Mon mari cocu: 5 mai 2000 : Ca y est, il l'est-2
Récit érotique écrit par Cocuforever [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-06-2013 dans la catégorie Dominants et dominés
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Mon mari cocu: 5 mai 2000 : Ca y est, il l'est-2
David s’est levé en se dirigeant vers la douche.
- Je vous laisse les amoureux, vous avez peut-être des choses à vous dire, mais attention pas de bêtises !!
On s’est tous mis à rire, la première tension était tombée.
- Alors, c’était bien ? Ca t’a plu ? Tu ne regrettes rien, car enfin nous n’étions pas venu pour moi mais pour toi ( hypocrite) ?
- Alors oui à la première question ; oui à la deuxième , énormément et non à la dernière au contraire d’autant que la soirée n’est pas finie, qu’en penses-tu ?
- Ce que je pense dans l’immédiat, c’est de te dépêcher d’enlever ton pantalon pour ne pas le tâcher ! Et enlever ton string.
Aussitôt fait, je me suis précipité sur son gland et j’ai tout nettoyé. Noël avait déjà repris de la vigueur et c’est donc naturellement qu’il s’est positionné sur moi ; en plus j’en avais vraiment envie. Noël possède une belle queue bien proportionnée et il sait s’en servir.
- Viens mon cocu, viens prendre ta salope de femme, sens comme ça rentre tout seul ; c’est bien chaud n’est-ce pas ? Laisse-moi sentir tes cornes, dis-je en massant son front avec mes pouces.
Noël était dans un état second. Mes paroles le fouettaient et l’excitaient.
- Oh France, continue à me parler comme ça, j’adore ; j’aime que tu m’humilies et te moques de moi. Ca me fait un effet incroyable, lâche-toi ; dis et fais ce que tu veux.
J’étais étonnée de la tournure des évènements ; d’autant que ça commençait à drôlement m’exciter. Je suis partie dans un orgasme aussi rapide qu’inattendu en gueulant des obscénités (enfin pour moi) telles que : connard , tu vas porter des cornes tout le reste de ta vie ; PD, t’es juste bon à te faire enculer ; tu n’as quand même jamais vraiment cru que tu me faisais de l’effet, petite bite ; le tout accompagné d’une gifle magistrale !
La tension est retombée et j’ai regardé Noël avec inquiétude ; j’avais été trop loin. J’ai pris son visage entre mes mains et je l’ai embrassé très tendrement ; pour me racheter et lui prouver que ce n’était qu’un jeu sexuel. Il m’a murmuré quelque chose à l’oreille que je n’ai pas comprise ; j’ai demandé de répéter et là il a dit une phrase qui allait déterminer notre pour de longues années.
Il a dit : - continue à faire ce que tu viens de faire, c’est ça qui me plaît et que j’ai toujours voulu ; alors, si ça te plaît , ne te gène pas ; au plus je serai cocu et humilié au plus je serai heureux avec la seule femme que j’aime.
Sur ces entrefaites, David est revenu de sa douche ( je le soupçonne d’avoir écouté à la porte). Il nous propose d’ouvrir une bouteille de champagne pour se désaltérer et bavarder.
- Alors les amoureux, ça va, toujours partant pour la suite, pas de regrets ?
- Non , répondis-je, au contraire, n’est ce pas mon petit cocu ? Je vois que ta bosse réapparaît ; tu dois être impatient de reprendre le cours de la conversation.
Une douce euphorie nous envahissait, certainement les effets bienfaisants du champagne. Je me lève, prends Noël par le coude et le force à se positionner entre les jambes de David. Juste un mot : Suce-le. Il a directement englouti le sexe encore mou de David et s’est tout de suite appliqué à le faire durcir. De mon côté , je suis passé derrière Noël et ai commencé à lécher sa rondelle ; j’y ai ensuite introduit deux puis trois doigts en appuyant sur la prostate. L’effet est immédiat ; il s’est mis à bander comme un taureau. Entretemps, David avait retrouvé une belle érection.
J’ai mis un peu de gel dans l’anus de Noël et j’ai demandé à David de venir le prendre.
- Le prendre, me dit-il ? Quelle expression curieuse ! T’as pas mieux, ma belle ? Je suis sûre que tu connais des mots plus précis…, non ?
Le champagne, sans doute…, car aussitôt je répondis avec une voix que je ne reconnaissais pas :
- Excuse-moi, je voulais dire : mets ta grosse bite dans le trou du cul de mon cocu de mari et PD en plus et encule-le bien à fond ; que tes couilles claquent sur ses fesses de tapettes.
Surpris par mon ton ( moi aussi d’ailleurs !), Noël s’est retourné, rouge comme une pivoine et l’œil brillant : il aimait ça.
David m’a regardé en rigolant :
- Ben dis donc t’apprends vite ma belle .Tu as fait des progrès foudroyants en à peine deux heures ! Je m’occuperai de ton petit cul après celui de Noël.
- J’y compte bien en le regardant avec ce que je supposais être un regard de salope.
C’est vrai que j’avais la sensation qu’une barrière avait volé en éclat et que je découvrais ma vrai nature. Dominatrice avec mon mari et docile voire soumise avec mes amants. Je découvrais également que j’appréciais les mots crus, vulgaires, les insultes émises ou reçues. J’avais vraiment envie d’être traitée de salope, de garage à bites, de bonne à baiser, etc. Je n’allais certainement pas le dire à haute voix ; à charge des partenaires de le découvrir ; ce qui ne me semblait difficile à deviner. David avait déjà compris car il m’ordonna :
-Remets du gel à la rondelle de la tapette et ensuite tu te mettras à quatre pattes et tu lui offriras ton cul à sucer pour qu’il le prépare.
Je mets du gel et sur la rondelle de Noël et sur la bite de David, celui-ci me retient et m’ordonne de mettre moi-même sa queue dans le cul de Noël. Je crois bien que je mouillais à nouveau. Je prends sa bite non sans l’avoir branler un peu et m’approche de la rondelle de Noël. Je lui dis d’écarter ses fesses et nous voyons l’œillet palpiter ; je dirige le gland et David d’une poussée rentre la moitié dans le fondement de Noël.
Noël pousse un cri étouffé, il transpire : diable, c’est la première fois avec une vraie queue d’homme avec le rythme et tout et tout. Voilà mon cher mari ( que j’aime par-dessus tout, je le rappelle) dans la même soirée cocu et enculé par le premier amant de sa femme.
Je me poste devant lui et demande si c’est bon. Il baragouine quelques mots inintelligibles. Je lui administre une gifle et lui demande de me répondre.
- Pardon, oui c’est bon, très bon. J’adore être pris par une vraie bite. Si j’avais su, j’aurais commencé plus tôt. Merci David, tu me bourres bien.
La suite au prochain épisode
- Je vous laisse les amoureux, vous avez peut-être des choses à vous dire, mais attention pas de bêtises !!
On s’est tous mis à rire, la première tension était tombée.
- Alors, c’était bien ? Ca t’a plu ? Tu ne regrettes rien, car enfin nous n’étions pas venu pour moi mais pour toi ( hypocrite) ?
- Alors oui à la première question ; oui à la deuxième , énormément et non à la dernière au contraire d’autant que la soirée n’est pas finie, qu’en penses-tu ?
- Ce que je pense dans l’immédiat, c’est de te dépêcher d’enlever ton pantalon pour ne pas le tâcher ! Et enlever ton string.
Aussitôt fait, je me suis précipité sur son gland et j’ai tout nettoyé. Noël avait déjà repris de la vigueur et c’est donc naturellement qu’il s’est positionné sur moi ; en plus j’en avais vraiment envie. Noël possède une belle queue bien proportionnée et il sait s’en servir.
- Viens mon cocu, viens prendre ta salope de femme, sens comme ça rentre tout seul ; c’est bien chaud n’est-ce pas ? Laisse-moi sentir tes cornes, dis-je en massant son front avec mes pouces.
Noël était dans un état second. Mes paroles le fouettaient et l’excitaient.
- Oh France, continue à me parler comme ça, j’adore ; j’aime que tu m’humilies et te moques de moi. Ca me fait un effet incroyable, lâche-toi ; dis et fais ce que tu veux.
J’étais étonnée de la tournure des évènements ; d’autant que ça commençait à drôlement m’exciter. Je suis partie dans un orgasme aussi rapide qu’inattendu en gueulant des obscénités (enfin pour moi) telles que : connard , tu vas porter des cornes tout le reste de ta vie ; PD, t’es juste bon à te faire enculer ; tu n’as quand même jamais vraiment cru que tu me faisais de l’effet, petite bite ; le tout accompagné d’une gifle magistrale !
La tension est retombée et j’ai regardé Noël avec inquiétude ; j’avais été trop loin. J’ai pris son visage entre mes mains et je l’ai embrassé très tendrement ; pour me racheter et lui prouver que ce n’était qu’un jeu sexuel. Il m’a murmuré quelque chose à l’oreille que je n’ai pas comprise ; j’ai demandé de répéter et là il a dit une phrase qui allait déterminer notre pour de longues années.
Il a dit : - continue à faire ce que tu viens de faire, c’est ça qui me plaît et que j’ai toujours voulu ; alors, si ça te plaît , ne te gène pas ; au plus je serai cocu et humilié au plus je serai heureux avec la seule femme que j’aime.
Sur ces entrefaites, David est revenu de sa douche ( je le soupçonne d’avoir écouté à la porte). Il nous propose d’ouvrir une bouteille de champagne pour se désaltérer et bavarder.
- Alors les amoureux, ça va, toujours partant pour la suite, pas de regrets ?
- Non , répondis-je, au contraire, n’est ce pas mon petit cocu ? Je vois que ta bosse réapparaît ; tu dois être impatient de reprendre le cours de la conversation.
Une douce euphorie nous envahissait, certainement les effets bienfaisants du champagne. Je me lève, prends Noël par le coude et le force à se positionner entre les jambes de David. Juste un mot : Suce-le. Il a directement englouti le sexe encore mou de David et s’est tout de suite appliqué à le faire durcir. De mon côté , je suis passé derrière Noël et ai commencé à lécher sa rondelle ; j’y ai ensuite introduit deux puis trois doigts en appuyant sur la prostate. L’effet est immédiat ; il s’est mis à bander comme un taureau. Entretemps, David avait retrouvé une belle érection.
J’ai mis un peu de gel dans l’anus de Noël et j’ai demandé à David de venir le prendre.
- Le prendre, me dit-il ? Quelle expression curieuse ! T’as pas mieux, ma belle ? Je suis sûre que tu connais des mots plus précis…, non ?
Le champagne, sans doute…, car aussitôt je répondis avec une voix que je ne reconnaissais pas :
- Excuse-moi, je voulais dire : mets ta grosse bite dans le trou du cul de mon cocu de mari et PD en plus et encule-le bien à fond ; que tes couilles claquent sur ses fesses de tapettes.
Surpris par mon ton ( moi aussi d’ailleurs !), Noël s’est retourné, rouge comme une pivoine et l’œil brillant : il aimait ça.
David m’a regardé en rigolant :
- Ben dis donc t’apprends vite ma belle .Tu as fait des progrès foudroyants en à peine deux heures ! Je m’occuperai de ton petit cul après celui de Noël.
- J’y compte bien en le regardant avec ce que je supposais être un regard de salope.
C’est vrai que j’avais la sensation qu’une barrière avait volé en éclat et que je découvrais ma vrai nature. Dominatrice avec mon mari et docile voire soumise avec mes amants. Je découvrais également que j’appréciais les mots crus, vulgaires, les insultes émises ou reçues. J’avais vraiment envie d’être traitée de salope, de garage à bites, de bonne à baiser, etc. Je n’allais certainement pas le dire à haute voix ; à charge des partenaires de le découvrir ; ce qui ne me semblait difficile à deviner. David avait déjà compris car il m’ordonna :
-Remets du gel à la rondelle de la tapette et ensuite tu te mettras à quatre pattes et tu lui offriras ton cul à sucer pour qu’il le prépare.
Je mets du gel et sur la rondelle de Noël et sur la bite de David, celui-ci me retient et m’ordonne de mettre moi-même sa queue dans le cul de Noël. Je crois bien que je mouillais à nouveau. Je prends sa bite non sans l’avoir branler un peu et m’approche de la rondelle de Noël. Je lui dis d’écarter ses fesses et nous voyons l’œillet palpiter ; je dirige le gland et David d’une poussée rentre la moitié dans le fondement de Noël.
Noël pousse un cri étouffé, il transpire : diable, c’est la première fois avec une vraie queue d’homme avec le rythme et tout et tout. Voilà mon cher mari ( que j’aime par-dessus tout, je le rappelle) dans la même soirée cocu et enculé par le premier amant de sa femme.
Je me poste devant lui et demande si c’est bon. Il baragouine quelques mots inintelligibles. Je lui administre une gifle et lui demande de me répondre.
- Pardon, oui c’est bon, très bon. J’adore être pris par une vraie bite. Si j’avais su, j’aurais commencé plus tôt. Merci David, tu me bourres bien.
La suite au prochain épisode
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7 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
C’est sûr que d’insulter son mari et le gifler c’est le top.
On inverse la situation votre mari nique avec 1 fille qui vous gifle vous n’aimeriez pas !!!!
Ah c’est vrai vous êtes minique , faites parti d’un cran au dessous vous ne répondez pas aux commentaires.
En même temps quand on est le larbin de sa femme qu’on accepte les gifles, les insultes et le reste plus rien ne m’étonne.
On inverse la situation votre mari nique avec 1 fille qui vous gifle vous n’aimeriez pas !!!!
Ah c’est vrai vous êtes minique , faites parti d’un cran au dessous vous ne répondez pas aux commentaires.
En même temps quand on est le larbin de sa femme qu’on accepte les gifles, les insultes et le reste plus rien ne m’étonne.
Ta femme doit être ravie, vous avez une sexualité des plus épanouie ! Au plaisir de se rencontrer si vous êtes dispo sur Paris.
Vraiment extra. Bravo.
Rudy
Rudy
Très beau récit. L'encouragement de Noël donne une dimension toute particulière à la situation. Vous avez parfaitement décrit dans ce récit particulièrement excitant l'épanouissement, le plaisir, le ressenti de chacun dans le jeu à trois.
Merci
Bz
Merci
Bz
Continuez...s'il vous plaît...
Eliane
Eliane
Très belle histoire que j aimerai réalisé avec ma femme
ETRE COCU COMME CELA ?UN MOMENT FORMIDABLE?PASSIF SOUMIS HUMMMMM.