23 cm dans le fion
Récit érotique écrit par Avalefoutre [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-07-2012 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Couleur du fond :
23 cm dans le fion
Je navigue souvent sur le net, et j’adore converser dans les sites de rencontres, même si la plupart des connectés fantasment et ne vont pas jusqu’au bout. Un jour alors que j’étais connecté sur un de ces sites, un pseudo attire mon attention : 23 cm. Curieux de nature, je clique pour consulter la fiche. C’est homme de 25 ans (j’avais 29). Il est d’Alger, et cherchais femme ou couple. Ne perdant pas espoir, je lui envoie un message. Je n’avais rien à perdre. Au bout d’une dizaine de minutes, je reçois une réponse. Il me demandait si j’étais en couple. Je réponds franchement : « Non, je suis gay, ce qui m’a poussé à t’écrire, c’est ton pseudo… » On échange des propos durant une bonne demi-heure. Mais rien n’est conclu. Le manège dure quelques jours, il m’avoue que les mecs ce n’est pas son rayon, mais comme il est en chaleur, il n’est pas contre une pipe. Je me suis dit que je n’avais rien à perdre. Pourquoi ne pas le rencontrer. S’il me plait je le suce, s’il ne me plait pas je le suce aussi. C’est n’est pas tous les jours qu’on peut se mettre sous les dents 23 cm.
Rendez-vous pris. Un ami me passe son studio pour l’occasion. On se rencontre. Il est quelconque ni beau, ni moche. Il me suit jusqu’au 6e étage. Une fois à l’intérieur, et sans préliminaire, il baisse son pantalon. Il porte un caleçon en coton blanc. Il n’est pas encore en érection, mais ce que mes yeux voient, promet d’être un bon morceau. Je me mets à genoux sur le lit, je l’attire vers moi, et je baisse ce qu’il lui reste comme vêtement. Il est là, debout, rigide, les bras ballants. J’approche mon visage de son bas-ventre. Une odeur de savon s’en dégage (heureusement). Je tiens sa bitte entre mes doigts. Douce, longe, un gland violacé. J’approche ma bouche et du bout des lèvres je dépose un baiser. J’en profite pour lécher un peu le gland, le titiller avant de lécher toute la verge. Je remonte, je la sens réagir. Je décide à ce moment-là de la mettre dans ma bouche et j’entame une fellation dont j’ai le secret. Je suce avec avidité, presque goulument. Comme si ma vie en dépendait. Je le sens gémir doucement. Je continue à sucer. Sa queue durcit et prend du volume. Je la sors de ma bouche pour l’emboucher de plus belle. Il commence à réagir. Il me prend la tête et pousse sa queue au fond de ma bouche. Je suffoque. Il me maintient quelques secondes avant de lâcher la tête. Des larmes coulent. Des larmes de plaisir.
Je le fixe du regard. Sa queue est longue, raide et rigide. Elle pointe fièrement. Il la pointe sur ma bouche. A peine j’entrouvre ma bouche, qu’il me pénètre sans ménagement. Il me prend encore une fois la tête et me baise littéralement la bouche. Je me sens défaillir. Je suis pris par le plaisir. Lui aussi prend son pied, au vu des gémissements qu’il émit. Il quitte ma bouche et commence à me gifler avec sa bite. Son regard est flou. Il me traite de PD, avant de me demander de lui lécher les couilles. Je m’empresse d’accéder à sa requête. Je fais rouler ses deux noix dans ma bouche, je les lèche, je les mordille… Il gémit et me dit « Tu suces mieux qu’une femme ». Je reprends son zob en bouche. Je me délecte de cette bite qui me fascine. Il me laisse le pomper pendant quelques minutes. Il en profite pour me caresser les fesses. Ses mains malaxent mes deux globes, les pétrissent. Je sens une chaleur m’envahir. Ses doigts caressent ma raie. L’un d’eux me titille la rondelle. Je ne peux m’empêcher de couiner de plaisir. Il continue à m’exciter. Je cambre mon bassin, me laissant fouiller. Il crache sur ses doigts et les pose sur mon trou qui palpite. Il me prodigue un petit massage qui m’électrise. Avec son indexe, il me pénètre doucement. Je me laisse faire et ferme les yeux et poursuit ma fellation. La moitié de son doigt coulisse dans mon trou. Je le sens me fouiller en douceur.
Il se retire de ma bouche et se place derrière moi. Je pensais qu’il allait me baiser. Non. Il crache sur ma rondelle. Son doigt coulisse. Il fait des va et vient, je me détends. Un deuxième doigt rejoint le premier, puis un troisième. Il les fait coulisser sans violence, avec douceur mêlé de de fermeté. Le geste est précis. Le plaisir m’inonde. Tête sur le lit, yeux fermés, je me laisse fouiller le fion. Il continue à me fister, se déplace un peu pour que je le suce un peu. Il débande. Quelques coups de langue, une va et vient et sa queue retrouve toute sa vigueur. Il quitte ma bouche et retire ses doigts de mon cul. Je le sens béant. Je me retourne et je le vois en train de placer une capote. Le moment fatidique arrive. Il fait glisser son gland sur ma raie. Il le retire et crache pour mieux lubrifier. Sans prévenir, je sens mon trou s’élargir. Il est en train de me pénétrer. Je me laisse faire, je ne réagis même pas, tant je suis excité. Quelques secondes ont suffi pour sentir le serpent de chair en moi. Les poils de son pubis touchent mes fesses. Je n’arrive pas à réaliser qu’une saucisse de 23 cm x 4 cm fouille mes entrailles. Le mec ne me laisse pas le temps de réaliser tout cela. Il entame un va et vient lent et puissant. A chaque fois il pousse au plus profond de moi. Je me mords les doigts pour éviter de crier.
Il se retire de moi, il m’allonge sur le dos et met mes jambes sur ses épaules. Pendant la pénétration, ses yeux fixent les miens. Une fois en moi, il me baise énergiquement. « Entaya kahba kbira, ya nokch » (tu es une grande pute, pd). Il n’arrête pas de m’insulter ce qui fait accroître mon plaisir. Je sens sa queue caresser la prostate. Je gémis, je suis pris par un orgasme (ça m’arrive rarement). Sans me toucher, je jouis. Des jets de sperme jaillissent de ma queue éclabousse mon torse. Pendant ce temps il n’a pas cessé de prendre et d’aller et venir en moi, gémissant et me traitant de tous les noms. Je ferme les yeux pour savourer encore ce plaisir. Il me baise quelques minutes, avant de se retirer subitement de moi. Il enlève le préservatif, se masturbe et jouit une quantité impressionnante de foutre. Il m’inonde le visage et le torse. Après avoir joui, il me donne sa queue pour la nettoyer. Je m’empresse de la sucer et goûter à son sperme. Un délice. Je me lève pour me nettoyer dans la salle de bain. Je le sens derrière moi. Il a la queue dure. Je le regarde et comprends qu’il a encore envie. Il me fait cambrer sur le lavabo, écarte mes fesses et me pénètre d’un coup. Je sursaute ; j’ai le souffle coupé. Il me baise, me limant le trou. Je gémis encore une fois de plaisir. Ses mains malaxe mon torse, et pince mes tétons qui sont durs d’excitation. Il me lime pendant un bon moment dans cette position. Il me conduit ensuite vers le lit. Il s’allonge et me demande de m’empaler sur sa queue fièrement dressée. Je la chevauche. La séance rodéo commence, je perds la notion de tout. Il est endurant. Il m’allonge sur le dos et me demande de tirer mes jambes vers moi et là il me plante son dard. Il me baise pendant de longues minutes avant de venir jouir, cette fois dans ma bouche. Du sperme, chaud, épais légèrement salé. Je l’avale sans qu’il ne me le demande, je savoure ce nectar unique. Je lui nettoie sa bite. Il me regarde et me dit « Attaye, kahba, bayent mout 3la zeb » (PD, pute, ça se voit que tu aimes la bite). Il remet ses vêtements et quitte le studio. Je me croyais dans un rêve, mais mon cul endolori est là pour me rappeler que c’était vrai.
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Rendez-vous pris. Un ami me passe son studio pour l’occasion. On se rencontre. Il est quelconque ni beau, ni moche. Il me suit jusqu’au 6e étage. Une fois à l’intérieur, et sans préliminaire, il baisse son pantalon. Il porte un caleçon en coton blanc. Il n’est pas encore en érection, mais ce que mes yeux voient, promet d’être un bon morceau. Je me mets à genoux sur le lit, je l’attire vers moi, et je baisse ce qu’il lui reste comme vêtement. Il est là, debout, rigide, les bras ballants. J’approche mon visage de son bas-ventre. Une odeur de savon s’en dégage (heureusement). Je tiens sa bitte entre mes doigts. Douce, longe, un gland violacé. J’approche ma bouche et du bout des lèvres je dépose un baiser. J’en profite pour lécher un peu le gland, le titiller avant de lécher toute la verge. Je remonte, je la sens réagir. Je décide à ce moment-là de la mettre dans ma bouche et j’entame une fellation dont j’ai le secret. Je suce avec avidité, presque goulument. Comme si ma vie en dépendait. Je le sens gémir doucement. Je continue à sucer. Sa queue durcit et prend du volume. Je la sors de ma bouche pour l’emboucher de plus belle. Il commence à réagir. Il me prend la tête et pousse sa queue au fond de ma bouche. Je suffoque. Il me maintient quelques secondes avant de lâcher la tête. Des larmes coulent. Des larmes de plaisir.
Je le fixe du regard. Sa queue est longue, raide et rigide. Elle pointe fièrement. Il la pointe sur ma bouche. A peine j’entrouvre ma bouche, qu’il me pénètre sans ménagement. Il me prend encore une fois la tête et me baise littéralement la bouche. Je me sens défaillir. Je suis pris par le plaisir. Lui aussi prend son pied, au vu des gémissements qu’il émit. Il quitte ma bouche et commence à me gifler avec sa bite. Son regard est flou. Il me traite de PD, avant de me demander de lui lécher les couilles. Je m’empresse d’accéder à sa requête. Je fais rouler ses deux noix dans ma bouche, je les lèche, je les mordille… Il gémit et me dit « Tu suces mieux qu’une femme ». Je reprends son zob en bouche. Je me délecte de cette bite qui me fascine. Il me laisse le pomper pendant quelques minutes. Il en profite pour me caresser les fesses. Ses mains malaxent mes deux globes, les pétrissent. Je sens une chaleur m’envahir. Ses doigts caressent ma raie. L’un d’eux me titille la rondelle. Je ne peux m’empêcher de couiner de plaisir. Il continue à m’exciter. Je cambre mon bassin, me laissant fouiller. Il crache sur ses doigts et les pose sur mon trou qui palpite. Il me prodigue un petit massage qui m’électrise. Avec son indexe, il me pénètre doucement. Je me laisse faire et ferme les yeux et poursuit ma fellation. La moitié de son doigt coulisse dans mon trou. Je le sens me fouiller en douceur.
Il se retire de ma bouche et se place derrière moi. Je pensais qu’il allait me baiser. Non. Il crache sur ma rondelle. Son doigt coulisse. Il fait des va et vient, je me détends. Un deuxième doigt rejoint le premier, puis un troisième. Il les fait coulisser sans violence, avec douceur mêlé de de fermeté. Le geste est précis. Le plaisir m’inonde. Tête sur le lit, yeux fermés, je me laisse fouiller le fion. Il continue à me fister, se déplace un peu pour que je le suce un peu. Il débande. Quelques coups de langue, une va et vient et sa queue retrouve toute sa vigueur. Il quitte ma bouche et retire ses doigts de mon cul. Je le sens béant. Je me retourne et je le vois en train de placer une capote. Le moment fatidique arrive. Il fait glisser son gland sur ma raie. Il le retire et crache pour mieux lubrifier. Sans prévenir, je sens mon trou s’élargir. Il est en train de me pénétrer. Je me laisse faire, je ne réagis même pas, tant je suis excité. Quelques secondes ont suffi pour sentir le serpent de chair en moi. Les poils de son pubis touchent mes fesses. Je n’arrive pas à réaliser qu’une saucisse de 23 cm x 4 cm fouille mes entrailles. Le mec ne me laisse pas le temps de réaliser tout cela. Il entame un va et vient lent et puissant. A chaque fois il pousse au plus profond de moi. Je me mords les doigts pour éviter de crier.
Il se retire de moi, il m’allonge sur le dos et met mes jambes sur ses épaules. Pendant la pénétration, ses yeux fixent les miens. Une fois en moi, il me baise énergiquement. « Entaya kahba kbira, ya nokch » (tu es une grande pute, pd). Il n’arrête pas de m’insulter ce qui fait accroître mon plaisir. Je sens sa queue caresser la prostate. Je gémis, je suis pris par un orgasme (ça m’arrive rarement). Sans me toucher, je jouis. Des jets de sperme jaillissent de ma queue éclabousse mon torse. Pendant ce temps il n’a pas cessé de prendre et d’aller et venir en moi, gémissant et me traitant de tous les noms. Je ferme les yeux pour savourer encore ce plaisir. Il me baise quelques minutes, avant de se retirer subitement de moi. Il enlève le préservatif, se masturbe et jouit une quantité impressionnante de foutre. Il m’inonde le visage et le torse. Après avoir joui, il me donne sa queue pour la nettoyer. Je m’empresse de la sucer et goûter à son sperme. Un délice. Je me lève pour me nettoyer dans la salle de bain. Je le sens derrière moi. Il a la queue dure. Je le regarde et comprends qu’il a encore envie. Il me fait cambrer sur le lavabo, écarte mes fesses et me pénètre d’un coup. Je sursaute ; j’ai le souffle coupé. Il me baise, me limant le trou. Je gémis encore une fois de plaisir. Ses mains malaxe mon torse, et pince mes tétons qui sont durs d’excitation. Il me lime pendant un bon moment dans cette position. Il me conduit ensuite vers le lit. Il s’allonge et me demande de m’empaler sur sa queue fièrement dressée. Je la chevauche. La séance rodéo commence, je perds la notion de tout. Il est endurant. Il m’allonge sur le dos et me demande de tirer mes jambes vers moi et là il me plante son dard. Il me baise pendant de longues minutes avant de venir jouir, cette fois dans ma bouche. Du sperme, chaud, épais légèrement salé. Je l’avale sans qu’il ne me le demande, je savoure ce nectar unique. Je lui nettoie sa bite. Il me regarde et me dit « Attaye, kahba, bayent mout 3la zeb » (PD, pute, ça se voit que tu aimes la bite). Il remet ses vêtements et quitte le studio. Je me croyais dans un rêve, mais mon cul endolori est là pour me rappeler que c’était vrai.
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