0214 Nuit torride et douce à la fois.

- Par l'auteur HDS Fab75du31 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : 0214 Nuit torride et douce à la fois. Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-09-2019 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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0214 Nuit torride et douce à la fois.
Cet épisode a été écrit en écoutant en boucle l’album « Ladies and Gentlemen… the best of de George Michael », et notamment le disque « For the heart ».

De retour à la petite maison après la magnifique soirée en compagnie des cavaliers de l’ABCR, mon bobrun me plaque direct face contre mur et dégrafe mon pantalon de cheval. Je sens son souffle brûlant et alcoolisé sur mon cou. Je sens son envie, pressante, sauvage. Je la ressens dans ses gestes précipités, témoignant de l’urgence de son désir, et aussi de son état d’esprit, désinhibé par l’ivresse. Je sais à quel point l’alcool peut rendre mon bobrun sexuellement déchaîné. J’ai hâte de découvrir ce qu’il me réserve ce soir. Comment il va prendre son pied. Quelles vont être ses attitudes. Comment il va me secouer. La proximité de sa virilité en surchauffe m’excite au plus haut point.
Ses mains fébriles descendent mon pantalon, ouvrent le sien, son gland fait des va-et-vient lents et appuyés sur le coton de mon boxer. Mon excitation s’envole vers des sommets vertigineux.
Très vite, ses mains font glisser mon boxer le long de mes cuisses. Puis, elles passent sous mon t-shirt et s’en vont exciter mes tétons Son corps plaque et enveloppe le mien de toute sa puissance, son gland entreprend de faire de nouveaux va-et-vient dans ma raie.
« J'ai envie de toi… » je l’entends me chuchoter à l’oreille.
« C’est moi qui ai envie de toi, comme un fou » je lâche, comme une délivrance.
« Tu veux ma queue, hein ? ».
« Je la veux, oui ».
Et ce disant, Jérém retire ses mains de mes tétons. Je l’entends cracher, je sens ses doigts lubrifier et travailler brièvement mon trou. Un instant plus tard, sa queue glisse lentement en moi.
La position, debout, face au mur, la pénétration directe, la précipitation et l’urgence de ses mouvements, son excitation extrême, son souffle excité dans mon cou : son attitude n’est pas sans me rappeler celle qui avait été la sienne lors de notre arrivé à l’appart de la rue de la Colombette après le bac philo, après que je l’avais bien chauffé pendant toute la durée de l’épreuve…Et tant pis pour mon fantasme de le sucer à genoux, dans cette tenue, dans ce maillot si sexy. A cet instant précis, enveloppé et envahi par la mâlitude de mon bobrun, j’ai trop envie de me faire bien secouer et remplir.
Car mon bobrun sait parfaitement comment toucher mes cordes sensibles. D’autant plus que ce soir ses réflexes de mâle dominant reviennent avec l’alcool. Ses mots, ses attitudes ne sont pas sans rappeler certaines baises torrides de la rue de la Colombette, des « révisions » pendant lesquelles je ne me sentais rien d’autre que son vide-couilles.
Mais à une grande nuance près : entre deux mots crus, entre deux gestes bien déterminés et directif, le Jérém d’aujourd’hui ne peut s’empêcher de poser des baiser dans mon cou, à la fois bien excités et tout doux. Le nouveau Jérém, la queue enfoncée en moi jusqu’à la garde, me caresse, me serre dans ses bras et me lance :« Qu’est-ce que j’aime ça… ».
La chaleur de son corps m’enveloppe, le contact avec sa peau et ses poils est une sensation de bonheur indescriptible. Possédé et enlacé par le mâle que j’aime, je me sens vraiment bien. Je me sens à ma place.
Et dès l’instant où sa queue commence à me limer, un frisson de plaisir jaillit de mon trou et se propage le long de ma colonne vertébrale, dans tout mon corps, jusqu’à mon cerveau, là où un immense feu d’artifice sensuel affiche mon bonheur en grandes lettres rouges : « Je suis à lui, je vais lui donner du plaisir, je vais encore le faire jouir ».
Me sentir à lui, pouvoir lui donner du plaisir, me préparer à assister à sa jouissance : ce sont les plus belles sensations que je connaisse.
Les mains à plat sur mes tétons, les abdos collés à mes reins, le torse plaqué contre mon dos, Jérém accélère peu à peu la cadence de ses coups de reins.
« Ah, putain, qu’est-ce que c’est bon ! » je ne peux m’empêcher de lui lancer, comme dans un état second.
« Oh, oui, c’est bon » je l’entends souffler à mon oreille, la voix étranglée par l’excitation. Son haleine toujours alcoolisée contribue à ma propre excitation.
« Elle est bonne ma queue, hein ? » fait-il, en me pilonnant avec de plus en plus d’entrain.
« Elle est plus que bonne… t’es vraiment doué pour l’amour… ».
« C’est parce que t’as un bon cul… ».
« Il te plait mon cul ? ».
« Je l’ai maté toute la soirée… ».
« T’avais envie de lui faire quoi ? ».
« A ton avis… ».
« Dis-le-moi s’il te plaît, dis-moi ce que tu avais envie de faire à mon cul… ».
« J’avais envie de lui gicler dedans… ».
« Ah, putain, qu’est-ce que ça m’excite quand tu me dis ça, tu peux pas savoir… ».
Chauffé à bloc, le bogoss se déchaîne. L'alcool le rend chaud bouillant, mais pas brutal pour autant. Ses coups de reins sont bien puissants, mais le bogoss n’en oublie pas pour autant de me faire plaisir. Ses doigts caressent mes tétons, les excitent à mort. Le contact avec mon mâle en rut me fait perdre pied.
« Tu veux que je te remplisse le cul ? C’est de ça que t’as envie, hein ? ».
Assommé de bonheur par les coups de reins de mon mâle, j’avais presque oublié le fantasme qui m’avait accompagné pendant toute la soirée, fantasme que sa question réveille violemment. Alors, je l’exprime.
« J’ai envie de te sucer… ».
Et là, sans attendre, le bogoss se dégage de moi, me retourne, il se colle contre moi et m’embrasse. L’extirpation soudaine de sa queue de mon entrejambe me fait ressentir une violente sensation de vide, de bonheur perdu. Sensation en partie compensée par la certitude que je vais vite retrouver un autre bonheur, dès l’instant où je serrerai sa queue entre mes lèvres.
Ses beaux poils qui dépassent du col ouvert du polo à portée de main, de nez, de lèvres, me parlent de sa mâlitude. Je plonge mon visage dedans, je m’enivre, je me shoote des petites odeurs de sa peau. Le bogoss caresse mes cheveux, ma nuque. Je sens sa queue raide contre mes abdos. J’ai terriblement envie de le sucer.
Je passe mes mains sous le maillot, j’effleure la fermeté de ses abdos, je rencontre le relief de ses pecs, j’agace ses tétons.
« Allez, suce ! » il finit par lâcher, en signant définitivement le retour du mâle un brin macho qui me rend fou.
Un instant plus tard, je suis à genoux, je fais coulisser mes lèvres sur son manche raide, effleurant avec mon front le bas de son maillot à chaque va-et-vient. Exactement comme dans mon fantasme.
Tout chez mon Jérém dégage une intense sexytude. C’est dans sa façon de porter le maillot de Wilkinson, les trois boutons ouverts laissant dépasser ses poils, le col relevé « façon bogoss qui se la pète un brin », les manchettes tendues sur ses biceps, les pecs qui ressortent sous le tissu lorsque le torse se bombe, le bas qui oscille devant ses abdos au gré de mes va-et-vient. C’est dans la façon dont l’ensemble de son corps se remue dans la quête du plaisir. C’est dans le geste de sa main qui se pose sur ma nuque et qui accompagne mes mouvements sur sa queue. C’est sa belle petite gueule qui lâche un soupir d’excitation tout en se levant vers le ciel.
C’est cette queue qui me remplit la bouche et me fait sentir bien. Ce sont des gestes simples, des attitudes innées, inconscientes, de mâle en rut : c’est l’expression flamboyante de l’irrésistible mâlitude de mon bobrun. Sa virilité me déborde, m’accapare à 100 %, me fait perdre la notion du temps, elle me transforme en torche embrasée de désir. Et lorsque je suis dans cet état, plus rien ne compte que le bonheur d’offrir du plaisir à mon bomâle.
Les épaules contre le mur, le bassin en avant, le bogoss lève les bras, plie ses coudes et croise les mains derrière la nuque. C’est une attitude de jeune mâle qui a vraiment envie de se faire sucer et qui est bien à l’aise avec cette envie, une attitude qui a pour effet de tirer le maillot vers le haut, de tendre le tissu de façon spectaculaire autour de ses biceps, de découvrir le bas de ses abdos, et de dévoiler cette ligne de poils, ce chemin de bonheur ultime qui relie le nombril au sexe.
La tiédeur de sa peau, l’odeur de sa queue me rendent fou. Mais ce qui finit de m’achever, ce sont ses doigts qui à un moment reviennent agacer mes tétons, alternant caresses légères et petits pincements très adroits, décuplant mon plaisir et mon envie d’avaler sa queue et de la faire gicler dans les plus courts délais.
Ses ahanements bruyants et rapprochés, ses gestes de plus en plus précipités : tout dans ses attitudes semble me parler de son impatience de jouir dans ma bouche. Je ne me trompe pas.
« Ah, putain, c’est bon… j’ai trop envie de jouir… » je l’entends lâcher, le souffle coupé par une excitation extrême. Le bogoss est vraiment chaud. Et moi je kiffe à fond. Je bande comme un âne.
Son envie si clairement exprimée coïncide avec mon fantasme. Ça fait des heures que je rêve de le faire gicler dans ma bouche, de le faire jouir comme un fou, de le faire jouir dans cette tenue. Alors je m’applique pour que la réalité soit à la hauteur du fantasme. Mes mains caressent ses couilles, ma bouche encaisse sans broncher les assauts violents de sa queue pressée de lâcher son jus.
Avec un geste inattendu et précipité, le bogoss attrape son maillot par le col, le fait glisser le long de ses bras et s’en défait en le balançant dans un coin de la pièce. Son torse se dévoile, avec ses muscles, ses creux et ses reliefs parfaits, avec cette nouvelle pilosité dont je ne me lasse pas, et qui rend sa sexytude encore plus incandescente.
A nouveau, mon bobrun soulève ses bras, plie ses coudes et ressemble ses mains derrière sa tête. Les aisselles un peu poilues se dévoilent, les pecs se bombent, tandis que ses abdos ondulent sous l'effet d'une respiration rapide et excitée.
Et alors que j’attends l’arrivée de son orgasme d’un instant à l’autre, le bogoss se décolle du mur, et sa queue quitte momentanément ma bouche. Ses mains saisissent mes épaules, m’invitent tout en m’obligeant à pivoter sur moi-même. Une fraction de seconde plus tard, je me retrouve la tête coincée entre un mur de briques et un mur d’abdos, alors que sa queue recommence à marteler violemment mon palais. Ma bouche n’a d’autre choix que d’encaisser la vigueur de ses coups de reins.
C’est tellement puissant que j’en ai presque le souffle coupé. Et pourtant, le bonheur de savoir la jouissance de mon bobrun sur le point d’exploser me fait tenir bon.
« T’aimes bien l’avaler à fond, hein ? » il me lance, sur un ton davantage coquin que macho.
Ma seule réponse à sa question tient dans quelques coups de langue bien appuyés autour de sa queue. Des coups de langue qui ont le pouvoir magique de déclencher presque instantanément ce miracle inouï et à chaque fois renouvelé, l’orgasme de mon bobrun.
« Je viens… vas-y… avale… » je l’entends lâcher, à moitié terrassé par la déferlante de l’orgasme.
Le bogoss jouit en prenant appui sur mes épaules, ses doigts enserrent ma chair me donnant la mesure de l’intensité de son plaisir. Des giclées bien lourdes percutent mon palais, atterrissent sur ma langue et remplissent ma bouche de la plus délicieuse des boissons, le jus de mon Jérém. Son goût de jeune mâle pétille sur ma langue et à l’arrière de mon palais. Son jus est un cadeau dont je ne me lasse pas et que je garde un petit moment en bouche pour en découvrir les moindres arômes, pour m’en enivrer, avant de le laisser glisser lentement dans ma gorge.
Un instant plus tard, le bobrun glisse ses mains sous mes aisselles, il m’aide à me relever. Nous nous retrouvons dans les bras l’un de l’autre.
« Tu crois encore que j’ai besoin que tu m’ordonnes d’avaler ? » je le taquine.
« Non, je sais que tu kiffes ça… » fait-il avec assurance et un brin d’arrogance très sexy.
« Tu peux pas savoir à quel point. Jamais je ne pourrais renoncer à avaler ton jus ».
« Je sais… mais je sais aussi que tu kiffes quand je te dis de le faire… ».
Ah, putain, qu’est-ce que j’aime ce retour en force de son côté petit con !
« Et comment ! Je kiffe à mort ! J’adore quand tu es chaud comme ce soir ».
« T’as envie de jouir ? » il me demande.
« Très envie… ».
Et là, le bogoss me retourne une nouvelle fois, et il me pénètre à nouveau. Il m’enlace avec ses bras puissants, me remplit avec sa queue toujours raide. Il me branle d’une main, tout en caressant mes tétons de l’autre. Et il recommence à me limer tout doucement. Je sais qu’il n’a pas envie de jouir une nouvelle fois. Il est venu en moi juste parce qu’il a intégré à quel point la présence de sa queue en moi amplifie ma jouissance. Ça me rend fou !
Le bobrun n’a pas besoin d’aller bien loin pour me faire venir. Mon orgasme est décuplé par les contractions de ma rondelle autour de son manche puissant, et rendu délicieux par les baisers qu’il pose dans mon cou.
Dans l’instant qui suit cet orgasme géant, je suis comme terrassé par le plaisir, et je plane. Autour de moi, tout n’est que bonheur. Hélas, lorsque mon bobrun s’extirpe de moi, lorsqu’après un dernier bisou il s’éloigne de quelques pas pour remettre une bûche dans le feu et griller une clope, la petite voix refait immédiatement surface : « ce bonheur t’est compté ». C’est tellement dur de me dire que ce « maudit » coup de fil de Paris peut arriver à n’importe quel moment et que, dès l’instant où il sera tombé, il mettra le mot fin sur ce moment de bonheur pur. C’est tellement dur de me dire que cette pipe fabuleuse est peut-être la dernière avant longtemps.
Après être passés à la douche, nous nous brossons les dents ensemble, devant le petit miroir. Nos regards se croisent par reflet interposé. Le sien est fripon et joueur. Le bogoss me bouscule avec son coude, je le bouscule à mon tour. Il cherche à me chatouiller, j’essaie de l’esquiver. Je tente de l’enlacer, il se dérobe. Notre complicité est parfaite. J’ai envie de pleurer tellement c’est beau.
Si seulement ça pouvait durer, si seulement je pouvais voir ce reflet dans le miroir de notre salle de bain, pour le reste de ma vie. Si seulement ce coup de fil de Paris pouvait ne jamais arriver. C’est égoïste, je sais : mais quand le bonheur est si intense, on s’accroche pour le retenir, coûte que coûte.
Ce reflet de nos corps nus dans le petit miroir, ce reflet de deux gars heureux, cette instantané de bonheur à l’état pur se gravent direct dans mon cœur. Une image qui viendra me hanter bien des années plus tard, lorsque tout ce qui me restera de mon Jérém, parti si loin de moi, ne sera que des souvenirs.
Au lit, dans la pénombre mouvante au gré des ondulations des flammes, Jérém m’offre un joli bouquet de bisous en guise de bonne nuit. Puis, il s’allonge sur le dos et m’attrape la main pour m’attirer vers lui. Je me laisse faire et je me retrouve dans une position magique qui me permet de caresser ses abdos, ses pecs, et ses poils délicieux. De poser des bisous sur ses poils délicieux. D’enfoncer mon visage dans ses poils délicieux. De m’enivrer de l’odeur de sa peau et de sa magnifique toison de jeune mâle.
« Qu’est-ce que t’es beau, Jérém » je ne peux m’empêcher de lâcher, submergé par tant de beauté, par tant d’émotion, comme un cri du cœur.
« Toi non plus t’es pas mal » il lâche à son tour, après un petit instant de silence.
« Allez, raconte, tu me trouves comment ? ».

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Fabien]« Qu’est-ce que tu veux que je te dise ? ».
« Je te plais ? ».
« Non, non, je couche avec toi depuis six mois parce que je te trouve moche… » il me taquine.
« Allez, raconte… ».
« J’ai envie de toi » il me chuchote tout bas à l’oreille.
« Encore ? ».
« Grave… ».
« Réponds-moi, d’abord ».
Mais déjà ses lèvres dessinent un chemin de bisous doux et sensuels qui démarre dans le creux de mon cou, descend vers mes pecs, zigzague sur ma peau à hauteur de mes tétons. Je perds toute volonté. J’oublie ma question, ma curiosité, j’en oublie même mon prénom. Ce mec me fait un effet de fou. Dès qu’il me touche, il peut faire de moi ce qu’il veut.
Le bogoss se glisse sous les draps, et sa langue se fait très entreprenante. Elle s’enroule autour de l’un de mes tétons, tandis que ses doigts pincent l’autre avec douceur et adresse. Les frissons de plaisir qui secouent mon corps sont d’une intensité délirante. Je n’ai pas le temps de m’accoutumer à cet intense bonheur sensuel que déjà le bogoss commence à mordiller l’autre téton. C’est terriblement excitant, et sa langue n’est jamais bien loin, elle ajoute des caresses fugaces et humides aux petits pincements. Ses abdos frottent contre mon gland gonflé à bloc. C’est tellement bon. J’ai tellement envie de lui.
Le bogoss continue sa promenade érotique sur mon torse. Sa langue glisse lentement sur mes abdos, s’attarde dans mon nombril, s’engage dans le chemin de poils qui conduit à ma queue. Très vite, elle atteint mon pubis, tournoie autour de la base de ma queue, s’attarde sur mes couilles. Le bogoss veut clairement me rendre dingue. Mon envie de me faire sucer devient très vite insoutenable.
« Allez, suce ! » j’ai envie de crier à un moment. Je me retiens de justesse.
« Allez, suce ! » : cette injonction que je lui ai bien des fois entendu me lancer, et encore il y a à peine quelques minutes, résonne de façon assourdissante dans ma tête, accapare de plus en plus mon esprit, devient étouffante. Je n’arrive plus à penser à autre chose.
« Allez, suce ! » : ces deux mots envahissent mon esprit, prennent leur énergie dans mes poumons, remontent dans ma gorge, prennent forme dans mes cordes vocales, glissent sur ma langue jusqu’au bout. Et finissent par m’échapper.
« Allez, suce ! ».
Ces deux mots déchirent le silence de la pièce, me claquent aux oreilles avec la violence impitoyable d’un boomerang qui reviendrait percuter son lanceur. Je regrette mon imprudence à l’instant même où ces deux mots sont lâchés.
Sous les draps, mon bobrun a immédiatement arrêté toute caresse sensuelle. Je sens son corps glisser sur le mien, remonter le long de mon torse. Très vite, je vois ses beaux cheveux bruns émerger des draps. Je panique. Pourquoi a-t-il fallu que je me lâche ainsi ? Pourquoi a-t-il fallu que je gâche la perfection de cet instant pour ne pas avoir su tenir ma langue ? Mais qu’est-ce qui m’a pris ? Putain !
Le bobrun me dévisage, son nez est à vingt centimètres de mon nez. Ses yeux plantés dans les miens, on dirait qu’il essaie de lire dans ma tête. Son regard est indéchiffrable. Je ne sais pas à quoi il pense. Je ne sais pas quoi penser. J’ai juste la trouille qu’il ait mal pris ces deux mots que je n’ai pas su retenir.
Le bogoss me fixe pendant de longues secondes. Il est beau comme un dieu. Pourvu que le dieu ne soit pas en colère.
« Qu’est-ce que t’as dit ? » il finit par me balancer sur un ton plutôt sec.
« Je suis déso… ».
« Je m’en fous de ça… je te demande de répéter ce que tu viens de dire » il me coupe.
« Faut pas mal le prendre… ».
« Allez, répète ce que t’as dit ! ».
« A… allez… suce… » je fais, le regard fuyant.
« Vas-y, mets-y le ton de tout à l’heure ! ».
« Jérém… ».
« Allez ! ».
« Je ne peux pas… ».
« Alleeeez ! ».
« Allez, suce ! » j’essaie de répéter mon « exploit » du mieux que je peux, tout en sondant son regard.
« Et ben, voilà ».
Et là, mon bobrun éclate dans un rire sonore et amusé. Et rassurant. Ouf…« T’es un vrai coquin, toi ! » il me balance.
« T’es pas fâché ? ».
« Je te faisais marcher ».
« Petit con, va ».
« Pourquoi veux-tu que je sois fâché ? ».
« J’avais peur que tu le prennes mal… ça m’a échappé… ».
« C’est que tu y prends goût ! ».
« Oh, que oui, j’y prends goût… ».
« C’est que tu es un vrai petit mec, toi aussi ! ».
« Tu fais ça trop bien ».
« Je n’ai jamais fait ça à personne d’autre ».
« Tu te débrouilles plutôt pas mal pour un débutant » je le charrie.
Pour toute réponse, le bobrun me lance un sourire plein de malice et de coquinerie.
Mon bobrun se glisse une nouvelle fois sous les draps, ses pecs et ses tétons frottent contre ma peau. Ses lèvres se posent sur mon gland et avalent ma queue d’une seule traite. Ah, putain, si j’avais imaginé qu’un truc pareil pourrait se produire, ne serait-ce qu’il y a un mois, une semaine, trois jours ! Quand je pense à quel point sa sexualité était du genre « macho » encore il y a si peu de temps, et lorsque j’observe l’évolution, si impressionnante et si rapide, j’en ai le tournis.
Au fil des va-et-vient, le bout de sa langue traîne de temps à autre dans le creux de mon gland. A chaque fois, j’accuse le frisson que cela me procure par un frémissement incontrôlable.
« C’est bon, ça, hein ? » fait le bogoss en émergeant à nouveau des draps, les cheveux en bataille, l’œil fripon, sexy en diable.
« Tu es bien placé pour le savoir ».
« C’est clair, tu m’as tout appris ».
« Allez, l’exam n’est pas fini » je m’enhardis.
« Tu me fais passer un bac pipe ou quoi ? » il se marre.
Je suis mort de rire aussi.
« Allez, vous avez quatre heures pour développer le sujet ».
« Tu ne vas jamais tenir quatre heures ! ».
« Non, c’est clair… mais quatre minutes de plus, je ne suis pas contre… ».
Notre complicité me rend fou. Le rééquilibrage de nos rôles dans l’amour est spectaculaire et extrêmement plaisant. Je découvre de nouveaux plaisirs, de nouvelles sensations, et il en est de même pour mon bobrun. J’ai l’impression de me glisser dans sa peau. Est-ce qu’il en est de même pour lui ? Le sexe devient jeu, partage, découverte de l’autre. Et c’est magique.
« T’as vraiment envie, toi ! » il me lance, l’air à la fois coquin et amusé.
« Grave ! ».
Et là le bogoss me balance un clin d’œil des plus sexy, assorti d’un sourire des plus incendiaires. Il se glisse une nouvelle fois sous les draps, il revient titiller mon gland avec des coups de langue tour à tour légers et plus appuyés, exactement comme je lui ai « appris ».
Oui, mon bobrun lui aussi semble prendre goût à cette nouvelle facette de la sexualité entre mecs qu’il découvre peu à peu. Et il apprend très vite. Décidemment, Jérém est très très doué au pieu, que ce soit dans son rôle de mâle ou bien dans ce nouveau rôle où il prend du plaisir à s’occuper de moi.
Jérém avale ma queue d’une seule traite et recommence à faire des va-et-vient musclés. Pendant que mon bobrun me suce, je caresse ses cheveux. Soudain, je sens monter en moi une envie inattendue, l’envie de poser une main sur sa tête pour lui faire avaler ma queue encore plus profondément. C’est dingue comment une bonne pipe a le pouvoir de réveiller des instincts de domination. Bien sûr, je n’ose pas mettre mon fantasme à exécution.
Très vite, je sens poindre ce frisson, ce fluide porteur de plaisir, cette vibration insoutenable circulant dans tout mon corps qui annonce l’arrivé de l’orgasme. La queue dans la bouche de Jérém, je sens monter dans mes reins l’instinct animal et primitif du mâle qui pénètre et ne pense plus qu'à jouir dans son partenaire.
« Je vais pas tarder à jouir » je lui annonce quand même en implorant dans ma tête pour qu’il me laisse gicler dans sa bouche.
Mais alors que je commence vraiment à en avoir non plus seulement envie, mais carrément besoin, ses lèvres quittent soudainement ma queue.
« Je sais, mais pas de suite » je l’entends me répondre, alors que sa belle petite gueule émerge une dernière fois des draps.
Le bogoss s’allonge sur le matelas, juste à côté de moi.
« Allez, suce ! » il m’intime, l’air amusé autant qu’excité, faisant écho à mes propres mots, se moquant gentiment.
Injonction tout à fait superflue, alors que sa queue tendue aimante déjà mes lèvres.
« Je suis sûr que tu as encore des choses à m’apprendre… » me balance le petit con.
Un instant plus tard, j’avale sa queue et je commence à le sucer comme si ma vie en dépendait. Comment il m’a chauffé ce petit con ! Mon excitation se met au service de mon envie de faire plaisir à mon bobrun et ma pipe devient de plus en plus vigoureuse. Le bogoss frissonne de plaisir.
Puis, à un moment, je décide de changer de position. J’invite mon bobrun à se relever, je m’allonge à sa place, la tête légèrement relevée, appuyée contre l’oreiller. Le bogoss n’a pas besoin de dessin pour capter mes intentions. Il se met à cheval sur mon torse, il glisse sa queue entre mes lèvres et commence à les limer vigoureusement. J’encaisse avec bonheur ses coups de boutoir, tout en envoyant mes mains caresser ses épaules, tâter ses biceps et ses pecs, agacer ses tétons.
« Je le savais que tu avais encore des choses à m’apprendre » il me lance, en parfait mode petit con.
Pour toute réponse, j’empoigne ses fesses et je les attire un peu plus vers ma bouche. Le bogoss capte vite le message, ses coups de reins se font encore plus puissants, sa queue s’enfonce encore plus profondément dans ma bouche.
« Ah, putain, c’est bon ça… tu vas m’avoir… ».
Non, je ne veux pas l’avoir comme ça. Je le repousse doucement mais fermement.
« Qu’est-ce que tu fais ? » je l’entends protester.
« Allonge toi sur le ventre » je lui annonce.
Le bobrun s’exécute sans poser d’autres questions. Je me glisse entre ses cuisses musclées, j’attrape ses fesses rebondies et j’enfonce mon visage dans sa raie. Ma langue se rue sur son petit trou. Mon bobrun frissonne. Je m’enhardis, j’écarte un peu plus ses fesses, je lance ma langue à l’assaut de son intimité. Ses ahanements appuyés m’encouragent à me déchaîner, à aller de plus en plus loin.
« Ah, putain, n’arrête pas, c’est trop bon » je l’entends lâcher, fou de plaisir, alors que j’émerge un instant pour reprendre mon souffle.
« Vas-y ! » il me lance, la voix extrêmement excitée, tout en se relevant sur ses genoux, en cambrant ses reins et en m’offrant son intimité sans réticences. Je me dis que pour se laisser aller de la sorte, c’est qu’il doit vraiment prendre son pied.
Ses jolies boules rebondies me donnent envie de lécher un peu de ce côté-là. Mais mon bobrun sait ce qu’il veut et sait aussi me rappeler très vite à l’ordre :« Allez, bouffe mon cul ! ».
Face à cette envie si clairement manifestée, je n’ai d’autre choix que de m’exécuter. Pendant que je recommence à le lécher avec un bonheur décuplé, le bobrun se branle.
Les ahanements deviennent des souffles de plaisir intense, puis des gémissements. Son corps est comme secoué par des spasmes incontrôlables.
Je reprends mon souffle une nouvelle fois. Et alors que je m’apprête à revenir à la charge, mon bobrun se retourne, me fait allonger sur le dos, il s’allonge sur moi, il m’embrasse, et il me balance, l’air ivre de plaisir :« T’es fou, toi ! ».
« T’as aimé ? ».
« Oh putain, oui… ».
« T’as envie de quoi ? » je lui demande, alors que la nouvelle position, ainsi que sa queue raide en travers de la mienne semblent à elles seules m’annoncer la suite.
« J’ai envie de remplir ton beau petit cul ».
« T’as toujours des envies qui me plaisent beaucoup ».
Sans plus attendre, le bogoss attrape un oreiller et le fait glisser sous mes reins. Mon bassin seconde ses intentions en se relevant avec un timing parfait. Puis, avec un geste rapide et puissant, Jérém attrape mes cuisses, il écarte mes fesses. Entre ses mains, gouverné par ses bras puissants, par ses muscles tendus, je me sens une petite chose fragile. Comment je kiffe me sentir à lui de cette façon.
Jérém s’allonge à plat ventre sur le matelas et il enfonce à son tour son visage entre mes fesses. Sa langue vise direct mon trou excité, elle lui donne l’assaut. Sa caresse est puissante, on dirait qu’elle essaie de me pénétrer comme le fait sa queue. Ses mains écartent un peu plus mes fesses, son visage s’enfonce davantage, sa langue anéantit peu à peu la résistance de mes muscles. Je suis fou. Pendant un long moment, le bogoss me bouffe le cul à son tour. Il le fait avec un entrain, avec un appétit manifeste, avec une voracité qui décuplent mon plaisir.
C’est tellement bon que j’ai l’impression d’atteindre une sorte de bonheur ultime dans lequel je dérive. Je voudrais qu’il n’arrête jamais. Sauf si évidemment le bogoss a envie de venir en moi et me remplir de sa semence. Mais pas tout de suite. Continue encore un peu, Jérém, c’est bon à pleurer !
Mais toutes les bonnes choses ont une fin. Lorsque le bomâle arrête son manège divin, il se redresse d’un geste rapide et félin. Pendant une fraction de seconde, nos regards se croisent. Et dans le sien, je lis toute l’excitation qui l’anime à cet instant précis, l’urgence de son désir, de son envie de venir en moi, de me prendre, de me pénétrer, de me posséder. J’ai tellement envie d’être à lui.
Le bogoss attrape mes chevilles, les met en appui sur ses épaules. Son gland se presse à l’entrée de mon trou et il ne rencontre presque pas de résistance. Après ce que vient de lui faire sa langue, il est prêt à se faire envahir. Très impatient, même. Le bogoss vient en moi lentement. Sa queue glisse en moi, me fait du bien. Ses baisers insatiables me rendent le plus heureux des mecs.
Jérém se redresse. Mes chevilles toujours sur ses épaules, il commence à me pilonner lentement. Mais très vite la machine virile monte en régime, ses va-et-vient se font plus rapides, plus amples. Ses couilles frappent lourdement mon entrejambe, et c’est super excitant.
C’est bon et c’est beau. Regarder mon bobrun en train de me faire l’amour, voir son corps tout entier osciller au gré de ses coups de reins, c’est un spectacle époustouflant. Mon regard est aimanté par son torse droit comme un « I » légèrement penché en arrière, faisant ressortir de façon encore plus impressionnante son cou massif, ses pecs et ses abdos, le galbe de ses épaules et de ses biceps. Mon regard est hypnotisé par sa chaînette posée sur sa peau délicieusement mate, par son adorable grain de beauté, par ses tatouages, par ses cheveux bruns en bataille, et par sa belle petite gueule violemment balayée par la tempête du plaisir.
Mes mains ne sont pas moins aimantées que mon regard, et elles ne se privent pas de tâter le muscle ferme et puissant, comme pour me convaincre que tout cela est bien réel.
A un moment, le bobrun s’allonge sur moi, m’embrasse fougueusement.
« C’est trop bon » je l’entends chuchoter à mon oreille, alors que ses coups de reins se sont soudainement arrêtés et que son corps est complètement abandonné sur le mien.
« M’en parle pas, c’est fou tellement c’est bon ».
Dans mon for intérieur, je me dis que ce qui est bon par-dessus tout, c’est de l’entendre admettre cela, avec ce ton dans la voix, le ton d’un petit gars amoureux, presque assommé par la plaisir. Ce qui est bon par-dessus tout, c’est de sentir sa douceur, sa tendresse, sa bienveillance, sa sensibilité enfin laissées paraître au grand jour.
Je le serre très fort dans mes bras et je le couvre de bisous. Sa peau mate est très chaude et moite de transpiration. Sa queue toujours en moi, son corps sur le mien, mes bras autour de son torse puissant, je me sens bien, en sécurité, en communion totale avec le gars que j’aime. Nous nous apprivoisons un peu plus à chaque instant, nous nous appartenons un peu plus à chaque instant. J’ai l’impression qu’une sorte d’énergie circule en boucle entre nos deux corps et que nous ne faisons plus qu’un.
Après une petite pause, le bogoss relève son buste, juste ce qu’il faut pour m’embrasser. Je lui rends ses bisous, mes lèvres sont tout aussi gourmandes que les siennes.
C’est bon de faire l’amour devant la cheminée, d’entendre les petits bruits de l’amour se mélanger au crépitement du feu.
Le bobrun se redresse, il recommence à me limer. Dans la faible lumière mouvante émise par le feu de cheminé, je regarde ce corps magnifique se diriger tout droit vers l’orgasme. Je me dis que mon bobrun a beau avoir changé d’attitude pendant l’amour, qu’il a beau avoir laissé son côté petit macho au placard pour se glisser dans la peau de ce nouveau Jérém, sensuel et attentionné qui me fait l’amour, ses attitudes n’ont rien perdu de leur charge virile.
Sa façon de m’attraper par les hanches, de saisir mes chevilles, d’écarter mes fesses, de prendre appui sur mes épaules, de venir en moi, de faire onduler son bassin, d’envoyer de bons coups de reins : sa façon d’exprimer sa mâlitude demeure inchangée.
En fait, entre l’ancien Jérém petit con macho et le nouveau, jeune mâle qui s’ouvre à l’amour, c’est la façon de me faire sentir à lui qui demeure inchangée.
Car, au-delà de la beauté extrême de ce corps et de cette petite gueule de mec à faire jouir d’urgence, Jérém dégage quelque chose de profondément viril. Jérém est un jeune mâle bien couillu, et il a des attitudes, des regards, une présence, qui en imposent. Sans même avoir besoin de jouer au petit macho. La virilité, c’est inscrit dans ses gènes. Elle s’impose comme une évidence. Un mec comme Jérém peut être doux et très viril à la fois.
« Je vais jouir » il finit par lâcher, la voix cassée par la tempête des sens.
« Fais-toi plaisir » je lui lance, tout en pinçant ses tétons pour amplifier et précipiter son orgasme.
Je le vois, je l’entends pousser un soupir long et profond, comme une délivrance de bonheur masculin. Qu’est-ce que c’est beau un mec qui jouit, qu’est-ce que j’aime être témoin, de cet instant, de cette courte absence pendant laquelle son esprit s’évapore, pendant lequel le mec est seul, plongé dans une dimension de plaisir inouï où il est si puissant et si vulnérable à la fois.
Le bogoss se laisse tomber sur moi, ses doigts glissent nerveusement dans mes cheveux, son visage s’enfonce dans le creux de mon épaule, ses lèvres posent des baisers fébriles dans mon cou. Ses coups de reins espacés, ponctués de râles bien puissants, marquent le tempo des giclées qu’il est en train d’envoyer au plus profond de moi.
L’orgasme passé, le bogoss reste allongé sur moi, enfoncé en moi. Je perçois le rythme de sa respiration accélérée, les battements rapides de son cœur, son front en nage contre ma peau. Pendant de longs instants, il demeure silencieux, il récupère.
« Ça va ? » je finis par lui demander.
« Oh, que oui ».
« T’as du mal à t’en remettre ? » je le cherche.
« C’était terrible ».
« Pour moi aussi… ».
« Jamais, jamais de ma vie j’ai pris autant mon pied qu’avec toi, même pas de loin ».
« Ca me fait plaisir ».
« Je ne sais pas comment tu fais pour me faire jouir aussi fort ».
« Peut-être que nos corps sont faits l’un pour l’autre ».
« T’as pas joui, toi… » fait-il, après une petit silence.
« Non… ».
« Je vais t’arranger ça ».
Et, ce disant, le bogoss recommence à envoyer des petits coups de reins, tout en mordillant et en suçotant mes tétons à tour de rôle. Ses abdos frottent contre mon gland. Très vite, je me sens venir.
« Je vais jouir » je lui annonce.
Mais le bogoss continue comme s’il n’avait rien entendu.
Un instant plus tard, mon orgasme se manifeste par la venue de nombreuses giclées. Des giclées qui, l’une après l’autre, libèrent la tension d’excitation, me vident de toute énergie et me remplissent d’un bonheur physique, mental et spirituel inouï.
Je pousse à mon tour un long et profond soupir de délivrance. Et je me surprends à me dire que celui que je viens de vivre est sans conteste l’un des meilleurs orgasmes de ma vie, si ce n’est le meilleur. Ma découverte du plaisir avec mon Jérém semble être sans fin et tendre vers des sommets de plus en plus délirants.
Jouir longtemps et intensément, jouir jusqu’à l’épuisement, jouir avec le corps, le désir, le cœur, jouir avec l’être aimé : voilà le secret de l’orgasme parfait.
Le bogoss se relève, me sourit. Et son sourire après l’orgasme est un sourire de malade, de malade !
« Qu’est-ce que tu mates ? » il me demande, alors que je fixe ses pecs, ses abdos, et ses poils copieusement trempés de mon jus.
« Ah, tu m’en as foutu partout » il conclut tout seul, en se penchant sur son torse.
« Je n’ai pas pu mieux viser ».
Le bogoss attrape un t-shirt par terre et s’essuie le torse, puis me le passe pour en faire de même. Il revient s’allonger sur moi, et me couvre de bisous enflammés. Il me caresse, me chatouille, joyeux comme un gosse, joueur comme un chiot foufou. Et toujours, sur son visage, ce beau sourire heureux qui me fait fondre.
Petit à petit le bogoss finit par se calmer, la fatigue le gagne. Pendant de longues minutes, nous restons dans les bras l’un de l’autre. En silence. Et au bonheur de le voir tout foufou après l’orgasme succède un autre bonheur, celui de le voir épuisé, repu, comblé après l’amour.
« Vraiment, jamais j’ai pris autant mon pied » je l’entends répéter tout bas, tout en se laissant glisser sur un flanc, face à moi.
« Même pas avec des nanas ? » j’ai envie de savoir.
« Jamais de la vie ».
« T’as jamais été amoureux d’une meuf ? ».
« Non, jamais. Avec les meufs ce n’était que de la baise. Je ne voulais pas qu’elles s’attachent. Je passais de l’une à l’autre pour me sentir désiré, et pour pouvoir être le mec qui s’était tapé le plus de nanas du lycée ».
« Tu crois que t’aurais pu t’attacher à une meuf ? Je veux dire… après tout, tu aurais pu choisir une nana pour « réviser »… ».
« Je ne crois pas. Tu es la personne avec qui j’ai couché le plus de fois et le plus longtemps, et de loin. Jamais je n’ai fait l’amour à une nana 4-5 fois dans une nuit ».
« C’est vrai que t’es une machine de sexe ».
« Je le suis, avec toi ».
« Je te fais de l’effet, alors… ».
« Il faut croire ».
« Allez, dis-moi, qu’est-ce qui te plaît chez moi ? ».
« Arrête… ».
« Ce coup-ci tu ne vas pas m’avoir avec le sexe, je n’arrêterai pas jusqu’à ce que tu me dises ! » je lance sur un ton joyeux.
Mais le bobrun demeure silencieux.
« Allez, s’il te plait ! » j’insiste, tout en caressant les poils entre ses pecs. Décidemment, je ne m’en lasse pas.
« Ce que j’aime… » il finit par lâcher.
« Vas-y ! » je l’encourage.
« J’adore ta peau ».
« Ma peau ? ».
« Elle est douce » fait-il en caressant fugacement mon avant-bras.
« Et c’est tout ? ».
« Pffffff ».
« Allez !!! ».
« J’aime ça aussi (fait-il en se retournant vers moi, en m’enlaçant avec ses bras et en posant un bisou sur ma joue) et ça (il passe ses doigts dans mes cheveux) et ça (il léchouille mes oreilles) et ça (il frotte son nez contre ma mâchoire) et ça (il pose plusieurs bisous sur mes lèvres) et ça (il embrasse ma pomme d’Adam) et ça (il embrasse mes épaules) et ça… ça, alors, je kiffe un max ces petits trucs (il mordille mes tétons et je frissonne) et ça (il caresse mes pecs) et ça (il titille mon nombril avec le bout de sa langue). Et j’aime ça aussi (il enchaîne, en saisissant doucement ma queue). Alors, ça te convient comme réponse ? ».
« Ah oui, ça me convient tout à fait ! ».
« Et j’aime ça, putain, qu’est-ce que j’aime ça (il caresse mes fesses) ».
« Tu les aimes mes fesses, hein ? » je le cherche.
« J’adore ton petit cul… ».
« A ce point ? ».
« Ça fait longtemps que je le mate, ton petit cul ».
« Tu le kiffais déjà avant qu’il soit à toi ? ».
« Ton petit cul m’a donné envie de lui gicler dedans depuis le premier jour. Et dès qu’on commencé nos sauteries, alors, là… j’étais accroc ».
« C’est vrai ? ».
« Tu peux pas savoir comment j’ai eu envie de toi après ce premier après-midi » fait Jérém.
« Moi aussi j’avais envie de toi ».
« Tu m’as fait une pipe de fou » il continue.
« Tu m’as chauffé à blanc ».
« Quand tu as avalé mon jus, j’étais dingue ».
« Quand tu m’as ordonné d’avaler ton jus, j’étais dingue aussi ».
« Quand tu m’as léché la rondelle, là t’as marqué des points ».
« Je voulais te faire plaisir comme personne d’autre auparavant ».
« Et tu as réussi. Jamais on m’avait fait ça ».
« Jamais ? ».
« Non, jamais ».
« Tu en avais déjà eu envie ? ».
« Oui, mais je n’avais jamais osé demander. J’avais peur que les nanas se moquent ou qu’elles refusent. Et là, tu débarques et tu vas droit au but, pile dans mon fantasme, sans même besoin que je demande. J’arrivais pas à y croire ».
« Et ça a été bon ? ». »« Putain que oui. Je n’avais même pas imaginé que ça puisse être si bon ! ».
Nous nous échangeons des bisous en silence, la douce mélodie de nos caresses se mélange au crépitement du feu dans la cheminée.
« Tu sais, je me suis branlé des fois en pensant à toi » il me balance.
« Quand ça ? Après le début de nos révisions ? ».
« Oui, et même avant… ».
« Même avant ? ».
« Oui ».
« Avant, quand ? ».
« Je crois que la première fois c’est après l’anniversaire de Thomas ».
Je suis scié d’apprendre ça. Le plus beau mec du lycée qui se branlait en pensant à moi, pendant que je me branlais en pensant à lui. Quel gâchis ! Mais au fond, quelle chance aussi !
« Si tu savais le nombre de fois où je me suis branlé en pensant à toi. J’ai été tellement jaloux de voir que tu continuais à coucher avec des nanas alors que je crevais d’envie d’être avec toi ».
« Je suis désolé de t’avoir traité comme je l’ai fait » il lâche tout bas, en ajoutant des bisous à ses excuses sincères.
Je suis ravi de nos confessions sur l’oreiller. Pourtant, une question me brûle les lèvres. Il est des questions qu’il faut savoir poser lorsque le bon moment se présente, et le bon moment c’est quand on se sent le courage de le faire et que l’on sent l’autre réceptif. Il ne faut pas laisser passer ce moment précieux, car on ne sait pas s’il va se représenter un jour.
« Et tu pourras assumer tout ça, demain ? » je me lance.
« Je ne sais pas comment je vais gérer quand je serai à Paris ».
« Je ne te parle pas de le crier sur les toits, je te parle de l’assumer au moins « entre nous »… ».
Le bogoss relève son buste, me fixe droit dans les yeux, son regard est doux et charmant.
« Je suis bien avec toi ».
« Moi aussi je suis bien avec toi, je voudrais que ce week-end ne se termine jamais ».
« Moi non plus ».
Le bogoss me fait plein de bisous.
« Quand je pense comment tu m’as jeté les quelques fois où j’ai essayé de t’embrasser. Quitter ton studio sans le moindre geste de tendresse de ta part, c’était le plus dur ».
« Pour moi aussi c’était dur. Parce que moi aussi j’en avais envie. J’avais besoin de câlins autant que toi, mais je me faisais violence pour ne pas céder. Parce que je voyais ça comme une faiblesse. J’étais pas bien dans ma tête ».
« Je t’avais dit que c’était génial ».
« Et tu avais tellement raison ».
Je le prends dans mes bras et je lui fais des câlins et des bisous dans le cou.
« Ne me fais plus souffrir, Jérém ».
« Promis… ».
« Promis, promis ? ».
« Je m’endors… » fait-il, la voix pâteuse.
« Promis, promis ? » j’insiste.
« Oui… promis… promis… bonne nuit… » il lâche, alors que sa voix ralentit comme la musique d’un baladeur à cassettes dont les piles commencent à vaciller.
Jérém s’endort en premier dans mes bras. Je me laisse bercer par sa respiration apaisée, par les battements de son cœur, par le contact avec la douce chaleur de sa peau.
Et pourtant, je n’arrive pas à trouver le sommeil. Tant de choses se bousculent dans ma tête, tant de découvertes inattendues, tant de bonheurs.
Je repense à la balade à cheval, aux attitudes bienveillantes de Jérém à mon égard pendant cette journée, à sa façon de s’inquiéter de ma sécurité, à sa façon de m’apprendre les rudiments de l’équitation. Je repense à l’amour dans la nature. Je repense au petit « accident » lorsque Charlène nous a surpris dans le box, et à la façon dont ça a été désamorcé. Je repense à l’amour de cette nuit, à cette intense expérience sensuelle qui m’a rendu dingue. Et je repense, bien évidemment, à notre nouvelle discussion sur l’oreiller.
Je me suis souvent demandé ce que Jérém me trouvait, pourquoi il m’avait choisi moi pour ses révisions, pourquoi j’avais été l’élu de son lit avant de devenir, je l’espère, l’élu de son cœur. Désormais, je sais.
Je n’aurais jamais imaginé qu’il puisse me trouver attirant à ce point.
Je me sens bien dans son regard, et je me sens beau aussi. Je m’étais déjà senti attirant dans le regard de Stéphane et, dans des proportions différentes, dans celui de Martin, celui de Julien et dans celui de Thibault. Mais cette fois-ci, la sensation est puissance mille car je me sens beau dans le regard du gars que j’aime.
Mes yeux commencent à se fermer et je repense à tous ces cavaliers joyeux et bienveillants, et que je considère désormais comme des amis. Je suis bouleversé par ces rencontres avec des gens intelligents comme il en existe heureusement beaucoup et pour lesquels les gays ne posent aucun problème.
Saint Exupéry a écrit : il n'est qu’un luxe véritable, c’est celui des relations humaines. Le voilà à mon sens, le véritable essence de l’ABCR : des amis, avant même que des cavaliers. Autour d’une fondue ou en balade, l’ABCR c’est avant tout une histoire de rencontres et de partage de bons moments avec des gens aimants. L’ABCR ce sont des moqueries, des blagues, des rires, mais toujours dans une ambiance bon enfant. L’ABCR est un joyeux bordel, une famille d’amis.
Je suis heureux comme jamais, je suis comblé. Et pourtant, la petite voix qui me parle du coup de fil de Paris résonne toujours au loin.

Je ne sais pas quelle heure il est lorsque j’émerge de mon sommeil. Derrière les carreaux, il fait toujours noir. Le feu dans la cheminée a l’air d’avoir perdu pas mal de son panache. Jérém est toujours dans mes bras, nos corps entièrement nus sont toujours collés l’un contre l’autre, mon visage dans le creux de son cou, mon torse contre son dos, mon bassin à hauteur de ses reins.
Je ne suis qu’à moitié réveillé, mais je ressens une sensation tout aussi agréable qu’insolite monter dans mon bas ventre. Je ressens comme une excitation, comme un frisson.
Soudain, je réalise que je bande et que ma queue est calée entre les fesses de mon bobrun. Et aussi, que son bassin fait de petits mouvements qui provoquent ces frissons hyper excitants que je ressens dans mon gland.
Est-ce que Jérém est réveillé ? Je n’ose demander. Si oui, de quoi a-t-il envie ? Qu’est-ce qu’il attend de moi ? Je n’ose pas penser qu’il puisse avoir envie que… Non, c’est pas possible, il ne peut pas avoir envie de ça.
Pourtant, les petits mouvements se font de plus en plus appuyés. Jérém est bel et bien réveillé. Je l’entends cracher dans sa main, et venir enduire son entrejambe. Son bassin revient se caler contre ma queue. Je me laisse porter par mon excitation et j’entreprends de seconder ses mouvements. Je ne peux toujours pas croire ce qui est en train de se passer…A chaque frottement mon gland détecte le doux relief de sa rondelle. La pression de son bassin augmente un peu plus à chaque passage. Mon excitation grimpe elle aussi un peu plus à chaque passage. Jusqu’au moment où mon gland bute contre son trou. Je sens mon bobrun se crisper.
Une nouvelle fois son bassin s’éloigne, une nouvelle fois sa main vient enduire son entrejambe de salive. Jérém revient se coller contre moi, son trou capte direct mon gland, la pression de son bassin redevient insistante. Et là, j’ai l’impression que la résistance de sa rondelle est sur le point à céder, l’impression que je vais glisser en lui. Mon cœur fait un sprint vers des rythmes délirants. C’est une sensation tellement extrême que j’en ai comme le vertige. C’est ma première fois. J’ai peur et j’ai très envie en même temps. J’espère que Jérém sait ce qu’il fait et qu’il ne va pas se mettre en pétard plus tard !
Je commence à me préfigurer ma première sodomie en tant qu’actif, je commence vraiment à en avoir envie, lorsque son bassin s’éloigne avec un mouvement brusque. Jérém se cale sur le flanc, loin de moi. Dans le noir, je l’entends reprendre son souffle. Je suis presque certain qu’il a mal.
« Ça va ? » je lui demande tout bas.
« Ouaiss ».
Et je me retrouve là, avec ma trique d’enfer, abasourdi par ce qui a failli se passer. Et à m’imaginer toutes les conséquences de cela, sans avoir le cran de lui poser la moindre question.
Quelques minutes plus tard, je détecte un changement dans la respiration de mon bobrun qui m’annonce qu’il s’est rendormi. Je devrais essayer d’en faire de même.

Lorsque je me réveille à nouveau, de la lumière rentre déjà par les ouvertures de la petite maison. Mon bobrun est toujours au lit, allongé sur le dos, ses bras et ses pecs dépassent des draps, beau comme un dieu. L’odeur de sa peau nue m’enivre. Sa proximité me donne le tournis. Une envie violente s’empare de moi. L’envie de réveiller mon bobrun avec une bonne gâterie matinale, l’envie de le prendre en bouche et de retrouver le goût de son petit jus chaud de mec.
C’est une envie tellement violente que je ne peux pas m’y opposer. Alors, je me glisse sous les draps et je commence à caresser doucement la bête encore endormie.
« Nico… » je l’entends soupirer, la voix encore pâteuse.
Je le prends en bouche, je commence à le pomper et je sens sa queue grossir peu à peu.
« Tu fais quoi ? ».
« J’ai envie de te sucer ».
« T’es fou, toi ! ».
« Tu n’aimes pas ? ».
« Tu veux me tuer ».
« Non, juste te faire jouir ».
« Ce matin, c’est libre-service sans assistance » il lâche, en paraphrasant la réplique de Lola à Daniel du soir précèdent. Et alors que je recommence à le sucer, il laisse retomber lourdement son dos sur le matelas.
J’ai envie de rigoler, mais je suis avant tout rassuré que mon bobrun semble de bon poil et que ce qui vient de se passer un peu plus tôt dans la nuit n’a pas affecté notre harmonie. Mais de quoi avait-il réellement envie cette nuit ?
Je le pompe avec bonheur, je le pompe avec entrain. Assez vite, sa queue se tend à bloc. Quant à son jus, il ne tarde pas non plus à jaillir de son gland et à atterrir dans ma bouche. J’adore la puissance de ses jets, j’adore ce goût, cette odeur, ce témoignage chaud et dense de son plaisir de jeune mec, l’essence de sa bogossitude, de sa jeunesse, de sa puissance virile. Ce petit jus du matin est un cadeau qui met de bonne humeur pendant toute la journée.
« T’es fou, Nico ».
« C’est toi qui me rends dingue ».
« Allez, debout » fait le bogoss après un court instant de récupération « on a une balade à faire aujourd’hui ».

 Jérém&Nico, le Livre !
Jérém : qui est-il ce garçon?
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Après une longue gestation, le premier livre de Jérém&Nico est enfin imprimé et prêt à être expédié.
Ce livre reprend les 40 premiers épisodes de l'histoire, enrichis de nombreux passages piochés dans les épisodes plus récents, lorsque ces derniers s’intègrent aux premiers de façon intéressante.
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Fabien

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