"Parcours croisés" – Chapitre 9
Récit érotique écrit par Misa [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-12-2009 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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"Parcours croisés" – Chapitre 9
Parcours croisés - Mardi
Chapitre 9
Jonathan
Ce matin j’ai commencé le boulot de bonne heure. Le patron était de mauvaise humeur, comme d’hab, et il a pas arrêté de me gueuler dessus. « Fais-ci … fais-ça », il a pas arrêté ! Je travaille chez lui depuis que j’ai arrêté l’école et Christophe m’a dit que j’avais de la chance d’avoir ce boulot alors que j’avais raté le BEP et qu’il fallait pas que je râle après lui.
Mais c’est pas drôle tous les jours.
Des fois, il me laisse aller chercher des marchandises à Paris avec le camion. C’est lui qui a payé pour mon permis et il dit « Faut amortir ». Moi j’aime bien partir avec le camion, c’est mieux qu’au magasin.
J’ai tiré des palettes toute la matinée pour refaire les rayons et le patron venait vérifier tout le temps que je mettais bien au fond du rayon toutes les nouvelles boîtes : ça fait 2 ans qu’il le dit et il croit que j’ai pas compris ? Je sais qu’il me prend pour un imbécile !
Heureusement qu’il y a Christophe pour me défendre. Au début le patron envoyait une part de mon salaire à ma mère, il gardait une part pour la chambre au dessus du magasin, et il restait pas beaucoup pour moi. Christophe est allé lui parler à ma place et depuis j’ai un peu plus d’argent pour moi. Il l’écoute, à Christophe, et puis j’ai aussi plus avec ce que la prof me donne, mais Christophe le sait pas.
De midi à une heure il m’a dit de tenir la caisse et il est parti à l’apéro. Y a pas eu beaucoup de monde et à 1 heure, j’ai fermé le magasin et je suis allé à la librairie chercher Christophe pour aller manger.
Martina était déjà là avec Bertrand et on a mangé ensemble.
Quand Bertrand est parti, Martina nous a dit :
- On fait un barbecue mercredi soir, et ça nous ferait plaisir que vous veniez tous les deux. Il y aura juste notre voisine, Jérémy, peut-être Véronique, j ’ai pas encore réussi à la joindre, vous et nous.
- Eh bien ! s’il y a Véronique … je vois mal comment refuser !
- Sympa pour les autres!
Christophe m’a demandé :
- Et toi, jeune homme, qu’en dis-tu ?
- Moi je veux bien.
- Alors c’est avec plaisir que nous serons des vôtres ! Nous amènerons le dessert !
Martina a téléphoné à son copain pour lui dire qu’on venait, et Christophe lui a dit bonjour de loin. Au début je savais pas pourquoi il l’appelait « le Viking ». Il m’a expliqué que c’étaient des grands blonds costauds comme lui qui arrivaient en bateaux et faisaient la guerre. Alain, le viking, il est sympa aussi. C’est lui qui m’a donné son ordinateur quand il en a acheté un autre et qui m’a expliqué comment on s’en servait. J’avais un peu appris à l’école, mais il m’a donné des jeux et il m’a expliqué pour internet.
Je suis vite rentré au magasin parce qu’on est mardi et que je dois faire la livraison chez ma prof et il fallait que je me prépare. Je suis monté dans ma chambre pour me changer parce qu’elle voulait que je mette un slip.
La semaine dernière sur internet je suis tombé sur un site où il y avait des photos de femmes qui étaient habillées comme ma prof quand je vais chez elle. J’ai pas vu les films parce qu’il faut payer pour télécharger avec une carte bleue et moi j’en ai pas. Sur une photo on voyait la femme avec une cravache et l’homme à genoux, sur une autre l’homme était déguisé en fille et la femme posait son pied sur son ventre. J’ai pensé que ma prof était peut être pareil que cette femme et je me suis fait gicler en regardant les photos et en pensant à la prof.
J’ai lavé un slip ce matin mais j’ai vu qu’il était pas sec alors je suis allé dans le magasin pour en prendre un en rayon. J’en ai pas trouvé qui allait bien. Y’a que des grands slips avec une poche devant que je trouve moche alors j’ai pris une culotte de femme en nylon qui fait comme un slip d’homme ; on voit pas la différence.
Je suis remonté dans ma chambre pour le mettre et je me suis lavé un peu.
J’ai pris les deux sacs de sa commande que j’ai préparés hier, et je suis parti chez elle à pied. C’est pas très loin, elle habite dans un immeuble de l’autre côté du parc.
- Bonjour Jonathan, entre !
Elle est en peignoir à fleur et elle me suit dans la cuisine pour que j’y pose les sacs. Pendant que je les vide sur la table de sa cuisine, elle enlève le peignoir ; dessous elle est habillée avec la jupe noire trop courte, et on voit un peu de dentelle. En haut elle a une guêpière avec des lacets dans le dos que je connais pas ; ça écrase sa poitrine qui remonte :
- Je ne savais pas qui c’était !
Elle a posé le peignoir sur une chaise et me regarde déballer, et ranger dans le frigo et dans son placard. Elle m’a montré où tout se range et c’est toujours moi qui le fait.
Quand j’ai fini, on va dans le salon où elle me fait travailler ; les volets sont presque fermés à cause du soleil.
- Il fait chaud, tu ne trouve pas ?
- …
- Mets-toi à l’aise, enlève donc ce t-shirt, t’es en nage !
J’hésite un peu et je l’enlève ; je sens la transpiration.
Elle me le prend de ma main et le jette sur le divan. Elle part vers le couloir :
- Tu te souviens de ce que je t’ai demandé la semaine dernière ?
… Ben oui, elle voulait que je mette un slip et pas un caleçon …
Elle revient avec une serviette de toilette ; elle essuie ma transpiration dans mon dos, m’essuie aussi sous les bras :
- Alors ?
- … oui, je me rappelle …
- Eh bien … montre-moi ça !
Je défais la ceinture du jeans pendant qu’elle s’assoit dans le canapé, j’enlève mes baskets et je me retourne pour baisser mon pantalon que je laisse par terre :
- Range moi ça sur une chaise ! … et approche …
Je suis debout devant elle :
- Tourne-toi !
Elle touche le slip sur mes fesses :
- A qui tu as volé ça ? C’est un slip de femme !
- Le mien était pas sec, je l’ai pris au magasin …
- Et c’est tout ce que tu as trouvé ? … c’est bien … c’est un bon choix ! …
Je lui tourne toujours le dos, et il vaut mieux, mon sexe a un peu grossi et ça doit se voir.
- Il n’y avait rien d’autre ? Il n’y avait pas de strings, dans le rayon ? … suis-moi !
Elle passe à côté de moi et va vers le couloir. Je la suis jusque dans sa chambre ; elle ouvre un tiroir de la commode devant son lit, fouille un moment et me tend un truc noir tout petit :
- Change-toi ! mets ça ! elle est pas belle ta culotte ! ça t’ira mieux !
Je reste un petit moment à regarder le string qu’elle m’a donné et je sens que je suis tout rouge. Elle est debout, les bras croisés :
- Allez ! Dépêche-toi !
Je lui tourne le dos, j’enlève le slip, et j’enfile le string ; je tire dessus tant que je peux pour tout mettre dedans, et heureusement il est assez élastique, mais en même temps ça me rentre dans la raie des fesses et c’est désagréable ; je tire dessus avec un doigt pour le ressortir, mais ça le fait glisser devant en même temps et je préfère le tirer plus haut devant, tant pis.
Je la vois se baisser à côté de moi, ramasser mon slip et elle le regarde à l’intérieur, là où je l’ai un peu mouillé. Elle repasse derrière moi et tire sur le string qui me rentre encore plus dans les fesses :
- Voilà ! c’est mieux !
Elle sort de la chambre :
- Viens … dépêche-toi !
On revient dans le salon. Elle s’assoit dans le divan pendant que je suis encore dans le couloir à tirer sur l’entre-jambe et à le remonter ; je bande un peu et le sexe tient pas bien dedans ; il est trop petit. Je mets mes mains devant pour me cacher.
- Arrête de te tortiller comme ça ! C’est agaçant ! allez… viens-là ! … à genoux !
Je m’installe comme d’habitude devant la petite table où elle a posé un livre.
- Ouvre-le ! J’ai marqué la page ! … commence … et applique-toi !
Pendant que je lis, elle a posé une main sur mon épaule et elle caresse mon dos de temps en temps. Quand je me trompe ou que j’hésite, elle me donne de petites tapes sur la tête. C’est une histoire bizarre que je comprends pas bien d’un type dans un train qui regarde le paysage et qui repense à sa journée … bizarre … Elle a la tête au-dessus de mon épaule pour suivre en même temps. Quand j’arrive à la fin de la page elle s’avance, change de page et tord le livre pour qu’il tienne ouvert :
- Mets tes mains dans ton dos, t’en as pas besoin !
Elle pose un cendrier au bord de la page pour l’empêcher de se refermer :
- Lis !
Elle lâche le cendrier et je sens ses doigts sur mon ventre. Elle descend et touche mon sexe à travers le string. Je le sens grossir et soulever l’élastique pendant qu’elle le suit sur toute la longueur du bout des doigts, jusqu’au bout qui dépasse de la ceinture, mais elle s’arrête avant de le toucher et redescend. J’arrive plus à bien lire mais elle me tape plus. J’ai vu avant qu’elle change de page qu’elle avait enlevé la jupe. J’ai pas regardé, mais je sais qu’elle est aussi en culotte derrière moi et je l’entends bouger un peu.
Quand mon sexe s’est complètement redressé en soulevant l’élastique, elle a enlevé sa main un moment, et puis elle l’a pris à pleine main sans bouger en le serrant très fort ; ça me fait pas mal, mais je voudrais bien qu’elle bouge. J’arrive plus à lire et j’arrête ; je baisse la tête et je regarde sa main qui me serre. Je sens ses cheveux contre ma joue et je sais qu’elle regarde aussi. Un de ses genoux est appuyé contre mon bras et je sens qu’elle bouge de plus en plus vite en soufflant dans mon cou, et sa main me serre de plus en plus fort. Tout d’un coup elle ouvre ses doigts en appuyant fort son genou dans mon dos et puis elle tire fort deux coups mon sexe vers le bas et elle me lâche quand je commence à gicler.
On a pas bougé pendant un petit moment, et j’avais peur qu’elle m’engueule : j’en ai mis partout sur la petite table et sur le livre aussi.
Elle s’est levé et m’a dit de la suivre. Elle avait plus sa jupe et sa culotte était mal mise. Dans la salle de bains elle s’est baissée devant moi, elle m’a enlevé le string et elle m’a entièrement lavé avec un gant de toilette en frottant fort. Après elle m’a dit d’aller me rhabiller et elle est restée dans la salle de bains.
J’ai pas osé aller dans sa chambre pour récupérer le slip et j’ai enfilé le jeans comme ça. J’ai pris du sopalin dans la cuisine et j’ai essuyé mon jus sur la table, sur le livre et sur le tapis. C’est pas bien parti sur le livre, je l’ai refermé et j’ai attendu.
Elle est revenue au bout d’un moment. Elle était plus habillée pareil. Elle m’a tendu le slip que j’avais mis pour venir et je l’ai mis dans ma poche :
- Tu le remettras la prochaine fois, d’accord ?
- D’accord …
Elle m’a tendu le chèque pour les courses et deux billets de 20 euros en plus que j’ai mis dans ma poche avec le slip :
- Tu sais ce que veut dire « discret » ?
- … que je dis rien à personne ?
Elle a fait oui de la tête, elle a ouvert la porte :
- Je passerai une commande par téléphone ! tu me livreras demain ?
- Oui, sûr, à demain.
Je suis rentré en traversant le parc. Je crois que je dirai rien à Christophe. Elle se fâcherait sans doute et je préfère continuer à aller chez elle.
Chapitre 9
Jonathan
Ce matin j’ai commencé le boulot de bonne heure. Le patron était de mauvaise humeur, comme d’hab, et il a pas arrêté de me gueuler dessus. « Fais-ci … fais-ça », il a pas arrêté ! Je travaille chez lui depuis que j’ai arrêté l’école et Christophe m’a dit que j’avais de la chance d’avoir ce boulot alors que j’avais raté le BEP et qu’il fallait pas que je râle après lui.
Mais c’est pas drôle tous les jours.
Des fois, il me laisse aller chercher des marchandises à Paris avec le camion. C’est lui qui a payé pour mon permis et il dit « Faut amortir ». Moi j’aime bien partir avec le camion, c’est mieux qu’au magasin.
J’ai tiré des palettes toute la matinée pour refaire les rayons et le patron venait vérifier tout le temps que je mettais bien au fond du rayon toutes les nouvelles boîtes : ça fait 2 ans qu’il le dit et il croit que j’ai pas compris ? Je sais qu’il me prend pour un imbécile !
Heureusement qu’il y a Christophe pour me défendre. Au début le patron envoyait une part de mon salaire à ma mère, il gardait une part pour la chambre au dessus du magasin, et il restait pas beaucoup pour moi. Christophe est allé lui parler à ma place et depuis j’ai un peu plus d’argent pour moi. Il l’écoute, à Christophe, et puis j’ai aussi plus avec ce que la prof me donne, mais Christophe le sait pas.
De midi à une heure il m’a dit de tenir la caisse et il est parti à l’apéro. Y a pas eu beaucoup de monde et à 1 heure, j’ai fermé le magasin et je suis allé à la librairie chercher Christophe pour aller manger.
Martina était déjà là avec Bertrand et on a mangé ensemble.
Quand Bertrand est parti, Martina nous a dit :
- On fait un barbecue mercredi soir, et ça nous ferait plaisir que vous veniez tous les deux. Il y aura juste notre voisine, Jérémy, peut-être Véronique, j ’ai pas encore réussi à la joindre, vous et nous.
- Eh bien ! s’il y a Véronique … je vois mal comment refuser !
- Sympa pour les autres!
Christophe m’a demandé :
- Et toi, jeune homme, qu’en dis-tu ?
- Moi je veux bien.
- Alors c’est avec plaisir que nous serons des vôtres ! Nous amènerons le dessert !
Martina a téléphoné à son copain pour lui dire qu’on venait, et Christophe lui a dit bonjour de loin. Au début je savais pas pourquoi il l’appelait « le Viking ». Il m’a expliqué que c’étaient des grands blonds costauds comme lui qui arrivaient en bateaux et faisaient la guerre. Alain, le viking, il est sympa aussi. C’est lui qui m’a donné son ordinateur quand il en a acheté un autre et qui m’a expliqué comment on s’en servait. J’avais un peu appris à l’école, mais il m’a donné des jeux et il m’a expliqué pour internet.
Je suis vite rentré au magasin parce qu’on est mardi et que je dois faire la livraison chez ma prof et il fallait que je me prépare. Je suis monté dans ma chambre pour me changer parce qu’elle voulait que je mette un slip.
La semaine dernière sur internet je suis tombé sur un site où il y avait des photos de femmes qui étaient habillées comme ma prof quand je vais chez elle. J’ai pas vu les films parce qu’il faut payer pour télécharger avec une carte bleue et moi j’en ai pas. Sur une photo on voyait la femme avec une cravache et l’homme à genoux, sur une autre l’homme était déguisé en fille et la femme posait son pied sur son ventre. J’ai pensé que ma prof était peut être pareil que cette femme et je me suis fait gicler en regardant les photos et en pensant à la prof.
J’ai lavé un slip ce matin mais j’ai vu qu’il était pas sec alors je suis allé dans le magasin pour en prendre un en rayon. J’en ai pas trouvé qui allait bien. Y’a que des grands slips avec une poche devant que je trouve moche alors j’ai pris une culotte de femme en nylon qui fait comme un slip d’homme ; on voit pas la différence.
Je suis remonté dans ma chambre pour le mettre et je me suis lavé un peu.
J’ai pris les deux sacs de sa commande que j’ai préparés hier, et je suis parti chez elle à pied. C’est pas très loin, elle habite dans un immeuble de l’autre côté du parc.
- Bonjour Jonathan, entre !
Elle est en peignoir à fleur et elle me suit dans la cuisine pour que j’y pose les sacs. Pendant que je les vide sur la table de sa cuisine, elle enlève le peignoir ; dessous elle est habillée avec la jupe noire trop courte, et on voit un peu de dentelle. En haut elle a une guêpière avec des lacets dans le dos que je connais pas ; ça écrase sa poitrine qui remonte :
- Je ne savais pas qui c’était !
Elle a posé le peignoir sur une chaise et me regarde déballer, et ranger dans le frigo et dans son placard. Elle m’a montré où tout se range et c’est toujours moi qui le fait.
Quand j’ai fini, on va dans le salon où elle me fait travailler ; les volets sont presque fermés à cause du soleil.
- Il fait chaud, tu ne trouve pas ?
- …
- Mets-toi à l’aise, enlève donc ce t-shirt, t’es en nage !
J’hésite un peu et je l’enlève ; je sens la transpiration.
Elle me le prend de ma main et le jette sur le divan. Elle part vers le couloir :
- Tu te souviens de ce que je t’ai demandé la semaine dernière ?
… Ben oui, elle voulait que je mette un slip et pas un caleçon …
Elle revient avec une serviette de toilette ; elle essuie ma transpiration dans mon dos, m’essuie aussi sous les bras :
- Alors ?
- … oui, je me rappelle …
- Eh bien … montre-moi ça !
Je défais la ceinture du jeans pendant qu’elle s’assoit dans le canapé, j’enlève mes baskets et je me retourne pour baisser mon pantalon que je laisse par terre :
- Range moi ça sur une chaise ! … et approche …
Je suis debout devant elle :
- Tourne-toi !
Elle touche le slip sur mes fesses :
- A qui tu as volé ça ? C’est un slip de femme !
- Le mien était pas sec, je l’ai pris au magasin …
- Et c’est tout ce que tu as trouvé ? … c’est bien … c’est un bon choix ! …
Je lui tourne toujours le dos, et il vaut mieux, mon sexe a un peu grossi et ça doit se voir.
- Il n’y avait rien d’autre ? Il n’y avait pas de strings, dans le rayon ? … suis-moi !
Elle passe à côté de moi et va vers le couloir. Je la suis jusque dans sa chambre ; elle ouvre un tiroir de la commode devant son lit, fouille un moment et me tend un truc noir tout petit :
- Change-toi ! mets ça ! elle est pas belle ta culotte ! ça t’ira mieux !
Je reste un petit moment à regarder le string qu’elle m’a donné et je sens que je suis tout rouge. Elle est debout, les bras croisés :
- Allez ! Dépêche-toi !
Je lui tourne le dos, j’enlève le slip, et j’enfile le string ; je tire dessus tant que je peux pour tout mettre dedans, et heureusement il est assez élastique, mais en même temps ça me rentre dans la raie des fesses et c’est désagréable ; je tire dessus avec un doigt pour le ressortir, mais ça le fait glisser devant en même temps et je préfère le tirer plus haut devant, tant pis.
Je la vois se baisser à côté de moi, ramasser mon slip et elle le regarde à l’intérieur, là où je l’ai un peu mouillé. Elle repasse derrière moi et tire sur le string qui me rentre encore plus dans les fesses :
- Voilà ! c’est mieux !
Elle sort de la chambre :
- Viens … dépêche-toi !
On revient dans le salon. Elle s’assoit dans le divan pendant que je suis encore dans le couloir à tirer sur l’entre-jambe et à le remonter ; je bande un peu et le sexe tient pas bien dedans ; il est trop petit. Je mets mes mains devant pour me cacher.
- Arrête de te tortiller comme ça ! C’est agaçant ! allez… viens-là ! … à genoux !
Je m’installe comme d’habitude devant la petite table où elle a posé un livre.
- Ouvre-le ! J’ai marqué la page ! … commence … et applique-toi !
Pendant que je lis, elle a posé une main sur mon épaule et elle caresse mon dos de temps en temps. Quand je me trompe ou que j’hésite, elle me donne de petites tapes sur la tête. C’est une histoire bizarre que je comprends pas bien d’un type dans un train qui regarde le paysage et qui repense à sa journée … bizarre … Elle a la tête au-dessus de mon épaule pour suivre en même temps. Quand j’arrive à la fin de la page elle s’avance, change de page et tord le livre pour qu’il tienne ouvert :
- Mets tes mains dans ton dos, t’en as pas besoin !
Elle pose un cendrier au bord de la page pour l’empêcher de se refermer :
- Lis !
Elle lâche le cendrier et je sens ses doigts sur mon ventre. Elle descend et touche mon sexe à travers le string. Je le sens grossir et soulever l’élastique pendant qu’elle le suit sur toute la longueur du bout des doigts, jusqu’au bout qui dépasse de la ceinture, mais elle s’arrête avant de le toucher et redescend. J’arrive plus à bien lire mais elle me tape plus. J’ai vu avant qu’elle change de page qu’elle avait enlevé la jupe. J’ai pas regardé, mais je sais qu’elle est aussi en culotte derrière moi et je l’entends bouger un peu.
Quand mon sexe s’est complètement redressé en soulevant l’élastique, elle a enlevé sa main un moment, et puis elle l’a pris à pleine main sans bouger en le serrant très fort ; ça me fait pas mal, mais je voudrais bien qu’elle bouge. J’arrive plus à lire et j’arrête ; je baisse la tête et je regarde sa main qui me serre. Je sens ses cheveux contre ma joue et je sais qu’elle regarde aussi. Un de ses genoux est appuyé contre mon bras et je sens qu’elle bouge de plus en plus vite en soufflant dans mon cou, et sa main me serre de plus en plus fort. Tout d’un coup elle ouvre ses doigts en appuyant fort son genou dans mon dos et puis elle tire fort deux coups mon sexe vers le bas et elle me lâche quand je commence à gicler.
On a pas bougé pendant un petit moment, et j’avais peur qu’elle m’engueule : j’en ai mis partout sur la petite table et sur le livre aussi.
Elle s’est levé et m’a dit de la suivre. Elle avait plus sa jupe et sa culotte était mal mise. Dans la salle de bains elle s’est baissée devant moi, elle m’a enlevé le string et elle m’a entièrement lavé avec un gant de toilette en frottant fort. Après elle m’a dit d’aller me rhabiller et elle est restée dans la salle de bains.
J’ai pas osé aller dans sa chambre pour récupérer le slip et j’ai enfilé le jeans comme ça. J’ai pris du sopalin dans la cuisine et j’ai essuyé mon jus sur la table, sur le livre et sur le tapis. C’est pas bien parti sur le livre, je l’ai refermé et j’ai attendu.
Elle est revenue au bout d’un moment. Elle était plus habillée pareil. Elle m’a tendu le slip que j’avais mis pour venir et je l’ai mis dans ma poche :
- Tu le remettras la prochaine fois, d’accord ?
- D’accord …
Elle m’a tendu le chèque pour les courses et deux billets de 20 euros en plus que j’ai mis dans ma poche avec le slip :
- Tu sais ce que veut dire « discret » ?
- … que je dis rien à personne ?
Elle a fait oui de la tête, elle a ouvert la porte :
- Je passerai une commande par téléphone ! tu me livreras demain ?
- Oui, sûr, à demain.
Je suis rentré en traversant le parc. Je crois que je dirai rien à Christophe. Elle se fâcherait sans doute et je préfère continuer à aller chez elle.
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