Surprise à la maison : une revanche ! (partie 5 - fin) - histoire érotique

Malicieusement, Sonia s'exclame alors : "C'est bien, mon cocu, tu t'es donné beaucoup de peine… mais je crois que tu en as aussi !". "Maintenant, je vais pouvoir vérifier si tu m'aimes vraiment, si tu tiens vraiment à moi et si tu es prêt à tout faire pour me garder. Je vais te mettre à l'épreuve." Et elle me fait mettre debout, à côté du lit, à un mètre d'elle en faisant des gestes pour me donner les indications. Et là, elle reprend : "Tout d'abord, tu vas te masturber un peu devant nous pour montrer comment tu fais !". Je me masturbe donc poussivement, sous son inspection et sous le regard curieux de Fred qui s'est redressé derrière elle. Cela dure quelques minutes avant qu'elle ne me dise finalement : "Stop ! Attends maintenant !" Je suis aux ordres, debout, le sexe dressé, prêt à réagir aux indications suivantes. Brusquement, elle fait volte-face et me présente ses fesses en disant "Lèche mon petit trou, vas-y, n'aie pas peur, nombreux sont ceux qui l'ont déjà fait !". Je me penche et je me mets à lécher avec application son anus : j'en fais le tour avec la langue, je le lèche directement, je pénètre légèrement avec ma langue, j'essaie toutes les manœuvres de langue que je peux. En fait, j'ai beaucoup de plaisir à faire cette caresse orale à ma femme, car j'ai l'impression d'être ainsi en communion avec elle… et surtout, c'est la première fois que je le fais.

Elle reprend la parole et me dit alors : "Applique-toi bien et prépare mon anus pour que Fred puisse me pénétrer le mieux possible !" Je comprends brutalement qu'il va aussi entrer par le petit trou serré auquel je n'ai jamais eu droit jusqu'à présent. Comme elle l'a dit, elle me met à l'épreuve. Je sens que la possibilité de faire durer mon couple avec elle tient à ma performance de ce soir. Si je joue parfaitement le jeu, que je me plie à toutes ses volontés, que j'accepte ma soumission et les humiliations, je lui accorderai la revanche dont elle rêvait et elle pourra me pardonner. Je me sens plus bas que terre, préparant une sodomie que je n'ai moi-même jamais pratiquée en faveur de son amant. Lui, d'ailleurs, semble se régaler d'avance et saliver en observant le cul de Sonia s'ouvrant légèrement grâce aux caresses de langue que je lui procure. Nouvel ordre de Sonia "Cocu, écarte-moi les fesses et baise mon anus avec la bouche !" Je m'exécute, j'étire un peu ses fesses et son trou apparaît alors légèrement béant. Son anus semble ainsi appeler de lui-même la pénétration. Mais pour l'instant, c'est ma bouche qui se colle sur le sphincter et qui embrasse l'anus de ma femme. Je roule une pelle à son anus ! Jamais je n'aurais imaginé auparavant faire une chose pareille, encore moins en obéissant à des ordres et encore moins sous l'observation d'un amant. Bien que je me sente très humilié, je prends beaucoup de plaisir et mon sexe me le signale en maintenant une solide érection… qui reste assez inutile.

Ce qui devait arriver arrive alors. Sonia m'intime l'ordre d'embrasser le sexe de Fred, sur le gland. Je le fais. Puis elle me demande de le lécher, de la base à la pointe, je le fais. Puis de lui faire une fellation en bonne et due forme. J'hésite un peu, je ne me sens pas très à l'aise, mais sous la supervision de ma femme, j'en viens à prodiguer du plaisir oral à son amant. Je le suce du mieux que je peux, je m'applique vraiment, avec beaucoup de douceur. Il semble apprécier. Il faut le préparer, pour qu'il soit bien dur pour pénétrer le petit trou de ma femme. Il est debout, je suis soumis, à genoux devant lui, et je le lèche en salivant beaucoup. En fait, je crois que j'aime cette sensation, que je suis en train de devenir un amateur de verge bien dressée. J'en viens ainsi à profiter moi aussi du moment. Sonia tourne autour de moi, comme si elle contrôlait assidument mon travail, puis elle se penche et me touche l'anus… provoquant chez moi un regain d'érection… ce qu'elle remarque aussitôt. Elle s'écrie "Oh ! Mon cocu, mais tu sembles toi aussi aimer qu'on s'occupe de ton anus ! Tu voudrais aussi être pénétré par Fred ?" Je gémis doucement et lui répond d'une voix toute frêle : "Non, pas ça, pas ça… quand même !". Je me sens tout à coup très fragilisé, à la merci de ces deux complices qui s'apprêtent à me faire subir les derniers outrages. Mon érection est pourtant dure comme jamais.



Je suis abasourdi, sans réaction, très faible. Sonia me tire par le bras et me fait poser les mains sur le lit, puis elle m'étire les fesses pour exposer mon anus… prêt à être pris d'assaut. Fred éclate de rire derrière moi et s'approche. Je suis terrorisé et je m'écrie : "Non, non !" Il s'approche encore et je sens la chaleur de son sexe tout près de moi. Maintenant, son gland touche mon anus et il pousse un peu, pénétrant très légèrement en moi. Ma respiration s'arrête. Après quelques secondes, il recule et dit que lui n'aime pas prendre son plaisir en sodomisant des hommes, qu'il préfère de loin un magnifique cul féminin, comme celui de Sonia. Je respire, je souffle, tremblant de tout mon corps. Sonia me dit alors : "Tu as de la chance, cocu, dis merci à Fred !" Et moi de remercier Fred d'une voix blanche, à peine audible. Mais il m'a entendu, c'est l'essentiel.

Sonia retourne se positionner sur le lit, à quatre pattes, prête pour une levrette anale. Fred derrière elle, se masturbe légèrement pour assurer son érection. Puis, peu à peu, il se glisse dans ma femme en poussant avec le bassin. Son large pénis pénètre dans le cul de Sonia et semble l'écarter encore plus, le faire grandir. Puis, il commence des mouvements pour pénétrer plus complètement cet anus offert. Elle apprécie manifestement beaucoup, puisqu'elle gémit vivement et se laisse complètement aller. Son corps est animé de soubresauts et de frissons manifestes. Je vois ses seins qui se balancent d'avant en arrière : cette scène est terriblement excitante. Je suis occupé à me masturber tout doucement, excité et honteux, en les regardant, quand Sonia tend tout à coup sa main d'un geste vif et attrape mes testicules. Elle les serre fort, m'arrachant un cri de surprise et de douleur. Je crie pendant qu'elle gémit et râle sous les coups de butoir de Fred dans son cul. Puis elle lâche enfin mes testicules devenues presque rouges et se laisse tomber sur le lit, à plat ventre. Son amant s'appuie alors sur elle et la pénétre en la couvrant totalement de son corps à lui. Il est sur elle et la pénètre avec la dernière énergie. Je m'approche et je caresse ses cheveux. Elle crie de plus belle et jouit longuement, sous l'influence d'un puissant orgasme que je ne lui ai jamais connu. Fred sort alors son sexe du trou anal de ma femme et m'envoie trois longues giclées de sperme sur la figure. Lui et Sonia pouffent de rire.

Sonia est à quatre pattes, l'anus béant, en train de presque s'étouffer de rire. Fred reste debout, l'air satisfait de lui, avec un grand sourire aux lèvres. Et moi, je suis là, à genoux, le visage couvert de sperme, en train de subir une nouvelle humiliation. J'en viens à me demander si j'ai vraiment mérité tout ce programme. Sonia demande à Fred de prendre son appareil de photo sur la table de nuit pour faire une photo souvenir. Pour la photo, elle me fait asseoir par terre, au pied du lit, entre eux deux tout sourire, avec mon visage couvert du jus de Fred. Je n'en peux plus, je me laisse faire en espérant arriver bientôt à la fin de cette après-midi épuisante. Sonia m'explique alors que j'ai maintenant droit moi aussi à un orgasme mais qu'elle est un peu fatiguée. Je vais donc devoir me masturber en faisant glisser mon pénis entre ses jambes. Elle se met donc face à Fred et commence à l'embrasser à pleine bouche, me laissant ses mollets pour stimuler mon sexe. Je m'y mets un peu à contrecœur, mais j'effectue des mouvements de va et vient de plus en plus rapide, en haletant et en gémissant. Entre deux embrassades, Fred et Sonia étouffent des rires complices. Sonia lâche quelques pets de vagin bruyants qui font beaucoup rire Fred et que je prends en pleine figure. Fatiguée, ma tête s'appuie maintenant contre ses fesses, mon nez glissant entre elles, au contact du sperme de Fred qui s'écoule encore. Mon humiliation est vraiment complète. Mais non… même pas !Fred tend alors à Sonia une corbeille à papier qu'elle me donne en me disant : "Tu finiras là-dedans pour éviter les cochonneries !" j'atteins l'orgasme et j'éjacule abondamment dans la corbeille en râlant bien fort, provoquant à nouveau les rires des deux amants qui me regardent faire.

Je reste un moment comme ça, à genoux, le pénis en train de se dégonfler au dessus de la corbeille à papier. Sonia en profite pour attraper Fred, le serrer fort contre elle et lui rouler une magnifique pelle. Puis, les deux amants, se tenant par la taille, se tiennent face à moi en souriant. Je suis épuisé. Je lève un peu la tête. Sonia me regarde en souriant et s'exclame : "Mais qu'est-ce qu'il est chou, mon petit homme, tout ce qu'il a fait ce soir pour moi… J'ai passé un moment extraordinaire !". Fred lui sourit. Il ne dit rien. Peut-être que son rôle est terminé. Je sens que nous sommes arrivés au bout de mon épreuve. Sonia semble trouver que j'ai été à la hauteur et j'espère maintenant pouvoir récupérer ma femme pour moi seul. Mais je m'interroge : que restera-t-il entre nous de ce moment où je suis devenu le soumis prêt à tout subir pour ne pas perdre sa femme ? Elle est la reine du jour. Voudra-t-elle garder sa couronne à l'avenir ? Ces questions se bousculent dans ma tête… c'est l'avenir qui y répondra.

FIN