Couples liégeois 2/2
Récit érotique écrit par Alanbi008 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-07-2012 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Couples liégeois 2/2
On se rafraichit un peu et on redescend boire un verre au jardin. Nu nous apprécions ce moment de calme et de douceur. Marc comme toujours est le premier à se lever pour prépare le dîner, nous le suivons en cuisine pour l’aider cette fois-ci. Un petit repas frugal est organisé sur le pouce et on se retrouve à table au jardin.
Le moment est calme et reposant où l’on parle de choses et d’autres. Je regarde ce couple amoureux dont je partage un instant leur bonheur, quand assis face à la porte de la cuisine je vois deux messieurs en sortir. Complètement nu je suis pris de panique par cette intrusion, je sursaute presque sur ma chaise. Marc et Willem me regarde interloqué et je ne peux même pas répondre tellement je suis surpris et gêné par ma tenue tout comme celle de mes hôtes. Marc se retourne et reconnais un couple d’ami à qui il avait demandé de passé boire le café quelques jours plus tôt et dont il avait complètement oublié qu’il les avait invité. Nous ne les avions pas entendus frapper à la porte et comme à l’habitude quand personne ne répond, ils entrent. La surprise passée Marc se lève pas le moindrement gêné par sa nudité suivi de Willem. Moi je reste figé à ma place et ils me présentent leurs témoins de mariage. Je me lève un peu gêné par ma nudité et on se fait la bise.
Ils prennent une chaise et viennent nous rejoindre à table. Pietro et Lionel, 47 et 51 ans. Pietro est du style italien le teint bien mat, aussi grand que moi les cheveux bien brun et ondulé, une chemise largement ouverte sur un poitrail velu de poils noirs et fournis, vient s’assoir près de moi. Lionel pratiquement chauve, juste un collier de cheveux gris, dans les 1m80 une petite bedaine caché par une chemisette ample, s’intercale entre Pietro et Willem. Je tente de caché ma nudité en croisant les jambes. Marc fidèle à lui-même leur apporte des verres pour trinquer avec nous.
« Alors comme ça tu nous a oublié ! » S’esclaffe Lionel.
« Oui complétement, j’avais la tête ailleurs aujourd’hui ».
Et le voilà qui raconte comment nous nous sommes connu et le pourquoi de ma présence. Je suis pris entre la gêne et l’excitation, et je suis sûr que j’ai dû rougir. C’est presque si il ne donne pas des détails de nos joutes. Pietro qui porte un pantalon de lin léger laisse à présent apparaitre une bosse bien ronde. Moi de mon côté je ne bande pas (après toutes ces activités de la journée) mais je sens tout de même une pointe d’excitation dans le bas ventre, cette sensation qui vous chatouille à l’intérieur quand on est excité.
C’est là que j’ai appris que Marc, Willem et Lionel étaient collègue de travail, qu’ils sont amis depuis très longue date. Je sens bien qu’il ne sait jamais rien passé entre eux et qu’il ne se passera rien. On continue de discuter ainsi un long moment ensemble, certain nus d’autres habillés. Le froid de la nuit se faisant ressentir nous rentrons et j’en profite pour me rhabiller. Un café au salon les discutions se poursuive encore et il est déjà près de 23h. Il est temps pour moi de prendre congés il me reste de la route à faire.
Pour ne pas déranger Marc, Lionel me propose de le suivre pour me ramener sur ma route. Je prends donc congé de mes amis dans des baisés doux et chaud. Je remonte dans ma voiture, Willem m’ouvre la porte et m’envoie des baisés de la main. Lionel et Pietro m’attendent dans leur grosse berline allemande noire frappé de l’étoile. Moi à bord de ma pauvre petite voiture de 17 ans je les suis de près pour ne pas les perdre de vu. Je ne connais pas du tout Liège. A un feu, Lionel sort de la voiture et viens jusqu’à ma portière me proposer de prendre un dernier verre chez eux. Tout le monde sait ce que ça me dire de prendre un dernier verre. Certainement encore grisé par la journée de feu que je venais de passer, je lui dis oui sans vraiment réfléchir. Nous roulons ainsi cinq bonne minute dans les rues de Lièges pour arriver devant une résidence moderne et chic. Ils rentrent leur voiture dans le sous-sol et je les attends devant l’entrée. C’est Pietro qui vient m’ouvrir, Lionel est déjà dans l’ascenseur à nous attendre.
« Tu as bien le temps de boire une petite coupe avec nous ». Me dit Lionel.
« Oui, mais quelques chose sans alcool, je ne bois pas d’alcool. »
Nous voilà déjà devant la porte de l’appartement. Il est moderne et cossu. Pietro s’absente un instant et Lionel revient avec une bouteille de champagne et 3 flûtes.
« Tu vas bien boire une coupe avec nous, le champagne ce n’est pas de l’alcool »
Grisé par tous les événements qui me dépasse à présent je ne suis plus à sa près et j’accepte. Lionel nous verse le champagne et on s’installe dans des canapés immenses. En attendant le retour de Pietro, Lionel me questionne franchement sur ma journée passé avec ses amis. Je n’ai plus de retenue est j’évoque tous nos ébats sans omettre les détails. Vu mon ouverture d’esprit, il y va aussi franchement et me dit que l’idée leur à germée dans la voiture de se faire un trio avec moi. Chose qu’il n’avait fait jusqu’à présent. Après une journée comme la mienne, disons que cela finira le tout en beauté et bien sûr j’accepte. Mais je le préviens que je ne pourrais certainement pas bander mais mes fesses et ma bouche sont à leurs dispositions.
« Tu veux peut-être prendre une petite douche avant ? » Me dit-il
« Bien volontiers ! » Et je le suis jusqu’à une petite douche.
Après dix minutes, je reviens nu mes affaires à la main. Pourquoi se rhabiller je sais que mes hôtes ont d’autres envies que de partager une coupe de champagne. Au salon Pietro et Lionel sont là en peignoir se caressant mutuellement. Je jette mes vêtements sur un des canapés. Et je viens m’agenouiller entre les deux. Puisque je suis là pour ça, allons-y gaiement ! Pietro à une queue bien brune courte et trapue, le gland épaté, des poils pubiens très frisés presque crépus, des couilles assez grosses et rondes. Lionel l’a un peu plus long, pour ainsi dire comme la mienne. Un gland assez petit sur une hampe qui s’évase un peu, un pubis plus clairsemé châtain avec quelques poils gris et des couilles plus petites et pendantes. D’une main je branle Lionel et je pompe Pietro. Vu la longueur de sa queue je peux pour une fois jouer les gorges profondes. J’arrive à prendre en bouche toute sa pine jusqu’aux couilles. Mes deux tourtereaux s’embrassent à pleine bouche pendant que je vais de l’un à l’autre. Tout en pompant Pietro, j’arrive à attraper une capote sur la table de salon, je lui enfile. Là je crois que le message est clair. Je me mets en position de levrette sur le tapis du salon et je me badigeonne le cul de salive. Il n’est pas besoin de préparation. Vu le traitement que j’ai fait subir aujourd’hui à mon p’tit cul. Il s’ouvre tout seul sans forcer sous la poussé de Pietro. Certainement excité, Pietro me lime le cul avec frénésie, faisant claquer mes fesses sur son ventre. J’avoue que là je n’avais pas beaucoup de plaisir sous ses coups de boutoir. Je prenais plus de plaisir à pomper son mec. Pietro s’arrête et demande à son homme s’il veut prendre sa place. Je ne regrette pas le changement. Lionel est plus doux dans ses pénétrations, elles sont variées, tantôt douce et longue, tantôt plus courtes et un peu plus rapide. Là je le sens vraiment, il ne me baise pas mais me fait l’amour. Je pompe Pietro, il est à la limite de tout lâcher. Je ralenti ma bouche et je prends le relais avec ma main. Il veut jouir en moi, Il reprend une capote et reviens en lieu et place de Lionel. Là un changement c’est opéré, il est plus doux et plus câlins. Putain ! Ce mec me fait bander à présent. Je gémis de plus en plus. Lionel c’est allongé devant moi, sa queue à portée de bouche. Je le dévore avec passion et enthousiasme. Pietro qui à présent m’excite vraiment dans un long râle s’épanche en moi. Il continu encore va et vient et se retire lentement. Mon cul à présent libre de nouveau, je demande une capote à Pietro qui vient la mettre lui-même à son mec. Le temps qu’il soit prêt je me redresse et je me branle le fixant bien dans les yeux. Sa queue dressée et luisante par le latex n’attend plus que moi. A califourchon je viens m’empaler sur sa colonne. Je reste droit et j’entreprends de longs va et vient de manière langoureusement. Cette position est divine car elle sollicite bien ma prostate et je sens le plaisir monté en moi. Pietro qui s’était placé derrière moi me branle avec une douceur ce qui amplifie mon plaisir. Je supplie Lionel de jouir car je ne vais pas tarder. Il accélère un peu plus et dans la même seconde nous jouissons ensemble. Ma crème s’étale sur son ventre, dans une jouissance ravageuse et la douleur d’une bite endolorie par trop de jouissance pour une même journée et lui remplit sa capote en moi. La main empoissée par mon jus, Pietro me couvre le dos de doux baisés et moi je gratifie mon enculeur du moment d’un long et tendre baisé. Toilette intime, rhabillage cette fois-ci définitif, mon marathon du sexe se termine enfin
Bientôt une heure trente du matin, il faut vraiment que je parte maintenant. Lionel m’explique que la route que je dois prendre est juste au bout de sa rue. Un dernier café, gros patins à mes deux enculeurs bonus et je rentre comblé et satisfait…..
Voilà comment d’un dialogue sympa puis plus hot, on se retrouve dans une aventure quasi impossible quand on y réfléchi bien, mais pourtant bien réel, mon petit cul s’en souvient encore …
Le lendemain deux SMS de mes deux couples, me remerciant et m’invitant à retourner les voir quand bon me semble. Jusqu’à aujourd’hui je n’y suis pas retourné mais l’idée me trotte toujours dans la tête.
Le moment est calme et reposant où l’on parle de choses et d’autres. Je regarde ce couple amoureux dont je partage un instant leur bonheur, quand assis face à la porte de la cuisine je vois deux messieurs en sortir. Complètement nu je suis pris de panique par cette intrusion, je sursaute presque sur ma chaise. Marc et Willem me regarde interloqué et je ne peux même pas répondre tellement je suis surpris et gêné par ma tenue tout comme celle de mes hôtes. Marc se retourne et reconnais un couple d’ami à qui il avait demandé de passé boire le café quelques jours plus tôt et dont il avait complètement oublié qu’il les avait invité. Nous ne les avions pas entendus frapper à la porte et comme à l’habitude quand personne ne répond, ils entrent. La surprise passée Marc se lève pas le moindrement gêné par sa nudité suivi de Willem. Moi je reste figé à ma place et ils me présentent leurs témoins de mariage. Je me lève un peu gêné par ma nudité et on se fait la bise.
Ils prennent une chaise et viennent nous rejoindre à table. Pietro et Lionel, 47 et 51 ans. Pietro est du style italien le teint bien mat, aussi grand que moi les cheveux bien brun et ondulé, une chemise largement ouverte sur un poitrail velu de poils noirs et fournis, vient s’assoir près de moi. Lionel pratiquement chauve, juste un collier de cheveux gris, dans les 1m80 une petite bedaine caché par une chemisette ample, s’intercale entre Pietro et Willem. Je tente de caché ma nudité en croisant les jambes. Marc fidèle à lui-même leur apporte des verres pour trinquer avec nous.
« Alors comme ça tu nous a oublié ! » S’esclaffe Lionel.
« Oui complétement, j’avais la tête ailleurs aujourd’hui ».
Et le voilà qui raconte comment nous nous sommes connu et le pourquoi de ma présence. Je suis pris entre la gêne et l’excitation, et je suis sûr que j’ai dû rougir. C’est presque si il ne donne pas des détails de nos joutes. Pietro qui porte un pantalon de lin léger laisse à présent apparaitre une bosse bien ronde. Moi de mon côté je ne bande pas (après toutes ces activités de la journée) mais je sens tout de même une pointe d’excitation dans le bas ventre, cette sensation qui vous chatouille à l’intérieur quand on est excité.
C’est là que j’ai appris que Marc, Willem et Lionel étaient collègue de travail, qu’ils sont amis depuis très longue date. Je sens bien qu’il ne sait jamais rien passé entre eux et qu’il ne se passera rien. On continue de discuter ainsi un long moment ensemble, certain nus d’autres habillés. Le froid de la nuit se faisant ressentir nous rentrons et j’en profite pour me rhabiller. Un café au salon les discutions se poursuive encore et il est déjà près de 23h. Il est temps pour moi de prendre congés il me reste de la route à faire.
Pour ne pas déranger Marc, Lionel me propose de le suivre pour me ramener sur ma route. Je prends donc congé de mes amis dans des baisés doux et chaud. Je remonte dans ma voiture, Willem m’ouvre la porte et m’envoie des baisés de la main. Lionel et Pietro m’attendent dans leur grosse berline allemande noire frappé de l’étoile. Moi à bord de ma pauvre petite voiture de 17 ans je les suis de près pour ne pas les perdre de vu. Je ne connais pas du tout Liège. A un feu, Lionel sort de la voiture et viens jusqu’à ma portière me proposer de prendre un dernier verre chez eux. Tout le monde sait ce que ça me dire de prendre un dernier verre. Certainement encore grisé par la journée de feu que je venais de passer, je lui dis oui sans vraiment réfléchir. Nous roulons ainsi cinq bonne minute dans les rues de Lièges pour arriver devant une résidence moderne et chic. Ils rentrent leur voiture dans le sous-sol et je les attends devant l’entrée. C’est Pietro qui vient m’ouvrir, Lionel est déjà dans l’ascenseur à nous attendre.
« Tu as bien le temps de boire une petite coupe avec nous ». Me dit Lionel.
« Oui, mais quelques chose sans alcool, je ne bois pas d’alcool. »
Nous voilà déjà devant la porte de l’appartement. Il est moderne et cossu. Pietro s’absente un instant et Lionel revient avec une bouteille de champagne et 3 flûtes.
« Tu vas bien boire une coupe avec nous, le champagne ce n’est pas de l’alcool »
Grisé par tous les événements qui me dépasse à présent je ne suis plus à sa près et j’accepte. Lionel nous verse le champagne et on s’installe dans des canapés immenses. En attendant le retour de Pietro, Lionel me questionne franchement sur ma journée passé avec ses amis. Je n’ai plus de retenue est j’évoque tous nos ébats sans omettre les détails. Vu mon ouverture d’esprit, il y va aussi franchement et me dit que l’idée leur à germée dans la voiture de se faire un trio avec moi. Chose qu’il n’avait fait jusqu’à présent. Après une journée comme la mienne, disons que cela finira le tout en beauté et bien sûr j’accepte. Mais je le préviens que je ne pourrais certainement pas bander mais mes fesses et ma bouche sont à leurs dispositions.
« Tu veux peut-être prendre une petite douche avant ? » Me dit-il
« Bien volontiers ! » Et je le suis jusqu’à une petite douche.
Après dix minutes, je reviens nu mes affaires à la main. Pourquoi se rhabiller je sais que mes hôtes ont d’autres envies que de partager une coupe de champagne. Au salon Pietro et Lionel sont là en peignoir se caressant mutuellement. Je jette mes vêtements sur un des canapés. Et je viens m’agenouiller entre les deux. Puisque je suis là pour ça, allons-y gaiement ! Pietro à une queue bien brune courte et trapue, le gland épaté, des poils pubiens très frisés presque crépus, des couilles assez grosses et rondes. Lionel l’a un peu plus long, pour ainsi dire comme la mienne. Un gland assez petit sur une hampe qui s’évase un peu, un pubis plus clairsemé châtain avec quelques poils gris et des couilles plus petites et pendantes. D’une main je branle Lionel et je pompe Pietro. Vu la longueur de sa queue je peux pour une fois jouer les gorges profondes. J’arrive à prendre en bouche toute sa pine jusqu’aux couilles. Mes deux tourtereaux s’embrassent à pleine bouche pendant que je vais de l’un à l’autre. Tout en pompant Pietro, j’arrive à attraper une capote sur la table de salon, je lui enfile. Là je crois que le message est clair. Je me mets en position de levrette sur le tapis du salon et je me badigeonne le cul de salive. Il n’est pas besoin de préparation. Vu le traitement que j’ai fait subir aujourd’hui à mon p’tit cul. Il s’ouvre tout seul sans forcer sous la poussé de Pietro. Certainement excité, Pietro me lime le cul avec frénésie, faisant claquer mes fesses sur son ventre. J’avoue que là je n’avais pas beaucoup de plaisir sous ses coups de boutoir. Je prenais plus de plaisir à pomper son mec. Pietro s’arrête et demande à son homme s’il veut prendre sa place. Je ne regrette pas le changement. Lionel est plus doux dans ses pénétrations, elles sont variées, tantôt douce et longue, tantôt plus courtes et un peu plus rapide. Là je le sens vraiment, il ne me baise pas mais me fait l’amour. Je pompe Pietro, il est à la limite de tout lâcher. Je ralenti ma bouche et je prends le relais avec ma main. Il veut jouir en moi, Il reprend une capote et reviens en lieu et place de Lionel. Là un changement c’est opéré, il est plus doux et plus câlins. Putain ! Ce mec me fait bander à présent. Je gémis de plus en plus. Lionel c’est allongé devant moi, sa queue à portée de bouche. Je le dévore avec passion et enthousiasme. Pietro qui à présent m’excite vraiment dans un long râle s’épanche en moi. Il continu encore va et vient et se retire lentement. Mon cul à présent libre de nouveau, je demande une capote à Pietro qui vient la mettre lui-même à son mec. Le temps qu’il soit prêt je me redresse et je me branle le fixant bien dans les yeux. Sa queue dressée et luisante par le latex n’attend plus que moi. A califourchon je viens m’empaler sur sa colonne. Je reste droit et j’entreprends de longs va et vient de manière langoureusement. Cette position est divine car elle sollicite bien ma prostate et je sens le plaisir monté en moi. Pietro qui s’était placé derrière moi me branle avec une douceur ce qui amplifie mon plaisir. Je supplie Lionel de jouir car je ne vais pas tarder. Il accélère un peu plus et dans la même seconde nous jouissons ensemble. Ma crème s’étale sur son ventre, dans une jouissance ravageuse et la douleur d’une bite endolorie par trop de jouissance pour une même journée et lui remplit sa capote en moi. La main empoissée par mon jus, Pietro me couvre le dos de doux baisés et moi je gratifie mon enculeur du moment d’un long et tendre baisé. Toilette intime, rhabillage cette fois-ci définitif, mon marathon du sexe se termine enfin
Bientôt une heure trente du matin, il faut vraiment que je parte maintenant. Lionel m’explique que la route que je dois prendre est juste au bout de sa rue. Un dernier café, gros patins à mes deux enculeurs bonus et je rentre comblé et satisfait…..
Voilà comment d’un dialogue sympa puis plus hot, on se retrouve dans une aventure quasi impossible quand on y réfléchi bien, mais pourtant bien réel, mon petit cul s’en souvient encore …
Le lendemain deux SMS de mes deux couples, me remerciant et m’invitant à retourner les voir quand bon me semble. Jusqu’à aujourd’hui je n’y suis pas retourné mais l’idée me trotte toujours dans la tête.
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