"Parcours croisés"- chapitre 16
Récit érotique écrit par Misa [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-02-2010 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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"Parcours croisés"- chapitre 16
Parcours croisés - Mercredi
Chapitre 16
Alain
En allant chercher le courrier, j’ai aperçue Annie qui revenait de son jogging. J’ai attendu qu’elle arrive à ma hauteur. Elle s ‘est penchée en avant, mains sur les genoux pour reprendre son souffle:
- Bonjour ! Bonne balade ?
- …ça … va … dur …
Elle s’est redressée et comme hier soir, elle a passé une main derrière mon cou pour me faire baisser, s’est mise sur la pointes des pieds pour m’embrasser sur la joue. Je l’ai retenue d’une main dans son dos pour l’embrasser à mon tour.
Elle a essuyée en riant ma joue trempée de sa transpiration.
- Et toi ? ça va ?
- Fatigué …
- Le rosé, c’est traître !
- Mmm mmm … le rosé ça passe encore … c’est Tina qui m’épuise !
- Oh ! … tu t’en plains ?
- Non non … je ne me plains pas … je constate ! et puis tu verrais la liste de courses qu’elle m’a laissé !
- T’y vas quand ? Tu veux de l’aide ?
- Ah ça ! avec plaisir ! moi, les courses … avant midi ? ça t’embêtes pas ?
- Mais non ! je prends une douche et on y va, si tu veux … laisse moi une heure …
- Ok, je passe te prendre !
Elle est repartie en petites foulées jusqu’à chez elle, et je suis resté au bord de la rue à regarder ses fesses … t’as de la chance, Martina … jolie femme, fine et musclée, grands yeux un peu tristes … je la consolerais bien, même si je sais pas de quoi … elle donne envie de câlins …
Elle s’est retournée en arrivant devant son portail et m’a fait une petit signe en riant.
… elle savait que je matais ses fesses, la coquine …
Une heure plus tard je me suis garé devant sa maison. J’ai longé l’allée de rosiers jusqu’à l’entrée, frappé à sa porte, et je suis entré :
- Hello ! C’est moi !
Sa voix m’est arrivée de la pièce au bout du couloir :
- Attends un peu, j’suis pas prête !
Je me suis avancé ; elle était de dos devant une planche à repasser, torse nu et en culotte blanche qui mordait sur ses fesses et remontait haut sur sa taille. Son dos et ses jambes sont très bronzées, les attaches fines ; les boucles brunes en désordre lui donnent une allure de gamine :
- Charmant tableau !
Elle s’est retournée brusquement et a failli lâcher son fer à repasser.
- T’es mignonne avec tes lunettes ! Désolé … je pensais pas …
Elle me tourne le dos et finit son repassage :
- Décidément, j’arrête pas d’exposer mon anatomie …
- Tu fais bien … j’apprécie …
- Espèce de voyeur !
- Exhibitionniste !
- … désolée …
Sans se retourner, elle repose son fer, enfile la petite robe bleu ciel qu’elle repassait :
- Rends-toi utile !
Je me suis approché et j’ai remonté la fermeture éclair dans son dos.
- Jolie robe … aussi courte que je les aime …
Elle a enlevé ses lunettes, s’est assise sur le canapé et enfilé une paire de tennis blanches, sans les délacer :
- Je suis prête ! on y va ?
On a roulé vitres ouvertes, bras à la portière. Je ne pouvais pas m’empêcher de jeter de temps en temps un coup d’œil à ses jambes.
- J’ai menti …
Je tourne la tête vers elle. Elle regarde droit devant elle :
- J’ai menti, j’ai fait exprès …
- Exprès de quoi ?
- … d’être en petite tenue … Je suis désolée …
- … ne le sois pas … j’ai apprécié …
Elle ne me regarde pas et secoue ses boucles de cheveux :
- J’ai jamais mis aussi longtemps à repasser une robe !
Elle met une main devant sa bouche pour étouffer un fou-rire :
- Pardon …
- T’étais pas obligée de me le dire …
- Si … c’est mieux …
Nous avons fini la route sans rien dire, en riant à chaque fois qu’on se regardait.
J’ai finalement pris beaucoup de plaisir à pousser le caddy entre les rayons à la poursuite de la petite robe bleue.
On est rentré vers 13 heures. Martina était déjà rentrée. Elle avait décidé de rentrer très tôt pour faire un gâteau et préparer les entrées.
Quand on est arrivés chargés de sacs, elle a posé les poings sur ses hanches :
- T’as pas pu t’empêcher de l’embaucher ! On l’invite et tu la fais travailler !
- Elle s’est proposée ! … et tu me connais, j’ai pas voulu la vexer !
- Ouais …
- Laissez-moi faire ! allez sur la terrasse, je vous prépare des sandwich ! allez … dispa-raissez !
Quand je les ai rejointes, elles étaient toutes les deux secouées d’un grand fou-rire. Tina en pleurait et Annie s’appuyait à la table, la tête dans les bras, le dos tressautant de ses éclats de rire :
- Qu’est-ce qu’il y a ?
Elles se sont tournées vers moi et ont éclaté de rire de plus belle. J’ai posé les assiettes sur la table, et suis retourné chercher du soda et des verres.
Leur fou-rire semblait un peu calmé. Martina s’est essuyé les yeux :
- Mon pauvre chéri !
- Quoi ?
Aucune des deux ne répondant, je me suis assis et ai commencé à manger mon sandwich. Martina est venue s’assoir sur mes genoux, et je lui ai donné une bouchée de mon sandwich :
- Alors … raconte …
- Annie m’a raconté comment elle t’avait accueillie …
- C’était … inattendu … et charmant …
- On va t’épuiser mon chéri ! Entre Annie et moi, tes retrouvailles avec Véro … je crains pour ta santé !
- … mmm …
Je dormais quand Tina est rentrée hier soir de chez Annie. Elle s’est couchée sur moi et m’a embrassé. Comment résister ! Elle s’est un peu soulevée, a passé un main entre nos deux corps et a redressé mon sexe bien droit sur mon ventre. Elle a ondulé, frottant son pubis à mon sexe jusqu’à provoquer une belle érection.
Cramponnée à mon cou, elle a soulevé le bassin, et après quelques hésitations et tâtonnements elle s’est empalée sur moi, d’une lente descente sans à-coups.
Elle a soulevé ses fesses jusqu’à presque me sortir de son ventre et a attendu que je bouge, et j’ai pris le relais, agrippé des deux mains sur ses fesses aux muscles durcis, tendues.
Elle a sans doute senti mon souffle s’accélérer, j’étais prêt à exploser, et s’est détachée de moi. Elle s’est redressée, assise sur mes cuisses, et a calé ses pieds sous mes bras.
Assise au-dessus de moi, elle a pris appui dans son dos d’un bras sur mes genoux et de l’autre main a redressé mon sexe à la verticale et abaissé ses fesses, mon gland appuyé au creux de ses fesses, puis les deux mains dans son dos sur mes genoux, elle s’est appuyée un peu plus fort.
Elle plissait les yeux et se mordait la lèvre inférieure, une expression de douleur sur le visage, mais appuyait son petit trou de plus en plus fort … et j’ai senti l’anneau se relâcher, se resserrer, se relâ-cher encore et s’ouvrir … avalant d’un coup mon gland … elle s’est arrêtée. Elle a ouvert grand les yeux, soufflé deux ou trois fois, a repris sa lèvre entre ses dents et a recommencé à descendre sur ma verge, à petits coups, s’empalant sur la partie la plus renflée et dure de la verge … et a glissé à fond, accompagnant la descente d’un grognement profond venant du fond de la gorge, dents serrées, jusqu’à poser ses fesses sur mes cuisses … « … attends … bouge pas … attends … ».
Elle a commencé à monter et descendre à petits coups de reins et j’ai bougé avec elle, décollant mes reins du lit, la soulevant à chaque coups de reins …
Quand elle a senti mon sexe étirer plus fort son sphincter et commencer à palpiter, elle a posé une main sur son clitoris et s’est caressé très vite, presque violemment. Elle a crié bouche ouverte au moment même j’ai commencé à jouir, la soulevant à grands coups de reins.
Sans me laisser sortir de ses fesses, elle a ramené ses jambes en arrière et s’est couchée sur mon torse, couverte de transpiration.
Elle dormait déjà quand j’ai senti mon sexe ramolli sortir de ses fesses, sur une dernière contraction de son petit trou.
- J’aurais dû savoir que j’avais aucune chance … il me l’avait dit …
- Oh oh ! Tu lui as raconté notre nuit, mon chéri ?
- Non !
- Il m’a seulement dit qu’il était fatigué … pas plus ! juré !
Tina s’est penché vers Annie et lui a parlé à l’oreille. Elle chuchotait et je n’entendais rien :
- Qu’est-ce que tu racontes, encore !
Elle se redresse, me regarde et dit :
- Ben … la vérité ! Que tu m’as enculée comme une bête !
- OH ! C’est pas vrai ! Elle a pas dit ça !
Annie pliée de rire a ajouté :
- C’est vrai ?
- C’est comme je dis ! Il m’a littéralement défoncée !
Je l’ai repoussée de mes genoux :
- Vous êtes grossière, madame !
- Ehhh ! Ce matin, tu m’a pas repoussée !
Annie ouvrait grand les yeux, prenait un air horrifié :
- Il a recommencé ?
J’ai répondu le premier :
- Non, j’ai rien recommencé du tout … c’est elle … Elle m’a pompé le nœud ! Elle m’a sucé jusqu’à la moelle ! Asséché !
Elles sont restées bouche ouverte, toutes les deux, surprises de ma sortie. Et le fou-rire les a repris ; elles pleuraient de rire dans les bras l’une de l’autre :
- Arrrr.. rrête ! arr … arrê…te ! je vais … fai … pipi … d … a … culo …ootte …
Elles riaient encore quand je suis revenu avec trois tasses de café.
Annie est rentrée chez elle vers 3 heures, en promettant de revenir aider Martina à tout préparer.
Chapitre 16
Alain
En allant chercher le courrier, j’ai aperçue Annie qui revenait de son jogging. J’ai attendu qu’elle arrive à ma hauteur. Elle s ‘est penchée en avant, mains sur les genoux pour reprendre son souffle:
- Bonjour ! Bonne balade ?
- …ça … va … dur …
Elle s’est redressée et comme hier soir, elle a passé une main derrière mon cou pour me faire baisser, s’est mise sur la pointes des pieds pour m’embrasser sur la joue. Je l’ai retenue d’une main dans son dos pour l’embrasser à mon tour.
Elle a essuyée en riant ma joue trempée de sa transpiration.
- Et toi ? ça va ?
- Fatigué …
- Le rosé, c’est traître !
- Mmm mmm … le rosé ça passe encore … c’est Tina qui m’épuise !
- Oh ! … tu t’en plains ?
- Non non … je ne me plains pas … je constate ! et puis tu verrais la liste de courses qu’elle m’a laissé !
- T’y vas quand ? Tu veux de l’aide ?
- Ah ça ! avec plaisir ! moi, les courses … avant midi ? ça t’embêtes pas ?
- Mais non ! je prends une douche et on y va, si tu veux … laisse moi une heure …
- Ok, je passe te prendre !
Elle est repartie en petites foulées jusqu’à chez elle, et je suis resté au bord de la rue à regarder ses fesses … t’as de la chance, Martina … jolie femme, fine et musclée, grands yeux un peu tristes … je la consolerais bien, même si je sais pas de quoi … elle donne envie de câlins …
Elle s’est retournée en arrivant devant son portail et m’a fait une petit signe en riant.
… elle savait que je matais ses fesses, la coquine …
Une heure plus tard je me suis garé devant sa maison. J’ai longé l’allée de rosiers jusqu’à l’entrée, frappé à sa porte, et je suis entré :
- Hello ! C’est moi !
Sa voix m’est arrivée de la pièce au bout du couloir :
- Attends un peu, j’suis pas prête !
Je me suis avancé ; elle était de dos devant une planche à repasser, torse nu et en culotte blanche qui mordait sur ses fesses et remontait haut sur sa taille. Son dos et ses jambes sont très bronzées, les attaches fines ; les boucles brunes en désordre lui donnent une allure de gamine :
- Charmant tableau !
Elle s’est retournée brusquement et a failli lâcher son fer à repasser.
- T’es mignonne avec tes lunettes ! Désolé … je pensais pas …
Elle me tourne le dos et finit son repassage :
- Décidément, j’arrête pas d’exposer mon anatomie …
- Tu fais bien … j’apprécie …
- Espèce de voyeur !
- Exhibitionniste !
- … désolée …
Sans se retourner, elle repose son fer, enfile la petite robe bleu ciel qu’elle repassait :
- Rends-toi utile !
Je me suis approché et j’ai remonté la fermeture éclair dans son dos.
- Jolie robe … aussi courte que je les aime …
Elle a enlevé ses lunettes, s’est assise sur le canapé et enfilé une paire de tennis blanches, sans les délacer :
- Je suis prête ! on y va ?
On a roulé vitres ouvertes, bras à la portière. Je ne pouvais pas m’empêcher de jeter de temps en temps un coup d’œil à ses jambes.
- J’ai menti …
Je tourne la tête vers elle. Elle regarde droit devant elle :
- J’ai menti, j’ai fait exprès …
- Exprès de quoi ?
- … d’être en petite tenue … Je suis désolée …
- … ne le sois pas … j’ai apprécié …
Elle ne me regarde pas et secoue ses boucles de cheveux :
- J’ai jamais mis aussi longtemps à repasser une robe !
Elle met une main devant sa bouche pour étouffer un fou-rire :
- Pardon …
- T’étais pas obligée de me le dire …
- Si … c’est mieux …
Nous avons fini la route sans rien dire, en riant à chaque fois qu’on se regardait.
J’ai finalement pris beaucoup de plaisir à pousser le caddy entre les rayons à la poursuite de la petite robe bleue.
On est rentré vers 13 heures. Martina était déjà rentrée. Elle avait décidé de rentrer très tôt pour faire un gâteau et préparer les entrées.
Quand on est arrivés chargés de sacs, elle a posé les poings sur ses hanches :
- T’as pas pu t’empêcher de l’embaucher ! On l’invite et tu la fais travailler !
- Elle s’est proposée ! … et tu me connais, j’ai pas voulu la vexer !
- Ouais …
- Laissez-moi faire ! allez sur la terrasse, je vous prépare des sandwich ! allez … dispa-raissez !
Quand je les ai rejointes, elles étaient toutes les deux secouées d’un grand fou-rire. Tina en pleurait et Annie s’appuyait à la table, la tête dans les bras, le dos tressautant de ses éclats de rire :
- Qu’est-ce qu’il y a ?
Elles se sont tournées vers moi et ont éclaté de rire de plus belle. J’ai posé les assiettes sur la table, et suis retourné chercher du soda et des verres.
Leur fou-rire semblait un peu calmé. Martina s’est essuyé les yeux :
- Mon pauvre chéri !
- Quoi ?
Aucune des deux ne répondant, je me suis assis et ai commencé à manger mon sandwich. Martina est venue s’assoir sur mes genoux, et je lui ai donné une bouchée de mon sandwich :
- Alors … raconte …
- Annie m’a raconté comment elle t’avait accueillie …
- C’était … inattendu … et charmant …
- On va t’épuiser mon chéri ! Entre Annie et moi, tes retrouvailles avec Véro … je crains pour ta santé !
- … mmm …
Je dormais quand Tina est rentrée hier soir de chez Annie. Elle s’est couchée sur moi et m’a embrassé. Comment résister ! Elle s’est un peu soulevée, a passé un main entre nos deux corps et a redressé mon sexe bien droit sur mon ventre. Elle a ondulé, frottant son pubis à mon sexe jusqu’à provoquer une belle érection.
Cramponnée à mon cou, elle a soulevé le bassin, et après quelques hésitations et tâtonnements elle s’est empalée sur moi, d’une lente descente sans à-coups.
Elle a soulevé ses fesses jusqu’à presque me sortir de son ventre et a attendu que je bouge, et j’ai pris le relais, agrippé des deux mains sur ses fesses aux muscles durcis, tendues.
Elle a sans doute senti mon souffle s’accélérer, j’étais prêt à exploser, et s’est détachée de moi. Elle s’est redressée, assise sur mes cuisses, et a calé ses pieds sous mes bras.
Assise au-dessus de moi, elle a pris appui dans son dos d’un bras sur mes genoux et de l’autre main a redressé mon sexe à la verticale et abaissé ses fesses, mon gland appuyé au creux de ses fesses, puis les deux mains dans son dos sur mes genoux, elle s’est appuyée un peu plus fort.
Elle plissait les yeux et se mordait la lèvre inférieure, une expression de douleur sur le visage, mais appuyait son petit trou de plus en plus fort … et j’ai senti l’anneau se relâcher, se resserrer, se relâ-cher encore et s’ouvrir … avalant d’un coup mon gland … elle s’est arrêtée. Elle a ouvert grand les yeux, soufflé deux ou trois fois, a repris sa lèvre entre ses dents et a recommencé à descendre sur ma verge, à petits coups, s’empalant sur la partie la plus renflée et dure de la verge … et a glissé à fond, accompagnant la descente d’un grognement profond venant du fond de la gorge, dents serrées, jusqu’à poser ses fesses sur mes cuisses … « … attends … bouge pas … attends … ».
Elle a commencé à monter et descendre à petits coups de reins et j’ai bougé avec elle, décollant mes reins du lit, la soulevant à chaque coups de reins …
Quand elle a senti mon sexe étirer plus fort son sphincter et commencer à palpiter, elle a posé une main sur son clitoris et s’est caressé très vite, presque violemment. Elle a crié bouche ouverte au moment même j’ai commencé à jouir, la soulevant à grands coups de reins.
Sans me laisser sortir de ses fesses, elle a ramené ses jambes en arrière et s’est couchée sur mon torse, couverte de transpiration.
Elle dormait déjà quand j’ai senti mon sexe ramolli sortir de ses fesses, sur une dernière contraction de son petit trou.
- J’aurais dû savoir que j’avais aucune chance … il me l’avait dit …
- Oh oh ! Tu lui as raconté notre nuit, mon chéri ?
- Non !
- Il m’a seulement dit qu’il était fatigué … pas plus ! juré !
Tina s’est penché vers Annie et lui a parlé à l’oreille. Elle chuchotait et je n’entendais rien :
- Qu’est-ce que tu racontes, encore !
Elle se redresse, me regarde et dit :
- Ben … la vérité ! Que tu m’as enculée comme une bête !
- OH ! C’est pas vrai ! Elle a pas dit ça !
Annie pliée de rire a ajouté :
- C’est vrai ?
- C’est comme je dis ! Il m’a littéralement défoncée !
Je l’ai repoussée de mes genoux :
- Vous êtes grossière, madame !
- Ehhh ! Ce matin, tu m’a pas repoussée !
Annie ouvrait grand les yeux, prenait un air horrifié :
- Il a recommencé ?
J’ai répondu le premier :
- Non, j’ai rien recommencé du tout … c’est elle … Elle m’a pompé le nœud ! Elle m’a sucé jusqu’à la moelle ! Asséché !
Elles sont restées bouche ouverte, toutes les deux, surprises de ma sortie. Et le fou-rire les a repris ; elles pleuraient de rire dans les bras l’une de l’autre :
- Arrrr.. rrête ! arr … arrê…te ! je vais … fai … pipi … d … a … culo …ootte …
Elles riaient encore quand je suis revenu avec trois tasses de café.
Annie est rentrée chez elle vers 3 heures, en promettant de revenir aider Martina à tout préparer.
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