008 (fin)
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-10-2014 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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008 (fin)
008 est à la recherche des documents que le barbu a pu dérober. Aidée par 117, elle affaibli son adversaire par une suite de baise où elle n’ignore jamais son plaisir. Et puis passer pour une pute est agréable pour elle : ses amants n’hésitent jamais à la traiter pour telle. Elle accepte tout, même le plus dégradantes pour les autres, un autre plaisir pour elle qui se venge sur son amante et consœur, 117. Si 008 fait tout pour soutirer des renseignements vitaux, elle fait pour son plaisir propre : avoir une bite dans le con pendant qu’elle jouit est un plus qui ne se refuse jamais. Elle aime voir couler le sperme d’un gland, elle le lèche ensuite pour ne rien perdre.
Les deux agentes ont mis le barbu sur le flanc : il ne pourra plus bander un bon moment. Elles se contentent en passant leur pubis sur les cuisses de l’homme, s’y frottant, se donnant du plaisir. Pour elles sous les moyens sont bons. 117 a une idée géniale, elle demande au barbu de leur mettre une main dans les deux cons. Le fistage n’est pas une épreuve reconnue des jeux olympiques. C’est pourtant le sport qu’elles préfèrent. Le pauvre mâle commence par braner 117, passe un doigt ans le vagin, en met en deuxième. Il la doigte un instant avant d’entrer encore un doigt en commençant à écarter l’ouverture. Il regarde bien ce qu’il fait. 008 aussi regarde en espérant que son tour viendra ensuite.
Un quatrième doigt entre dans l’intimité. Le sexe de 117 est bien ouvert. Le barbu continue : il ajoute le pouce. 117 gémit come si on l‘égorgeait. Il pousse encore : la main entre jusqu’au poignet. 117 hurle son plaisir, ses orgasmes multiples. 008 l’embrasse pour la faire taire. Et cette main qui ne s’arrête pas qui la baise sans cesse. 008 passe sa main en caresses le long du corps de 117, elle arrive au seul endroit délaissé : le clitoris. Elle ajoute cette masturbation à l’autre du fistage. 117 n’en peu plus de plaisir, elle tombe dans les vaps.
Au tour de 008 de crever totalement leur amant. Elle rend la queue, la serre pour lui faire mal, la lèche pour le calmer, recommence ainsi plusieurs fois. Elle va le faire jouir à sa façon imparable. Avant de reprendre la queue elle lui met doucement trois doigts dans le cul.Il râle de douleur au début : 008 sait faire jouir un homme par son cul. Elle prend la pine dans l’autre main, la mène vers sa bouche. Elle lèche le gland, le devant, le dessus, l’arrière le tour.
Elle reçoit une bonne dose de semence. Elle continue, malgré la jouissance de l’homme. 008 sait comment le maintenir en érection, le faire encore jouir, même s’il n’en peut plus. Elle peut dans le meilleur des cas arriver ainsi à une douzaine d’orgasmes, secs vers la fin : les plus crevants.
Lui le sait : si elle continue, elle va le vider de son sang, mêlé à de l’urine.
Elle pose la question : où tu as mis les documents français que tu as volés. Il refuse de parler, sauf que quand elle arrive presque au bout de cette machiavélique masturbation il lâche le morceau : il donne la clé, l’adresse de la banque. 117 va à la recherche des documents pendant qu’008 baise une dernière fois en 69, en ayant des doigts dans le cul : son plaisir principal.
Quand 117 revient avec les documents elles partent les deux ensemble, comme des amantes pour aller chez 008 pour une nuit d’amour. Sérieuses dans leur travail elles avertissent leurs chefs du succès de l’opération avant de se donner à l’autre.
Les deux agentes ont mis le barbu sur le flanc : il ne pourra plus bander un bon moment. Elles se contentent en passant leur pubis sur les cuisses de l’homme, s’y frottant, se donnant du plaisir. Pour elles sous les moyens sont bons. 117 a une idée géniale, elle demande au barbu de leur mettre une main dans les deux cons. Le fistage n’est pas une épreuve reconnue des jeux olympiques. C’est pourtant le sport qu’elles préfèrent. Le pauvre mâle commence par braner 117, passe un doigt ans le vagin, en met en deuxième. Il la doigte un instant avant d’entrer encore un doigt en commençant à écarter l’ouverture. Il regarde bien ce qu’il fait. 008 aussi regarde en espérant que son tour viendra ensuite.
Un quatrième doigt entre dans l’intimité. Le sexe de 117 est bien ouvert. Le barbu continue : il ajoute le pouce. 117 gémit come si on l‘égorgeait. Il pousse encore : la main entre jusqu’au poignet. 117 hurle son plaisir, ses orgasmes multiples. 008 l’embrasse pour la faire taire. Et cette main qui ne s’arrête pas qui la baise sans cesse. 008 passe sa main en caresses le long du corps de 117, elle arrive au seul endroit délaissé : le clitoris. Elle ajoute cette masturbation à l’autre du fistage. 117 n’en peu plus de plaisir, elle tombe dans les vaps.
Au tour de 008 de crever totalement leur amant. Elle rend la queue, la serre pour lui faire mal, la lèche pour le calmer, recommence ainsi plusieurs fois. Elle va le faire jouir à sa façon imparable. Avant de reprendre la queue elle lui met doucement trois doigts dans le cul.Il râle de douleur au début : 008 sait faire jouir un homme par son cul. Elle prend la pine dans l’autre main, la mène vers sa bouche. Elle lèche le gland, le devant, le dessus, l’arrière le tour.
Elle reçoit une bonne dose de semence. Elle continue, malgré la jouissance de l’homme. 008 sait comment le maintenir en érection, le faire encore jouir, même s’il n’en peut plus. Elle peut dans le meilleur des cas arriver ainsi à une douzaine d’orgasmes, secs vers la fin : les plus crevants.
Lui le sait : si elle continue, elle va le vider de son sang, mêlé à de l’urine.
Elle pose la question : où tu as mis les documents français que tu as volés. Il refuse de parler, sauf que quand elle arrive presque au bout de cette machiavélique masturbation il lâche le morceau : il donne la clé, l’adresse de la banque. 117 va à la recherche des documents pendant qu’008 baise une dernière fois en 69, en ayant des doigts dans le cul : son plaisir principal.
Quand 117 revient avec les documents elles partent les deux ensemble, comme des amantes pour aller chez 008 pour une nuit d’amour. Sérieuses dans leur travail elles avertissent leurs chefs du succès de l’opération avant de se donner à l’autre.
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