y mettrai bien le doigt…moi aussi.
L’autre, celui de Coralie est refermé sur lui-même, strié et entourée d’une large marbrure concentrique qui estompe tout le fond de la raie culière un peu à la manière de la cible d’un jeu de fléchettes…(malheureusement ma flèche, elle, est bien tendue mais je n’ai pas le doigt sur la gâchette !).
Leurs fesses qu’elles écartent largement quand elles recherchent les faveurs de mon bout de langue, sont fraîches, moussues et frémissantes comme la gelée qui entoure un bon gros pâté campagnard. Elles adorent que je leur titille la raie du cul.
Je fais cela avec beaucoup d’application. Je monte et je descends dans la grande échancrure.
Ma langue pointue ou plate se permet quelques facéties sur les petits bourrelets de leur rosette et de temps à autre pénètre gentiment leur coquine rondelle qui se resserre sur mon membre lingual comme avec une bouche minuscule. Ça leur fait des chatouilles et en faisant des soubresauts elles referment leurs fesses.
Sur mon sexe elles sont comme deux petites abeilles qui viennent de découvrir la
superbe étamine d’une fleur de pommier et qui de leurs petites pattes fragiles crapahutent tout autour du gros bouton d’amour.
Elles tâtent, lèchent, sucent et rient à gorge déployée au point que Betty, tant excitée, en pisse de frisson. Essayant de retenir la crue de sa vessie, un doigt dedans sa chatte, la main entre ses cuisses elle part d’un immense fou rire avec sa benjamine et pour se soulager mes deux petites ouvrières complètement débridées, se réunissent, debout sur le carrelage, ventre à ventre et chatte contre chatte s’arrosant mutuellement de pipi comme une fontaine publique, tout en me lançant, insolentes et grivoises, des regards des plus libidineux.
Soudain, se tournant face à moi, Betty, debout, les jambes écartées, me pisse à la figure en savourant la vengeance qu’elle m’avait promise.
La surprise là aussi est très grande. Je m’ébroue, le vigoureux jet qui sort d’un petit trou en bas de sa vulve arrose maintenant mon buste et j’ai tout le temps d’admirer le beau geste primesautier. Une fille qui pisse, debout, comme un garçon ! C’est sublime !
Ah ces Filles ont des manières fabuleuses !
Ensuite elles essuient le sol ; étalent un tapis et sous les judicieux conseils de Ginette, se font un tête à queue d’enfer…
(Sacrément dévergondées les poulettes !).
Betty, allongée sur sa sœur, a son petit as de pique tout rond et séditieux face à moi et la tête blonde de Coralie entre les cuisses. Le spectacle est des plus beaux. Quelques gouttes de manne dorée dégoulinent encore sur le visage de Coralie.
Coincé sur mon siège je suis à l’agonie, mon sexe turgescent se dresse à se décrocher face à tant d’outrecuidance.
Ce n’est pas moi qui vais les régaler mais l’index vigoureux et indécent de la divine tante qui de façon experte dépucèle la rondelle de l’ainée des jouvencelles qui remue son cul comme un poisson qui sort de l’eau.
L’index de la main gauche, tout aussi pointilleux pénètre à son tour le petit bijou de Coralie qui râle de plaisir et dont je vois seulement les deux jambes qui grimpent désespérément au plafond.
Les filles placées ainsi entre les deux bras de Ginette, qui vont et viennent, ça donne l’impression que cette dernière est en train de jouer de l’accordéon avec leur corps.
(Superbe accordéon en effet !).
Plus elles râlent et plus tantine enfonce ses doigts dans les profonds conduits ce qui fait découvrir aux deux petites pimbêches, qu’en ces lieux les femmes ont aussi de délicieux et troublants plaisirs.
Du coup voilà nos deux coquines savamment déniaisées.
Elles sont en transe.
C’est une belle et nouvelle expérience pour elles qui n’imaginaient pas il y a encore quelques minutes seulement, que l’amour puisse se faire si coquin et provoquer en cet endroit de si curieux ravissements, d’autant que la chose interdite et grivoise a un aspect cérébral qui motive très sérieusement le défoulement de leur libido.
« Mais attention leur dit la tante, il faut laisser le temps à vos fragiles muqueuses de murir et de s’ennoblir avant de faire quelque expérience toujours un peu trop vigoureuse lorsqu’un adorable mais pas trop patient admirateur voudra en l’endroit vous faire un si prodigieux compliment.
Vous avez dans vos mains les outils nécessaires à cette préparation. Il est de bon usage que le soir, dans leur lit, les jeunes femmes de bonne famille comme vous, préparent avec leur doigt du milieu, la petite entrée afin que, plus tard, leur amoureux puisse un jour ou l’autre se permettre de frapper à la petite porte »…(petite porte dont toute femme bien éduquée aura à cœur de faire en sorte que jamais ne rouille la serrure ).
Pour ma part j’entends avec ravissement ces paroles de connaisseuse, tout en me disant que cela doit être merveilleux de pénétrer par ces petits trous et je me promets d’essayer au plus tôt d’en faire l’expérience.
Et sur ces bons conseils elle leur fournit un long instrument en bois d’olivier qui a la forme d’un phallus aux deux extrémités et elle les encourage, pour l’instant, à l’introduire dans leur minou en s’allongeant, jambes croisées et chattes à chatte serrées l’une contre l’autre comme des tribades.
C’est fou ce que ça les excite et ce que ça leur donne du bonheur…Elles crient, s’agitent, se cognent l’entre-jambes à en veux-tu en voilà pendant que Ginette très excitée elle aussi les caresse, les embrasse et leur titille les seins et remue le bel engin.
Bon sang elles vont me faire mourir ces femelles en chaleur !
Ma tante est tout de même une sacrée perverse car profitant de mon immobilité contrainte, elle se déshabille complètement me laissant voir enfin ce superbe cul que je désire tant.
Si elle possède un beau visage, de gros seins appétissants, ainsi qu’un ventre grassouillet avec un pubis chatoyant, elle a aussi une bonne croupe, large, robuste, solidement charpentée faite pour soutenir l’assaut de mâles vigoureux et capable de résister à leurs coups de boutoirs.
Elle sait fort bien mettre en valeur ses fesses très aguichantes enveloppées dans un tailleur qui le dimanche les livre aux regards concupiscents des bons chrétiens bien plus enclins à regarder son bel hôtel plutôt que celui de l’église.
(Je pense que plus d’un bon paroissien a dû tremper son bâton pastoral dans le cul de cette bonne fidèle délicieusement infidèle pendant les absences de son propriétaire).
La vue de ce cul que je convoite depuis si longtemps, me fais bander encore davantage.
Les filles en profitent d’autant plus que malgré le supplice, j’ai beaucoup de joies à les voir ainsi se gamahucher et se gaver de mes érections en se perfectionnant dans l’art de la fellation suivant les bons conseil de la tante qui leur explique la manière de faire jouir un homme pour en capter le plus de plaisir possible.
Et l’insolent frétillement de leurs langues sur le frein de ma pine, me transporte au paradis.
En suite elles entourent leur tante pour lui tripoter devant moi ses grosses miches et sa raie profonde et Madame n’est pas indifférente à de telles attentions délicieuses, vicieuses, pénétrantes… elles me font baver. Je jouis de voir ma chère tante se tordre de plaisir sous les caresses de leurs quatre mains qui malaxent ses chairs comme un boulanger qui pétrit une grosse miche !
Elle jouit en criant comme une petite fille. Elle est trempée comme une carpe et quand elle resserre fermement ses cuisses, sa grosse chatte fait des bruits de clapotis, comme cocotte qui boue.
Heureusement je ne suis pas toujours attaché et je profite beaucoup des ardeurs de la tante et de ses deux nièces en leur rendant à mon tour de délicieuses caresses et en léchant leur foufoune.
Les après-midi coquines se succèdent ainsi avec beaucoup de charme mais hélas les jours passent vite et les vacances aussi.
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Mais Tantine ne nous a pas encore livré tous ses secrets…
…………………………………l’été n’est pas encore finit, alors un peu de patience
………………………………….caressez-vous en attendant!

Les avis des lecteurs

Bien joué ! l'excitation monte, les épisodes se suivent et on attend avec impatience la suite ...

Histoire Erotique
Toujours aussi délicieux. Et si l'oncle n'était pas celui que l'on croit ?



Texte coquin :  Education libertine  2  (Tante, cousin, cousines)
Histoire sexe : Une rose rouge
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