31 ans de différence
Récit érotique écrit par Andre52 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-08-2013 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Couleur du fond :
31 ans de différence
J'ai 39 ans et je fais des menus travaux chez mes beaux-parents qui n'habitent pas très loin de chez moi. Cela consiste à faire de la tapisserie dans une chambre. Pour faire cela, ma belle-mère que j'appellerai Rosa a décidé de m'aider, étant donné que mon beau-père passait son temps au bistrot. On se retrouve seuls les après-midi. C'est une femme de 73 ans pas très belle de visage, mais avec un très joli corps et des seins extraordinaires, 95c, un peu lourds à cause des cinq accouchements qu'elle a eus. Ce jour-là, il fait très chaud et elle n'a mis sur elle qu'un tablier fermé devant par des boutons et descendant aux genoux.
Elle encolle les lais et me les emmène pour être posés. Cela dure un certain temps quand je m'aperçois qu'elle transpire et que son tablier colle, dévoilant allègrement ses formes, aussi bien ses seins que son sexe que je devine à travers une culotte blanche. J'ai une érection qui est difficile à cacher et là, dans une semi-inconscience, je me mets derrière elle pendant qu'elle encolle et je lui plaque les deux mains sur les seins. Sa réaction ne se fait pas attendre et elle fait tout pour se débarrasser de moi, qui reste collé derrière elle. Il faut dire qu'elle mesure 1m70 et moi 1m85. Sentant que ses efforts n'aboutiraient pas, elle se met à me faire des menaces, en disant qu'elle allait tout raconter à ses fils, ainsi qu'à sa fille et que mon temps dans la famille était révolu, mais je ne pouvais me détacher de cette femme, que ses mouvements du bassin pour se débarrasser de moi me faisaient encore plus bander.
Je lui caresser ses seins outrageusement, la tenant ainsi plaquée avec un genou contre ses fesses. Après ça je ne peux plus revenir en arrière et je dégrafe son tablier en commençant par le bas. Puis je colle directement une main sur son sexe et là elle ne se défend plus, et j'en profite pour insérer deux doigts dans sa grotte brûlante, les faisant aller et venir et en les tournant chaque fois que je les rentrais. Cette femme qui paraissait très froide de caractère se mit à onduler des bassins, et à pousser des soupirs de plaisirs qui me firent penser que je pouvais aller plus loin dans mes caresses. Je la tourne en face de moi, lui enlève alors son tablier, défais son soutien-gorge et d'une main je lui pince ses bouts qui étaient très gros, et de l'autre je lui caresse son petit bouton, la faisant toujours gémir.
J'emmène Rosa au milieu de la pièce, la fais se courber sur la table à tapisser et d'un seul coup je la pénètre. Et cette femme autoritaire, froide même envers son entourage, devient une vraie furie bougeant dans tous les sens, se caressant les seins plaqués sur la table et disant des mots que je n'aurais jamais crus entendre d'elle, se traitant de salope, de vieille truie. Elle se mit à jouir très fort et s'écroula sur la table, moi je continuais à baiser et je la suivis dans son plaisir en déchargeant violemment dans son sexe, ce qui lui procura encore un orgasme. Nous restons un moment dans cette situation et je ressors d'elle toujours en bandant ce qui fait un bruit de succion et fait ressortir un filet de sperme. Il faut dire que je suis pas mal monté, vingt-deux par six, et que je lui emplissais complètement son sexe. Je l'aidai à se redresser et lui dit d'un ton ferme de ne rien dire aux autres, qu'elle était aussi coupable que moi et que maintenant elle était ma chose, qu'elle devait être prête quand je le voudrai et comme je la désirerai, dans les endroits et les vêtements que je lui imposerai. Elle ne dit rien et alla dans la douche, moi je continuais les tapisseries en pensant à la prochaine fois.
Elle encolle les lais et me les emmène pour être posés. Cela dure un certain temps quand je m'aperçois qu'elle transpire et que son tablier colle, dévoilant allègrement ses formes, aussi bien ses seins que son sexe que je devine à travers une culotte blanche. J'ai une érection qui est difficile à cacher et là, dans une semi-inconscience, je me mets derrière elle pendant qu'elle encolle et je lui plaque les deux mains sur les seins. Sa réaction ne se fait pas attendre et elle fait tout pour se débarrasser de moi, qui reste collé derrière elle. Il faut dire qu'elle mesure 1m70 et moi 1m85. Sentant que ses efforts n'aboutiraient pas, elle se met à me faire des menaces, en disant qu'elle allait tout raconter à ses fils, ainsi qu'à sa fille et que mon temps dans la famille était révolu, mais je ne pouvais me détacher de cette femme, que ses mouvements du bassin pour se débarrasser de moi me faisaient encore plus bander.
Je lui caresser ses seins outrageusement, la tenant ainsi plaquée avec un genou contre ses fesses. Après ça je ne peux plus revenir en arrière et je dégrafe son tablier en commençant par le bas. Puis je colle directement une main sur son sexe et là elle ne se défend plus, et j'en profite pour insérer deux doigts dans sa grotte brûlante, les faisant aller et venir et en les tournant chaque fois que je les rentrais. Cette femme qui paraissait très froide de caractère se mit à onduler des bassins, et à pousser des soupirs de plaisirs qui me firent penser que je pouvais aller plus loin dans mes caresses. Je la tourne en face de moi, lui enlève alors son tablier, défais son soutien-gorge et d'une main je lui pince ses bouts qui étaient très gros, et de l'autre je lui caresse son petit bouton, la faisant toujours gémir.
J'emmène Rosa au milieu de la pièce, la fais se courber sur la table à tapisser et d'un seul coup je la pénètre. Et cette femme autoritaire, froide même envers son entourage, devient une vraie furie bougeant dans tous les sens, se caressant les seins plaqués sur la table et disant des mots que je n'aurais jamais crus entendre d'elle, se traitant de salope, de vieille truie. Elle se mit à jouir très fort et s'écroula sur la table, moi je continuais à baiser et je la suivis dans son plaisir en déchargeant violemment dans son sexe, ce qui lui procura encore un orgasme. Nous restons un moment dans cette situation et je ressors d'elle toujours en bandant ce qui fait un bruit de succion et fait ressortir un filet de sperme. Il faut dire que je suis pas mal monté, vingt-deux par six, et que je lui emplissais complètement son sexe. Je l'aidai à se redresser et lui dit d'un ton ferme de ne rien dire aux autres, qu'elle était aussi coupable que moi et que maintenant elle était ma chose, qu'elle devait être prête quand je le voudrai et comme je la désirerai, dans les endroits et les vêtements que je lui imposerai. Elle ne dit rien et alla dans la douche, moi je continuais les tapisseries en pensant à la prochaine fois.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Super moi je fais du chantage à ma belle mère pour qu’elle m’envoie une photo d’elle à poil assise sur une chaise les jambes écartées
Bravo tu raisons les femmes ages elle ne demande que de l'amour et en plus elle baise super!
J ADORE........ET EN REVE !!!!!