Surprise à la maison : une revanche ! (partie 3)

- Par l'auteur HDS Samfi -
Récit érotique écrit par Samfi [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin :  Surprise à la maison : une revanche ! (partie 3) Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-05-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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Surprise à la maison : une revanche ! (partie 3)
Maintenant, il s'approche doucement d'elle. Je les observe en restant de côté, à environ un mètre, à genoux entre la culotte et le slip négligemment posés sur la moquette. La tension en moi est grande : mon sexe circoncis est complètement érigé, très dur, faisant presque un peu mal. Du liquide séminal coule le long de mon sexe et goutte peu à peu sur le sol. Inquiet et jaloux, mais au summum de l'excitation sexuelle : jamais je n'aurais imaginé cela. Je ressens une forte envie d'assister à une scène de sexe, comme avant de visionner un film porno, attiré par la curiosité d'un scène encore jamais vue, d'un corps inconnu. Malgré mon malaise très sensible, j'ai le sentiment que je vais tout de même éprouver du plaisir aujourd'hui, différemment. Le sexe de Fred aussi est complètement bandé et jute abondamment. Un fil de liquide pend au bout de son sexe presque complètement décaloté. Je me surprends à trouver que la vision de ce sexe dressé m'excite énormément. Je me sens presque attiré par ce membre viril, j'aurais envie de le toucher… Je ne me serais jamais attendu à cela de moi, je n'ai jamais vu d'aussi près un autre sexe que le mien, sans parler d'y mettre les mains. Arrivé tout près de Sonia, il la serre dans ses bras et dépose un baiser sur son front. Ils se regardent maintenant dans les yeux, souriant tout deux de toutes leurs dents. Lentement, les mains commencent à se balader. Ils se caressent la tête, les épaules, le dos, les bras… puis descendent peu à peu au niveau des fesses. Un moment, ils se tiennent tous deux par les fesses en s'embrassant goulûment. Toujours à genoux, je dois faire l'effort de lever la tête pour les voir et je finis donc par revenir dans une position plus reposante : j'ai alors le regard posé directement sur le sexe de Fred qui se colle et se frotte contre le pubis de Sonia. Puis, plus bas encore, je vois les pieds de Sonia qui se tortillent doucement. Chez elle, c'est un signe de grand plaisir. Puis, je vois que Fred malaxe maintenant doucement les seins de Sonia et qu'elle semble beaucoup apprécier. J'entends ses petits gémissements. La scène est terrible : l'amant et la femme dans les bras l'un de l'autre, en train de se caresser frénétiquement, pendant que le mari, le sexe au garde-à-vous, est à genoux à un mètre et les regarde avec envie. J'imagine cette scène vue par une quatrième personne : excitante et révoltante à la fois. Mais je n'ai pas la force de me révolter : je dois accepter mon sort et j'essaie d'en tirer mon parti. A ce moment-là, j'éprouve des sentiments tellement contradictoires, de jalousie, d'envie, de colère, d'attirance et d'amour. Je n'aurais jamais imaginé une telle complexité mentale auparavant.

Voilà que les choses s'accélèrent : Fred semble maintenant s'intéresser maintenant plus vivement au sexe de ma femme et le caresse du plat de la main. Elle semble adorer et gémit de plus belle. Ses doigts, peu à peu, semblent se frayer un chemin à l'orée du sexe de Sonia. Il la doigte avec beaucoup d'adresse. Elle gémit de plus belle, sa bouche se tord. Parfois, ses yeux mi-clos s'ouvrent légèrement et regardent dans ma direction. Et moi, je suis là, bandant comme un cheval, à genoux, en train de la regarder prendre si magnifiquement son pied. Je vois le sexe de Fred qui se tend toujours plus, qui se frotte contre la cuisse de Sonia. Je vois ses testicules qui s'agitent doucement, montant et redescendant lentement. L'excitation des deux partenaires est incroyable et moi j'admire cette scène comme s'il s'agissait d'un nouveau film porno. Mais c'est un film porno en 3D, en vrai. Je n'y tiens plus : ma main droite s'approche de mon sexe et commence tout doucement à le caresser. C'est ma façon de participer à cet intense moment. Peu à peu, je commence à me masturber en douceur en admirant ma femme et son amant, lui actif de ses doigts, elle en train de jouir en gémissant.

Tout à coup, le regard de Sonia s'arrête sur moi. Elle me regarde en train de me branler méthodiquement avec son plus grand sourire. Et là, elle s'exclame : "C'est un peu trop facile ! Stop !". J'arrête de me toucher et je reste les bras ballants, attendant la suite. Fred a arrêté de la toucher et me regarde aussi, avec un air condescendant, presque avec de la pitié. Les deux m'observent maintenant en silence et Sonia tend alors son pied vers mon sexe. De la pointe du gros orteil, elle touche mes testicules par en dessous et longe mon pénis jusqu'à toucher brièvement le gland tendu et vif. Ce mouvement provoque en moi une onde qui remonte jusqu'à la tête et je sens des frissons jusque dans les cheveux. Elle me regarde maintenant un peu plus sévèrement et semble en train de réfléchir intensément. Elle doit se demander ce qu'elle va faire de moi à l'instant et j'espère qu'elle ne me demandera pas de remettre la cage de chasteté, parce que je ressens déjà du plaisir à simplement les regarder faire en bandant fortement. Elle part vers sa table de nuit et se saisit d'un petit emballage que je reconnais aussitôt : il s'agit d'un préservatif emballé. Elle l'ouvre et me le tend : c'est un préservatif jaune fluo… jaune cocu. Elle soigne les détails… En me regardant droit dans les yeux, elle m'ordonne alors de l'enfiler et proclame: "Ainsi, il n'y aura pas de taches sur la moquette et tu iras un peu moins vite !". Je me sens humilié. C'est Fred qui, collé contre elle, qui va la pénétrer tout à l'heure sans protection, et moi qui ne peut que me masturber tout seul, en portant un préservatif. Je vais donc devoir boire le calice jusqu'à la lie, elle ne va pas m'épargner. Conscient que c'est moi qui ai à la base enclenché ce tsunami de conséquences, je me convainc de plus en plus que je n'ai qu'à assumer, obéir, me plier à ses exigences, même si elles me semblent bizarres ou inconvenantes.Les deux amants reprennent leur manège et se caressent à nouveau, en s'approchant un peu de moi. Ils ne sont plus qu'à un mètre. J'entends les bruits humides du vagin de Sonia trituré délicatement par Fred. Je sens l'odeur du vagin, mais aussi l'odeur de l'urètre de Fred. Ces odeurs de sexe qui me sont d'habitude si familières ne le sont vraiment pas cette fois : je sens que ce sont des odeurs étrangères. Celles de Fred, bien sûr, mais aussi l'odeur du vagin de ma femme qui me semble bien différent des autres jours. Est-ce parce que je ressens les choses dans une position très défavorable, à genoux, soumis et sans la perspective de jouir de son sexe ? Quel changement de perspective !

Je me branle maintenant avec ce préservatif jaune. Au moins, j'ai le droit de me branler. Bien sûr, même si je ressens bien la stimulation de ma main, c'est quand même bien différent d'une bonne branlette nature. J'ai l'impression que c'est un peu artificiel. Mais je n'ai pas le choix : je suis le cocu soumis du jour et je devrais déjà être content d'avoir le sexe libre de sa cage et de pouvoir me toucher librement. Ils sont toujours là, juste devant moi, tout excités, peut-être encore plus stimulés par ma présence penaude de branleur. Je me mets à quatre pattes spontanément, comme par soumission totale et je m'approche de Sonia. J'ai envie de la toucher, ou même seulement de la frôler. Ma tête s'avance et je dépose un baiser furtif sur mon pied. Elle ne réagit pas. Cela m'encourage et je me mets à caresser doucement son pied et même à le masser un peu. Elle gémit d'autant plus. J'ai l'impression que mon attitude participe à son excitation. Je continue pendant un moment à toucher et caresser ce pied magnifique, pendant qu'eux sont occupés à se caresser le haut du corps. Maintenant, elle lui caresse aussi le sexe qui, vu d'en bas, m'apparaît comme tout simplement énorme. Il est beau ! Elle fait jouer son prépuce et lui accorde une douce masturbation. Je m'encourage et je commence à lécher son pied des orteils vers le talon, puis retour par le flanc vers les orteils. J'en retire une sensation délicieuse. Mon sexe est tendu à fond. A ce moment-là, brusquement, elle se saisit de son soutien-gorge, posé sur le lit à côté d'elle, et me donne de petits coups avec en me fouettant. En riant aux éclats, elle me dit d'aller leur chercher des verres d'eau. Définitivement soumis, je me recule, puis me relève et je vais chercher des verres d'eau à la cuisine, à l'étage en dessous.

Lorsque je reviens, ils sont collés l'un contre l'autre. Fred masse son pénis contre le vagin de ma femme, entre ses deux jambes. Je vois de l'arrière ses fesses fortes qui font de légers mouvements en avance et en arrière. En me voyant arriver, elle se contente d'un geste de la main pour me faire comprendre que je dois leur donner à chacun leurs verres. Debout, intimidé mais avec le sexe toujours complètement tendu sous son préservatif, je m'exécute humblement. Fred et Sonia prennent chacun leur verre et les boivent rapidement. L'excitation donne soif. Elle me regarde de bas en haut, comme si elle inspectait mon corps. Elle semble admirer ma bandaison sous capote jaune et fait mine de la comparer avec celle de Fred qui est sensiblement plus avantageuse. Puis, elle fait remonter son regard vers mon visage et me regarde à nouveau droit dans les yeux. Sans prévenir, son visage arrive sur moi et elle m'embrasse généreusement sur la bouche, puis elle me lèche le visage de bas en haut en me tenant par le menton. Encore, une fois, je suis partagé entre le plaisir de recevoir ce baiser comme un cadeau inespéré et l'humiliation de me faire lécher ainsi devant un autre homme. Elle m'intime alors à nouveau l'ordre de me mettre à genoux et j'obéis instantanément. J'ai maintenant complètement intégré les conditions de cette journée très spéciale : je suis soumis, j'obéis sans discuter, je subis, suis là pour souffrir et jouir en même temps.

Lorsque je suis à genoux, elle me caresse alors les cheveux et me relève la tête pour me donner un long baiser qui achève de me surexciter. Fred nous observe tranquillement en bandant fortement lui aussi. De la pointe de son pied, elle me touche le périnée, tout près de l'anus, et remonte doucement en me caressant lentement les testicules et en remontant peu à peu jusqu'à la pointe du gland. Brusquement, je sens monter la sève en moi et j'éjacule violemment sous la pression de l'excitation supplémentaire apportée par ce pied pervers. Le préservatif est plein de sperme et je n'ose plus bouger. Lentement, mon sexe redevient mou et pend tristement avec son préservatif trop voyant. J'en suis désemparé. Eux n'en sont qu'à des préliminaires prudents et moi j'ai déjà tristement éjaculé dans un préservatif ridicule. Je me sens comme impuissant, ce que je suis au moins pour une certaine durée maintenant.

Eux se sont à nouveau rapprochés et ont repris leurs caresses intensives. Fred joue maintenant avec le vagin de Sonia, le caresse, y pénètre, tente de l'élargir un peu. Maintenant que je suis désactivé, je sens que les choses sérieuses vont commencer et ma fébrilité revient. Sonia se tourne brièvement vers moi et me dit : "Regarde comment Fred s'y prend bien pour donner du plaisir à ta femme !". Elle se couche alors sur le lit et lui se penche vers elle pour lui travailler le vagin. J'observe la scène de derrière et j'ai en premier plan les jambes écartées et les fesses de Fred, penché, dont je vois aussi les grosses testicules qui pendent. Il s'applique et j'entends Sonia qui gémit de plus belle. Je ne vois maintenant plus que ses deux jambes, écartées, et ses pieds qui remuent frénétiquement. Tout à coup, elle se tend et râle plus fort. Elle jouit et je pense que ce ne sera pas la dernière fois aujourd'hui. Elle prend manifestement son pied en vivant la scène qu'elle m'offre ainsi en spectacle, avec la complicité de cet amant très volontaire. Satisfaite, elle finit par se redresser et s'assied au bord du lit. Son visage est presque à la hauteur du sexe de Fred qu'elle regarde maintenant avec gourmandise. Elle s'en approche, puis commence à le lécher doucement, en partant des testicules et en remontant le long de la tige, tout en évitant le gland. Elle stimule son érection à fond et cela provoque chez lui l'écoulement d'une abondante quantité de liquide séminal. Un filet de ce liquide pend maintenant de son gland et finit par tomber sur le sol.Elle prend alors son sexe en main et commence une fellation torride. Tout lentement d'abord, puis de plus en plus énergiquement. Fred gémit doucement puis plus fortement sous les coups de langues de ma femme.

Je regarde mon érection perdue, mon pénis sous préservatif jaune et je me sens particulièrement ridicule. Je regarde Sonia avec un visage implorant… j'aurais envie de participer, n’importe comment. Rester là planté comme un idiot m'est presque insupportable. Elle semble comprendre et, de l'index, elle me montre son pied droit et je comprends que c'est de lui que je vais devoir m'occuper : c'est mieux que rien. Je m'approche donc à quatre pattes de son pied et je commence à le lécher méthodiquement. Elle s'appuie sur le talon et met les orteils en éventail. Je me mets donc à lécher et sucer chacun de ses orteils, un à un. Cela la fait gémir pendant qu'elle suce Fred avec application. Cette fellation dure longtemps, en pendant tout ce temps, je suis occupé à lécher le pied de ma femme. Elle me dit maintenant de me mettre à quatre pattes et de ne plus bouger. Puis elle s'assied tranquillement sur mon dos et fait approcher Fred pour continuer à le sucer, en amazone sur mon corps. Puis, après quelques minutes de ce manège, elle se relève et tire son amant vers le lit, me laissant dans cette position peu confortable. Je n'ose plus bouger sans instruction de sa part et je ne peux maintenant plus qu'entendre ce qui se passe. Fred se couche sur elle et tous deux se frottent longuement.J'entends les gémissements s'intensifier…. je crois qu'il est en train de titiller l'entrée de son vagin avec son sexe et même de commencer à la pénétrer. Attiré follement par ce que j'entends, je me redresse discrètement pour observer. Fred est en effet appuyé contre elle et fait de petits mouvements du bassin comme pour préparer la pénétration. Son sexe touche le vagin de Sonia et semble avoir légèrement pénétré à l'intérieur. Sonia me demande alors de venir à côté d'elle et de lui tenir la main… ce que je m'empresse de faire.

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