"Parcours croisés"- chapitre 18
Récit érotique écrit par Misa [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-02-2010 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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"Parcours croisés"- chapitre 18
Parcours croisés – Mercredi soir
Chapitre 18
Alain
La soirée se passait bien. Les trois filles étaient superbes. D’habitude les femmes n’apprécient pas trop de porter des vêtements identiques, mais là, au contraire elle s’en étaient réellement amusées.
Martina, belle, liane ondulante, Annie, piquante et naturelle, Véro , toute en blondeur … Comme souvent en fin de soirée entre adultes, la conversation a déviée sur le sexe ; Christophe qui adore ça, et est passé maître dans cet art, nous a amené à raconter chacun un peu de nous, à soulever un coin de voile …
Véro vient de raconter sa première fois et j’ai décidé de la suivre … les souvenirs revenant … 14 ans, ça c’est passé il y 14 ans …
- Nous étions quatre, trois garçons et une fille. Elle était plus mûre que nous ; du même âge, mais plus mûre. Le vrai chef de notre groupe, c’était elle … et on suivait ! Nous retrouver lâchés dans la nature à 18 ans, loin de chez nous, libres, était une vraie nouveauté, et on en profitait. On bossait … mais on profitait de la vie, sans retenue … Catherine passait sans complexe des bras de l’un aux bras de l’autre, et ça nous gênait pas … elle a décidé un jour qu’il manquait une fille dans notre groupe : elle pensait qu’un d’entre nous deviendrait jaloux, qu’avec trois filles et trois garçons, on finiraient pour nous séparer en couples … et que l’idéal était donc une seule autre fille, et elle a décidé aussi que c’était elle qui la choisirait, et surtout pas l’un de nous, qui imposerions un de nos flirts au groupe. Elle nous a annoncé un soir qu’elle avait trouvée la perle rare, qu’elle avait commencé son travail d’approche et nous la présenterait bientôt. Deux jours plus tard, elle nous a rejoint accompagnée d’une petite blonde toute timide, jolie comme un cœur, et on est tous les trois tombés sous le charme, conquis, et ravis qu’elle ait si bien choisi ! … C’est encore elle qui a choisi, le moment, et qui a choisi lequel de nous trois serait le premier …
Je me suis arrêté ; j’ai regardé Martina … son petit sourire, son regard complice … elle avait compris. C’est elle qui a parlé :
- … c’était toi, Véro …
- Tu veux bien que je continue ?
Véronique m’a regardé et a hoché la tête :
- Souviens-toi … Cath était là, avec nous … tout le temps elle te tenait la main, lissait tes cheveux, te rassurait … c’est elle qui t’as déshabillée … qui t’as embrassée avant moi … et tout le temps elle t’as tenue la main … j’étais maladroit, trop brutal sans doute et elle me calmait … tu avais la tête sur ses genoux. J’ai senti ta virginité céder, ton sang chaud sur mon sexe : c’était la première fois que ça m’arrivait, de déflorer une fille ; j’étais un peu effrayé de te faire mal, et tellement excité en même temps que je t’ai oubliée, j’ai oublié tes cris pour te voler mon plaisir … et puis Cath m’a repoussé… elle a séché tes larmes … j’ai eu honte de moi, Véro. Longtemps après, elle t’as caressée … et tu as encore crié … différemment …
- C’était la première fois que j’avais du plaisir … bien sûr que je m’en souviens …
Elle avait un grand sourire, le visage lumineux, et puis comme personne n’osait parler, elle a détendu tout le monde :
- Maintenant vous savez tous beaucoup choses ! … pourquoi entre deux garçons j’apprécie les parenthèses féminines, et vous savez qu’Alain a vraiment une grosse quéquette … XXL !!!
Tout le monde a éclaté de rire ! Je me suis levé pour aller chercher une autre bouteille de rosé au réfrigérateur et Véronique m’a accompagné à la cuisine : elle s’est collée contre moi et m’a embras-sé, un long baiser, puis m’a fait passer un frisson en murmurant d’un souffle chaud dans l’oreille « … je t’aime … ».
Tous les verres étaient vides : j’ai été bien accueilli avec la bouteille de rosé. Martina a proposé une part des tartes qu’elle avait préparées, mais plus personnes n’avait faim.
En aidant Annie à débarrasser la table, j’ai vu que la robe de Véro était tâchée du jus rose de la tarte aux fraises qu’avait mangé Jonathan. Véro riait beaucoup, et avait les joues plus rouges que les autres.
La nuit était tombée, et Martina a ajouté une bougie au milieu de la table. Christophe ne comptait pas en rester là :
- Martina, tu nous a raconté ta première vision d’Annie, mais ça ne nous révèle rien sur toi, à part bien sûr que tu es une voyeuse dotée d’une prodigieuse mémoire photographique. Veux-tu nous faire partager quelque chose qui t’appartient ?
- Bien sûr, très cher ! après les charmantes confidences de Véro et d’Alain, je ne vois pas de raison de me défiler ! voyons …
- Pour rester dans le ton, aurais-tu aussi une « première fois » ?
- … d’accord … j’ai un piercing …
Véro, en se tapotant la bouche d’un doigt, faisant semblant de réfléchir :
- … sur la lèvre … gauche !
Toutes les têtes se sont tournées vers Véronique, sauf Annie qui s’est penché vers Christophe et, en aparté, mais assez fort pour que tout le monde entende :
- Un très joli brillant, ma foi !
Seul Jonathan restait sérieux :
- Pourquoi vous riez ? … j’ai pas compris …
- Patience jeune homme, patience, l’histoire commence à peine !
- J’ai donc un piercing sur la lèvre gauche, assorti d’un joli brillant ! … Jonathan, je parle d’un piercing sur mon petit minou … et comme dit Christophe « ferme la bouche ». Bon ! … Après m’être séparé de mon précédent compagnon, avant de connaître monsieur XXL donc, j’ai passé une longue période sans aventures d’aucune sorte, et j’ai décidé de me faire un petit plaisir. Un piercing me tentait depuis longtemps mais je ne voulais pas de quelque chose de commun. Sur le nombril, on en voit de plus en plus … la langue ou la lèvre, j’aime pas, le sourcil non plus. J’ai pensé un moment me faire poser un clou sur l’aile de nez, mais j’ai eu peur de m’en lasser avec le temps et qu’il reste une marque visible si je l’enlevais. Et puis l’idée était de me faire un plaisir perso, donc pas nécessairement visible. J’ai cherché des adresses, et je suis allée à Paris visiter des boutiques qui pratiquent : je cherchais des idées, mais aussi des gens sérieux, en qui je pourrais avoir confiance. J’ai cherché des photos sur Internet aussi … d’ailleurs j’ai vu plein de photos de piercings sur des sexes d’hommes, mon chéri, je t’en parlerais …
- Ohoh! Attention, Alain ! ton intégrité physique est en danger !
- Je saurais résister !
- Nous en reparlerons, chéri … bref ! Comme il s’agissait d’un plaisir perso, j’ai opté pour un piercing caché !
- Aux réactions de ces dames, il me semble être bien mal caché !
- J’ai retenu trois options : les tétons, le clito, les lèvres, ce pour quoi je me suis finale-ment décidée : en fait les deux autres m’ont fait peur ! peur de perdre une sensibilité, peur d’une infection . Ensuite j’ai choisi le pierceur et le bijou, assez discret mais joli … et puis on peut le changer … J’ai pris un rendez-vous … le type était très mignon, ça aide ! Quand je lui ai eu expliqué ce que je voulais, il a d’ailleurs eu l’air plutôt content … Il m’a fait passer dans son cabinet, et … je lui ai montré ce que contrairement à ce que vous pourriez croire, je n’expose pas si facilement. On a défini l’endroit exact, il a pris des mesures, soit disant pour choisir la taille de l’insert … mais il en a profité pour me tripoter un peu … et on a pris rendez-vous pour la pose deux semaines plus tard. Il m’avait conseillé de me raser le plus tôt possible, pour éviter tout risque d’infection avec les poils. C’est depuis ce temps-là que ressemble à une petite fille de 8 ans … Le jour du rendez-vous, j’avais quand même les chocottes, il m’avait bien expliqué en détail comment ça se passerait et j’avais lu plein d’articles, certains rassurants et d’autres pas … enfin, j’avais peur ! D’ailleurs quand j’ai vu les instruments qu’il préparait, j’ai failli me sauver ! mais j’étais déjà à poil les jambes en l’air … alors j’ai serré les dents ! Au prétexte de me décontracter, il m’a à nouveau un peu tripotée, et … c’était pas désagréable … et puis j’étais un peu en manque aussi à l’époque … et puis il s’est mis au travail, et … croyez-moi, c’est TRES douloureux : quand il a percé, d’abord ; j’avais l’impression qu’il mettait une éternité à traverser avec son aiguille ; et après, quand il a mis en place le clou ! je crois que j’ai crié les deux fois, et je me suis fait mal aux doigts en serrant les poings, mais à un moment, sans qu’il ne se passe rien d’autre, je ne sais ni comment ni pourquoi, il ne touchait même pas, sans prévenir, j’ai joui comme une malade ! j’avais un peu honte, et l’autre imbécile avec ses compresses pleines de sang dans les mains, il rigolait. Il m’a dit après que ça arrivait très rarement, mais que j’étais pas la seule … voilà … deux premières fois en une seule histoire … premier piercing, et jouissance par la douleur … et surtout, que ça ne te donne pas des idées, mon chéri …
- Pourquoi vouloir me priver ? Tu sais bien que faire crier une femme, c’est notre rêve à tous …
Martina m’avait déjà raconté «son p’tit clou », comme elle l’appelle, et contrairement à son habi-tude, elle n’avait pas ajouté tout un luxe de détails inventés.
Nous nous sommes finalement laissés tenter par une part de tarte et les verres se sont à nouveau remplis. Véronique jouait avec son verre et appuyait sa tête sur l’épaule de Jonathan dont j’avais remarqué que sa main gauche n’apparaissait plus jamais au-dessus de la table. Martina avait allongé ses jambes sur mes genoux, bientôt rejointe par Annie qui s’appuyait du dos à Christophe. Le mollet de Martina bougeait lentement sur mon sexe qui commençait à réagir sous le fin tissu du bermuda. Annie avait dû remarquer le manège ; elle a replié une jambe et son pied nu a remplacé la jambe de Martina … qui lui a laissé la place …
Chapitre 18
Alain
La soirée se passait bien. Les trois filles étaient superbes. D’habitude les femmes n’apprécient pas trop de porter des vêtements identiques, mais là, au contraire elle s’en étaient réellement amusées.
Martina, belle, liane ondulante, Annie, piquante et naturelle, Véro , toute en blondeur … Comme souvent en fin de soirée entre adultes, la conversation a déviée sur le sexe ; Christophe qui adore ça, et est passé maître dans cet art, nous a amené à raconter chacun un peu de nous, à soulever un coin de voile …
Véro vient de raconter sa première fois et j’ai décidé de la suivre … les souvenirs revenant … 14 ans, ça c’est passé il y 14 ans …
- Nous étions quatre, trois garçons et une fille. Elle était plus mûre que nous ; du même âge, mais plus mûre. Le vrai chef de notre groupe, c’était elle … et on suivait ! Nous retrouver lâchés dans la nature à 18 ans, loin de chez nous, libres, était une vraie nouveauté, et on en profitait. On bossait … mais on profitait de la vie, sans retenue … Catherine passait sans complexe des bras de l’un aux bras de l’autre, et ça nous gênait pas … elle a décidé un jour qu’il manquait une fille dans notre groupe : elle pensait qu’un d’entre nous deviendrait jaloux, qu’avec trois filles et trois garçons, on finiraient pour nous séparer en couples … et que l’idéal était donc une seule autre fille, et elle a décidé aussi que c’était elle qui la choisirait, et surtout pas l’un de nous, qui imposerions un de nos flirts au groupe. Elle nous a annoncé un soir qu’elle avait trouvée la perle rare, qu’elle avait commencé son travail d’approche et nous la présenterait bientôt. Deux jours plus tard, elle nous a rejoint accompagnée d’une petite blonde toute timide, jolie comme un cœur, et on est tous les trois tombés sous le charme, conquis, et ravis qu’elle ait si bien choisi ! … C’est encore elle qui a choisi, le moment, et qui a choisi lequel de nous trois serait le premier …
Je me suis arrêté ; j’ai regardé Martina … son petit sourire, son regard complice … elle avait compris. C’est elle qui a parlé :
- … c’était toi, Véro …
- Tu veux bien que je continue ?
Véronique m’a regardé et a hoché la tête :
- Souviens-toi … Cath était là, avec nous … tout le temps elle te tenait la main, lissait tes cheveux, te rassurait … c’est elle qui t’as déshabillée … qui t’as embrassée avant moi … et tout le temps elle t’as tenue la main … j’étais maladroit, trop brutal sans doute et elle me calmait … tu avais la tête sur ses genoux. J’ai senti ta virginité céder, ton sang chaud sur mon sexe : c’était la première fois que ça m’arrivait, de déflorer une fille ; j’étais un peu effrayé de te faire mal, et tellement excité en même temps que je t’ai oubliée, j’ai oublié tes cris pour te voler mon plaisir … et puis Cath m’a repoussé… elle a séché tes larmes … j’ai eu honte de moi, Véro. Longtemps après, elle t’as caressée … et tu as encore crié … différemment …
- C’était la première fois que j’avais du plaisir … bien sûr que je m’en souviens …
Elle avait un grand sourire, le visage lumineux, et puis comme personne n’osait parler, elle a détendu tout le monde :
- Maintenant vous savez tous beaucoup choses ! … pourquoi entre deux garçons j’apprécie les parenthèses féminines, et vous savez qu’Alain a vraiment une grosse quéquette … XXL !!!
Tout le monde a éclaté de rire ! Je me suis levé pour aller chercher une autre bouteille de rosé au réfrigérateur et Véronique m’a accompagné à la cuisine : elle s’est collée contre moi et m’a embras-sé, un long baiser, puis m’a fait passer un frisson en murmurant d’un souffle chaud dans l’oreille « … je t’aime … ».
Tous les verres étaient vides : j’ai été bien accueilli avec la bouteille de rosé. Martina a proposé une part des tartes qu’elle avait préparées, mais plus personnes n’avait faim.
En aidant Annie à débarrasser la table, j’ai vu que la robe de Véro était tâchée du jus rose de la tarte aux fraises qu’avait mangé Jonathan. Véro riait beaucoup, et avait les joues plus rouges que les autres.
La nuit était tombée, et Martina a ajouté une bougie au milieu de la table. Christophe ne comptait pas en rester là :
- Martina, tu nous a raconté ta première vision d’Annie, mais ça ne nous révèle rien sur toi, à part bien sûr que tu es une voyeuse dotée d’une prodigieuse mémoire photographique. Veux-tu nous faire partager quelque chose qui t’appartient ?
- Bien sûr, très cher ! après les charmantes confidences de Véro et d’Alain, je ne vois pas de raison de me défiler ! voyons …
- Pour rester dans le ton, aurais-tu aussi une « première fois » ?
- … d’accord … j’ai un piercing …
Véro, en se tapotant la bouche d’un doigt, faisant semblant de réfléchir :
- … sur la lèvre … gauche !
Toutes les têtes se sont tournées vers Véronique, sauf Annie qui s’est penché vers Christophe et, en aparté, mais assez fort pour que tout le monde entende :
- Un très joli brillant, ma foi !
Seul Jonathan restait sérieux :
- Pourquoi vous riez ? … j’ai pas compris …
- Patience jeune homme, patience, l’histoire commence à peine !
- J’ai donc un piercing sur la lèvre gauche, assorti d’un joli brillant ! … Jonathan, je parle d’un piercing sur mon petit minou … et comme dit Christophe « ferme la bouche ». Bon ! … Après m’être séparé de mon précédent compagnon, avant de connaître monsieur XXL donc, j’ai passé une longue période sans aventures d’aucune sorte, et j’ai décidé de me faire un petit plaisir. Un piercing me tentait depuis longtemps mais je ne voulais pas de quelque chose de commun. Sur le nombril, on en voit de plus en plus … la langue ou la lèvre, j’aime pas, le sourcil non plus. J’ai pensé un moment me faire poser un clou sur l’aile de nez, mais j’ai eu peur de m’en lasser avec le temps et qu’il reste une marque visible si je l’enlevais. Et puis l’idée était de me faire un plaisir perso, donc pas nécessairement visible. J’ai cherché des adresses, et je suis allée à Paris visiter des boutiques qui pratiquent : je cherchais des idées, mais aussi des gens sérieux, en qui je pourrais avoir confiance. J’ai cherché des photos sur Internet aussi … d’ailleurs j’ai vu plein de photos de piercings sur des sexes d’hommes, mon chéri, je t’en parlerais …
- Ohoh! Attention, Alain ! ton intégrité physique est en danger !
- Je saurais résister !
- Nous en reparlerons, chéri … bref ! Comme il s’agissait d’un plaisir perso, j’ai opté pour un piercing caché !
- Aux réactions de ces dames, il me semble être bien mal caché !
- J’ai retenu trois options : les tétons, le clito, les lèvres, ce pour quoi je me suis finale-ment décidée : en fait les deux autres m’ont fait peur ! peur de perdre une sensibilité, peur d’une infection . Ensuite j’ai choisi le pierceur et le bijou, assez discret mais joli … et puis on peut le changer … J’ai pris un rendez-vous … le type était très mignon, ça aide ! Quand je lui ai eu expliqué ce que je voulais, il a d’ailleurs eu l’air plutôt content … Il m’a fait passer dans son cabinet, et … je lui ai montré ce que contrairement à ce que vous pourriez croire, je n’expose pas si facilement. On a défini l’endroit exact, il a pris des mesures, soit disant pour choisir la taille de l’insert … mais il en a profité pour me tripoter un peu … et on a pris rendez-vous pour la pose deux semaines plus tard. Il m’avait conseillé de me raser le plus tôt possible, pour éviter tout risque d’infection avec les poils. C’est depuis ce temps-là que ressemble à une petite fille de 8 ans … Le jour du rendez-vous, j’avais quand même les chocottes, il m’avait bien expliqué en détail comment ça se passerait et j’avais lu plein d’articles, certains rassurants et d’autres pas … enfin, j’avais peur ! D’ailleurs quand j’ai vu les instruments qu’il préparait, j’ai failli me sauver ! mais j’étais déjà à poil les jambes en l’air … alors j’ai serré les dents ! Au prétexte de me décontracter, il m’a à nouveau un peu tripotée, et … c’était pas désagréable … et puis j’étais un peu en manque aussi à l’époque … et puis il s’est mis au travail, et … croyez-moi, c’est TRES douloureux : quand il a percé, d’abord ; j’avais l’impression qu’il mettait une éternité à traverser avec son aiguille ; et après, quand il a mis en place le clou ! je crois que j’ai crié les deux fois, et je me suis fait mal aux doigts en serrant les poings, mais à un moment, sans qu’il ne se passe rien d’autre, je ne sais ni comment ni pourquoi, il ne touchait même pas, sans prévenir, j’ai joui comme une malade ! j’avais un peu honte, et l’autre imbécile avec ses compresses pleines de sang dans les mains, il rigolait. Il m’a dit après que ça arrivait très rarement, mais que j’étais pas la seule … voilà … deux premières fois en une seule histoire … premier piercing, et jouissance par la douleur … et surtout, que ça ne te donne pas des idées, mon chéri …
- Pourquoi vouloir me priver ? Tu sais bien que faire crier une femme, c’est notre rêve à tous …
Martina m’avait déjà raconté «son p’tit clou », comme elle l’appelle, et contrairement à son habi-tude, elle n’avait pas ajouté tout un luxe de détails inventés.
Nous nous sommes finalement laissés tenter par une part de tarte et les verres se sont à nouveau remplis. Véronique jouait avec son verre et appuyait sa tête sur l’épaule de Jonathan dont j’avais remarqué que sa main gauche n’apparaissait plus jamais au-dessus de la table. Martina avait allongé ses jambes sur mes genoux, bientôt rejointe par Annie qui s’appuyait du dos à Christophe. Le mollet de Martina bougeait lentement sur mon sexe qui commençait à réagir sous le fin tissu du bermuda. Annie avait dû remarquer le manège ; elle a replié une jambe et son pied nu a remplacé la jambe de Martina … qui lui a laissé la place …
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