"Parcours croisés"- chapitre 22
Récit érotique écrit par Misa [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-02-2010 dans la catégorie Plus on est
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"Parcours croisés"- chapitre 22
Parcours croisés – Mercredi soir
Chapitre 22
Annie
Martina s’est déshabillée derrière moi et je la regardais faire dans le miroir . Elle a croisé mon regard et m’a souri. Deux jours … on s’est parlées pour la première fois lundi soir … elle est capable de me faire le même coup que Véro, d’aller s’asseoir sur les toilettes et … arrête … Elle s’enveloppe de son paréo … c’est le signal … temps de partir … je vais rentrer à la maison … Alain est déjà couché, fau-drait pas que je m’incruste … elle est belle … et moi j’ai une sale tête … alcool, fatigue, il est quoi 2 heures, 3 heures ? je vais partir … j’écarte son paréo d’un doigt, son petit ventre rond, son mini string transparent qui dessine son sexe … je me garde l’image, je la ramène à la maison … qu’est-ce qui m’arrive ? pendant 8 ans, rien ! et là … je saute sur Martina sur ma terrasse, je raconte des histoires cochonnes à des inconnus, je rêve de ses mains et je caresse son mec devant tout le monde avec mon pied … l’alcool, belle excuse ! je suis pas comme ça ! ben si ma fille, t’es comme ça …
On sort de la salle de bains et Martina me tire vers le fond du couloir … on va voir Véro ? elle a pris mes mains et ouvre l’autre porte … NON ! elle est folle ! cette fille est folle ! … Alain dort même pas …
pas ça Tina … arrête …
- … c’est une bêtise Tina …
Elle écoute pas, elle écoute rien. Je devrais partir ! et je pars pas … pourquoi ? je me sens tendue, paralysée, tous les poils hérissés … j’ai froid … Alain a éteint sa lampe, ma jupe tombe, oh ! Tina …
mon caraco par terre … mes seins … les cacher ; et je me retrouve à genoux sur le lit … il est chaud, il a les mains chaudes et ses lèvres sur mes seins, douces … j’ai le ventre serré, je bascule vers lui, m’appuie à deux mains sur ses épaules … je le veux … je veux tout, sa peau chaude, ses mains fortes, ses muscles sous mes doigts, qui roulent, durs, je me sens toute petite … embrasse-moi, embrasse-moi ... pas moi, je veux que toi t’en aies envie … embrasse-moi, prends ma bouche Alain … prends moi toute …
Il s’éloigne, m’attire, nu sur le lit et je baisse pas les yeux, je le regarderai pas … il m’attire d’une main et Martina m’accompagne, se colle à mon dos, sa main caressant un sein … Martina, je t’avais oubliée un instant … Lui face à moi s’approche, ses lèvres, timides, légères … ma main derrière son cou, viens, viens … je lève mes lèvres vers lui, pendue à son cou, ses dents cognent mes lèvres, ouvertes, sa langue … la main de Martina sur mon sein, la main d’Alain sur ma joue, ses lèvres sur les miennes, nos langues mêlées, se battent, Tina sur mon ventre, qui serre à pleine main les poils de ma chatte et relâche et caresse, Alain sur mon sein, dur, douloureux…
Je veux le toucher, le sentir … son ventre dur, le petit duvet sous le nombril, son souffle qui s’accélère sur ma bouche, sa langue plus dure, les poils plus drus sous mes doigts, et Martina derrière moi, la main entre mes jambes, ses seins dans mon dos, menton sur mon épaule :
- Je vais le raser un jour … sera aussi nu que moi …
et je me mets à rire, et Alain rit dans ma bouche, et tout se détend, tout d’un coup, et je sens le rire de Martina aux mouvements de ses seins dans mon dos :
- T’es folle ! t’es complètement folle !
- Ouais je sais … t’aime le poil, toi !
elle a repris ma toison à pleine main et me secoue.
Alain s’est écarté, allongé. Je m’assois sur mes talons, genoux contre sa taille, sa main sur mon ge-nou.
Ma main descend, main à plat sur son ventre, doigts ouverts encadrant son sexe entre index et majeur, repoussant la verge vers ses cuisses, ma main qui contourne son sexe, et Martina le menton sur mon cou qui ne perd rien de ma caresse :
- Prends ses couilles … prends les dans ta main … tu sens comme elles sont lourdes ? et chaudes ? … la droite est plus grosse, c’est drôle … regarde … regarde je t’avais dit qu’il aimait …
Je les roule sous mes doigts, c’est vrai qu’elles sont chaudes et lourdes … et son sexe se redresse, traînant avec lui un petit filet mouillé qui s’étire dans les poils sur son ventre. Sa main glisse dans mon dos, pèse, remonte dans mes cheveux et abaisse ma tête.
Martina s’est reculée , est allée s’asseoir, en tailleur, triangle blanc de son string, à hauteur des ge-noux d’Alain et caresse sa cuisse, me regardant dans les yeux, tête inclinée sur l’épaule. Je m’allonge en travers du lit, la joue sur le ventre d’Alain, les yeux sur son sexe qui se redresse lentement, venant à ma rencontre. Ma main sur sa cuisse, du bout des doigts, légère, descend, presse la main de Martina et remonte, s’insère entre ses cuisses. Alain écarte un genou, laissant ma main glisser vers l’intérieur de la cuisse, mes doigts sur les plis de la fesse, passant sous ses couilles main ouverte pour les soulever, trop grosses pour tenir dans ma main. Son sexe pointe vers ma bouche, se tend, et j’avance la langue, suçant le filet liquide, jouant sur l’ouverture du méat, provoquant un brusque redressement de la verge, tendue, et j’avance ma bouche, soulevant ma joue de son ventre pour saisir le sexe tendu, décollé du ventre ; bouche ouverte, mes lèvres se refermant au-delà du gland, et je repose ma joue ; je ne bouge plus ; je goutte la chaleur dans ma bouche ; lèvres étirées ; éprouvant le durcissement par saccades ; le gonflement sur ma langue, contre mon palais ; et je coule sur la main de Martina qui me fouille le ventre à deux doigts …
Je me suis agenouillée, un genou entre les jambes d’Alain, mains à plats sur ses abdos tellement durs, et j’ai pris sa verge dans ma bouche, sans le toucher de mes mains ; mes dents fermées sous le gland ; ma langue qui joue sur le filet tendu ; ses doigts sont glissés dans mes cheveux ; et je le prends dans mes mains ; à deux mains ; l’une au-dessus de l’autre ; et la tête me tourne à l’imaginer, si grand, si dur, au fond de mon ventre ; ma main, en bas, le serre, à m’en faire mal aux doigts, l’autre main tend et détend la peau souple, descend à toucher l’autre main, remonte à toucher mes lèvres, qui aspirent, accompagnant la descente de ma main, écrasant du pouce la boursouflure gonflée … je lève les yeux en le suçant et en le branlant, je surveille de la main la tension du sexe, des yeux ses yeux qui se voilent et j’arrête … C’est dans mon ventre que je le veux, au fond de mon ventre que Martina a abandonné que je veux sentir son explosion.
Je m’avance au-dessus de lui, à cheval sur lui, venant offrir mes seins à sa bouche et mains sur mes hanches, il me soulève. C’est Martina qui écarte mes lèvres à deux doigts et redresse le sexe d’Alain quand il me repose doucement sur lui, tout doucement, me soutenant à bout de bras jusqu’à ce que mes genoux retrouve le contact du lit, déjà à moitié en moi, déjà pour moi aussi loin que je peux l’engloutir ; je me sens … ouverte … étirée, je tremble entre ses mains … et je me couche sur son torse, fesses levées au maximum :
- … attends, s’il te plaît … attends …
J’ai bloqué ma respiration quand il a commencé à glisser en moi et j’ai du mal à retrouver mon souffle ; j’ai pas mal, c’est pas ça, non … mais je me sens … distendue, et j’essaie de me calmer, d’arrêter le tremblement de mes jambes. Ses mains sur mes reins, pouces sous les os de mes hanches, attendent. Martina assise à côté de moi se penche et embrasse ma joue. Je creuse le ventre, rapproche mes genoux sous moi, m’empalant plus profond encore, et Alain commence à bouger, creusant les reins et les remontant vers moi, lentement, et je l’accompagne, et je le sens plus profond en moi, bousculant tout dans mon ventre, butant sur l’entrée de la matrice et la repoussant un peu plus chaque fois et devant mes yeux fermés je vois ce sexe que je tenais dans ma bouche et mes mains, et je le vois en moi … et je me détends et je m’ouvre plus grand encore à lui, et je me sens couler, mon sexe inondé, et Alain se rend compte, et sans accélérer, d’un mouvement de hanches lent et régulier, il se fait plus ample, sortant plus de mon ventre à chaque fois et revenant buter plus au fond, et c’est moi qui accélère, à mesure que la chaleur m’envahit, que mes seins durcissent encore et les tétons se tendent. Je me suis redressée, m’appuyant des deux mains à sa poitrine et quand je sens la main de Martina descendre vers mon ventre :
- NON ! … non, me touche pas … je veux jouir comme ça … non …
et j’accélère encore, encore … encore … ouuuui …
La vague de plaisir monte, monte, et comme je ne bouge presque plus, et que je me remets à trembler, c’est Alain qui me soulève à long coups de reins , et je jouis à longues et profondes contractions, tous mes muscles se resserrant et se relâchant autour de lui, et ça continue … continue encore et encore quand je sens le sexe en moi se durcir encore plus et Alain me soulever du lit et les jets brûlants au fond de mon ventre … et Alain qui reprend ses coups de reins et je jouis toujours, secouée de contractions de tout le ventre … et je m’écroule sur lui … respirant très vite, essoufflée et molle, toute molle entre ses bras qui me bercent, sa bouche qui embrasse mes cheveux, ses mains qui soulève mon visage et du pouce chassent les larmes au coin de mes yeux.
Je ne dors pas ; le visage posé sur sa poitrine, enfermée dans ses bras, les yeux fermés. Je sens son sexe en moi se ramollir, son sperme couler doucement de moi. Je ne veux pas bouger, je veux rester là toute la nuit, bercée par sa respiration profonde qui soulève sa poitrine sous ma joue . Depuis quand ? Depuis quand j’ai été aussi bien ? Il va bien falloir que je remette les pieds sur terre ! mais pas tout de suite, pas encore … demain … on verra demain … Alain soulève un genou, et … il me quitte … sors de mon ventre doucement … avec un soupir … je lève la tête et malgré la faible clarté je vois son sourire quand il soulève la tête de l’oreiller et m’embrasse, mordille ma lèvre. Je roule sur le côté enveloppé de son bras sous mes épaules, roule vers Martina qui m’embrasse à son tour, baiser tendre à lèvres fermées sur mes lèvres, Martina tout en douceur qui lisse mes sourcils et mes yeux d’un doigt léger. Je suis blottie entre eux deux ; je me sens … bien …
Par-dessus-moi, Martina tend la main vers Alain, caresse sa joue, sa bouche. Il se tourne vers nous et je me retrouve enfermée entre leurs deux corps chaud, sous leurs jambes mêlées sur mes jambes, leurs mains doigts noués sur mon ventre, et … j’ouvre grand les yeux et je me mets à rire :
- Ooohh … je coule ...
et je ris en sentant le sperme d’Alain couler sur les draps, et Martina qui devine rit avec moi, glisse le paréo qu’elle a enlevé entre mes jambes, le pousse en bouchon sous mes fesses. Alain me pince un sein :
- Je te donne le meilleur de moi-même et tu n’en veux pas ?
- Pardon, je garderez tout la prochaine fois, promis !
- Pas tout de suite … laisse-moi souffler un peu !
Martina me pince à son tour :
- Eh ! toi ! faut partager ! pas tout pour toi !
- Toi tu l’as tous les jours … tu peux prêter un peu, quand même !
- Doucement les filles ! Tarzan a besoin d’une pause !
- … si Christophe veut d’autres histoires de « première fois » … je saurai quoi raconter …
Martina joue avec un de mes seins, montant les doigts vers le téton, le pressant et redescendant doigts ouverts :
- Tu ne cries pas d’habitude ?
- … j’ai crié ?
Tous les deux s’exclament d’une seule voix :
- Oh ! oui !
Et Martina d’ajouter :
- Faut vraiment que Véro ait le sommeil lourd pour pas être accourue !
- … oh … non, c’est autre chose …
- Dis-moi, alors … c’est la première fois avec Alain ? ça je savais déjà …
- … non … j’ai jamais joui comme ça … sans … sans me toucher …
- …
- … je voulais pas que tu me touches le clito … j’ai jamais joui comme ça avant … juste en faisant l’amour … je connaissais pas … ça montait, ça montait …
- Et t’as crié ! … on aurait dû fermer les volets, chéri, les voisins ont dû s’inquiéter !
Je me suis couchée sur le côté, face à Alain, Martina emboîtée dans mon dos, le nez au creux du bras d’Alain. Je regarde la main de Martina jouer sur la cuisse d’Alain, griffer en remontant sur l’aine, roulant sa verge sous sa paume, pinçant la peau du scrotum, l’étirant puis la cajolant, et reprenant son sexe, glissant l’index entre le prépuce et le gland encore humide … En levant la tête, je vois qu’Alain a fermé les yeux, savourant la caresse d’une main connue. Je glisse la main dans mon dos entre nos deux corps ; Martina recule un peu le bassin pour me faciliter le passage et pose son genou sur ma hanche ? je trouve le haut du string, y glisse la main, et le majeur en haut de la fente je commence un lent mouvement du plat du doigt sur son bouton , éprouvant à chaque tour la tige durcie. La main de Martina monte et descend sur la verge, déjà redressée, adoptant exactement le rythme de mon doigt, ralentissant avec moi, accélérant de même, étirant le frein, remontant en serrant, faisant gonfler le gland qui luit doucement à la clarté de la rue.
Je prends mon temps, réglant le rythme de ma caresse à sa respiration à elle dans mon cou, à son souffle à lui sur ma joue, yeux gourmands fixés sur la verge tendue … il est beau, son sexe … grand et fort comme lui …
Alain m’enjambe, s’agenouille entre les jambes de Martina soulève ses jambes ; je l’aide à faire glisser le string ; il pose ses jambes sur ses épaules ; arqué en appui sur les mains, reins creusés et jambes tendues derrière lui, il pousse de son torse les cuisses de Martina qui les tire de ses mains sous les genoux vers sa poitrine ; ses lents coups de reins sont ponctués des expirations plaintives de Martina, et j’accompagne ses poussées de ma main sur ses fesses dures et bombées d’Alain, encourageant et le poussant plus loin plus fort, plus vite … Martina halète et gémis, reins soulevés du drap. Je glisse l’autre main entre ses jambes, étirent ses lèvres de l’index et du majeur, fait rouler, doigts serrés, la tige du clitoris, plus fort, plus vite … guettant la contraction des mâchoires, les visages crispés de l’attente et de la montée du plaisir. Il jouit le premier, un râle sourd au fond de la gorge. Elle gémit, bouche fermée, tremble et se tend, détend ses jambes contre les épaules d’Alain, comme pour le repousser et se mord la main en geignant, tête relevée, cou crispé, s’agitant de droite à gauche …
Chapitre 22
Annie
Martina s’est déshabillée derrière moi et je la regardais faire dans le miroir . Elle a croisé mon regard et m’a souri. Deux jours … on s’est parlées pour la première fois lundi soir … elle est capable de me faire le même coup que Véro, d’aller s’asseoir sur les toilettes et … arrête … Elle s’enveloppe de son paréo … c’est le signal … temps de partir … je vais rentrer à la maison … Alain est déjà couché, fau-drait pas que je m’incruste … elle est belle … et moi j’ai une sale tête … alcool, fatigue, il est quoi 2 heures, 3 heures ? je vais partir … j’écarte son paréo d’un doigt, son petit ventre rond, son mini string transparent qui dessine son sexe … je me garde l’image, je la ramène à la maison … qu’est-ce qui m’arrive ? pendant 8 ans, rien ! et là … je saute sur Martina sur ma terrasse, je raconte des histoires cochonnes à des inconnus, je rêve de ses mains et je caresse son mec devant tout le monde avec mon pied … l’alcool, belle excuse ! je suis pas comme ça ! ben si ma fille, t’es comme ça …
On sort de la salle de bains et Martina me tire vers le fond du couloir … on va voir Véro ? elle a pris mes mains et ouvre l’autre porte … NON ! elle est folle ! cette fille est folle ! … Alain dort même pas …
pas ça Tina … arrête …
- … c’est une bêtise Tina …
Elle écoute pas, elle écoute rien. Je devrais partir ! et je pars pas … pourquoi ? je me sens tendue, paralysée, tous les poils hérissés … j’ai froid … Alain a éteint sa lampe, ma jupe tombe, oh ! Tina …
mon caraco par terre … mes seins … les cacher ; et je me retrouve à genoux sur le lit … il est chaud, il a les mains chaudes et ses lèvres sur mes seins, douces … j’ai le ventre serré, je bascule vers lui, m’appuie à deux mains sur ses épaules … je le veux … je veux tout, sa peau chaude, ses mains fortes, ses muscles sous mes doigts, qui roulent, durs, je me sens toute petite … embrasse-moi, embrasse-moi ... pas moi, je veux que toi t’en aies envie … embrasse-moi, prends ma bouche Alain … prends moi toute …
Il s’éloigne, m’attire, nu sur le lit et je baisse pas les yeux, je le regarderai pas … il m’attire d’une main et Martina m’accompagne, se colle à mon dos, sa main caressant un sein … Martina, je t’avais oubliée un instant … Lui face à moi s’approche, ses lèvres, timides, légères … ma main derrière son cou, viens, viens … je lève mes lèvres vers lui, pendue à son cou, ses dents cognent mes lèvres, ouvertes, sa langue … la main de Martina sur mon sein, la main d’Alain sur ma joue, ses lèvres sur les miennes, nos langues mêlées, se battent, Tina sur mon ventre, qui serre à pleine main les poils de ma chatte et relâche et caresse, Alain sur mon sein, dur, douloureux…
Je veux le toucher, le sentir … son ventre dur, le petit duvet sous le nombril, son souffle qui s’accélère sur ma bouche, sa langue plus dure, les poils plus drus sous mes doigts, et Martina derrière moi, la main entre mes jambes, ses seins dans mon dos, menton sur mon épaule :
- Je vais le raser un jour … sera aussi nu que moi …
et je me mets à rire, et Alain rit dans ma bouche, et tout se détend, tout d’un coup, et je sens le rire de Martina aux mouvements de ses seins dans mon dos :
- T’es folle ! t’es complètement folle !
- Ouais je sais … t’aime le poil, toi !
elle a repris ma toison à pleine main et me secoue.
Alain s’est écarté, allongé. Je m’assois sur mes talons, genoux contre sa taille, sa main sur mon ge-nou.
Ma main descend, main à plat sur son ventre, doigts ouverts encadrant son sexe entre index et majeur, repoussant la verge vers ses cuisses, ma main qui contourne son sexe, et Martina le menton sur mon cou qui ne perd rien de ma caresse :
- Prends ses couilles … prends les dans ta main … tu sens comme elles sont lourdes ? et chaudes ? … la droite est plus grosse, c’est drôle … regarde … regarde je t’avais dit qu’il aimait …
Je les roule sous mes doigts, c’est vrai qu’elles sont chaudes et lourdes … et son sexe se redresse, traînant avec lui un petit filet mouillé qui s’étire dans les poils sur son ventre. Sa main glisse dans mon dos, pèse, remonte dans mes cheveux et abaisse ma tête.
Martina s’est reculée , est allée s’asseoir, en tailleur, triangle blanc de son string, à hauteur des ge-noux d’Alain et caresse sa cuisse, me regardant dans les yeux, tête inclinée sur l’épaule. Je m’allonge en travers du lit, la joue sur le ventre d’Alain, les yeux sur son sexe qui se redresse lentement, venant à ma rencontre. Ma main sur sa cuisse, du bout des doigts, légère, descend, presse la main de Martina et remonte, s’insère entre ses cuisses. Alain écarte un genou, laissant ma main glisser vers l’intérieur de la cuisse, mes doigts sur les plis de la fesse, passant sous ses couilles main ouverte pour les soulever, trop grosses pour tenir dans ma main. Son sexe pointe vers ma bouche, se tend, et j’avance la langue, suçant le filet liquide, jouant sur l’ouverture du méat, provoquant un brusque redressement de la verge, tendue, et j’avance ma bouche, soulevant ma joue de son ventre pour saisir le sexe tendu, décollé du ventre ; bouche ouverte, mes lèvres se refermant au-delà du gland, et je repose ma joue ; je ne bouge plus ; je goutte la chaleur dans ma bouche ; lèvres étirées ; éprouvant le durcissement par saccades ; le gonflement sur ma langue, contre mon palais ; et je coule sur la main de Martina qui me fouille le ventre à deux doigts …
Je me suis agenouillée, un genou entre les jambes d’Alain, mains à plats sur ses abdos tellement durs, et j’ai pris sa verge dans ma bouche, sans le toucher de mes mains ; mes dents fermées sous le gland ; ma langue qui joue sur le filet tendu ; ses doigts sont glissés dans mes cheveux ; et je le prends dans mes mains ; à deux mains ; l’une au-dessus de l’autre ; et la tête me tourne à l’imaginer, si grand, si dur, au fond de mon ventre ; ma main, en bas, le serre, à m’en faire mal aux doigts, l’autre main tend et détend la peau souple, descend à toucher l’autre main, remonte à toucher mes lèvres, qui aspirent, accompagnant la descente de ma main, écrasant du pouce la boursouflure gonflée … je lève les yeux en le suçant et en le branlant, je surveille de la main la tension du sexe, des yeux ses yeux qui se voilent et j’arrête … C’est dans mon ventre que je le veux, au fond de mon ventre que Martina a abandonné que je veux sentir son explosion.
Je m’avance au-dessus de lui, à cheval sur lui, venant offrir mes seins à sa bouche et mains sur mes hanches, il me soulève. C’est Martina qui écarte mes lèvres à deux doigts et redresse le sexe d’Alain quand il me repose doucement sur lui, tout doucement, me soutenant à bout de bras jusqu’à ce que mes genoux retrouve le contact du lit, déjà à moitié en moi, déjà pour moi aussi loin que je peux l’engloutir ; je me sens … ouverte … étirée, je tremble entre ses mains … et je me couche sur son torse, fesses levées au maximum :
- … attends, s’il te plaît … attends …
J’ai bloqué ma respiration quand il a commencé à glisser en moi et j’ai du mal à retrouver mon souffle ; j’ai pas mal, c’est pas ça, non … mais je me sens … distendue, et j’essaie de me calmer, d’arrêter le tremblement de mes jambes. Ses mains sur mes reins, pouces sous les os de mes hanches, attendent. Martina assise à côté de moi se penche et embrasse ma joue. Je creuse le ventre, rapproche mes genoux sous moi, m’empalant plus profond encore, et Alain commence à bouger, creusant les reins et les remontant vers moi, lentement, et je l’accompagne, et je le sens plus profond en moi, bousculant tout dans mon ventre, butant sur l’entrée de la matrice et la repoussant un peu plus chaque fois et devant mes yeux fermés je vois ce sexe que je tenais dans ma bouche et mes mains, et je le vois en moi … et je me détends et je m’ouvre plus grand encore à lui, et je me sens couler, mon sexe inondé, et Alain se rend compte, et sans accélérer, d’un mouvement de hanches lent et régulier, il se fait plus ample, sortant plus de mon ventre à chaque fois et revenant buter plus au fond, et c’est moi qui accélère, à mesure que la chaleur m’envahit, que mes seins durcissent encore et les tétons se tendent. Je me suis redressée, m’appuyant des deux mains à sa poitrine et quand je sens la main de Martina descendre vers mon ventre :
- NON ! … non, me touche pas … je veux jouir comme ça … non …
et j’accélère encore, encore … encore … ouuuui …
La vague de plaisir monte, monte, et comme je ne bouge presque plus, et que je me remets à trembler, c’est Alain qui me soulève à long coups de reins , et je jouis à longues et profondes contractions, tous mes muscles se resserrant et se relâchant autour de lui, et ça continue … continue encore et encore quand je sens le sexe en moi se durcir encore plus et Alain me soulever du lit et les jets brûlants au fond de mon ventre … et Alain qui reprend ses coups de reins et je jouis toujours, secouée de contractions de tout le ventre … et je m’écroule sur lui … respirant très vite, essoufflée et molle, toute molle entre ses bras qui me bercent, sa bouche qui embrasse mes cheveux, ses mains qui soulève mon visage et du pouce chassent les larmes au coin de mes yeux.
Je ne dors pas ; le visage posé sur sa poitrine, enfermée dans ses bras, les yeux fermés. Je sens son sexe en moi se ramollir, son sperme couler doucement de moi. Je ne veux pas bouger, je veux rester là toute la nuit, bercée par sa respiration profonde qui soulève sa poitrine sous ma joue . Depuis quand ? Depuis quand j’ai été aussi bien ? Il va bien falloir que je remette les pieds sur terre ! mais pas tout de suite, pas encore … demain … on verra demain … Alain soulève un genou, et … il me quitte … sors de mon ventre doucement … avec un soupir … je lève la tête et malgré la faible clarté je vois son sourire quand il soulève la tête de l’oreiller et m’embrasse, mordille ma lèvre. Je roule sur le côté enveloppé de son bras sous mes épaules, roule vers Martina qui m’embrasse à son tour, baiser tendre à lèvres fermées sur mes lèvres, Martina tout en douceur qui lisse mes sourcils et mes yeux d’un doigt léger. Je suis blottie entre eux deux ; je me sens … bien …
Par-dessus-moi, Martina tend la main vers Alain, caresse sa joue, sa bouche. Il se tourne vers nous et je me retrouve enfermée entre leurs deux corps chaud, sous leurs jambes mêlées sur mes jambes, leurs mains doigts noués sur mon ventre, et … j’ouvre grand les yeux et je me mets à rire :
- Ooohh … je coule ...
et je ris en sentant le sperme d’Alain couler sur les draps, et Martina qui devine rit avec moi, glisse le paréo qu’elle a enlevé entre mes jambes, le pousse en bouchon sous mes fesses. Alain me pince un sein :
- Je te donne le meilleur de moi-même et tu n’en veux pas ?
- Pardon, je garderez tout la prochaine fois, promis !
- Pas tout de suite … laisse-moi souffler un peu !
Martina me pince à son tour :
- Eh ! toi ! faut partager ! pas tout pour toi !
- Toi tu l’as tous les jours … tu peux prêter un peu, quand même !
- Doucement les filles ! Tarzan a besoin d’une pause !
- … si Christophe veut d’autres histoires de « première fois » … je saurai quoi raconter …
Martina joue avec un de mes seins, montant les doigts vers le téton, le pressant et redescendant doigts ouverts :
- Tu ne cries pas d’habitude ?
- … j’ai crié ?
Tous les deux s’exclament d’une seule voix :
- Oh ! oui !
Et Martina d’ajouter :
- Faut vraiment que Véro ait le sommeil lourd pour pas être accourue !
- … oh … non, c’est autre chose …
- Dis-moi, alors … c’est la première fois avec Alain ? ça je savais déjà …
- … non … j’ai jamais joui comme ça … sans … sans me toucher …
- …
- … je voulais pas que tu me touches le clito … j’ai jamais joui comme ça avant … juste en faisant l’amour … je connaissais pas … ça montait, ça montait …
- Et t’as crié ! … on aurait dû fermer les volets, chéri, les voisins ont dû s’inquiéter !
Je me suis couchée sur le côté, face à Alain, Martina emboîtée dans mon dos, le nez au creux du bras d’Alain. Je regarde la main de Martina jouer sur la cuisse d’Alain, griffer en remontant sur l’aine, roulant sa verge sous sa paume, pinçant la peau du scrotum, l’étirant puis la cajolant, et reprenant son sexe, glissant l’index entre le prépuce et le gland encore humide … En levant la tête, je vois qu’Alain a fermé les yeux, savourant la caresse d’une main connue. Je glisse la main dans mon dos entre nos deux corps ; Martina recule un peu le bassin pour me faciliter le passage et pose son genou sur ma hanche ? je trouve le haut du string, y glisse la main, et le majeur en haut de la fente je commence un lent mouvement du plat du doigt sur son bouton , éprouvant à chaque tour la tige durcie. La main de Martina monte et descend sur la verge, déjà redressée, adoptant exactement le rythme de mon doigt, ralentissant avec moi, accélérant de même, étirant le frein, remontant en serrant, faisant gonfler le gland qui luit doucement à la clarté de la rue.
Je prends mon temps, réglant le rythme de ma caresse à sa respiration à elle dans mon cou, à son souffle à lui sur ma joue, yeux gourmands fixés sur la verge tendue … il est beau, son sexe … grand et fort comme lui …
Alain m’enjambe, s’agenouille entre les jambes de Martina soulève ses jambes ; je l’aide à faire glisser le string ; il pose ses jambes sur ses épaules ; arqué en appui sur les mains, reins creusés et jambes tendues derrière lui, il pousse de son torse les cuisses de Martina qui les tire de ses mains sous les genoux vers sa poitrine ; ses lents coups de reins sont ponctués des expirations plaintives de Martina, et j’accompagne ses poussées de ma main sur ses fesses dures et bombées d’Alain, encourageant et le poussant plus loin plus fort, plus vite … Martina halète et gémis, reins soulevés du drap. Je glisse l’autre main entre ses jambes, étirent ses lèvres de l’index et du majeur, fait rouler, doigts serrés, la tige du clitoris, plus fort, plus vite … guettant la contraction des mâchoires, les visages crispés de l’attente et de la montée du plaisir. Il jouit le premier, un râle sourd au fond de la gorge. Elle gémit, bouche fermée, tremble et se tend, détend ses jambes contre les épaules d’Alain, comme pour le repousser et se mord la main en geignant, tête relevée, cou crispé, s’agitant de droite à gauche …
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