Artémis chasseresse
Récit érotique écrit par Fabriss34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-07-2016 dans la catégorie A dormir debout
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Artémis chasseresse
Coureuse des forêts, sauvageonne insoumise et fière, Artémis appartient avant tout au monde sauvage, Et vlan !
Pauvre déesse, déquillée ainsi dès la première ligne. Bien sur sa vie n’est pas celle des copains de Zeus. Elle aime la chasse, le gibier, les parties fines après la matinée en plein air. Quel chasseur la blâmerait ? Hein quel chasseur ? Pouvez pas répondre à cette question, bande de culs pincés.
Elle fournissait à l’Olympe la plus part du gibier (souvenez vous, Bacchus donnait le vin pour les libations). Ce que les « historiens » de l’antique cachent toujours ce sont les rencarts, les têtes à têtes, les cinq à sept entre les deux dieux. Ils se retrouvaient toujours aux limites du monde agricole et du monde incultivé par paresse, uniquement par paresse d’une partie de la population nourrie gratuitement par des suppôts du capitalisme de l’époque.
Là, aidé par Charron, celui qui gardait normalement les enfers, à ses moments perdus, Bacchus avait construit une villa particulière. Il y recevait souvent Artémis qui aimait s’y délasser. Elle s’étendait sur un lit de mousses souples pour son dos. Elle ne s’y endormait pas : elle lisait des ouvrages sur la vénerie, des recettes de cuisines (celle d’Olympe était d’un commun pas possible, en plus elle lui donnait des aigreurs d’estomac).
Après les efforts en chasse, il lui fallait bien du repos, pas seule, elle se serait ennuyée. C’est Bacchus qui venait lui faire de la lecture. A remarquer qu’à l’époque les bibliothèques publique n’existaient que peu. Donc la lecture. Les auteurs étaient rares aussi les textes se répétaient sans cesses, d’où une lassitude sans nom. Bacchus en plus ignorait la lecture, il la remplaçait par des contes à sa façon, un peu carré blanc.
Donc Artémis passait ses temps libre à écouter des histoires de cul. Ca lui plaisait bien d’entendre l’histoire de Mère grand quand le loup venait la visiter pour la bouffer (remarquez bien que dans l’histoire actuelle on ne dit pas ce que le loup devait bouffer chez la grand-mère). Elle ne pouvait tenir longtemps quand Bacchus lui expliquait en détails là où passait la langue, là où elle entrait. Artémis sentait monter dans son ventre une excitation qu’elle aimait. Dès que Bacchus partait, elle en profitait, toujours couchée sur la mousse, pour passer ses mains sur sa poitrine (un bon 120 G), elle faisait ressortir ses pointes, les forçait à durcir. Puis, gentiment, elle passait ses mains sur le ventre avant d’enfin arriver à sa fente. Là, pas de détails, aussitôt deux doigts venaient entourer le clitoris (un clitoris géant), en mouvements ovales, les câlineries la menaient plus haut que l’Olympe. Elle était souvent en manque d’un petit quelque chose. Elle le trouvait chez Bacchus. C’était petit quand il arrivait. C’était bien plus gros un moment après quand elle voulait le gouter pour savoir qui il avait baisé dernièrement. Son peu de gout et d’odorat ne lui permettait jamais de savoir où était entré cette bite. Elle était toujours satisfaite du service de Bacchus.
Un jour, par hasard elle rencontre Hercule qui allait travailler plus loin. Sous la tunique, la bite était visible. Il venait d’avoir un rapport sérieux avec un jeune berger, juste à l’âge tendre et tête de bois, qui lui plaisait. Il lui avait donné son cul à visiter. Hercule avait pris son pied dans ce cul inconnu de lui. Mais là, avec Artémis, l’affaire se présentait autrement plus difficile. Elle, déesse du premier rang, fille du chef, de Zeus, le voulait lui simple demi dieu. Un doute dans le crane de ce pauvre Hercule : où doit-il mettre sa queue.
Artémis a envie de lui aux deux endroits possibles pour son rang. Soit la bouche, mais Hercule est très gros, soit dans l’anus. Le même problème de calibre se pose. Mais une déesse sait comment adapter les attributs de son futur amant à son corps ou, c’est le plus simple s’adapter elle-même. Elle voudrait essayer, pour la première fois une bite dans le cul. Hercule en est satisfait, il préfère par derrière que par devant. Elle est en levrette (position connue de l’époque préhellénique qui l’a inventé avant le kamasoutra) Lui passe derrière, prend les fesses dans la main, passe ensuite la main sur les seins, il en fait péniblement le tour (voir la grosseur des mamelles). Sa bite enfle démesurément. Il voit le petit trou plus petit que les autres. Il voudrait bien y entrer. Mais miracle de la déesse, le cul s‘élargit. Hercule peut arriver à ses fin, entrer dans un anus très, très petit, serré. Il entre facilement, trop presque pour lui. Artémis gémit de plaisir, elle fait plus que gémir, elle part dans un orgasme comme elle les aime.
Ce jour là les bêtes sauvages de la forêt sont au calme, aucune flèche ne vient leur briser les reins.
Pauvre déesse, déquillée ainsi dès la première ligne. Bien sur sa vie n’est pas celle des copains de Zeus. Elle aime la chasse, le gibier, les parties fines après la matinée en plein air. Quel chasseur la blâmerait ? Hein quel chasseur ? Pouvez pas répondre à cette question, bande de culs pincés.
Elle fournissait à l’Olympe la plus part du gibier (souvenez vous, Bacchus donnait le vin pour les libations). Ce que les « historiens » de l’antique cachent toujours ce sont les rencarts, les têtes à têtes, les cinq à sept entre les deux dieux. Ils se retrouvaient toujours aux limites du monde agricole et du monde incultivé par paresse, uniquement par paresse d’une partie de la population nourrie gratuitement par des suppôts du capitalisme de l’époque.
Là, aidé par Charron, celui qui gardait normalement les enfers, à ses moments perdus, Bacchus avait construit une villa particulière. Il y recevait souvent Artémis qui aimait s’y délasser. Elle s’étendait sur un lit de mousses souples pour son dos. Elle ne s’y endormait pas : elle lisait des ouvrages sur la vénerie, des recettes de cuisines (celle d’Olympe était d’un commun pas possible, en plus elle lui donnait des aigreurs d’estomac).
Après les efforts en chasse, il lui fallait bien du repos, pas seule, elle se serait ennuyée. C’est Bacchus qui venait lui faire de la lecture. A remarquer qu’à l’époque les bibliothèques publique n’existaient que peu. Donc la lecture. Les auteurs étaient rares aussi les textes se répétaient sans cesses, d’où une lassitude sans nom. Bacchus en plus ignorait la lecture, il la remplaçait par des contes à sa façon, un peu carré blanc.
Donc Artémis passait ses temps libre à écouter des histoires de cul. Ca lui plaisait bien d’entendre l’histoire de Mère grand quand le loup venait la visiter pour la bouffer (remarquez bien que dans l’histoire actuelle on ne dit pas ce que le loup devait bouffer chez la grand-mère). Elle ne pouvait tenir longtemps quand Bacchus lui expliquait en détails là où passait la langue, là où elle entrait. Artémis sentait monter dans son ventre une excitation qu’elle aimait. Dès que Bacchus partait, elle en profitait, toujours couchée sur la mousse, pour passer ses mains sur sa poitrine (un bon 120 G), elle faisait ressortir ses pointes, les forçait à durcir. Puis, gentiment, elle passait ses mains sur le ventre avant d’enfin arriver à sa fente. Là, pas de détails, aussitôt deux doigts venaient entourer le clitoris (un clitoris géant), en mouvements ovales, les câlineries la menaient plus haut que l’Olympe. Elle était souvent en manque d’un petit quelque chose. Elle le trouvait chez Bacchus. C’était petit quand il arrivait. C’était bien plus gros un moment après quand elle voulait le gouter pour savoir qui il avait baisé dernièrement. Son peu de gout et d’odorat ne lui permettait jamais de savoir où était entré cette bite. Elle était toujours satisfaite du service de Bacchus.
Un jour, par hasard elle rencontre Hercule qui allait travailler plus loin. Sous la tunique, la bite était visible. Il venait d’avoir un rapport sérieux avec un jeune berger, juste à l’âge tendre et tête de bois, qui lui plaisait. Il lui avait donné son cul à visiter. Hercule avait pris son pied dans ce cul inconnu de lui. Mais là, avec Artémis, l’affaire se présentait autrement plus difficile. Elle, déesse du premier rang, fille du chef, de Zeus, le voulait lui simple demi dieu. Un doute dans le crane de ce pauvre Hercule : où doit-il mettre sa queue.
Artémis a envie de lui aux deux endroits possibles pour son rang. Soit la bouche, mais Hercule est très gros, soit dans l’anus. Le même problème de calibre se pose. Mais une déesse sait comment adapter les attributs de son futur amant à son corps ou, c’est le plus simple s’adapter elle-même. Elle voudrait essayer, pour la première fois une bite dans le cul. Hercule en est satisfait, il préfère par derrière que par devant. Elle est en levrette (position connue de l’époque préhellénique qui l’a inventé avant le kamasoutra) Lui passe derrière, prend les fesses dans la main, passe ensuite la main sur les seins, il en fait péniblement le tour (voir la grosseur des mamelles). Sa bite enfle démesurément. Il voit le petit trou plus petit que les autres. Il voudrait bien y entrer. Mais miracle de la déesse, le cul s‘élargit. Hercule peut arriver à ses fin, entrer dans un anus très, très petit, serré. Il entre facilement, trop presque pour lui. Artémis gémit de plaisir, elle fait plus que gémir, elle part dans un orgasme comme elle les aime.
Ce jour là les bêtes sauvages de la forêt sont au calme, aucune flèche ne vient leur briser les reins.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Histoire originale et asser cool. Mais tu aurais pu peaufiner les rapports entre Dionysos et Artémis. Et une confrontation entre le dieu et Hercule aurait été cool aussi.
Mais elle était quand même bien
Mais elle était quand même bien