Promenons-nous dans les bois... [LUI]
Récit érotique écrit par Essentielles [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-04-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Promenons-nous dans les bois... [LUI]
(Récit de faits réels, écrit par LUI)
Cette histoire est la vision de LUI de cette histoire écrite par ELLE : www.histoires-de-sexe.net/sexe.php?histoire=22807
Je suis rentré pour quelques jours mais la fin du séjour approche, je fais mes affaires avant de repartir le lendemain. Nous sommes à la campagne chez mes parents cet après-midi d’hiver, impossible donc de faire quoi que ce soit. Nous nous taquinons comme à notre habitude et nous remémorons la fois où, lors d’une ballade, nous avions évoqué l’idée de faire ça dans les bois. Mais cette fois je te propose de passer la vitesse supérieure et de réaliser toutes les belles paroles que l’on s’échange. Tu hésites, c’est vrai que le temps n’est pas idéal, il y a du vent, du crachin et il fait plutôt froid mais justement, nous risquons d’être plus tranquilles. Pour te décider, je te dis « aller, on va se balader et on verra sur le coup ! ». C’est acceptable pour toi. Nous décidons de retourner à un endroit tout proche que nous avions repéré précédemment.
Nous marchons tout excités sur le chemin qui mène au bois, je me sens comme un gamin qui prépare une bêtise. Un 4x4 sort du chemin un peu plus loin. Aïe, j’ai peur que ce ne soit raté pour aujourd’hui… Nous pénétrons tout de même dans le bois en cherchant un endroit que nous avions repéré précédemment. Plusieurs gros arbres tombés en cercle avec des branches et des racines, pratique à la fois pour passer inaperçu et pour se tenir. Malheureusement nos recherches restes infructueuses, les arbres ont fait place à une clairière et des piles de branches. C’est de plus en plus mal parti. Je te sens de nouveau hésitante et des gouttes de pluie commencent à se faire sentir.
Nous n’abandonnons pas pour autant et reprenons nos recherches, examinant tous les recoins qui pourraient nous servir de cachette. Des images et de petits scénarii nous viennent en tête et je dois dire que le sang commence à ne plus circuler correctement dans le mienne. Soudain je tombe sur un gros trou avec des arbres tombés en travers et autour. Sans doute pas très facile d’accès pour les bûcherons. La chance nous sourit et l’espoir revient. Un endroit discret que nous étudions avec intérêt. Il offre l’intimité attendue et indispensable pour des novices comme nous.
Un tronc semble plus adapté à nos activités que les autres, nous nous dirigeons vers lui. Comme des jeunes adolescents, nous ne savons pas vraiment quoi faire. Tu te mets dos à l’arbre et je viens t’embrasser simplement. Nous nous détendons petit à petit et notre baisé s’intensifient, nos corps se rapprochent. Je t’appuie contre le tronc, mes mains sont glacées, je veux les réchauffer avant de caresser ta peau. Apparemment tu ne t’en soucie pas puisqu’une des tiennes a déjà défait mon jean et caresse mon sexe à travers mon caleçon. Elle passe ensuite à l’étage inférieur. Je ne suis pas frileux mais il faut admettre que c’est froid. L’excitation et le plaisir l’emportent tout de même et je me laisse faire quelques minutes. Lorsque je juge mes mains suffisamment réchauffées, je t’interromps, prend ta place contre l’arbre et te serre contre moi nos regards dans la même direction. Une de mes mains passe à son tour sous ton pantalon puis rapidement contre ta peau. Tout doucement je te caresse, mon autre main te maintient le buste en place, le dos bien collé à mon corps, et en profite pour te masser la poitrine. Mon souffle dans ton cou, la caresse de mes lèvres et les feulements à tes oreilles te mettent à l’aise, j’ai l’impression que tu n’as plus conscience d’où nous sommes. Les caresses de mes doigts s’intensifient sur ton sexe, plus fort, je m’enfonce progressivement en toi. Je pense que tu es concentrée uniquement sur ce que je t’inflige mais j’ai tors. Soudain tu te retournes, termine d’ouvrir mon pantalon et te penche pour m’embrasser délicatement, mais ce n’est pas mes lèvres que tu vises. Comme d’habitude je n’ai aucune idée de ce qu’il se passe et comment tu t’y prends mais j’adore et je te le fait savoir. Je soupir en te caressant les cheveux d’une main. Je jette des coups d’œil de temps à autre, c’est toujours plaisant de te regarder faire. Tes lèvres montent et descendent le long de ma hampe et je sens ta langue jouer avec mon gland à chaque passage.
C’en est trop pour moi. Je te fais remonter, t’embrasse fougueusement, t’empoigne, te retourne et te plaque face au tronc. Je sais que tu aimes quand je prends le contrôle comme ça, il m’arrive de le faire pour toi mais cette fois ci je ne peux juste pas retenir mon excitation. Ton pantalon me résiste, je tire plus fort jusqu’à ce qu’il descende au niveau de tes genoux, je me redresse et pénètre tout doucement le sexe qui m’est tendu. Ça fait longtemps, la sensation est d’autant plus forte que tes jambes ne sont pas très écartées. Je commence tendrement mais accélère très rapidement sous l’effet de l’excitation décuplée par le carde atypique dans lequel nous nous trouvons. J’aime te voir ainsi soumise et à ma mercie. Je sens le plaisir que je te procure. J’aimerai continuer mais mes mouvements rapides et profonds vont avoir raisons de moi. Je refuse de jouir avant toi pour cette fois. C’est trop tôt, nous n’avons pas assez profité de la situation. Je m’interromps en m’excusant, ce n’est pas dans mes habitudes et tu le sais. Je tente de faire redescendre la pression mais apparemment tu ne veux pas puisque tu continues de gigoter autour de ma verge. Je t’informe de la situation mais tu as très bien compris, tu es juste en train de jouer avec moi. Je tente de te maintenir avec mes mains mais c’est peine perdue dans cette position. Mon corps tout entier veux retourner à l’assaut du tiens. Mon esprit parviens à résister malgré tout. Tu cesses enfin tes enfantillages et me laisse un moment de répit.
Nous changeons de position, tu places ton manteau sur le tronc et t’assieds dessus les jambes écartées autant que possible, c’est-à-dire pas beaucoup à cause de ton pantalon. Je t’embrasse tandis que ta main caresse mon sexe et le dirige entre tes cuisses. Ton autre main te sert d’appui sur le tronc, il faut dire que nous ne sommes pas très confortablement placés. Tu parviens malgré tout à faire passer tes genoux de chaque côté pour m’enserrer. Nous recommençons pataudement, perdant plus ou moins l’équilibre à chaque vas et viens. Malgré cela tu parviens à te concentrer sur ton plaisir, ne retenant plus tes cris. Je te sens te contracter autour de ma taille et entre mes mains, c’est signe que la fin est proche pour toi. Je ne suis pas en reste mais me concentre également sur ton plaisir pour le moment. Juste au moment où tu allais jouir, tu glisses sur le côté ce qui malheureusement nous coupe tous les deux. Je te replace correctement et te tiens plus fermement pour empêcher que ça ne se reproduise. Tu t’accroches à ma nuque histoire d’assurer le coup de ton côté aussi.
Je m’active de nouveau et tu poses ta tête sur mon épaule. Je ne sais si c’est pour te caler encore plus ou si c’est pour jouer les voyeuses en profitant de ce qui se joue plus bas. Tu veux du spectacle ? Je vais t’en servir ! Je passe une main sous chacune de tes fesses et te porte totalement tout en continuant mes allers et retours de plus en plus vite et de plus en plus amples. Mon sexe passe et repasse entre tes lèvres, sortant presque à chaque fois pour replonger de plus belle. Je sens que cela te plais, tu souffles, tu trembles et tu gémis… Cette fois ce sera la bonne. Je continue mon mouvement jusqu’à ce que tu n’en puisses plus et me demande d’arrêter. Une fois que je t’ai reposée sur l’arbre, je me rends compte qu’il était temps pour moi aussi d’arrêter, mes bras sont endoloris et bien que je sois au comble de l’excitation après t’avoir senti jouir de la sorte, je ne vais pas pouvoir continuer comme ça.
Je te replace dans la première position avec une seule idée en tête, m’enfoncer en toi ! Je ne me retiens plus ni pour toi ni pour faire durer le plaisir, j’ai juste envie de jouir en me servant de toi. Mes mains sont un étau pour tes hanches, je synchronise mes coups de bassins avec mes mains. Tes fesses claques contre ventre et mes cuisses. Je me lâche, entièrement concentré sur les sensations que ton corps me procure. Tu n’es plus qu’un jouet pour moi. Mon sexe gonflé entre et sort d’entre tes cuisses, je ressens chaque renflement de ton intérieur. Le plaisir monte, je gémis de plus en plus. Un flash me traverse l’esprit, je me retire et m’écarte au dernier moment afin de ne pas me répandre en toi ou sur toi. Je suis au comble du bonheur.
Après quelques instants tu viens m’embrasser mais j’essaye de t’arrêter. Je ne suis pas encore remis de mon orgasme et profite toujours de ses bienfaits. Tu insistes et je me résigne, trop essoufflé et fatigué, je n’ai pas la force de te repousser mais je souhaite seulement que tu me laisses tranquille.
Nous nous rhabillons et rentrons, une nouvelle expérience à faire passer de la colonne « à faire » à « à refaire ».
Cette histoire est la vision de LUI de cette histoire écrite par ELLE : www.histoires-de-sexe.net/sexe.php?histoire=22807
Je suis rentré pour quelques jours mais la fin du séjour approche, je fais mes affaires avant de repartir le lendemain. Nous sommes à la campagne chez mes parents cet après-midi d’hiver, impossible donc de faire quoi que ce soit. Nous nous taquinons comme à notre habitude et nous remémorons la fois où, lors d’une ballade, nous avions évoqué l’idée de faire ça dans les bois. Mais cette fois je te propose de passer la vitesse supérieure et de réaliser toutes les belles paroles que l’on s’échange. Tu hésites, c’est vrai que le temps n’est pas idéal, il y a du vent, du crachin et il fait plutôt froid mais justement, nous risquons d’être plus tranquilles. Pour te décider, je te dis « aller, on va se balader et on verra sur le coup ! ». C’est acceptable pour toi. Nous décidons de retourner à un endroit tout proche que nous avions repéré précédemment.
Nous marchons tout excités sur le chemin qui mène au bois, je me sens comme un gamin qui prépare une bêtise. Un 4x4 sort du chemin un peu plus loin. Aïe, j’ai peur que ce ne soit raté pour aujourd’hui… Nous pénétrons tout de même dans le bois en cherchant un endroit que nous avions repéré précédemment. Plusieurs gros arbres tombés en cercle avec des branches et des racines, pratique à la fois pour passer inaperçu et pour se tenir. Malheureusement nos recherches restes infructueuses, les arbres ont fait place à une clairière et des piles de branches. C’est de plus en plus mal parti. Je te sens de nouveau hésitante et des gouttes de pluie commencent à se faire sentir.
Nous n’abandonnons pas pour autant et reprenons nos recherches, examinant tous les recoins qui pourraient nous servir de cachette. Des images et de petits scénarii nous viennent en tête et je dois dire que le sang commence à ne plus circuler correctement dans le mienne. Soudain je tombe sur un gros trou avec des arbres tombés en travers et autour. Sans doute pas très facile d’accès pour les bûcherons. La chance nous sourit et l’espoir revient. Un endroit discret que nous étudions avec intérêt. Il offre l’intimité attendue et indispensable pour des novices comme nous.
Un tronc semble plus adapté à nos activités que les autres, nous nous dirigeons vers lui. Comme des jeunes adolescents, nous ne savons pas vraiment quoi faire. Tu te mets dos à l’arbre et je viens t’embrasser simplement. Nous nous détendons petit à petit et notre baisé s’intensifient, nos corps se rapprochent. Je t’appuie contre le tronc, mes mains sont glacées, je veux les réchauffer avant de caresser ta peau. Apparemment tu ne t’en soucie pas puisqu’une des tiennes a déjà défait mon jean et caresse mon sexe à travers mon caleçon. Elle passe ensuite à l’étage inférieur. Je ne suis pas frileux mais il faut admettre que c’est froid. L’excitation et le plaisir l’emportent tout de même et je me laisse faire quelques minutes. Lorsque je juge mes mains suffisamment réchauffées, je t’interromps, prend ta place contre l’arbre et te serre contre moi nos regards dans la même direction. Une de mes mains passe à son tour sous ton pantalon puis rapidement contre ta peau. Tout doucement je te caresse, mon autre main te maintient le buste en place, le dos bien collé à mon corps, et en profite pour te masser la poitrine. Mon souffle dans ton cou, la caresse de mes lèvres et les feulements à tes oreilles te mettent à l’aise, j’ai l’impression que tu n’as plus conscience d’où nous sommes. Les caresses de mes doigts s’intensifient sur ton sexe, plus fort, je m’enfonce progressivement en toi. Je pense que tu es concentrée uniquement sur ce que je t’inflige mais j’ai tors. Soudain tu te retournes, termine d’ouvrir mon pantalon et te penche pour m’embrasser délicatement, mais ce n’est pas mes lèvres que tu vises. Comme d’habitude je n’ai aucune idée de ce qu’il se passe et comment tu t’y prends mais j’adore et je te le fait savoir. Je soupir en te caressant les cheveux d’une main. Je jette des coups d’œil de temps à autre, c’est toujours plaisant de te regarder faire. Tes lèvres montent et descendent le long de ma hampe et je sens ta langue jouer avec mon gland à chaque passage.
C’en est trop pour moi. Je te fais remonter, t’embrasse fougueusement, t’empoigne, te retourne et te plaque face au tronc. Je sais que tu aimes quand je prends le contrôle comme ça, il m’arrive de le faire pour toi mais cette fois ci je ne peux juste pas retenir mon excitation. Ton pantalon me résiste, je tire plus fort jusqu’à ce qu’il descende au niveau de tes genoux, je me redresse et pénètre tout doucement le sexe qui m’est tendu. Ça fait longtemps, la sensation est d’autant plus forte que tes jambes ne sont pas très écartées. Je commence tendrement mais accélère très rapidement sous l’effet de l’excitation décuplée par le carde atypique dans lequel nous nous trouvons. J’aime te voir ainsi soumise et à ma mercie. Je sens le plaisir que je te procure. J’aimerai continuer mais mes mouvements rapides et profonds vont avoir raisons de moi. Je refuse de jouir avant toi pour cette fois. C’est trop tôt, nous n’avons pas assez profité de la situation. Je m’interromps en m’excusant, ce n’est pas dans mes habitudes et tu le sais. Je tente de faire redescendre la pression mais apparemment tu ne veux pas puisque tu continues de gigoter autour de ma verge. Je t’informe de la situation mais tu as très bien compris, tu es juste en train de jouer avec moi. Je tente de te maintenir avec mes mains mais c’est peine perdue dans cette position. Mon corps tout entier veux retourner à l’assaut du tiens. Mon esprit parviens à résister malgré tout. Tu cesses enfin tes enfantillages et me laisse un moment de répit.
Nous changeons de position, tu places ton manteau sur le tronc et t’assieds dessus les jambes écartées autant que possible, c’est-à-dire pas beaucoup à cause de ton pantalon. Je t’embrasse tandis que ta main caresse mon sexe et le dirige entre tes cuisses. Ton autre main te sert d’appui sur le tronc, il faut dire que nous ne sommes pas très confortablement placés. Tu parviens malgré tout à faire passer tes genoux de chaque côté pour m’enserrer. Nous recommençons pataudement, perdant plus ou moins l’équilibre à chaque vas et viens. Malgré cela tu parviens à te concentrer sur ton plaisir, ne retenant plus tes cris. Je te sens te contracter autour de ma taille et entre mes mains, c’est signe que la fin est proche pour toi. Je ne suis pas en reste mais me concentre également sur ton plaisir pour le moment. Juste au moment où tu allais jouir, tu glisses sur le côté ce qui malheureusement nous coupe tous les deux. Je te replace correctement et te tiens plus fermement pour empêcher que ça ne se reproduise. Tu t’accroches à ma nuque histoire d’assurer le coup de ton côté aussi.
Je m’active de nouveau et tu poses ta tête sur mon épaule. Je ne sais si c’est pour te caler encore plus ou si c’est pour jouer les voyeuses en profitant de ce qui se joue plus bas. Tu veux du spectacle ? Je vais t’en servir ! Je passe une main sous chacune de tes fesses et te porte totalement tout en continuant mes allers et retours de plus en plus vite et de plus en plus amples. Mon sexe passe et repasse entre tes lèvres, sortant presque à chaque fois pour replonger de plus belle. Je sens que cela te plais, tu souffles, tu trembles et tu gémis… Cette fois ce sera la bonne. Je continue mon mouvement jusqu’à ce que tu n’en puisses plus et me demande d’arrêter. Une fois que je t’ai reposée sur l’arbre, je me rends compte qu’il était temps pour moi aussi d’arrêter, mes bras sont endoloris et bien que je sois au comble de l’excitation après t’avoir senti jouir de la sorte, je ne vais pas pouvoir continuer comme ça.
Je te replace dans la première position avec une seule idée en tête, m’enfoncer en toi ! Je ne me retiens plus ni pour toi ni pour faire durer le plaisir, j’ai juste envie de jouir en me servant de toi. Mes mains sont un étau pour tes hanches, je synchronise mes coups de bassins avec mes mains. Tes fesses claques contre ventre et mes cuisses. Je me lâche, entièrement concentré sur les sensations que ton corps me procure. Tu n’es plus qu’un jouet pour moi. Mon sexe gonflé entre et sort d’entre tes cuisses, je ressens chaque renflement de ton intérieur. Le plaisir monte, je gémis de plus en plus. Un flash me traverse l’esprit, je me retire et m’écarte au dernier moment afin de ne pas me répandre en toi ou sur toi. Je suis au comble du bonheur.
Après quelques instants tu viens m’embrasser mais j’essaye de t’arrêter. Je ne suis pas encore remis de mon orgasme et profite toujours de ses bienfaits. Tu insistes et je me résigne, trop essoufflé et fatigué, je n’ai pas la force de te repousser mais je souhaite seulement que tu me laisses tranquille.
Nous nous rhabillons et rentrons, une nouvelle expérience à faire passer de la colonne « à faire » à « à refaire ».
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