Les couches révélées
Récit érotique écrit par Guepierre_Noire [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-12-2008 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Les couches révélées
Samedi dernier, je faisais quelques courses. Pour cette balade en ville, je portais sous mon pantalon un change ABENA agrémenté de 2 couches droites. Bien que mon pantalon soit un peu large, par précaution je laissais ma chemise hors de mon pantalon et portais un blouson un peu long. Je prenais aussi dans un sac de quoi me changer en cas de fuites.
Dans une boutique de chaussure, j'eus la surprise de voir que l'une des vendeuses était la fille de ma voisine. Elle s'appelle cloé et je l'ai parfois croisée dans l'immeuble quand elle vient rendre visite à sa mère. Elle me reconnaît, on discute un peu, puis elle propose de m'aider à choisir. Je sélectionne 2 paires, et je lui demande les tailles correspondantes. Mais bien sûr Alain (c'est mon prénom), assis-toi là je reviens. Je m'assieds sur un tabouret et attends patiemment que cloé revienne. En m'asseyant, je sentis mes couches s'écraser sous mes fesses. Heureusement je ne m'étais pas mouillé, car j'avais décidé de me retenir le plus longtemps possible. Cloé réapparue avec les chaussures. Je tendis les mains pour qu'elle me les donne, mais, à ma grande surprise, elle s'agenouilla devant moi et commença à défaire les lacets de mes chaussures. Je lui fis remarquer qu'il y a bien longtemps que les vendeuses de chaussures ne pratique plus de la sorte. Elle leva les yeux et me dit que je n'étais pas un client quelconque. Je me laissais faire tout en m'inquiétant de l'épaisseur de mon entrejambe. Cloé fit son travail, mais il me sembla qu'elle jeta quelques coups d'oeils à mon pantalon au niveau de la braguette, n'étant pas sûr je préférais quand même placer, à plusieurs reprises, le bas de mon blouson pour cacher l'épaisseur de ma couche. Bien évidemment il fallut que je me lève plusieurs fois pour marcher un peu avec mes nouvelles chaussures. En me levant, ou me rasseyant je prenais soin de dissimuler au maximum mon bassin.
Tiens c'est bizarre, ces chaussures font du bruit, me dit cloé
Ah bon je n'avais pas remarqué lui répondis-je
Si si, c'est très léger. Tiens, relève toi et marche tu vas entendre.
Ah oui c'est vrai, mais c'est qu'elles sont neuves. Elles se feront avec le temps
Tu as raison, ce n'est pas grave.
Ouf, je ne pouvais lui dire que ce qu'elle entendait c'était le bruit de ma couche sous mon pantalon large.
Elle m'accompagne à la caisse, je lui règle les chaussures.
Il est 19h, me dit-elle. J'ai fini mon travail. Tu veux venir boire un verre à la maison, j'habite juste à côté.
J'hésitais car je craignais qu'elle ne remarque mes couches. Après réflexion, j'acceptais en me disant que les pans de ma chemise devaient bien cacher mes fesses rebondies.
Nous voilà dans la rue, nous marchons en discutant de choses et d'autres. Nous arrivons chez elle.
J'habite au dernier, mais il n'y a pas d'ascenseur.
C'est pas grave, lui répondis-je.
Au bas de l'escalier, je ralentis pour la laisser passer.
Commence à monter me dit-elle, je regarde d'abord le courrier. Je te rattrape.
Ne sachant quoi répondre, je commence à monter. En même temps que je passe la 1e marche, je pense tout de suite qu'elle aura une vue imprenable sur mon postérieur. Mais il est trop tard pour reculer, je continue à grimper.
Puis j'entends le bruit de ses pas qui se rapproche derrière moi. Je décide de ralentir un peu, afin de réduire l'espace entre-nous, et lui offrir ainsi une vue de mon dos en espérant que ma chemise cachera mon derrière.
Allez, bouge tes grosses fesses, me dit-elle. Accélère...
Cette remarque fit faire un bond à mon cœur. C'est une façon de parler me dis-je dans ma tête.
Arrivé au dernier, elle me double et sonne à une porte.
- Mince pensais-je, il y a du monde chez elle
- Tu sais, je plaisantais quand j'ai dit grosses fesses...
- J'avais deviné, lui dis-je, avec un soupir de soulagement.
La porte s'ouvrit sur une charmante jeune femme aux cheveux longs.
Salut
Bonjour, répondit cloé. Je te présente Alain, un copain. Alain voici Nathalie
Salut Alain
- Bonjour, répondis-je
Passe au salon me dit cloé, Nathalie tu l'installes pendant que je pose mes affaires dans ma chambre.
Je suivais Nathalie jusqu'au salon où se trouvaient 3 autres jeunes femmes.
Les filles, je vous présente Alain.
Je saluais d'un geste de la main, et m'empressais de m'asseoir sur le canapé. Je fus surpris car ce dernier était tellement mou, que je m'enfonçais et me retrouvais avec les genoux plus haut que mes fesses. Instinctivement j'essayais de me redresser, afin de cacher la bosse que formait ma couche sur le devant de mon pantalon. Heureusement personne ne la remarqua.
Tu bois quelque chose Alain, me demanda Nathalie. Il y a du champagne...
Ok pour le champagne répondis-je, tout en pensant que cela allait encore augmenter mon envie de faire pipi.
Cloé arrive. Nous discutons tous ensemble. J'ai un peu de mal à cacher mon entre jambe rembourrée par les couches. Après quelques minutes, Cloé va à la cuisine, puis elle m'appelle pour l'aider. Je me lève difficilement, prends soins de rabattre ma chemise sur mes fesses. Arrivé dans la cuisine, elle me demande de lui attraper quelque chose dans un placard en hauteur. Je suis obligé de monter sur une chaise, en espérant qu'elle ne remarquera pas mes fesses rembourrées. Alors que je tends la main pour attraper l'objet, je sens une main insistante sur mes fesses. Je me retourne ; Je devais être tout rouge.
Mais tu es tout rouge, que t'arrive-t-il
Rien, rien répondis-je
J'attrape ce qu'elle m'a demandé, lui donne, et me dépêche de descendre de la chaise. Cloé me tourne alors le dos pour sortir des gâteaux apéro d'un placard.
Ouf pensais-je, elle n'a rien remarqué. Sur cette pensé je décide de quitter la cuisine. Mais au moment de passer la porte cloé m'appelle.
Alain !
Je me retourne et m'approche d'elle. Elle me regarde fixement, et je sens ses grands yeux bleus qui me transpercent.
Qu'est-ce que tu as sous ton pantalon !
Un violent frisson m'envahit.
Je, jeBafouille pas, dis-moi ce que tu portes sous ton pantalon
- Euh non, je, je...
Tu portes des couches, c'est ça ?
Euh non, non...
Ne ment pas, dit-elle d'un ton autoritaire
Euh, oui c'est vrai, répondis-je dépité.
Et ça fait longtemps
Euh.. Non. 1 semaine seulement, j'ai un petit problème de santé.
Cloé s'approche de moi et tend la main pour m'attraper par la ceinture et trier vers elle.
Viens ici !
Elle me tire dans un coin de la cuisine à l'abri des regards des personnes susceptibles de passer dans le couloir. Puis elle cherche à baisser ma braguette. Je repousse sa main.
Allons ne soit pas bête, laisse-toi faire. Je sais très bien que tu mens et que tu portes des couches depuis bien plus longtemps. Ça fait longtemps que j'ai remarqué tes culottes plastiques que tu fais sécher sur ton balcon. Tu oublies que je vais très souvent chez ma mère et que j'ai eu souvent l'occasion de les voir. Ma mère aussi les a remarquées, mais elle croit que tu reçois une personne âgée.
Et toi qu'à tu crus, lui répondis-je
Moi, je me suis toujours demandé pourquoi nous ne croisions jamais cette personne âgée dans l'escalier. Et comme tu es célibataire, voilà longtemps que je suppose que tu aimes jouer au bébé. Je me trompe, ajoute-t-elle en me regardant droit dans les yeux...
J'hésite à répondre et elle profite de mon désarroi pour baisser ma braguette et glisser un doigt dans mon pantalon. Je sens alors son doigt glisser sur le devant de ma couche.
Laisse toi faire ou sinon je dis à toutes mes copines que tu portes encore des couches à ton âge.
Je me laisse faire, elle ouvre ma ceinture, défait le bouton et baisse mon pantalon, puis elle passe sa main sur le plastique de ma couche.
- Je n'avais jamais vu un homme en couche, je trouve cela très excitant. Elle ajoute : Mais dis-moi, ton excuse médicale c'est bien du bidon? Je suis certaine que tu es en réalité un gros bébé.
Je ne dis rien.
Si tu ne me réponds pas j'appelle mes copines
Elle répète sa question. Je finis par lui avouer que oui.
Elle me rhabille et me dit : parfait ce sera notre secret.
Nous repartons au salon. La discussion avec ses amies reprend. Plusieurs fois elle m'appelle bébé ou mon bébé devant ses copines, ce qui m'inquiète et m'excite en même temps. Bien évidemment cela fini par faire rire ses copines qui se mettent aussi à m'appeler bébé. Une de ses amies lui demande pourquoi elle m'appelle bébé. Elle lui répond directement et assez fort :
- Mais parce que c'est encore un bébé, un grand bébé, mais un bébé quand même.
Bien évidemment je suis rouge de honte pendant que ses copines rigolent. Son amie reprend :
Mais pourquoi dis-tu que c'est un grand bébé.
Tu n'as qu’à lui demander, répond cloé.
Avant qu'elle me pose la question, je me lève en prétextant aller aux toilettes, surtout que j'avais une envie pressante. Ne sachant pas où sont les toilettes, je demande discrètement à cloé où elles se trouvent. À ce moment toujours assise, elle me dit tout fort :
- Les toilettes?? Mais tu n'en as pas besoins, tu n'as qu'à faire dans tes couches!
A ces mots, tout le monde se tait et me regarde. Moi je suis rouge de honte en me redressant. Elle dit alors à sa copine :
- Tu veux savoir pourquoi je dis que c'est un bébé? Regarde le bien, il porte des couches sous son pantalon!
Une de ses amies dit en riant : Des couches!
- Oui des couches répond cloé. Tiens, dit-elle à sa voisine qui se trouve derrière moi, touche ses fesses et tu verras.
A ce moment, je sens une main qui s'appuie fortement sur mes fesses.
Mais c'est vrai dit la fille, il a des couches sous son pantalon.
Une autre copine dit :
- Non ce n’est pas vrai!
- Tu ne me crois pas? Dis cloé. Et bien regarde.
À ce moment, elle commence à défaire ma ceinture, je veux résister, mais je sens la main sur mes fesses qui me bloque et me pousse en avant vers cloé qui me dit :
- Sois tu te laisses faire, soit je te promets que mes copines et moi on t'enlève tous tes vêtements et on te jette à la rue en couche.
Je n'ai pas d'autre choix que de me laisser faire. Elle défait ma ceinture, baisse ma braguette et descend mon pantalon doucement. Toutes les filles me regardent les yeux fixés sur ma couche.
- Mais c'est vrai qu'il porte des couches dit l'une d'entre elles. Il est malade?
- Oh non répond cloé, c'est surtout qu'il aime jouer les bébés. La preuve en est qu'il va faire pipi dans sa couche devant vous.
Elle me regarde :
- Tu voulais aller aux toilettes, c'est donc que tu as envie. Alors tu peux faire pipi, mais dans ta couche, ça fera plaisir à mes copines. Pas vrai les filles ?
Oui répondent les filles en choeurs
Allez bébé fait dans ta coucouche, ajoute une autre
Oh m'ais c'est un vilain bébé qui ne veut pas mouiller ses couches ajoute une autre...
Dépêche-toi bébé, sinon c'est dehors en couches
-
Bien obligé d'accepter je me laisse aller. Les filles passent la main sur ma couche,
- Oh mais c'est qu'il fait vraiment dans sa couche, je sens la chaleur.
- Oh regardez sa couche se mouille.
Je m'arrête, mais les filles veulent que je continue; évidemment je ne peux pas. Cloé demande :
- A votre avis combien de litres sa couche peut-elle
Là elle prend une bouteille d'eau, tire sur la ceinture de ma couche et verse le liquide doucement. Je sens le froid et le liquide envahir ma couche qui grossit a vu d'oeil. Une fois la bouteille vide elle soupèse ma couche.
Elle me regarde ensuite et me dit:
Au fait qu'as-tu dans ton sac.
Elle se lève et prend mon sac. Elle l'ouvre :
- Regardez les filles ce que je trouve, des couches, des culottes, une barboteuse. Elle défait toutes mes affaires au fur et à mesure.
Mais qu'est ce donc que cela? Elle sort alors une culotte en dentelle. Mais c'est qu'il aime la lingerie ce grand bébé. Bon les filles, on s'occupe de changer ce gros bébé? On ne peut pas le laisser repartir avec sa couche mouillée.
Oui répondent-elles, visiblement excité et contente de se moquer de moi
Elles m'entraînent vers une chambre. Cloé ouvre alors un placard et sort une serviette qu'elle étale sur le lit :
Ça servira d'alèze pour notre grand bébé.
Puis cloé renverse mon sac sur le lit, où mes couches et mes culottes se répandent. Puis cloé retourne dans le placard et en ressort une boîte.
- Voilà, j'ai tout préparé. Tout ça c'est pour toi mon bébé, et surtout pour que mes copines s'amusent un peu
Elles me poussent sur le lit, finissent d'enlever mes chaussures, chaussettes et pantalon, ainsi que ma chemise. Cloé défait ma couche et la pose à côté. Puis elle défait un grand change complet le glisse sous mes fesses, elle ajoute 5 couches droites. Avant de refermer ma couche elle me mets de la crème et du talc ce qui déclenche une érection, le tout sous les rires et moqueries de ses copines
- Oh mais c'est qu'il a de drôles de réactions ce bébé?
- Une copine ajoute : Mais c'est vrai, il semble que notre bébé s'excite, il faudrait prendre sa température.
- Bonne idée dit cloé. Mets toi à 4 pattes.
Je me retourne et me mets à 4 pattes sur les couches. Une fois les fesses en l'air je reçois une fessée pour avoir bandé.
Puis une de ses copines dit :
- Il lui faut une tétine.
Cloé ouvre alors la boîte et attrape alors une sorte de plug qu'elle me fourre dans la bouche. Nathalie l'attrape et le fais bouger d'un va et vient.
- Suce mon gros bébé, suce. C'est une belle tétine hein...
Je n'ai pas le choix et me mets à sucer le plug. Pendant ce temps, je sens un thermomètre rentrer en moi. Puis il ressort, et je sens autre chose que je devine être un doigt dans un gant en latex.
- Oh mais c'est qu'il suce bien le bébé, dit Nathalie, à croire qu'il doit aussi aime sucer des bites ce gros bébé.
Les filles rigolent
- Une autre fille ajoute : vous oubliez la culotte en dentelle, je suis sure qu'il porte de la lingerie. Si on transformait notre bébé en bébé-fille, on pourrait ensuite le traiter comme tel.
Cloé sort alors d'un tiroir une culotte de femme, un porte-jarretelles, des bas et un corset. Vous avez raison les filles dit elle, avant
de lui remettre ses couches on va s'amuser un peu. Elles me font alors enfiler culotte, Pj, bas, corset.
- Oh comme elle est mignonne. Mais on dirait plus une grosse salope qu'un bébé. Comme on va avoir besoin de sa queue et de son cul, on va lui mettre une couche sur la tête pour lui rappeler sa condition de bébé.
À ce moment, elle attrape mes couches sales et me recouvre le visage avec en les attachant grâce au collant.
Elles me poussent sur le lit, je me retrouve sur le dos couché sur l'alèze en plastique. J'entends :
- Bon et si on baisait cette salope. Je sens alors que l'on me relève les jambes et qu'on les attache en l'air. Puis mes bras sont étirés et attachés eux aussi. Je me retrouve en croix avec les jambes en l'air et écartées, les fesses un peu relevées. Puis je sens que l'on écarte ma culotte et un doigt étalant de la crème sur mon anus puis j'entends cloé dire à une de ses copines :
- Tiens mets donc ce gode. Toi qui a toujours rêvé d'enculer un mec tu vas pouvoir le faire aujourd'hui.
La fille attache le gode à sa taille pendant que quelqu'un écarte la couche de mon visage en disant :
Regarde à quoi tu vas avoir droit;
Je vois alors la fille en culotte avec un gode attaché autour de sa taille. Elle s'approche écarte mes fesses et me pénètre profondément. Au même moment une autre femme se mets au-dessus de mois et m'enfonce un autre gode dans la bouche.
- Oh mais c'est qu'il fait ça bien les filles, c'est une vrai tapette ce bébé avec sa lingerie de grande. Aller les filles chacune votre tour.
Toutes les filles me prennent chacune leur tour. Puis cloé me détache et m'ordonne de me remettre à 4 pattes. Elle dit à ses copines :
- Allez les filles, on va le traire comme une vache
Je sens alors qu'une des fille me pénètre avec son gode-ceinture, puis une autre se glisse devant moi elle aussi avec un gode et m'oblige à sucer le sexe en latex. Enfin je sens une main prendre mon sexe, elle l'enroule dans une couche droite et se met à le branler de hauts en bas très rapidement.
- Allez gros bébé tu as deux minutes pour faire tes cochonneries.
Bien évidemment j'explose avec cette main experte qui ne s'arrête pas de me branler. Epuisé je m'affale.
Des mains me retournent, je me retrouve à nouveaux sur le paquet de couches préparées en mon honneur. Cloé me dit :
- T'es vraiment un bébé, regarde cette couche, elle est toute mouillée de tes cochonneries. Je n'ai pas le choix que de te remettre tes couches.
Elle referme alors les 5 couches droites et le change complet sur mon ventre, mais juste avant je sens plusieurs objets froids qui s'enfoncent dans mon derrière. Puis elle me met une culotte plastique puis la barboteuse en plastique elle aussi. Cloé me dit :
- Si pendant le reste de la soirée tu es capable de na ne pas mouiller ta couche, alors tu repartiras habillé normalement, sinon tu repartiras avec une énorme couche sous ton pantalon.
De retour au salon, je dois servir ces dames dans ma tenue de bébé, évidemment chacune abuse de la situation, elles me tapotent les fèces, s'amusent à verser différents liquides dans ma couche, etc.
Au bout d'un moment je sens mon ventre gargouiller, je comprends alors que les objets froids étaient des suppositoires à la glycérine. Je ne peux me retenir et rempli ma couche devant l'assemblée amusée. Ensuite chacune s'amuse à me tapoter les fesses plus ou moins fortement. Au bout d'une heure Cloé m'emmène dans la salle de bain, elle me déshabille, me douche et me ramène dans la chambre.
Puisque tu n'as pas su te retenir, je vais te remettre une couche pour partir? Elle me lange d'une grosse couche, pus ajoute une culotte en plastique. Puis elle m'emmène au salon où je retrouve les vêtements. Voilà maintenant habille-toi et file d'ici avant que nous te fassions subir les pires outrages. Alors que je vais enfiler mon pantalon une des filles me tend la culotte en dentelle qui était dans mon sac. Je l'enfile, les filles se moque de moi, puis je finis de m'habiller. Cloé me raccompagne sans un mot ouvre la porte me pousse dehors. Avant de refermer sa porte elle me dit :
Tu reviens demain ! Mais je veux que tu sois encore en couches. Avec mes copines, on s'est bien amusées et l'on veut remettre ça... Ah j'oubliais, je veux que tu sois en couches tous les jours. Je compte bien aussi venir chez toi pour voir toutes tes petites affaires...
Dans une boutique de chaussure, j'eus la surprise de voir que l'une des vendeuses était la fille de ma voisine. Elle s'appelle cloé et je l'ai parfois croisée dans l'immeuble quand elle vient rendre visite à sa mère. Elle me reconnaît, on discute un peu, puis elle propose de m'aider à choisir. Je sélectionne 2 paires, et je lui demande les tailles correspondantes. Mais bien sûr Alain (c'est mon prénom), assis-toi là je reviens. Je m'assieds sur un tabouret et attends patiemment que cloé revienne. En m'asseyant, je sentis mes couches s'écraser sous mes fesses. Heureusement je ne m'étais pas mouillé, car j'avais décidé de me retenir le plus longtemps possible. Cloé réapparue avec les chaussures. Je tendis les mains pour qu'elle me les donne, mais, à ma grande surprise, elle s'agenouilla devant moi et commença à défaire les lacets de mes chaussures. Je lui fis remarquer qu'il y a bien longtemps que les vendeuses de chaussures ne pratique plus de la sorte. Elle leva les yeux et me dit que je n'étais pas un client quelconque. Je me laissais faire tout en m'inquiétant de l'épaisseur de mon entrejambe. Cloé fit son travail, mais il me sembla qu'elle jeta quelques coups d'oeils à mon pantalon au niveau de la braguette, n'étant pas sûr je préférais quand même placer, à plusieurs reprises, le bas de mon blouson pour cacher l'épaisseur de ma couche. Bien évidemment il fallut que je me lève plusieurs fois pour marcher un peu avec mes nouvelles chaussures. En me levant, ou me rasseyant je prenais soin de dissimuler au maximum mon bassin.
Tiens c'est bizarre, ces chaussures font du bruit, me dit cloé
Ah bon je n'avais pas remarqué lui répondis-je
Si si, c'est très léger. Tiens, relève toi et marche tu vas entendre.
Ah oui c'est vrai, mais c'est qu'elles sont neuves. Elles se feront avec le temps
Tu as raison, ce n'est pas grave.
Ouf, je ne pouvais lui dire que ce qu'elle entendait c'était le bruit de ma couche sous mon pantalon large.
Elle m'accompagne à la caisse, je lui règle les chaussures.
Il est 19h, me dit-elle. J'ai fini mon travail. Tu veux venir boire un verre à la maison, j'habite juste à côté.
J'hésitais car je craignais qu'elle ne remarque mes couches. Après réflexion, j'acceptais en me disant que les pans de ma chemise devaient bien cacher mes fesses rebondies.
Nous voilà dans la rue, nous marchons en discutant de choses et d'autres. Nous arrivons chez elle.
J'habite au dernier, mais il n'y a pas d'ascenseur.
C'est pas grave, lui répondis-je.
Au bas de l'escalier, je ralentis pour la laisser passer.
Commence à monter me dit-elle, je regarde d'abord le courrier. Je te rattrape.
Ne sachant quoi répondre, je commence à monter. En même temps que je passe la 1e marche, je pense tout de suite qu'elle aura une vue imprenable sur mon postérieur. Mais il est trop tard pour reculer, je continue à grimper.
Puis j'entends le bruit de ses pas qui se rapproche derrière moi. Je décide de ralentir un peu, afin de réduire l'espace entre-nous, et lui offrir ainsi une vue de mon dos en espérant que ma chemise cachera mon derrière.
Allez, bouge tes grosses fesses, me dit-elle. Accélère...
Cette remarque fit faire un bond à mon cœur. C'est une façon de parler me dis-je dans ma tête.
Arrivé au dernier, elle me double et sonne à une porte.
- Mince pensais-je, il y a du monde chez elle
- Tu sais, je plaisantais quand j'ai dit grosses fesses...
- J'avais deviné, lui dis-je, avec un soupir de soulagement.
La porte s'ouvrit sur une charmante jeune femme aux cheveux longs.
Salut
Bonjour, répondit cloé. Je te présente Alain, un copain. Alain voici Nathalie
Salut Alain
- Bonjour, répondis-je
Passe au salon me dit cloé, Nathalie tu l'installes pendant que je pose mes affaires dans ma chambre.
Je suivais Nathalie jusqu'au salon où se trouvaient 3 autres jeunes femmes.
Les filles, je vous présente Alain.
Je saluais d'un geste de la main, et m'empressais de m'asseoir sur le canapé. Je fus surpris car ce dernier était tellement mou, que je m'enfonçais et me retrouvais avec les genoux plus haut que mes fesses. Instinctivement j'essayais de me redresser, afin de cacher la bosse que formait ma couche sur le devant de mon pantalon. Heureusement personne ne la remarqua.
Tu bois quelque chose Alain, me demanda Nathalie. Il y a du champagne...
Ok pour le champagne répondis-je, tout en pensant que cela allait encore augmenter mon envie de faire pipi.
Cloé arrive. Nous discutons tous ensemble. J'ai un peu de mal à cacher mon entre jambe rembourrée par les couches. Après quelques minutes, Cloé va à la cuisine, puis elle m'appelle pour l'aider. Je me lève difficilement, prends soins de rabattre ma chemise sur mes fesses. Arrivé dans la cuisine, elle me demande de lui attraper quelque chose dans un placard en hauteur. Je suis obligé de monter sur une chaise, en espérant qu'elle ne remarquera pas mes fesses rembourrées. Alors que je tends la main pour attraper l'objet, je sens une main insistante sur mes fesses. Je me retourne ; Je devais être tout rouge.
Mais tu es tout rouge, que t'arrive-t-il
Rien, rien répondis-je
J'attrape ce qu'elle m'a demandé, lui donne, et me dépêche de descendre de la chaise. Cloé me tourne alors le dos pour sortir des gâteaux apéro d'un placard.
Ouf pensais-je, elle n'a rien remarqué. Sur cette pensé je décide de quitter la cuisine. Mais au moment de passer la porte cloé m'appelle.
Alain !
Je me retourne et m'approche d'elle. Elle me regarde fixement, et je sens ses grands yeux bleus qui me transpercent.
Qu'est-ce que tu as sous ton pantalon !
Un violent frisson m'envahit.
Je, jeBafouille pas, dis-moi ce que tu portes sous ton pantalon
- Euh non, je, je...
Tu portes des couches, c'est ça ?
Euh non, non...
Ne ment pas, dit-elle d'un ton autoritaire
Euh, oui c'est vrai, répondis-je dépité.
Et ça fait longtemps
Euh.. Non. 1 semaine seulement, j'ai un petit problème de santé.
Cloé s'approche de moi et tend la main pour m'attraper par la ceinture et trier vers elle.
Viens ici !
Elle me tire dans un coin de la cuisine à l'abri des regards des personnes susceptibles de passer dans le couloir. Puis elle cherche à baisser ma braguette. Je repousse sa main.
Allons ne soit pas bête, laisse-toi faire. Je sais très bien que tu mens et que tu portes des couches depuis bien plus longtemps. Ça fait longtemps que j'ai remarqué tes culottes plastiques que tu fais sécher sur ton balcon. Tu oublies que je vais très souvent chez ma mère et que j'ai eu souvent l'occasion de les voir. Ma mère aussi les a remarquées, mais elle croit que tu reçois une personne âgée.
Et toi qu'à tu crus, lui répondis-je
Moi, je me suis toujours demandé pourquoi nous ne croisions jamais cette personne âgée dans l'escalier. Et comme tu es célibataire, voilà longtemps que je suppose que tu aimes jouer au bébé. Je me trompe, ajoute-t-elle en me regardant droit dans les yeux...
J'hésite à répondre et elle profite de mon désarroi pour baisser ma braguette et glisser un doigt dans mon pantalon. Je sens alors son doigt glisser sur le devant de ma couche.
Laisse toi faire ou sinon je dis à toutes mes copines que tu portes encore des couches à ton âge.
Je me laisse faire, elle ouvre ma ceinture, défait le bouton et baisse mon pantalon, puis elle passe sa main sur le plastique de ma couche.
- Je n'avais jamais vu un homme en couche, je trouve cela très excitant. Elle ajoute : Mais dis-moi, ton excuse médicale c'est bien du bidon? Je suis certaine que tu es en réalité un gros bébé.
Je ne dis rien.
Si tu ne me réponds pas j'appelle mes copines
Elle répète sa question. Je finis par lui avouer que oui.
Elle me rhabille et me dit : parfait ce sera notre secret.
Nous repartons au salon. La discussion avec ses amies reprend. Plusieurs fois elle m'appelle bébé ou mon bébé devant ses copines, ce qui m'inquiète et m'excite en même temps. Bien évidemment cela fini par faire rire ses copines qui se mettent aussi à m'appeler bébé. Une de ses amies lui demande pourquoi elle m'appelle bébé. Elle lui répond directement et assez fort :
- Mais parce que c'est encore un bébé, un grand bébé, mais un bébé quand même.
Bien évidemment je suis rouge de honte pendant que ses copines rigolent. Son amie reprend :
Mais pourquoi dis-tu que c'est un grand bébé.
Tu n'as qu’à lui demander, répond cloé.
Avant qu'elle me pose la question, je me lève en prétextant aller aux toilettes, surtout que j'avais une envie pressante. Ne sachant pas où sont les toilettes, je demande discrètement à cloé où elles se trouvent. À ce moment toujours assise, elle me dit tout fort :
- Les toilettes?? Mais tu n'en as pas besoins, tu n'as qu'à faire dans tes couches!
A ces mots, tout le monde se tait et me regarde. Moi je suis rouge de honte en me redressant. Elle dit alors à sa copine :
- Tu veux savoir pourquoi je dis que c'est un bébé? Regarde le bien, il porte des couches sous son pantalon!
Une de ses amies dit en riant : Des couches!
- Oui des couches répond cloé. Tiens, dit-elle à sa voisine qui se trouve derrière moi, touche ses fesses et tu verras.
A ce moment, je sens une main qui s'appuie fortement sur mes fesses.
Mais c'est vrai dit la fille, il a des couches sous son pantalon.
Une autre copine dit :
- Non ce n’est pas vrai!
- Tu ne me crois pas? Dis cloé. Et bien regarde.
À ce moment, elle commence à défaire ma ceinture, je veux résister, mais je sens la main sur mes fesses qui me bloque et me pousse en avant vers cloé qui me dit :
- Sois tu te laisses faire, soit je te promets que mes copines et moi on t'enlève tous tes vêtements et on te jette à la rue en couche.
Je n'ai pas d'autre choix que de me laisser faire. Elle défait ma ceinture, baisse ma braguette et descend mon pantalon doucement. Toutes les filles me regardent les yeux fixés sur ma couche.
- Mais c'est vrai qu'il porte des couches dit l'une d'entre elles. Il est malade?
- Oh non répond cloé, c'est surtout qu'il aime jouer les bébés. La preuve en est qu'il va faire pipi dans sa couche devant vous.
Elle me regarde :
- Tu voulais aller aux toilettes, c'est donc que tu as envie. Alors tu peux faire pipi, mais dans ta couche, ça fera plaisir à mes copines. Pas vrai les filles ?
Oui répondent les filles en choeurs
Allez bébé fait dans ta coucouche, ajoute une autre
Oh m'ais c'est un vilain bébé qui ne veut pas mouiller ses couches ajoute une autre...
Dépêche-toi bébé, sinon c'est dehors en couches
-
Bien obligé d'accepter je me laisse aller. Les filles passent la main sur ma couche,
- Oh mais c'est qu'il fait vraiment dans sa couche, je sens la chaleur.
- Oh regardez sa couche se mouille.
Je m'arrête, mais les filles veulent que je continue; évidemment je ne peux pas. Cloé demande :
- A votre avis combien de litres sa couche peut-elle
Là elle prend une bouteille d'eau, tire sur la ceinture de ma couche et verse le liquide doucement. Je sens le froid et le liquide envahir ma couche qui grossit a vu d'oeil. Une fois la bouteille vide elle soupèse ma couche.
Elle me regarde ensuite et me dit:
Au fait qu'as-tu dans ton sac.
Elle se lève et prend mon sac. Elle l'ouvre :
- Regardez les filles ce que je trouve, des couches, des culottes, une barboteuse. Elle défait toutes mes affaires au fur et à mesure.
Mais qu'est ce donc que cela? Elle sort alors une culotte en dentelle. Mais c'est qu'il aime la lingerie ce grand bébé. Bon les filles, on s'occupe de changer ce gros bébé? On ne peut pas le laisser repartir avec sa couche mouillée.
Oui répondent-elles, visiblement excité et contente de se moquer de moi
Elles m'entraînent vers une chambre. Cloé ouvre alors un placard et sort une serviette qu'elle étale sur le lit :
Ça servira d'alèze pour notre grand bébé.
Puis cloé renverse mon sac sur le lit, où mes couches et mes culottes se répandent. Puis cloé retourne dans le placard et en ressort une boîte.
- Voilà, j'ai tout préparé. Tout ça c'est pour toi mon bébé, et surtout pour que mes copines s'amusent un peu
Elles me poussent sur le lit, finissent d'enlever mes chaussures, chaussettes et pantalon, ainsi que ma chemise. Cloé défait ma couche et la pose à côté. Puis elle défait un grand change complet le glisse sous mes fesses, elle ajoute 5 couches droites. Avant de refermer ma couche elle me mets de la crème et du talc ce qui déclenche une érection, le tout sous les rires et moqueries de ses copines
- Oh mais c'est qu'il a de drôles de réactions ce bébé?
- Une copine ajoute : Mais c'est vrai, il semble que notre bébé s'excite, il faudrait prendre sa température.
- Bonne idée dit cloé. Mets toi à 4 pattes.
Je me retourne et me mets à 4 pattes sur les couches. Une fois les fesses en l'air je reçois une fessée pour avoir bandé.
Puis une de ses copines dit :
- Il lui faut une tétine.
Cloé ouvre alors la boîte et attrape alors une sorte de plug qu'elle me fourre dans la bouche. Nathalie l'attrape et le fais bouger d'un va et vient.
- Suce mon gros bébé, suce. C'est une belle tétine hein...
Je n'ai pas le choix et me mets à sucer le plug. Pendant ce temps, je sens un thermomètre rentrer en moi. Puis il ressort, et je sens autre chose que je devine être un doigt dans un gant en latex.
- Oh mais c'est qu'il suce bien le bébé, dit Nathalie, à croire qu'il doit aussi aime sucer des bites ce gros bébé.
Les filles rigolent
- Une autre fille ajoute : vous oubliez la culotte en dentelle, je suis sure qu'il porte de la lingerie. Si on transformait notre bébé en bébé-fille, on pourrait ensuite le traiter comme tel.
Cloé sort alors d'un tiroir une culotte de femme, un porte-jarretelles, des bas et un corset. Vous avez raison les filles dit elle, avant
de lui remettre ses couches on va s'amuser un peu. Elles me font alors enfiler culotte, Pj, bas, corset.
- Oh comme elle est mignonne. Mais on dirait plus une grosse salope qu'un bébé. Comme on va avoir besoin de sa queue et de son cul, on va lui mettre une couche sur la tête pour lui rappeler sa condition de bébé.
À ce moment, elle attrape mes couches sales et me recouvre le visage avec en les attachant grâce au collant.
Elles me poussent sur le lit, je me retrouve sur le dos couché sur l'alèze en plastique. J'entends :
- Bon et si on baisait cette salope. Je sens alors que l'on me relève les jambes et qu'on les attache en l'air. Puis mes bras sont étirés et attachés eux aussi. Je me retrouve en croix avec les jambes en l'air et écartées, les fesses un peu relevées. Puis je sens que l'on écarte ma culotte et un doigt étalant de la crème sur mon anus puis j'entends cloé dire à une de ses copines :
- Tiens mets donc ce gode. Toi qui a toujours rêvé d'enculer un mec tu vas pouvoir le faire aujourd'hui.
La fille attache le gode à sa taille pendant que quelqu'un écarte la couche de mon visage en disant :
Regarde à quoi tu vas avoir droit;
Je vois alors la fille en culotte avec un gode attaché autour de sa taille. Elle s'approche écarte mes fesses et me pénètre profondément. Au même moment une autre femme se mets au-dessus de mois et m'enfonce un autre gode dans la bouche.
- Oh mais c'est qu'il fait ça bien les filles, c'est une vrai tapette ce bébé avec sa lingerie de grande. Aller les filles chacune votre tour.
Toutes les filles me prennent chacune leur tour. Puis cloé me détache et m'ordonne de me remettre à 4 pattes. Elle dit à ses copines :
- Allez les filles, on va le traire comme une vache
Je sens alors qu'une des fille me pénètre avec son gode-ceinture, puis une autre se glisse devant moi elle aussi avec un gode et m'oblige à sucer le sexe en latex. Enfin je sens une main prendre mon sexe, elle l'enroule dans une couche droite et se met à le branler de hauts en bas très rapidement.
- Allez gros bébé tu as deux minutes pour faire tes cochonneries.
Bien évidemment j'explose avec cette main experte qui ne s'arrête pas de me branler. Epuisé je m'affale.
Des mains me retournent, je me retrouve à nouveaux sur le paquet de couches préparées en mon honneur. Cloé me dit :
- T'es vraiment un bébé, regarde cette couche, elle est toute mouillée de tes cochonneries. Je n'ai pas le choix que de te remettre tes couches.
Elle referme alors les 5 couches droites et le change complet sur mon ventre, mais juste avant je sens plusieurs objets froids qui s'enfoncent dans mon derrière. Puis elle me met une culotte plastique puis la barboteuse en plastique elle aussi. Cloé me dit :
- Si pendant le reste de la soirée tu es capable de na ne pas mouiller ta couche, alors tu repartiras habillé normalement, sinon tu repartiras avec une énorme couche sous ton pantalon.
De retour au salon, je dois servir ces dames dans ma tenue de bébé, évidemment chacune abuse de la situation, elles me tapotent les fèces, s'amusent à verser différents liquides dans ma couche, etc.
Au bout d'un moment je sens mon ventre gargouiller, je comprends alors que les objets froids étaient des suppositoires à la glycérine. Je ne peux me retenir et rempli ma couche devant l'assemblée amusée. Ensuite chacune s'amuse à me tapoter les fesses plus ou moins fortement. Au bout d'une heure Cloé m'emmène dans la salle de bain, elle me déshabille, me douche et me ramène dans la chambre.
Puisque tu n'as pas su te retenir, je vais te remettre une couche pour partir? Elle me lange d'une grosse couche, pus ajoute une culotte en plastique. Puis elle m'emmène au salon où je retrouve les vêtements. Voilà maintenant habille-toi et file d'ici avant que nous te fassions subir les pires outrages. Alors que je vais enfiler mon pantalon une des filles me tend la culotte en dentelle qui était dans mon sac. Je l'enfile, les filles se moque de moi, puis je finis de m'habiller. Cloé me raccompagne sans un mot ouvre la porte me pousse dehors. Avant de refermer sa porte elle me dit :
Tu reviens demain ! Mais je veux que tu sois encore en couches. Avec mes copines, on s'est bien amusées et l'on veut remettre ça... Ah j'oubliais, je veux que tu sois en couches tous les jours. Je compte bien aussi venir chez toi pour voir toutes tes petites affaires...
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Guepierre noire n'est pas l'auteur de cette histoire. Il l'a copiée sur internet.