"Parcours croisés" - suite - Chapitre 25
Récit érotique écrit par Misa [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-03-2010 dans la catégorie Dans la zone rouge
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"Parcours croisés" - suite - Chapitre 25
Parcours croisés – Jeudi matin
Chapitre 25
Alain
Je rangeais le plateau du petit déjeuner quand Jérémy a téléphoné :
- Je te croyais chez ton père !
- J’y étais ! Je me suis sauvé !
- Que pasa ?
- Oh, mon frère a rappliqué, avec sa toute sa petite famille …
- Ah ! ah ! ah ! … et ta chère belle-sœur !
- Eh oui ! … je ne comprends pas comment il peut la supporter … moi je ne peux pas ! Alors j’ai fui …
- Dommage pour hier, finalement t’aurais mieux fait de rester …
- Vous avez passé une bonne soirée ?
- Mieux que ça …
- Oh oh ! Tu me raconteras ?
- Euh … pas tout, non !
- Ah ! Ça devait être bien, alors ! … tu ne ferais pas un tennis ? C’est ça ou tailler ma haie … et avec le temps qu’il fait …
- Ok ok … laisse-moi une demi-heure … je passe te prendre …
- Je t’attends ! À plus !
J’ai pris ma douche pendant que les trois filles discutaient dans la chambre. Incroyable qu’elles s’entendent aussi bien en se connaissant depuis si peu de temps. Martina m’avait raconté ses petites histoires avec Véro, et j’ai craint le pire quand elle a trouvé Annie dans notre lit. Les filles sont pas toujours tendres entre elles dans ces cas-là … euh les mecs non plus à vrai dire … mais non, rien … au contraire, elles ont l’air de très bien s’entendre … Tina me surprend … tout est tellement simple avec elle … Annie, on dirait une petite fille sage … du feu sous la braise … Et retrouver Véro, après tout ce temps … elle a changé, plus ronde peut-être, toujours aussi mignonne … et moi au milieu … la vie me gâte, attention …
Tina est entrée dans la salle de bains pendant que je me rasais. Elle s’est appuyée à mon dos, croisant ses bras autour de ma taille … j’adore ça …
- Tu te fais beau ?
- Mmm … Jérémy est rentré, on se fait un tennis …
- Je croyais qu’il passait le week-end chez son père ?
- … rentré … y’avait sa belle-sœur …
- Ramène-le, après … j’ai encore des salades et des tartes … t’as tout fait cuire, hier ?
- Non, on peut tenir un siège ! Tout le week-end, s’il le faut ! J’ai vu trop grand !
- T’as fini ?
- Mmm …
- Je te pique ton rasoir !
Qu’est-ce qu’elle veut encore faire ? … je ne préfère pas savoir … j’ai dit une demi-heure … si je m’en mêle … et puis je ne suis pas sûr d’être invité à leurs jeux, en plus …
Jérémy m’attendait devant chez lui, t-shirt sur l’épaule :
- J’ai pas pris de balles !
- J’en ai, c’est bon !
Le terrain était déjà occupé … des parisiens, pas du village … plutôt mauvais. On s’est assis sur la pelouse en attendant la fin de l’heure. Les femmes des deux joueurs ont perdu tout intérêt pour leurs maris ; Jérémy m’a fait un clin d’œil : lui aussi avait remarqué les regards appuyés des deux femmes. C’est un jeu entre nous ; en général, on ne passe pas inaperçus … il est presque aussi grand que moi, mais plus large d’épaules … on fait de l’aviron ensemble depuis qu’on est rentré au lycée, et on continue, une fois par semaine, été comme hiver … en général, les femmes sont pas insensibles à la musculature qui va avec !
On s’est un peu perdus de vue, pas longtemps, pendant nos années de fac, et on a été nommés dans le même lycée, lui prof de maths et moi de gestion. Les premières années, on se seraient crus revenus au temps où on était lycéens, sauf qu’au lieu de draguer les élèves, c’étaient les jeunes profs … Lui ne s’est jamais marié, moi si …
- Alors ? Ce barbecue ?
- Bonne soirée, excellente même …
Je lui ai raconté mes retrouvailles avec Véro :
- La Véro de la fac ?
- Oui oui, la même … en plus femme …
- Fais gaffe … Martina pourrait t’arracher un œil … ou pire …
- C’est elle qui l’a amenée … tu souviens cette fille transie d’amour, à qui elle cédait un peu … elle nous avait raconté … ben c’était elle !
- Fais gaffe quand même …
Et puis les histoires qui nous avaient tenues toutes la soirée : « encore une idée de Christophe, ça m’étonne pas de lui ! », et enfin notre voisine … comment elle était, ses histoires à elle … mais je ne lui ai pas dit pour notre nuit …
- Tu me la présenteras ?
- T’es invité à midi, tu la verras !
- Je te reconnais bien là ! Tu n’oublies pas les copains !
- Doucement Jérem … c’est une fille bien …
- Ok, man … je sais me tenir …
Les deux couples sont restés un moment à nous regarder jouer. Au début on a fait un peu les malins, pour amuser ces dames, et puis c’est devenu plus sérieux : on est aussi « accrocheurs » l’un que l’autre … Il est meilleur que moi, mais je lui donne du fil à retordre, je ne lâche rien et il le sait ; et hors de question pour lui de me laisser gagner … et d’ailleurs, il m’a encore battu …
- Toi au moins tu sais accueillir ! … attends, laisse-moi profiter !
On est passé par le jardin. En arrivant au coin de la maison, Jérémy m’a arrêté en me retenant par le bras et a chuchoté … et on a contemplé le spectacle … Martina et Véro, aussi nues l’une que l’autre, étendues à plat ventre sur les lits-piscines et prenant le soleil ! Une brune, une blonde !
- On fait demi-tour et on se signale ou pas ?
- Je ne crois pas que ça les gênera beaucoup …
- Alors attend un peu … laisse-moi profiter encore …
Quand on s’est rapprochés, j’ai donné une petite tape sur les fesses de Martina :
- Chérie, notre invité est là !
- Oh … bonjour, toi !
Très naturelle et pas gênée du tout, Martina s’est levée et s’est enroulée dans son paréo avant d’embrasser Jérémy sur la joue. Apparemment Véro dormait, et aucun d’entre nous n’a eu l’idée de la réveiller … après tout, elle était très bien comme ça …
- Bonjour !
Nous nous sommes retournés vers Annie que nous n’avions pas vue, trop occupés par le spectacle. Elle était assise sur les marches de la terrasse, petites lunettes sur le bout du nez, et un roman à la main, replié sur un doigt. Elle portait un paréo, noué au dessus des seins comme le fait Martina, et j’ai un peu regretté qu'elle en tienne les pans serrés dans une main en se levant … Jérémy, indécis lui a tendu la main, mais elle l’a ignorée, et comme elle le faisait avec moi, elle a passé une main derrière sa tête pour l’attirer et l’a embrassé sur une joue, dressée sur la pointe des pieds ... est-ce qu’elle se rend compte à quel point cette manière de faire a quelque chose d’intime et de sensuel ?... Rare, Jérémy est resté muet ! et il la dévorait des yeux … Martina m’a jeté un coup d’œil avec un sourire entendu …
Annie, plus sympa que nous, est allée rejoindre Véro, et a étendu sur ses fesses le paréo posé dans l’herbe … brièvement, j’ai aperçu un éclat lumineux entre ses fesses … tiens, tiens … m’est revenue en mémoire l’histoire d’Annie hier soir et l’objet sous mes doigts quand nous avions fait l’amour cette nuit … Annie aurait-elle fait une adepte ?
Martina lisait mes pensées … et riait dans sa main …
- Et si vous vous laviez ? Vous collez, tous les deux ! Allez Jérémy, salle de bains ! Tu sais où sont les serviettes, file !
Martina s’est assise et s’est relevée aussitôt grimaçante, en portant la main à ses seins, comme sous l’effet d’une douleur :
- Ça ne va pas, Tina ?
- Si … si, ça va …
Mais elle respirait vite et s’éventait :
- Sûre ? Fatiguée ? … on n’a pas beaucoup dormi …
- Tout va bien … alors ? Qui a gagné ?
- Ça ne te regarde pas …
- Bon ! J’ai compris !
Annie avait repris sa place sur les marches et s’était replongée dans son livre, ses cheveux ébouriffés, ses lunettes un peu de travers, se mordant la lèvre inférieure, plus petite fille sage que jamais ; Véro dormait toujours. J’ai suivi Martina à la cuisine :
- T’es sûre que tout va bien ?
- Mais oui, t’inquiète pas … viens …
Elle m’a tendu les bras et s’est blottie :
- On est allées chez Annie pendant que vous jouiez au tennis … elle m’a … prêté un de ses bijoux … à moi aussi … comme Véro … je sais que tu l’as vu, tout à l’heure …
Je l’ai écartée de moi, la tenant aux épaules :
- Je peux le voir ?
- Pas ici …
Mais elle avait un de ces sourires ! … elle a jeté un œil vers la terrasse pour vérifier si personne ne venait, et s’est penchée sur la table de la cuisine, me présentant son dos. Je ne me suis pas fait prier ; j’ai soulevé son paréo sur ses reins : entre ses fesses, un gros œil rouge jetait ses éclats … J’ai rabaissé son paréo :
- Garde-le un peu, j’aimerai en profiter …
- J’y compte bien !
- Pleine de surprises, Annie …
- Si tu savais à quel point …
- Quoi ?
- Plus tard …
Nous avons amené des rafraîchissements sur la terrasse. Annie a amené un verre de coca à Véro, enfin réveillée et rhabillée, et s’est assise à ses côtés. Martina est allée les rejoindre et elles ont pris la pose : paréos bleu, orange et rouge, toutes les trois jambes droite croisée sur la jambe gauche, tête inclinée sur l’épaule, un doigt dans la bouche, l’air aguicheur … Jérémy est arrivé à ce moment-là et comme il s’asseyait sur la terrasse à côté de moi, face aux filles, je lui ai demandé :
- Laquelle tu choisis ? C’est l’élection de miss barbecue …
- On est obligé de choisir ?
- Te défile pas …
- Bon …
Il a coupé trois fleurs dans le bac de géranium et s’est approché des filles et leur a tour à tour piqué une fleur dans les cheveux en les embrassant :
- Véro, tu as des fesses magnifiques … Martina, tes seins sont divins … Annie, je me noierai dans tes yeux …
- On a toutes gagné, alors ? tu t’es dégonflé, Jérémy … et comment tu sais que j’ai de beaux seins, d’abord ?
- Mais parce que tu me les a montré, bien sûr, et depuis, j’en rêve toutes les nuits !
- Et mes fesses, qu’est-ce que tu sais de mes fesses, toi ?
- J’en sais que tu bronzes d’habitude avec un tout petit maillot qui a dessiné un joli triangle blanc … et que tu leur as offert un bijou …
Véro a rougi et s’est fâchée après les autres :
- Me dites pas que vous m’avez laissée les fesses à l’air quand ils sont rentrés !
- Eh si, elles l’ont fait … à mon plus grand plaisir …
- Et moi, je suis horriblement vexée … tu viens de me dire que je n’avais ni de beaux seins ni de belles fesses …
- Mais … c’est avec plaisir que j’apprendrai à te connaître mieux … il se trouve que tu es la seule ici qui ait un minimum de pudeur … ce que je regrette, d’ailleurs !
Pendant qu’ils continuaient à plaisanter, je suis parti prendre ma douche. J’avais à peine commencé à me savonner quand Véro est entrée pour chercher une aspirine, bientôt rejointe par Martina qui l’a aidée à trouver dans quelle boîte se trouvait l’aspirine ; Annie a suivi pour se brosser les cheveux, et Jérémy qui s’ennuyait est venu voir ce qui se passait !
J’ai fait en sorte de tous les chasser … et quand ils sont enfin tous partis, il y avait de l’eau un peu partout …
Martina est revenue pour éponger le sol, et s’est assise d’une fesse au bord de la baignoire et m’a regardé terminer … elle reste souvent comme ça au bord de la baignoire, et souvent aussi je lui rends la pareille … elle m’a entièrement essuyé, en détail, très fière de constater le plaisir évident que je prenais à la chose, et m’a abandonné sur un dernier baiser …
Chapitre 25
Alain
Je rangeais le plateau du petit déjeuner quand Jérémy a téléphoné :
- Je te croyais chez ton père !
- J’y étais ! Je me suis sauvé !
- Que pasa ?
- Oh, mon frère a rappliqué, avec sa toute sa petite famille …
- Ah ! ah ! ah ! … et ta chère belle-sœur !
- Eh oui ! … je ne comprends pas comment il peut la supporter … moi je ne peux pas ! Alors j’ai fui …
- Dommage pour hier, finalement t’aurais mieux fait de rester …
- Vous avez passé une bonne soirée ?
- Mieux que ça …
- Oh oh ! Tu me raconteras ?
- Euh … pas tout, non !
- Ah ! Ça devait être bien, alors ! … tu ne ferais pas un tennis ? C’est ça ou tailler ma haie … et avec le temps qu’il fait …
- Ok ok … laisse-moi une demi-heure … je passe te prendre …
- Je t’attends ! À plus !
J’ai pris ma douche pendant que les trois filles discutaient dans la chambre. Incroyable qu’elles s’entendent aussi bien en se connaissant depuis si peu de temps. Martina m’avait raconté ses petites histoires avec Véro, et j’ai craint le pire quand elle a trouvé Annie dans notre lit. Les filles sont pas toujours tendres entre elles dans ces cas-là … euh les mecs non plus à vrai dire … mais non, rien … au contraire, elles ont l’air de très bien s’entendre … Tina me surprend … tout est tellement simple avec elle … Annie, on dirait une petite fille sage … du feu sous la braise … Et retrouver Véro, après tout ce temps … elle a changé, plus ronde peut-être, toujours aussi mignonne … et moi au milieu … la vie me gâte, attention …
Tina est entrée dans la salle de bains pendant que je me rasais. Elle s’est appuyée à mon dos, croisant ses bras autour de ma taille … j’adore ça …
- Tu te fais beau ?
- Mmm … Jérémy est rentré, on se fait un tennis …
- Je croyais qu’il passait le week-end chez son père ?
- … rentré … y’avait sa belle-sœur …
- Ramène-le, après … j’ai encore des salades et des tartes … t’as tout fait cuire, hier ?
- Non, on peut tenir un siège ! Tout le week-end, s’il le faut ! J’ai vu trop grand !
- T’as fini ?
- Mmm …
- Je te pique ton rasoir !
Qu’est-ce qu’elle veut encore faire ? … je ne préfère pas savoir … j’ai dit une demi-heure … si je m’en mêle … et puis je ne suis pas sûr d’être invité à leurs jeux, en plus …
Jérémy m’attendait devant chez lui, t-shirt sur l’épaule :
- J’ai pas pris de balles !
- J’en ai, c’est bon !
Le terrain était déjà occupé … des parisiens, pas du village … plutôt mauvais. On s’est assis sur la pelouse en attendant la fin de l’heure. Les femmes des deux joueurs ont perdu tout intérêt pour leurs maris ; Jérémy m’a fait un clin d’œil : lui aussi avait remarqué les regards appuyés des deux femmes. C’est un jeu entre nous ; en général, on ne passe pas inaperçus … il est presque aussi grand que moi, mais plus large d’épaules … on fait de l’aviron ensemble depuis qu’on est rentré au lycée, et on continue, une fois par semaine, été comme hiver … en général, les femmes sont pas insensibles à la musculature qui va avec !
On s’est un peu perdus de vue, pas longtemps, pendant nos années de fac, et on a été nommés dans le même lycée, lui prof de maths et moi de gestion. Les premières années, on se seraient crus revenus au temps où on était lycéens, sauf qu’au lieu de draguer les élèves, c’étaient les jeunes profs … Lui ne s’est jamais marié, moi si …
- Alors ? Ce barbecue ?
- Bonne soirée, excellente même …
Je lui ai raconté mes retrouvailles avec Véro :
- La Véro de la fac ?
- Oui oui, la même … en plus femme …
- Fais gaffe … Martina pourrait t’arracher un œil … ou pire …
- C’est elle qui l’a amenée … tu souviens cette fille transie d’amour, à qui elle cédait un peu … elle nous avait raconté … ben c’était elle !
- Fais gaffe quand même …
Et puis les histoires qui nous avaient tenues toutes la soirée : « encore une idée de Christophe, ça m’étonne pas de lui ! », et enfin notre voisine … comment elle était, ses histoires à elle … mais je ne lui ai pas dit pour notre nuit …
- Tu me la présenteras ?
- T’es invité à midi, tu la verras !
- Je te reconnais bien là ! Tu n’oublies pas les copains !
- Doucement Jérem … c’est une fille bien …
- Ok, man … je sais me tenir …
Les deux couples sont restés un moment à nous regarder jouer. Au début on a fait un peu les malins, pour amuser ces dames, et puis c’est devenu plus sérieux : on est aussi « accrocheurs » l’un que l’autre … Il est meilleur que moi, mais je lui donne du fil à retordre, je ne lâche rien et il le sait ; et hors de question pour lui de me laisser gagner … et d’ailleurs, il m’a encore battu …
- Toi au moins tu sais accueillir ! … attends, laisse-moi profiter !
On est passé par le jardin. En arrivant au coin de la maison, Jérémy m’a arrêté en me retenant par le bras et a chuchoté … et on a contemplé le spectacle … Martina et Véro, aussi nues l’une que l’autre, étendues à plat ventre sur les lits-piscines et prenant le soleil ! Une brune, une blonde !
- On fait demi-tour et on se signale ou pas ?
- Je ne crois pas que ça les gênera beaucoup …
- Alors attend un peu … laisse-moi profiter encore …
Quand on s’est rapprochés, j’ai donné une petite tape sur les fesses de Martina :
- Chérie, notre invité est là !
- Oh … bonjour, toi !
Très naturelle et pas gênée du tout, Martina s’est levée et s’est enroulée dans son paréo avant d’embrasser Jérémy sur la joue. Apparemment Véro dormait, et aucun d’entre nous n’a eu l’idée de la réveiller … après tout, elle était très bien comme ça …
- Bonjour !
Nous nous sommes retournés vers Annie que nous n’avions pas vue, trop occupés par le spectacle. Elle était assise sur les marches de la terrasse, petites lunettes sur le bout du nez, et un roman à la main, replié sur un doigt. Elle portait un paréo, noué au dessus des seins comme le fait Martina, et j’ai un peu regretté qu'elle en tienne les pans serrés dans une main en se levant … Jérémy, indécis lui a tendu la main, mais elle l’a ignorée, et comme elle le faisait avec moi, elle a passé une main derrière sa tête pour l’attirer et l’a embrassé sur une joue, dressée sur la pointe des pieds ... est-ce qu’elle se rend compte à quel point cette manière de faire a quelque chose d’intime et de sensuel ?... Rare, Jérémy est resté muet ! et il la dévorait des yeux … Martina m’a jeté un coup d’œil avec un sourire entendu …
Annie, plus sympa que nous, est allée rejoindre Véro, et a étendu sur ses fesses le paréo posé dans l’herbe … brièvement, j’ai aperçu un éclat lumineux entre ses fesses … tiens, tiens … m’est revenue en mémoire l’histoire d’Annie hier soir et l’objet sous mes doigts quand nous avions fait l’amour cette nuit … Annie aurait-elle fait une adepte ?
Martina lisait mes pensées … et riait dans sa main …
- Et si vous vous laviez ? Vous collez, tous les deux ! Allez Jérémy, salle de bains ! Tu sais où sont les serviettes, file !
Martina s’est assise et s’est relevée aussitôt grimaçante, en portant la main à ses seins, comme sous l’effet d’une douleur :
- Ça ne va pas, Tina ?
- Si … si, ça va …
Mais elle respirait vite et s’éventait :
- Sûre ? Fatiguée ? … on n’a pas beaucoup dormi …
- Tout va bien … alors ? Qui a gagné ?
- Ça ne te regarde pas …
- Bon ! J’ai compris !
Annie avait repris sa place sur les marches et s’était replongée dans son livre, ses cheveux ébouriffés, ses lunettes un peu de travers, se mordant la lèvre inférieure, plus petite fille sage que jamais ; Véro dormait toujours. J’ai suivi Martina à la cuisine :
- T’es sûre que tout va bien ?
- Mais oui, t’inquiète pas … viens …
Elle m’a tendu les bras et s’est blottie :
- On est allées chez Annie pendant que vous jouiez au tennis … elle m’a … prêté un de ses bijoux … à moi aussi … comme Véro … je sais que tu l’as vu, tout à l’heure …
Je l’ai écartée de moi, la tenant aux épaules :
- Je peux le voir ?
- Pas ici …
Mais elle avait un de ces sourires ! … elle a jeté un œil vers la terrasse pour vérifier si personne ne venait, et s’est penchée sur la table de la cuisine, me présentant son dos. Je ne me suis pas fait prier ; j’ai soulevé son paréo sur ses reins : entre ses fesses, un gros œil rouge jetait ses éclats … J’ai rabaissé son paréo :
- Garde-le un peu, j’aimerai en profiter …
- J’y compte bien !
- Pleine de surprises, Annie …
- Si tu savais à quel point …
- Quoi ?
- Plus tard …
Nous avons amené des rafraîchissements sur la terrasse. Annie a amené un verre de coca à Véro, enfin réveillée et rhabillée, et s’est assise à ses côtés. Martina est allée les rejoindre et elles ont pris la pose : paréos bleu, orange et rouge, toutes les trois jambes droite croisée sur la jambe gauche, tête inclinée sur l’épaule, un doigt dans la bouche, l’air aguicheur … Jérémy est arrivé à ce moment-là et comme il s’asseyait sur la terrasse à côté de moi, face aux filles, je lui ai demandé :
- Laquelle tu choisis ? C’est l’élection de miss barbecue …
- On est obligé de choisir ?
- Te défile pas …
- Bon …
Il a coupé trois fleurs dans le bac de géranium et s’est approché des filles et leur a tour à tour piqué une fleur dans les cheveux en les embrassant :
- Véro, tu as des fesses magnifiques … Martina, tes seins sont divins … Annie, je me noierai dans tes yeux …
- On a toutes gagné, alors ? tu t’es dégonflé, Jérémy … et comment tu sais que j’ai de beaux seins, d’abord ?
- Mais parce que tu me les a montré, bien sûr, et depuis, j’en rêve toutes les nuits !
- Et mes fesses, qu’est-ce que tu sais de mes fesses, toi ?
- J’en sais que tu bronzes d’habitude avec un tout petit maillot qui a dessiné un joli triangle blanc … et que tu leur as offert un bijou …
Véro a rougi et s’est fâchée après les autres :
- Me dites pas que vous m’avez laissée les fesses à l’air quand ils sont rentrés !
- Eh si, elles l’ont fait … à mon plus grand plaisir …
- Et moi, je suis horriblement vexée … tu viens de me dire que je n’avais ni de beaux seins ni de belles fesses …
- Mais … c’est avec plaisir que j’apprendrai à te connaître mieux … il se trouve que tu es la seule ici qui ait un minimum de pudeur … ce que je regrette, d’ailleurs !
Pendant qu’ils continuaient à plaisanter, je suis parti prendre ma douche. J’avais à peine commencé à me savonner quand Véro est entrée pour chercher une aspirine, bientôt rejointe par Martina qui l’a aidée à trouver dans quelle boîte se trouvait l’aspirine ; Annie a suivi pour se brosser les cheveux, et Jérémy qui s’ennuyait est venu voir ce qui se passait !
J’ai fait en sorte de tous les chasser … et quand ils sont enfin tous partis, il y avait de l’eau un peu partout …
Martina est revenue pour éponger le sol, et s’est assise d’une fesse au bord de la baignoire et m’a regardé terminer … elle reste souvent comme ça au bord de la baignoire, et souvent aussi je lui rends la pareille … elle m’a entièrement essuyé, en détail, très fière de constater le plaisir évident que je prenais à la chose, et m’a abandonné sur un dernier baiser …
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