04-Rencontre improbable et pourtant - histoire érotique

Menuisier poseur de métier, mon job consiste à installer des fenêtres, des portes, des
volets roulants et autres portes de garage chez les particuliers,
Un matin à 8h je sonne chez mon client du jour et il m'ouvre en peignoir de bain
encore tout mouillé et me dit « Je ne vous attendez pas avant 9h j'étais encore sous
la douche.»
Je m'excuse et lui demande s’il veut que je repasse plus tard? Il me dit non puisque
vous êtes là vous n'allez pas repartir me dit-il. « Laissez-moi juste le temps de
passer quelques chose de convenable et je vous montre les travaux à faire ». Il se
retourne pour me précéder et au même moment son peignoir s'ouvre découvrant une belle
queue rasée en semi-érection, entourée de deux belles cuisses musclées et ferme,
bronzées et recouvertes d'une toison de soie. La vision de cette queue me donne une
érection foudroyante je suis presque gêné par la bosse qui déforme mon pantalon. Nous
montons des escaliers et je n'ose le regarder dandinant son petit cul devant moi. Nous
rentrons dans son bureau et là il me montre la fenêtre et le volet à changer. En
voulant me montrer que son volet a du mal à fonctionner son peignoir s'ouvre
franchement sur cette magnifique bite plus qu'en semi-érection. Il tente de refermer
prestement son peignoir et là je m'entends lui dire "Mais pourquoi le refermer c'est
tellement beau à voir ". J'ai tout de suite rougi me rendant compte de ce que je
venais de dire.
A ces mots il ouvre complètement le pan de son peignoir et me dit: « Veux-tu y
goutter? »Absorbé et excité par la beauté de cette queue toute gonflée d'envie, je ne
me suis pas fait prier et je me suis agenouillé pour la gober. Tout en le suçant je
sors ma queue du bleu de travail compressée dans son string. Une fois sortie il me
dit:" Putain la tienne aussi est très belle"
Je me relève lui roule un patin et lui demande où est sa chambre? Il me prend par la
main et nous prenons la direction de la pièce voisine. Là il jette son peignoir à
terre et s'allonge sur son lit. Moi je me déshabillé lentement et le fixe du regard.
La situation est très excitante, lui qui se branle en matant ma queue et moi qui n'est
qu'une envie « Sucer SA QUEUE!!! » Je m'allonge sur lui, et je place bien ma queue
contre la sienne, la sensation douce et chaude de son membre contre le mien m'excite
encore plus et je me mets à me frotter contre lui tout en lui dévorant la bouche. Il
me retourne et commence une pipe d'enfer allant et venant dans un rythme régulier et
appuyé, me léchant le frein ou enroulant sa langue autour de mon gland, un véritable
expert. Mon attention est attirée par le pot de gel est les capotes sur sa table de
nuit!!!! Je lui demande s'il est bi ou gay et dans un grand sourire il me dit « Je
suis gay et ce que tu vois là c'est pour nous!! » Cela amplifie encore plus mon
excitation et la situation est trop bonne pour ne pas en profiter.
Il replonge ces lèvres vers ma queue puis me lèche les couilles et enfin il finit par
un pétale de rose magique, même avec la plus grande des volontés je n'ai pu contenir
mon œillet qui se dilatait de plus en plus, je le sens battre de désir. Je devenais
fou de plaisir et dans le miroir de son armoire je voyais sa queue décalottée d'où
jaillissait ce magnifique gland luisant tellement l'excitation lui tendait la peau. Je
la veux dans mes entrailles. Au bout d'un moment il me dit : « Je crois que tu es prêt
». Il se relève prend le pot de gel légèrement mentholé, me relève les cuisses
jusqu'aux oreilles et me badigeonne l'anus et les couilles. Au début on a une
sensation de frais puis très vite une chaleur qui envahit mon p'tit cul et mes
couilles, que j'ai toujours rasées tout comme le reste d'ailleurs. Je n'ai qu'une envi
qu'il me prenne là tout de suite et je me mets à quatre pattes tel une chienne en
chaleur en cambrant au maximum mon cul. Mais à grand mon étonnement il vient
s'allonger à côté de moi et m'invite à m'empaler sur lui. Cette belle queue toute
habillé de rose m'électrise et je viens, millimètre par millimètre, m'empaler sur
cette colonne qui me parait interminable. Ma queue est dure comme du roc et je voulais
me caresser en même temps, mais il m'a retenu et je n'ai pas regretté.
C'était la première fois que j'éjaculais sans me toucher, rien que par ses va et viens
avec un léger roulis de son bassin j'ai décollé comme jamais. Je jouissais du cul pour
la première fois. Mon foutre a jailli en puissantes saccades. Les deux premiers jets
ont dépassé sa tête puis les suivants ont atterri sur son torse clairsemé et
grisonnant. Je m'écroule sur lui mais lui n'ayant pas encore abouti, il reprend ces
va-et-vient et me pilonne littéralement. Je l'encourage de la voix et vais à la
rencontre de ces couilles pour qu'il me pénètre encore plus fort. Je sens bientôt sa
queue se raidir et exploser. La capote retenant ces jets je n'ai pu réellement
ressentir la puissance de son explosion volcanique, mais vu la quantité de foutre
qu'elle retenait ça dû être puissant.
Il est déjà 9 heures et mon travail n'a toujours pas commencé. Je lui dis « C'est bien
tout ça mais le boulot va pas se faire tout seul ». Il me dit « T'inquiète c'est pas
pressé!!! », »Je le ferais moi même! ». Là je suis vraiment interloqué et il me
sourit. Il commence à me raconter que notre rencontre n'était pas fortuite mais bien
provoqué. Trois mois au paravent j'avais travaillé près de chez lui chez un voisin et
il m'avait remarqué. Le soir même il va sur un site gay et par hasard me reconnaît. Il
n'osait y crois « Ce mec est bi!?!?!? ». Le lendemain pour en être vraiment sur il a
pris sa journée et m'a épié toute la journée. Il n'y avait plus de doute c'est bien
moi qu'il a vu sur le site. Il a relevé les coordonnés de l'entreprise où je travaille
pour se faire établir un devis. Un de nos commerciaux est passé et il a demandé que ce
soit moi qui fasse les travaux chez lui prétextant que son voisin était très satisfait
de mon travail et qu'il ne voulait pas prendre de risque avec un autre ouvrier. Mais
ça ne s’est pas arrêté là, il m'a contacté sur le dit site mais comme il n'y avait pas
de photo de lui je ne lui répondais pas jusqu'au jour où il m'envoie une photo de sa
queue qui m'a fait craquer. J'ai essayé de prendre rendez-vous avec lui mais c'était
toujours très compliqué bref il avait ferré le poisson et il attendait le jour J.
Il m'a avoué s'être levé ce jour-là à 5 heures du matin pour que tout soit au top
pour ne pas rater son « guet-apens ». Il m'avoua aussi s'être rasé le matin même car
il connaissait mon penchant pour les belles queues bien rasées. Il fallait que rien ne
lui échappe. D'où le titre "Rencontre improbable et pourtant"
Donc rassuré pour mes travaux je me dis "La journée va être radieuse". On se lève, il
m'essuie consciencieusement et moi j'en fais de même avec sa queue.
Il me propose de rester toute la journée sans se rhabiller, chose que j'accepte
évidemment. J'adore voir cet homme déambuler nu devant moi, il m'excite avec ce corps
bronzé et musclé et surtout cette bite circoncise, la hampe et les couilles rasées sur
une toison entretenue. Un bon café, quelques tartines que l'on prend au salon où trône
deux DVD gay sur la table. C'est alors que je lui lance « Tu avais tout prévu. » avec
la mine radieuse d'un bon plaisantin « Oui ! J'avais tout prévu, mais tu as été plus
rapide que moi » Je lui propose donc de m'en projeter un. Il me dit oui mais à une
condition de se branler mutuellement en le regardant jusqu'à la fin sans se faire
jouir. J'adore les jeux et je lui dis "Banco!!!". Dieu que ce fut dur de résister à ne
pas le sucer. Il avait le don de me mettre au bord de l'éjaculation et de s'arrêter
juste à temps mais bon nous avons tenu jusqu'au bout. Il me propose de passer sous la
douche pendant qu'il prépare le déjeuner. Je me lève lui dépose un tendre baiser sur
ces lèvres et je file me doucher. Je reviens un quart d'heure plus tard nu comme un
ver. La table était déjà dressé et il apportait le repas Nous avons bien déjeuné,
entièrement nu, et pendant le repas nous avons parlé de nos fantasmes. Je lui parlais
des miens et lui de ceux qu'il avait réalisé.
Cette discutions nous a remis en forme, nous retournons donc dans sa chambre.
Nous nous sommes glissés sous la couette pour un pur moment de tendresse où deux êtres
se font l'amour avec la douceur et la tendresse de deux amants complices et amoureux.
Nous nous sommes embrassés, caressés, léchés, sucés dans une ambiance électrique. Je
crois bien que c'était la première fois que je passais autant de temps sans débander.
Puis j'ai eu envie de lui rendre le plaisir qu'il m'avait donné le matin. « André j'ai
envie de te prendre » lui dis-je.
Il se retourne vers sa table de nuit prend un préservatif le glisse dans sa bouche et
me le déroule sur la queue à l'aide de ses lèvres, c'était une première pour moi j'ai
même faillis exploser à ce moment-là.
Il a pris une bonne dose de gel sur le bout des doigts pour se badigeonner largement
la rondelle puis c'est mis à 4 pattes. Je possédais enfin mon amant. Je pris la mesure
de son antre. J'ai alternais entre des mouvements de bassin amples et lents avec des
petits coups rapides et bien profonds. Lui caressant le dos ou au contraire lui
agrippant les hanches pour le plaquer encore plus contre moi, sentant mes couilles
claquer contre ces fesses, lui empoignant la bite pour le branler jusqu'à la limite,
faisant ressortir ma queue pour l'enfourner aussitôt. Quelques fois je ressortais mon
vit pour voir cette corole dilatée, à l'intérieur rose et luisant pour y replonger
lentement jusqu'à la garde.
Ce fut divin il a fallu que je me retire 4 à 5 fois pour ne pas exploser. Quand il fut
au bord de l'explosion je me suis retiré, il se mit à genoux et me faisant face, nous
nous sommes branlés jusqu'à jouir en même temps l'un sur l'autre. J'ai sentis ces
longs jets éclabousser mon ventre et ma queue et lui reçut les miens. Nous nous sommes
rapprochés pour nous embrasser d'un baisé long et fougueux alors que nos queues se
frottaient dans ce mélange de jus chaud et gluant




Repus de sexe nous nous sommes affalés sur le lit l'un sur l'autre en continuant à
nous embrasser.
Puis nous sommes passés à la douche tous les deux, où nous nous sommes savonnés
mutuellement comme deux amants heureux et complices.
Nous nous sommes recouchés dans les bras l'un de l'autre, tout en se caressant la peau
sans dire un mot et nous nous sommes endormis serrés l'un contre l'autre.
Je fus réveillé par une langue inquisitrice qui me fouillait la raie des fesses (je
dors souvent sur le ventre) mon amant du jour était à califourchon sur moi et me
léchait l'entre-fesse écartant mes globes pour tenter d'atteindre mon œillet. J'ai
voulu écarter les cuisses pour lui faciliter le passage mais j'étais bloqué par les
siennes. Voyant que je me réveillais il est venu s'allonger sur moi et j'ai sentis sa
queue se poser sur mes fesses et je lui dis « Mais tu es infatigable » Il me dit « Il
est 16 heure et dans une heure tu dois partir comme si tu avais fait ta journée de
travail, alors je veux encore profiter de toi durant cette dernière heure »

Le traitement de ces baisés sur mon cou mon dos ont eu raison de moi et me revoilà en
pleine vigueur.
La queue me fait mal tellement j'ai bandé de toute la journée et se traitement
supplémentaire en rajoutait un peu plus. Je me retourne; lui toujours à califourchon
sur moi, Je plaque mes mains sur ces fesses pour l'attirer vers ma bouche. Il est
déséquilibré et se rattrape les deux mains à la tête du lit. Sa queue vaillante
vibrant à chaque battement de son cœur est à porter de mes lèvres que j'ouvre pour
qu'il la dépose sur ma langue. Je referme très vite les lèvres pour le gober
goulument. Puis de fil en aiguille nous nous sommes retrouvés en 69 positionné sur le
côté pour se pomper mutuellement. Sa langue sur ma rosette a encore une fois eu raison
de ma volonté et ces coups de langue on fait exploser mes dernières résistances. Je me
retourne et je lui demande « Tu veux me prendre?!!! »
Sans un mot il prend une capote et j'ai compris. Je me suis mis sur le ventre j'ai
largement écarté les cuisses et j'ai senti ce gel sur mon cul puis la pression de sa
queue sur moi. Il n'arrivait pas à me pénétrer, il a alors glissé les deux oreillers
sous mon bassin me cambrant bien les reins et lui offrant ainsi un peu plus mon cul.
Là sa bite est rentrée doucement lentement comme j'aime.
Une fois bien au fond je lui dis « Restes comme ça bien au fond » Il a posé ses mains
de chaque côté et d'un coup de rein s'est plaqué contre moi pour me la mettre le
plus loin possible. Une fois dans cette position j'ai commencé un roulis avec mon cul
ce qui me permettais de me branler en même temps sur les oreillers.
Et ce fut ainsi jusqu'à ce que je sente sa queue se gonfler encore plus et tressauté
dans mon cul. Il venait de jouir dans sa capote, ce fut divin de ressentir cela encore
une fois.
D'une main je l'ai plaqué contre moi et je lui dis « Tu n'en ressortiras que lorsque
tu auras débandé ». Il s'allonge alors sur moi, je sens son souffle rapide dans mon
cou. Il passe ses mains sous mon ventre et part à la rencontre de ma verge endolorie
par tant de pression jamais autant accumulé dans une journée. Je l'ai stoppé, il a
alors laissé ses mains autour sans rien faire. Moi je lui caressais les fesses
Et c'est ainsi que j'ai senti sa si belle queue s'amoindrir pour en ressortir la
capote pleine de son plaisir
Une dernière douche, des baisés à n'en plus finir et des mains baladeuses et pour
clore cette journée un long baisé sur le pas de la porte. Moi revêtu de mon bleu de
travail et lui en peignoir comme neuf heures auparavant. Je sors mon string de ma
poche pour le glisser dans celle de son peignoir. Je remonte dans ma camionnette et je
le vois à la fenêtre de sa chambre léchant l'entrecuisse de mon string. Le coquin!!