03-Denis le barman du sauna
Récit érotique écrit par Alanbi008 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 20 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 8.5
- • L'ensemble des récits érotiques de Alanbi008 ont reçu un total de 168 162 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-06-2012 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
Cette histoire de sexe a été affichée 6 469 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
03-Denis le barman du sauna
Le minet du sauna…
Pour ma première expérience gay, je me suis rendu dans un sauna gay et ce jour-là
je fus accueilli par un beau p’tit mec en tee-shirt et short moulant qui ne m’avait
pas laissé indifférent et surtout qu’il m’avait fait savoir que je ne lui étais
plaisais. Mais je n’avais jamais vraiment osé aller plus loin avec lui, bien que
l’envie me tenaille depuis le premier jour. Les circonstances faisaient qu’il était de
service ou qu’il ne soit pas là. Quand il était de service, nous parlions souvent
ensemble au bar et il m’a avoué ouvertement que je lui plaisais, mais rien ne s’est
passé durant 4 ans.
Un jour j’ai eu le bonheur de le croiser en ville et il me propose de boire un
verre chez lui. L’occasion était trop belle pour refuser. 5 bonnes minutes de marche
durant lesquelles nous avons échangé des banalités et nous voilà devant un petit
immeuble bourgeois du vieux Lille. Je le suis jusqu’au 2ème étage pour arriver dans un
petit appartement très cosy que je trouvais à son image. Je m’installe dans le salon
et il me propose un café, il s’absente un instant le temps de préparer le café et il
réapparait nu comme un ver. « Mets-toi à l’aise je vais chercher le sucre et je suis à
toi ». Il ne m’a pas fallu longtemps pour me mettre à l’aise comme lui. Cette
situation m’excite au plus haut point. Mon érection est plus qu’évidente, il me
rejoint, nous sert un café et s’installe sur le petit fauteuil me faisant face.
« Toi, je t’ai repérer dès le premier jour ! », me dit-il. « Mais on n’a pas eu
l’occasion de se recroiser depuis ou sinon je bossais. ». Il m’interroge sur mes goût
sexuels, ce que j’attends d’un homme, toutes ces choses quoi. Toutes ces questions, le
voir se branler, m’excite beaucoup.
« Branles-toi pour moi » me dit-il. Il écarte ses cuisses et se caresse en me
regardant m’astiquer la queue. Nous regardons ainsi de longues minutes, appréciant le
spectacle que nous nous donnions respectivement. Il vient me rejoindre, s'agenouille
entre mes cuisses et me lèche le gland, puis aspire ma queue, la libère pour me
titiller le frein, la gobe de nouveau. Son petit manège à durer un bon moment. Je
m’avance sur le bord du canapé pour apprécier encore plus ses caresses et surtout
libérer ma rosette, qu’elle soit à sa disposition. Il faut dire que j’avais connu la
sodomie depuis peu et j’avais envie de réitérer l’expérience. « Il parait que tu
aimes te faire enculer ? ». Surpris je lui réponds que oui, « Mais comment sais-tu ça
? », « Tu sais tout ce sait au sauna et Patrice (mon initiateur et dépuceleur), c’est
mon ex, c’est lui qui me la dit ! ». Il écarte mes jambes les soulève et me dévore
littéralement le cul, faisant entrer et sortir sa langue. J’étais aux anges. Mon cœur
s’est mis à battre quand il a approché sa queue de ma rosette pour la frôler du bout
de sa pine. Il prend une capote dans la poche de son pantalon. Je suis excité et aussi
un peu paniqué. Je suis novice dans la pratique. Je le regarde dérouler ce capuchon de
latex et j’écarte au maximum les cuisses. Il pause mes jambes sur ses épaules,
relevant et dévoilant encore plus mon petit trou.
Il pose sa pine à l’entrée de ma grotte. Cette fois-ci c’est sûr il va me prendre.
Il recommence son petit jeu à me frôler avec son gland et petit à petit me pénètre
avec douceur. J’accepte centimètre par centimètre son pieu en moi, non sans aucun
mal. Il commence un long et doux va et vient et moi paradoxalement je ne bande pas,
mais je savoure cette pénétration que j’ai tant crainte et, qui finalement, est tout
simplement divine. Il m’a limé ainsi durant une bonne demi-heure, alternant entre des
pénétrations longues et douces et d’autres plus rapides et moins profondes. J’aime
quand il me pénètre et se penche sur moi pour m’embrasser plaquant sa queue bien au
fond et faisant rouler son bassin. Il se retire et me demande de le suivre. Les jambes
endolories par cette position et la rondelle encore toute dilatée par ses pénétrations
constantes.
Je le suis dans sa chambre où il me demande de me mettre en levrette sur son lit.
Je peux me voir dans cette position de chienne en chaleur dans le reflet du miroir de
l’armoire. Il vient se positionner et je vois cette tige qui disparait entre mes
fesses. Là, cette fois-ci le spectacle m’excite et je bande à nouveau. Ce tableau est
idyllique. Sa pine qui me pilonne et la mienne qui bat la mesure à chaque coup de
rein. Il s’active un peu plus dans mon cul et se retire pour se vider sur mon dos.
J’aime sentir se foutre qui coule sur moi. Je m’écroule les bras en croix sur son lit
le cul dilaté par ses assauts. Il s’allonge à côté de moi la queue encore poisseuse de
son sperme. Nous restons ainsi 5 minutes puis il se lève pour aller chercher une
serviette et m’essuyer le dos. Nous nous levons pour fumer une cigarette, j’ai les
jambes en coton mais le cul radieux. J’ai l’impression qu’il ne sait pas encore
refermer, je sens encore sa pine en moi. Un deuxième café au salon, une clop et nous
voilà tous les deux à nouveau face à face nu. Au bout d’un moment je lui demande s’il
aimerait que je le suce. Maintenant que je la connais dans le cul, j’aimerai la jauger
en bouche. Il se lève file vers la salle de bain pour lui faire un brin de toilette et
moi de mon côté je vais m’allonger sur son lit. Il me rejoint peu de temps après. Il
s’allonge près de moi et nous commençons à nous branler mutuellement. L’envie est trop
forte je la veux en bouche. Elle fait au moins 18 centimètres assez grosse, le gland
est bien ovale même assez large et sa queue se courbe vers le haut. Je la happe avec
gourmandise, je la pompe, je l’aspire, la fait rouler sous ma langue, la gobbe le plus
loin que je puisse. Marc n’y tiens plus et se replace pour me sucer aussi, nous voilà
à présent en 69. Je suis obligé de le refreiner à plusieurs reprises. Je sens son
doigt inquisiteur me fouiller l’anus et je l’imite dans la caresse. Très vite il
m’enfile une capote et s’allonge sur le dos les jambes relevées. Dans cette position
j’ai du mal à le pénétrer. Il glisse un coussin sous son bassin, pose ses mollets sur
mes épaules. Là, la pénétration devient plus aisée. Je le ramone avec fougue et
frénésie, heureusement le latex me coupe un peu les sensations sinon j’aurais déjà
jouis depuis longtemps. Il m’encourage de la voix, me disant qu’il est ma petite pute,
qu’il aime ma queue, tous ces mots, le spectacle de ma bite dans son p’tit cul je n’en
puis plus et je jouis sans retenu, lui de son côté se branle d’une main et me plaque
contre lui de l’autre, je suis complètement en lui, il gémit et crache son bonheur sur
le ventre. D’un doigt il recueille quelques gouttes de sa liqueur intime et me la
tends mais je la refuse et c’est lui qui la lèchera dans un large sourire. Petite
toilette rapide et nous voilà de nouveau au salon, heureux d’avoir concrétisé un
moment que nous attendions tous les deux.
C’est ainsi que j’ai pris ma deuxième bite dans le cul et enculé mon premier mec
point final de cet après-midi. D’autres belles queues ont pris le relais, d’autre cul
ont remplacé celui de Denis avec toujours autant de bonheur et à chaque fois un
plaisir immense de donner et prendre du plaisir…
Pour ma première expérience gay, je me suis rendu dans un sauna gay et ce jour-là
je fus accueilli par un beau p’tit mec en tee-shirt et short moulant qui ne m’avait
pas laissé indifférent et surtout qu’il m’avait fait savoir que je ne lui étais
plaisais. Mais je n’avais jamais vraiment osé aller plus loin avec lui, bien que
l’envie me tenaille depuis le premier jour. Les circonstances faisaient qu’il était de
service ou qu’il ne soit pas là. Quand il était de service, nous parlions souvent
ensemble au bar et il m’a avoué ouvertement que je lui plaisais, mais rien ne s’est
passé durant 4 ans.
Un jour j’ai eu le bonheur de le croiser en ville et il me propose de boire un
verre chez lui. L’occasion était trop belle pour refuser. 5 bonnes minutes de marche
durant lesquelles nous avons échangé des banalités et nous voilà devant un petit
immeuble bourgeois du vieux Lille. Je le suis jusqu’au 2ème étage pour arriver dans un
petit appartement très cosy que je trouvais à son image. Je m’installe dans le salon
et il me propose un café, il s’absente un instant le temps de préparer le café et il
réapparait nu comme un ver. « Mets-toi à l’aise je vais chercher le sucre et je suis à
toi ». Il ne m’a pas fallu longtemps pour me mettre à l’aise comme lui. Cette
situation m’excite au plus haut point. Mon érection est plus qu’évidente, il me
rejoint, nous sert un café et s’installe sur le petit fauteuil me faisant face.
« Toi, je t’ai repérer dès le premier jour ! », me dit-il. « Mais on n’a pas eu
l’occasion de se recroiser depuis ou sinon je bossais. ». Il m’interroge sur mes goût
sexuels, ce que j’attends d’un homme, toutes ces choses quoi. Toutes ces questions, le
voir se branler, m’excite beaucoup.
« Branles-toi pour moi » me dit-il. Il écarte ses cuisses et se caresse en me
regardant m’astiquer la queue. Nous regardons ainsi de longues minutes, appréciant le
spectacle que nous nous donnions respectivement. Il vient me rejoindre, s'agenouille
entre mes cuisses et me lèche le gland, puis aspire ma queue, la libère pour me
titiller le frein, la gobe de nouveau. Son petit manège à durer un bon moment. Je
m’avance sur le bord du canapé pour apprécier encore plus ses caresses et surtout
libérer ma rosette, qu’elle soit à sa disposition. Il faut dire que j’avais connu la
sodomie depuis peu et j’avais envie de réitérer l’expérience. « Il parait que tu
aimes te faire enculer ? ». Surpris je lui réponds que oui, « Mais comment sais-tu ça
? », « Tu sais tout ce sait au sauna et Patrice (mon initiateur et dépuceleur), c’est
mon ex, c’est lui qui me la dit ! ». Il écarte mes jambes les soulève et me dévore
littéralement le cul, faisant entrer et sortir sa langue. J’étais aux anges. Mon cœur
s’est mis à battre quand il a approché sa queue de ma rosette pour la frôler du bout
de sa pine. Il prend une capote dans la poche de son pantalon. Je suis excité et aussi
un peu paniqué. Je suis novice dans la pratique. Je le regarde dérouler ce capuchon de
latex et j’écarte au maximum les cuisses. Il pause mes jambes sur ses épaules,
relevant et dévoilant encore plus mon petit trou.
Il pose sa pine à l’entrée de ma grotte. Cette fois-ci c’est sûr il va me prendre.
Il recommence son petit jeu à me frôler avec son gland et petit à petit me pénètre
avec douceur. J’accepte centimètre par centimètre son pieu en moi, non sans aucun
mal. Il commence un long et doux va et vient et moi paradoxalement je ne bande pas,
mais je savoure cette pénétration que j’ai tant crainte et, qui finalement, est tout
simplement divine. Il m’a limé ainsi durant une bonne demi-heure, alternant entre des
pénétrations longues et douces et d’autres plus rapides et moins profondes. J’aime
quand il me pénètre et se penche sur moi pour m’embrasser plaquant sa queue bien au
fond et faisant rouler son bassin. Il se retire et me demande de le suivre. Les jambes
endolories par cette position et la rondelle encore toute dilatée par ses pénétrations
constantes.
Je le suis dans sa chambre où il me demande de me mettre en levrette sur son lit.
Je peux me voir dans cette position de chienne en chaleur dans le reflet du miroir de
l’armoire. Il vient se positionner et je vois cette tige qui disparait entre mes
fesses. Là, cette fois-ci le spectacle m’excite et je bande à nouveau. Ce tableau est
idyllique. Sa pine qui me pilonne et la mienne qui bat la mesure à chaque coup de
rein. Il s’active un peu plus dans mon cul et se retire pour se vider sur mon dos.
J’aime sentir se foutre qui coule sur moi. Je m’écroule les bras en croix sur son lit
le cul dilaté par ses assauts. Il s’allonge à côté de moi la queue encore poisseuse de
son sperme. Nous restons ainsi 5 minutes puis il se lève pour aller chercher une
serviette et m’essuyer le dos. Nous nous levons pour fumer une cigarette, j’ai les
jambes en coton mais le cul radieux. J’ai l’impression qu’il ne sait pas encore
refermer, je sens encore sa pine en moi. Un deuxième café au salon, une clop et nous
voilà tous les deux à nouveau face à face nu. Au bout d’un moment je lui demande s’il
aimerait que je le suce. Maintenant que je la connais dans le cul, j’aimerai la jauger
en bouche. Il se lève file vers la salle de bain pour lui faire un brin de toilette et
moi de mon côté je vais m’allonger sur son lit. Il me rejoint peu de temps après. Il
s’allonge près de moi et nous commençons à nous branler mutuellement. L’envie est trop
forte je la veux en bouche. Elle fait au moins 18 centimètres assez grosse, le gland
est bien ovale même assez large et sa queue se courbe vers le haut. Je la happe avec
gourmandise, je la pompe, je l’aspire, la fait rouler sous ma langue, la gobbe le plus
loin que je puisse. Marc n’y tiens plus et se replace pour me sucer aussi, nous voilà
à présent en 69. Je suis obligé de le refreiner à plusieurs reprises. Je sens son
doigt inquisiteur me fouiller l’anus et je l’imite dans la caresse. Très vite il
m’enfile une capote et s’allonge sur le dos les jambes relevées. Dans cette position
j’ai du mal à le pénétrer. Il glisse un coussin sous son bassin, pose ses mollets sur
mes épaules. Là, la pénétration devient plus aisée. Je le ramone avec fougue et
frénésie, heureusement le latex me coupe un peu les sensations sinon j’aurais déjà
jouis depuis longtemps. Il m’encourage de la voix, me disant qu’il est ma petite pute,
qu’il aime ma queue, tous ces mots, le spectacle de ma bite dans son p’tit cul je n’en
puis plus et je jouis sans retenu, lui de son côté se branle d’une main et me plaque
contre lui de l’autre, je suis complètement en lui, il gémit et crache son bonheur sur
le ventre. D’un doigt il recueille quelques gouttes de sa liqueur intime et me la
tends mais je la refuse et c’est lui qui la lèchera dans un large sourire. Petite
toilette rapide et nous voilà de nouveau au salon, heureux d’avoir concrétisé un
moment que nous attendions tous les deux.
C’est ainsi que j’ai pris ma deuxième bite dans le cul et enculé mon premier mec
point final de cet après-midi. D’autres belles queues ont pris le relais, d’autre cul
ont remplacé celui de Denis avec toujours autant de bonheur et à chaque fois un
plaisir immense de donner et prendre du plaisir…
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Alanbi008
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...