ma trop jolie nèce 4
Récit érotique écrit par Alian [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 49 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.6 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.9
- • L'ensemble des récits érotiques de Alian ont reçu un total de 365 026 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-10-2006 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 1 069 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
ma trop jolie nèce 4
Après avoir dépucelé puis enculé marjo, mn adorable nièce, je rèvais tous les jours de lui refaire l'amour...
Chaque fois que je revis Marjorie, j'essayai de la caresser à nouveau, mais il nous fallait être discret et je ne pus guère que la peloter furtivement. Une fois cependant, une des rare fois ou elle mettait une courte jupe, j'ai pu lui caresser les fesses et même glisser une main dans sa petite culotte.
Cette intrusion a dû lui rappeler de bons souvenirs car elle m'a proposé de l'emmener à la patinoire le soir. Son père travaillait, ma femme et ma belle-soeur avaient prévu d'aller au théâtre, j'étais donc le seul à pouvoir l'accompagner.
Nous sommes restés sages à l'aller, Marjorie me racontant juste que depuis nos merveilleux ébats elle avait couché 2 ou 3 fois avec les mecs de son lycée, mais pour l'hygiène comme elle m'a dit !
-Ces andouilles ils ne pensent qu'à eux, à leur plaisir, sans se préoccuper du mien. Ils baisent, ils déchargent et puis salut! Avec toi au moins c'est pas pareil....je rêve encore du jour où tu m'a dépucelée où je t'ai appartenue corps et âme.....
Je n'ai rien répondu mais j'ai pris ces propos pour une invitation et j'ai attendu avec impatience la fin de son heure de patinage....
Marjorie est ressorti de la patinoire, les joues en feu, radieuse et elle m'a sans crier gare déposé un langoureux baiser sur la bouche. J'étais gêné par son geste en public, mais son aisance et son rayonnement a vite dissipé cette gène.
Dès la portière de la voiture refermée Marjo me prévint :
–Tu sais parrain, j'ai pas de culotte alors...si tu veux me caresser, vas-y... j'attends que ça depuis l'autre jour !
Je ne la croyais pas vraiment mais malgré tout j'hasardais une main sous sa jupe et effectivement, pas de tissus sous mes doigts mais directement la douce vulve de ma chère filleule.
Nous sommes restés là 5 bonnes minutes sur le parking de la patinoire mes doigts explorant sa moule déjà toute humide, et elle me massant la queue par la braguette de mon pantalon qu'elle venait d'ouvrir....
Même si le parking était désert à cette heure-ci, nous risquions à tout moment de se faire surprendre aussi j'ai abandonné à regret la fente toute chaude que je fouillai et nous sommes partis...
–Ne prend pas la nationale parrain, rentrons par la petite route....
Je devinais immédiatement les pensées de ma chère nièce, car la petite départementale traversais un petit bois et était très peu fréquentée...
Pendant que je conduisais, Aline tenait dans sa main ma queue qu'elle avait fini par sortir de mon pantalon. Vous avez déjà essayé vous de conduire sereinement tandis qu'une main experte vous masturbait ? J'ai eu beaucoup de mal à atteindre le petit bois et je me demande encore comment j'ai pu faire pour ne pas finir dans le fossé!
Mon excitation était à son comble et à peine garé dans le petit chemin qui s'enfonce dans le bois, j'ai enjambé le frein à main et je me suis retrouvé sur ma maîtresse. Je n'en pouvais plus et pas le temps de nouveau préliminaire, j'ai retroussé la petite jupe et j'ai introduit mon braquemart dans cette chatte qui de toute façons n'attendait que ça...
–Ouiiii vas-y mon amour... Prends-moi comme une chienne... D'abord c'est ce que je suis, une chienne en chaleur, alors fais-moi jouir et décharge ton foutre, viens bien à fonds mon amour....
Je crois bien que c'était la première fois que je baisais une femme comme ça, toute habillée. Pour la première fois, je ne dénudais pas les seins de ma partenaire, je ne gobais ces tétons qui d'ordinaire me fascinent...Non, là je me ruais simplement sur cette moule largement ouverte. Mon seul désir était de tringler cette salope et de jouir dans son ventre, sans penser à son propre plaisir....
J'assenais de violent coups de boutoirs en poussant des rugissements comme un fauve que j'étais moi aussi devenu. Marjo râlait à chacun de mes assauts et lançait son bassin en avant pour que je la pénètre encore plus fort, encore plus loin.
–Oh oui, c'est booon!! encore, enfonces toi encore!!
Elle en voulait toujours plus cette petite salope, et à chaque invitation je redoublais la violence de mes pénétrations. Enfin, je ne pus réprimer le flot de sperme qui jaillit en un puissant jet dans son vagin.
-Ouiiiiiii, mon chéri!!! Encore, aaaahh j'aime ton foutre!!! Encore.
Deux ou trois autres jets de purée épaisse vinrent combler ses désirs.
Elle jouit elle aussi tellement fort que je crois bien que je lui ai procuré là son plus bel orgasme de sa jeune vie de baiseuse.
Doucement, nos sens s'apaisèrent et nous retrouvâmes notre sang froid. Alors et alors seulement, je l'embrassais longuement, tendrement, comme pour la remercier du grand bonheur qu'elle venait encore une fois de me procurer.
Elle aussi retrouvait son calme et répondait amoureusement à mon baiser profond.
–Comme je t'aime mon parrain chéri, quel bonheur tu me donnes.....Jamais aucun homme ne pourra me rendre heureuse comme toi, jamais un autre ne pourra me faire jouir comme toi....
On s'embrassait encore pendant quelques minutes, puis je sorti ma bite redevenue molle de sa chatte encore en feu.
–On repart? Je posais cette question à regret, mais il fallait bien penser à rentrer...
–Non mon amour, j'ai encore envie de toi.... Là tu viens juste d'apaiser mes sens. Mais j'ai envie d'autre chose encore .... Laisse-moi faire.....
Se disant, Marjorie sortit de la voiture, en fit le tour, un sourire mutin au coin des lèvres et vint ouvrir ma portière.
Je sorti à mon tour et sitôt dehors Marjorie happa mes lèvres et m’embrassa fougueusement tandis qu’elle détachait la ceinture de mon pantalon.
Mon futal et mon slip se retrouvent très vite sur les chevilles et me voilà la bite à nouveau bien raide contre cette petite salope qui me faisait perdre tout contrôle de moi.
Marjorie m’entraîna alors vers l’avant de ma voiture.
- baise-moi là, sur le capot me dit-elle. J’ai vu çà dans un film porno et depuis je ne pense qu’à ça, au jour où tu me prendras comme ça ! Elle s’allongea dessus, bras et jambes écartées. Totalement offerte, totalement soumise.
Comment résister à une telle demande. Puisque c’est ce qu’elle voulait, elle n’allait pas être déçue !
Je retroussais sa jupe au-dessus des hanches, libérant ainsi sa merveilleuse petite chatte, j’arrachais son tee-shirt et son soutif et ma belle se retrouvait alors quasiment nue.
.Je plongeais ma tête entre ses cuisses, ma langue fouillant son petit con tandis que mes mains malaxaient ses nibards.
Je me souvins alors de la canette de bière que j’avais vidé en l’attendant à la patinoire et une idée surgit à mon esprit.
- Bouge pas mon amour, tu veux faire dans le porno tu vas être servie !
Je récupérais la bouteille vide dans la voiture et revins devant Marjo qui était toujours allongée sur le capot de ma tire, bras et jambes écartées, belle à faire bander un eunuque !
Je commençais à frotter la bouteille contre sa bouche, l’introduisant entre ses lèvres, puis entre ses nibards que je pressais contre le verre froid, ce qui eut pour effet de faire ériger un peu plus ses tétons . J’approchais maintenant la bouteille de sa petite chatte aux poils blonds encore collés par mon foutre. J’introduisis le goulot dans le con béant de ma maîtresse sans aucune difficulté. Le corps de ma 1664 s’enfonça aussi facilement et Marjo se retrouva bientôt avec la moitié de la bouteille dans son vagin ! Elle hurlait de plaisir devant cette nouveauté.
Je branlais le con de ma petite pute avec la bouteille que je retirais puis enfonçais à nouveau dans sa fente inondée de cyprine. Maintenant la bouteille disparaissait presque entièrement dans les entrailles de ma belle, tandis que je fouillais son cul avec un doigt. Marjo hurlait de plaisir et de douleur à la fois. Elle se pétrissait elle-même ses roberts pendant que je jouissait de l’incroyable spectacle que m’offrait ma petite chérie.
Je continuais le va et vient de la bouteille pendant quelques minutes encore. Marjo se tortillait de plaisir et son nectar maintenant dégoulinait le long du goulot de la bouteille. J’enlevais alors subitement la 1664 et la remplaçait par mes doigts. Vu le con béant de ma nièce chérie, 3 doigts pénétrèrent sans difficulté. Je continuais à la doigter un moment puis un 4ème doigt puis enfin le pouce fouillaient maintenant la grotte de ma salope.
Marjorie se trémoussait en pétrissant ses seins qu’elle écrasait l’un contre l’autre. Je continuais à enfoncer ma main dans sa chatte et après quelques instants de fouille de son vagin tellement dilaté, mon poignet disparu entièrement dans ses entrailles. Je venais de réaliser là l’un de mes plus vieux fantasmes, et c’est avec une gamine de 18 ans que j’y parvenais !
Marjorie pleurait doucement et je retirais délicatement mon poing de son vagin. Je m’allongeais sur Marjo et je léchais ses larmes avant de prendre sa bouche et de l’embrasser fougueusement, avec amour. Elle répondit immédiatement à mon baiser et sa langue s’enroula autour de la mienne alors que ses jambes s’accrochaient autour de ma taille….
-Baises-moi mon amour me dit-elle….
Mon pieu de chair pénétra sa caverne, mais elle était tellement dilatée qu’elle ne ressentait pas vraiment l’intromission. Je préférais donc me retirer. Je retournais alors Marjo , les nibards contre le capot, le cul en l’air et je l’enculais à sec, d’un seul coup de queue je m’enfonçais jusqu’à la garde dans son trou à merde, mes burnes tapant contre ses miches. Je la pilonnai ainsi rageusement pendant plusieurs minutes, chaque coup de bite lui arrachant un cri de bonheur.
Marjorie eut un nouvel orgasme et je sentais que je n’allais pas tarder à jouir. Je sorti rapidement ma queue de son cul pour larguer toute ma semence sur ses reins. Ma purée coulait lentement le long de la raie du cul, sur l’anus, le périnée puis sur sa chatte encore largement ouverte.
Marjorie se retourna et se releva. Elle passe ses bras autour de dans mon cou et m’embrassa à nouveau.
- Merci mon parrain. Jamais je n’aurais pensé aller si loin dans l’obscène, c’était merveilleux, je t’aime.
- Moi aussi je t’aime ma chérie, Jamais une femme ne s’était abandonnée comme toi tu l’as fait, c’était super.
- On recommencera dit ?
Bien sûr qu’on recommencera, vous ne pensez tout de même pas que je vais laisser tomber un si bon coup !
Chaque fois que je revis Marjorie, j'essayai de la caresser à nouveau, mais il nous fallait être discret et je ne pus guère que la peloter furtivement. Une fois cependant, une des rare fois ou elle mettait une courte jupe, j'ai pu lui caresser les fesses et même glisser une main dans sa petite culotte.
Cette intrusion a dû lui rappeler de bons souvenirs car elle m'a proposé de l'emmener à la patinoire le soir. Son père travaillait, ma femme et ma belle-soeur avaient prévu d'aller au théâtre, j'étais donc le seul à pouvoir l'accompagner.
Nous sommes restés sages à l'aller, Marjorie me racontant juste que depuis nos merveilleux ébats elle avait couché 2 ou 3 fois avec les mecs de son lycée, mais pour l'hygiène comme elle m'a dit !
-Ces andouilles ils ne pensent qu'à eux, à leur plaisir, sans se préoccuper du mien. Ils baisent, ils déchargent et puis salut! Avec toi au moins c'est pas pareil....je rêve encore du jour où tu m'a dépucelée où je t'ai appartenue corps et âme.....
Je n'ai rien répondu mais j'ai pris ces propos pour une invitation et j'ai attendu avec impatience la fin de son heure de patinage....
Marjorie est ressorti de la patinoire, les joues en feu, radieuse et elle m'a sans crier gare déposé un langoureux baiser sur la bouche. J'étais gêné par son geste en public, mais son aisance et son rayonnement a vite dissipé cette gène.
Dès la portière de la voiture refermée Marjo me prévint :
–Tu sais parrain, j'ai pas de culotte alors...si tu veux me caresser, vas-y... j'attends que ça depuis l'autre jour !
Je ne la croyais pas vraiment mais malgré tout j'hasardais une main sous sa jupe et effectivement, pas de tissus sous mes doigts mais directement la douce vulve de ma chère filleule.
Nous sommes restés là 5 bonnes minutes sur le parking de la patinoire mes doigts explorant sa moule déjà toute humide, et elle me massant la queue par la braguette de mon pantalon qu'elle venait d'ouvrir....
Même si le parking était désert à cette heure-ci, nous risquions à tout moment de se faire surprendre aussi j'ai abandonné à regret la fente toute chaude que je fouillai et nous sommes partis...
–Ne prend pas la nationale parrain, rentrons par la petite route....
Je devinais immédiatement les pensées de ma chère nièce, car la petite départementale traversais un petit bois et était très peu fréquentée...
Pendant que je conduisais, Aline tenait dans sa main ma queue qu'elle avait fini par sortir de mon pantalon. Vous avez déjà essayé vous de conduire sereinement tandis qu'une main experte vous masturbait ? J'ai eu beaucoup de mal à atteindre le petit bois et je me demande encore comment j'ai pu faire pour ne pas finir dans le fossé!
Mon excitation était à son comble et à peine garé dans le petit chemin qui s'enfonce dans le bois, j'ai enjambé le frein à main et je me suis retrouvé sur ma maîtresse. Je n'en pouvais plus et pas le temps de nouveau préliminaire, j'ai retroussé la petite jupe et j'ai introduit mon braquemart dans cette chatte qui de toute façons n'attendait que ça...
–Ouiiii vas-y mon amour... Prends-moi comme une chienne... D'abord c'est ce que je suis, une chienne en chaleur, alors fais-moi jouir et décharge ton foutre, viens bien à fonds mon amour....
Je crois bien que c'était la première fois que je baisais une femme comme ça, toute habillée. Pour la première fois, je ne dénudais pas les seins de ma partenaire, je ne gobais ces tétons qui d'ordinaire me fascinent...Non, là je me ruais simplement sur cette moule largement ouverte. Mon seul désir était de tringler cette salope et de jouir dans son ventre, sans penser à son propre plaisir....
J'assenais de violent coups de boutoirs en poussant des rugissements comme un fauve que j'étais moi aussi devenu. Marjo râlait à chacun de mes assauts et lançait son bassin en avant pour que je la pénètre encore plus fort, encore plus loin.
–Oh oui, c'est booon!! encore, enfonces toi encore!!
Elle en voulait toujours plus cette petite salope, et à chaque invitation je redoublais la violence de mes pénétrations. Enfin, je ne pus réprimer le flot de sperme qui jaillit en un puissant jet dans son vagin.
-Ouiiiiiii, mon chéri!!! Encore, aaaahh j'aime ton foutre!!! Encore.
Deux ou trois autres jets de purée épaisse vinrent combler ses désirs.
Elle jouit elle aussi tellement fort que je crois bien que je lui ai procuré là son plus bel orgasme de sa jeune vie de baiseuse.
Doucement, nos sens s'apaisèrent et nous retrouvâmes notre sang froid. Alors et alors seulement, je l'embrassais longuement, tendrement, comme pour la remercier du grand bonheur qu'elle venait encore une fois de me procurer.
Elle aussi retrouvait son calme et répondait amoureusement à mon baiser profond.
–Comme je t'aime mon parrain chéri, quel bonheur tu me donnes.....Jamais aucun homme ne pourra me rendre heureuse comme toi, jamais un autre ne pourra me faire jouir comme toi....
On s'embrassait encore pendant quelques minutes, puis je sorti ma bite redevenue molle de sa chatte encore en feu.
–On repart? Je posais cette question à regret, mais il fallait bien penser à rentrer...
–Non mon amour, j'ai encore envie de toi.... Là tu viens juste d'apaiser mes sens. Mais j'ai envie d'autre chose encore .... Laisse-moi faire.....
Se disant, Marjorie sortit de la voiture, en fit le tour, un sourire mutin au coin des lèvres et vint ouvrir ma portière.
Je sorti à mon tour et sitôt dehors Marjorie happa mes lèvres et m’embrassa fougueusement tandis qu’elle détachait la ceinture de mon pantalon.
Mon futal et mon slip se retrouvent très vite sur les chevilles et me voilà la bite à nouveau bien raide contre cette petite salope qui me faisait perdre tout contrôle de moi.
Marjorie m’entraîna alors vers l’avant de ma voiture.
- baise-moi là, sur le capot me dit-elle. J’ai vu çà dans un film porno et depuis je ne pense qu’à ça, au jour où tu me prendras comme ça ! Elle s’allongea dessus, bras et jambes écartées. Totalement offerte, totalement soumise.
Comment résister à une telle demande. Puisque c’est ce qu’elle voulait, elle n’allait pas être déçue !
Je retroussais sa jupe au-dessus des hanches, libérant ainsi sa merveilleuse petite chatte, j’arrachais son tee-shirt et son soutif et ma belle se retrouvait alors quasiment nue.
.Je plongeais ma tête entre ses cuisses, ma langue fouillant son petit con tandis que mes mains malaxaient ses nibards.
Je me souvins alors de la canette de bière que j’avais vidé en l’attendant à la patinoire et une idée surgit à mon esprit.
- Bouge pas mon amour, tu veux faire dans le porno tu vas être servie !
Je récupérais la bouteille vide dans la voiture et revins devant Marjo qui était toujours allongée sur le capot de ma tire, bras et jambes écartées, belle à faire bander un eunuque !
Je commençais à frotter la bouteille contre sa bouche, l’introduisant entre ses lèvres, puis entre ses nibards que je pressais contre le verre froid, ce qui eut pour effet de faire ériger un peu plus ses tétons . J’approchais maintenant la bouteille de sa petite chatte aux poils blonds encore collés par mon foutre. J’introduisis le goulot dans le con béant de ma maîtresse sans aucune difficulté. Le corps de ma 1664 s’enfonça aussi facilement et Marjo se retrouva bientôt avec la moitié de la bouteille dans son vagin ! Elle hurlait de plaisir devant cette nouveauté.
Je branlais le con de ma petite pute avec la bouteille que je retirais puis enfonçais à nouveau dans sa fente inondée de cyprine. Maintenant la bouteille disparaissait presque entièrement dans les entrailles de ma belle, tandis que je fouillais son cul avec un doigt. Marjo hurlait de plaisir et de douleur à la fois. Elle se pétrissait elle-même ses roberts pendant que je jouissait de l’incroyable spectacle que m’offrait ma petite chérie.
Je continuais le va et vient de la bouteille pendant quelques minutes encore. Marjo se tortillait de plaisir et son nectar maintenant dégoulinait le long du goulot de la bouteille. J’enlevais alors subitement la 1664 et la remplaçait par mes doigts. Vu le con béant de ma nièce chérie, 3 doigts pénétrèrent sans difficulté. Je continuais à la doigter un moment puis un 4ème doigt puis enfin le pouce fouillaient maintenant la grotte de ma salope.
Marjorie se trémoussait en pétrissant ses seins qu’elle écrasait l’un contre l’autre. Je continuais à enfoncer ma main dans sa chatte et après quelques instants de fouille de son vagin tellement dilaté, mon poignet disparu entièrement dans ses entrailles. Je venais de réaliser là l’un de mes plus vieux fantasmes, et c’est avec une gamine de 18 ans que j’y parvenais !
Marjorie pleurait doucement et je retirais délicatement mon poing de son vagin. Je m’allongeais sur Marjo et je léchais ses larmes avant de prendre sa bouche et de l’embrasser fougueusement, avec amour. Elle répondit immédiatement à mon baiser et sa langue s’enroula autour de la mienne alors que ses jambes s’accrochaient autour de ma taille….
-Baises-moi mon amour me dit-elle….
Mon pieu de chair pénétra sa caverne, mais elle était tellement dilatée qu’elle ne ressentait pas vraiment l’intromission. Je préférais donc me retirer. Je retournais alors Marjo , les nibards contre le capot, le cul en l’air et je l’enculais à sec, d’un seul coup de queue je m’enfonçais jusqu’à la garde dans son trou à merde, mes burnes tapant contre ses miches. Je la pilonnai ainsi rageusement pendant plusieurs minutes, chaque coup de bite lui arrachant un cri de bonheur.
Marjorie eut un nouvel orgasme et je sentais que je n’allais pas tarder à jouir. Je sorti rapidement ma queue de son cul pour larguer toute ma semence sur ses reins. Ma purée coulait lentement le long de la raie du cul, sur l’anus, le périnée puis sur sa chatte encore largement ouverte.
Marjorie se retourna et se releva. Elle passe ses bras autour de dans mon cou et m’embrassa à nouveau.
- Merci mon parrain. Jamais je n’aurais pensé aller si loin dans l’obscène, c’était merveilleux, je t’aime.
- Moi aussi je t’aime ma chérie, Jamais une femme ne s’était abandonnée comme toi tu l’as fait, c’était super.
- On recommencera dit ?
Bien sûr qu’on recommencera, vous ne pensez tout de même pas que je vais laisser tomber un si bon coup !
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Alian
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...