3 Juliette - journal d'une femme mariée - amies et plus. - histoire érotique

3 Juliette – journal d’une femme mariée

Amies et plus.


Voilà, cela fait quelques mercredi que Lucas me défonce. Presque toujours le même rituel, je le suce, ou plutôt , il me baise la bouche , me tenant par les cheveux, jusqu’à ce que j’avale tout !

Après, c'est a quatre pattes sur le lit. Annie avait vraiment raison, il sait y faire avec sa queue ! Mais je le sais, je ne dois pas m’attendre a un geste tendre, non, pas de caresses, pas de préliminaires, de la baise, rien que de la baise, brute Et a chaque fois je prends mon pied !!


Mercredi dernier, surprise, il n’était pas seul ! Un de ses amis était là, soi-disant débarqué par hasard ! Carl, un Allemand ! Le Teuton était plutôt baraqué, style armoire à glaces, et monté comme un âne, je ne suis pas arrivée à l'avaler complètement ! Lucas lui a laissé la place derrière moi sur le lit , miam ! j’ai cru qu’il allait s’effondrer sous les coups de boutoirs de Carl, qui me démontait comme jamais ! quelle santé !!


Puis j’ai eu droit a ma première DP ! À plus de soixante ans !, c'était la première fois que deux bites labouraient ma chatte et mon cul ! Et comme Carl était derrière moi, AIE ! Mais p... qu'est que c’était bon !!

Je suis rentrée chez moi, crevée, j’avais mal partout, et je dis bien partout, quelques jours de disette sexuelle me feront le plus grand bien, je n’ai plus 20 ans !(rires)


Mais il fallait que je raconte tout ça a Annie ! Annie que je trouvais un peu distante, depuis notre »rencontre » avec son amant Lucas. Il faut dire que j’allais de surprise avec elle, et pourtant je la connais depuis plus de trente ans ! j’ai d’abord découvert une femme qui cachait bien son jeu ! Sous ses apparences de femme mariée rangée , se cachait une cougar avide de sexe et de plaisir !!Et puis il y a eu sa bouche sur ma chatte, là encore, c'était nouveau pour moi, comme quand elle me caressait pendant que Lucas me défonçait, cela faisait beaucoup d’un seul coup pour moi ! Mais j’ai aimé !


J’ai l’impression que depuis, elle se sent un peu gênée de son attitude, il faut que l’on en parle, mais jusqu’à maintenant, aucune allusion, ni de sa part ni de la mienne d’ailleurs.


Comme a notre habitude, nous prenions notre café autour de sa table de cuisine, en papotant. Annie avait du mal à me regarder dans les yeux, alors j’ai crevé l’abcès.


- Annie, si on parlait de ce qui s’est passé chez Lucas ? Il faut que l’on en parle.


J’ai vu Annie rougir, me prendre la main et s’excuser !

Je lui ai dit qu’elle n’avait pas a s’excuser, mais simplement à m'expliquer. Elle a commencé a parler, a beaucoup parlé, tout ce qu’elle avait retenu depuis très longtemps sortait en flot de paroles, Moi, j'écoutais, et ce que j’entendais était une totale surprise pour moi !

Annie était bi ! Et depuis que nous nous connaissions , elle avait envie de moi, mais elle n’avait jamais osé m’en parler ! Alors, quand nous étions chez Lucas, dans « l’ambiance » très sexuelle, ses envies sont revenues en force !


- Tu sais Annie, je n’ai jamais couché avec une femme, disons que ce n’est pas dans mon éducation.


En m’entendant parler, j’avais l’impression que c’était plutôt l’appel d’un fantasme non réalisé ! Annie s’est levée, a fait le tour de la table, et m’a pris la main. À mon tour, je me suis levée, nous étions à quelques centimètres l’une de l’autre, mais non plus comme de vieilles amies, non un peu plus. Annie tenait toujours ma main, elle la posée sur sa poitrine, j’ai laissé faire, je sentais son cœur, qui comme le mien battait la chamade ! Elle a dégrafé son chemisier , ses yeux pleins d’envies plongeaient dans les miens, c’est moi qui ai rougi.


Profondément troublée, je commençais à lâcher prise, ma main sur son sein, j’ai commencé à la caresser. Je l’ai embrassée, nous nous sommes embrassés, j’ai complètement chaviré, Annie m’a murmuré a l’oreille - « Pas ici, viens ! » Et nous voila toutes les deux, comme deux ados, grimpant l’escalier qui mène a la chambre, quatre a quatre !

La chambre conjugale, le lit conjugal ! Là où, comme pour mon couple , il ne se passe plus grand-chose !


Nos vêtements nous brûlaient, en moins de temps qu’il ne faut pour le dire, nous étions entièrement nues. Vite ! nos corps l’un contre l’autre, nos peaux, nos seins qui se frôlent, se touchent et nos langues qui se mélangent !

Le lit nous accueille. Allongées l’une contre l’autre, les deux amies, sont devenues des amantes.

Je découvre les plaisirs saphiques, les mains, les doigts, la bouche, la langue d’une femme, tout en douceur, en caresses échangées. Nous avons fait l’amour une bonne partie de la journée, il y avait longtemps qu'Annie et moi, n’avions pas connu un tel moment de bien-être !


Nous avons eu du mal à nous séparer, mais nos maris allaient rentrer.

Dommage, mais nous nous voyons très souvent, et nous avons encore tant de choses à découvrir… entre nous ! Impatiente !