40 cm de bites

Récit érotique écrit par Nico T [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 349 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de Nico T ont reçu un total de 705 585 visites.

Cette histoire de sexe a été affichée 1 240 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
40 cm de bites
Vincent aime la bite, la queue, le zob, le bangala et plus c'est gros, plus c'est long meilleur c'est. Il en connait des mecs bien montés à qui il offre son cul et le dernier en date c'est un black, Babacar jeune sénégalais qu'il a rencontré par hasard à Barbès dans le métro et qui lui a fait prendre un pied d'enfer.
Vincent 35 ans au compteur, gueule d'ange aux cheveux châtains clairs et aux yeux gris, un corps de ouf sans salle de sport, ni muscu, non dit il souvent en riant, mon sport favori "marcher pour trouver une belle queue!"
Mais en cette fin d'après-midi il rentrait du boulot en métro et, comme d'habitude il y avait du monde dans le wagon, un peu comme des sardines dans leur boite et avec la chaleur, les transpirations, l'odeur du métro commençait à devenir insupportable. Il avait hâte d'arriver chez lui pour prendre une douche.
Il se tenait à la barre central et était entouré de pas mal de monde, beurs, blancs et blacks et comme souvent dans le métro personne ne faisait attention à son voisin.
Sauf Vincent bien sûr toujours en recherches...
La rame arrivait à la station de Barbès Rochechouart via le métro aérien quand il a freiné brusquement pour s'arrêter avant d'entrer à la station. Dans le mouvement tous les corps ont été projetés les uns contre les autres accompagnés de cris, et de rires.
Vincent a senti un corps se plaquer à son dos et une main se tenir à son épaule en même temps qu'une voix qu'il a reconnu comme celle d'un black lui dire :
-désolé m'sieur.
Mais le corps restait collé au sien et, quand Vincent a tourné la tête il a vu une belle tête de jeune black, 20-25 ans, souriante aux dents blanches, des yeux noirs perçants mais souriants.
-c'est pas grave a dit Vincent en essayant de se tourner un peu pour mieux voir ce jeune black.
Mais la main du black est descendue le long de son corps pour se poser sur sa hanche, sa tête s'est approchée et dans un sourire au regard coquin lui a dit :
-bouge pas m'sieur.
Sa main approchait encore plus son corps au sien et en bon connaisseur Vincent a bien senti qu'une barre se frottait à ses fesses.
Le métro était à l'arrêt et une voix indique : nous devons attendre quelques instants.
La main s'appesantissait sur sa hanche et la belle voix de ce jeune black :
-j'te tiens m'sieur au cas où ça redémarre trop vite!
Ses belles lèvres étaient humides, et sa langue rose n'arrêtait pas de passer dessus, ses yeux riaient car il bougeait imperceptiblement son bassin sur les fesses et Vincent sentait qu'il devait y avoir une belle barre.
Ils se regardaient sans rien dire, souriants tous les deux, la main du black caressait sa hanche, passant sous sa veste, remonte sur son ventre pour mieux le coller à lui et là Vincent sent bien le bangala qui décidément semble devenir de plus en plus gros.
Ses doigts pianotent sur son ventre, il ondule sur ses fesses.
-moi c'est Babacar m'sieur dit le black à son oreille tout bas.
-moi c'est Vincent.
La main bouge sur son ventre remonte sur son torse, mais revient sur son ventre, descend encore et vient toucher son sexe, juste le caresser en se serrant encore plus contre lui.
-Vincent a la même maladie que moi dit le black à son oreille.
Le métro redémarre, les obligeant à bouger les pieds mais Vincent ne fait rien pour se dégager, au contraire frotte ses fesses sur le bangala pendant que la main le serre encore plus.
Le métro s'arrête à nouveau, Vincent lâche la barre et sa main glisse le long de son corps, touche le corps de Babacar qui recule juste un peu le temps que la main passe et puisse caresser son sexe. Le black n'a pas lâché celui de Vincent et les voilà au milieu de la foule se tripotant comme des gamins.
La main serre bien le sexe de Vincent. Lui constate que le bangala est plein de promesses, il lui reste quelques stations pour trouver une solution...
-tu fais quoi maintenant m'sieur ? demande Babacar, enfin quand on arrivera dans une station!
-je rentre chez moi dit Vincent.
-t'as le temps de venir visiter ma piaule ? demande Babacar en le serrant encore plus contre lui.
-c'est où ? demande Vincent.
-ici à Barbès, enfin si on y arrive un jour...
Ils y sont arrivés quelques minutes plus tard et, sans façon Babacar a pris la main de Vincent pour ne pas le perdre!
Il habitait vers la Goutte d'Or, un quartier haut en couleurs qui a fait fantasmer Vincent de suite, en voyant tous ces blacks et beurs qui les regardaient passer.
Mais ils avaient hâte d'arriver et dès la porte refermée Babacar s'est jeté sur lui pour l'aider à se déshabiller. Il avait les yeux brillants en découvrant son cadeau.
Puis il s'est mis nu devant Vincent qui bandait dur de voir ce corps d'ébène se dévoiler devant lui et de voir le bangala libre osciller. Il était un peu déçu Vincent, si le sexe était épais il n'était pas si long qu'il s'était imaginé. Mais bon, ce black était magnifique et il est venu se coller à lui, les mains se sont refermées sur ses fesses, les écartant et un doigt fouineur venir s'enfoncer directement faisant gémir Vincent.
-c'est ma queue que tu veux là dit Babacar, alors tourne toi, penche toi sur le lit! J'ai pas baisé depuis longtemps, j'espère que t'es endurant.
Tu parles qu'il est endurant Vincent!
Les doigts sont revenus dans son trou, s'enfonçant facilement, le black a fait couler de la salive frottée par les doigts et le bangala a fait son entrée.
Bon il l'a senti entrer, mais il pensait qu'il lui ferait plus d'effets. Heureusement que les mains chaudes du black le caressaient partout, le redressant pour qu'il s'assoit sur la queue, les lèvres de Babacar dans son cou, sa main s'est emparée de son sexe et l'a branlé en cadence de ses coups de reins.
C'est un doux Babacar, il aime baiser et voir son partenaire jouir sous ses coups de reins et là il n'a pas été déçu car Vincent jute énormément. Lui s'est bien vidé dans ce cul accueillant en râlant, grognant.
Ils se sont enlacés et les lèvres de Babacar sont venues prendre les siennes et il a pu goûter la salive de ce jeune black souriant, heureux apparemment de l'avoir dans son lit.
-il faut que je rentre dit Vincent.
Babacar le retient gentiment.
-t'as l'air déçu Vincent, mon bangala n'est pas assez gros pour ton petit cul ?
-non c'est pas ça Babacar mais il faut bien que je rentre chez moi!
-oui mais t'aimes pas mes 20 cm ?
-si Babacar, t'es très gentil et très doux même j'ai vraiment apprécié.
Il le fixait et ses yeux devenaient plus durs. Il tend la main, s'empare de son téléphone et Vincent écoute, la conversation est très courte.
-viens de suite dit Babacar et il raccroche en regardant Vincent.
-bouge pas tu vas être comblé Vincent.
Vincent a comme une appréhension et fait mine de vouloir se relever, mais Babacar s'allonge sur lui et l'embrasse comme un perdu, bougeant sur lui, faisant rouler les sexes redevenus durs.
On frappe à la porte et sans s'habiller, le sexe raide, Babacar va ouvrir la porte et un autre jeune black entre, qui ressemble comme un jumeau à Babacar.
-Vincent, c'est Ba, un ami d'enfance de Dakar, il est comme moi, 20 cm dans le pantalon, alors voilà est ce que 40 cm te font peur ?
Vincent ne peut s'empêcher de sourire et ses yeux s'émerveillent quand il voit Ba se mettre nu et exhiber son corps et son sexe qui bande déjà.
Ils viennent s'allonger de chaque côté de Vincent qui se retrouve avec un jeune black dans chaque bras et la fiesta commence.
Les corps sont chauds, lisses et doux aux caresses. Les mains des blacks passent partout sur son corps, ils se servent de Vincent comme d'un pantin, le caressant partout, le retournant dans tous les sens, lui ouvrant les fesses et les langues des sénégalais sont entrées en action.
Il aimait ça Vincent se faire bouffer le cul, mais là les deux langues le faisaient couiner avec force, il ne savait pas laquelle, mais une arrivait à entrer en lui et il la sentait toucher ses muqueuses, lui donnant des frissons partout.
Babacar est venu devant lui, prenant sa tête entre ses mains et lui donne sa belle queue black à sucer, pendant qu'il sent celle de Ba faire son entrée.
Les deux sénégalais trouvent le rythme et Vincent est baisé en cadence qui s'accélère de plus en plus! La chaleur monte, ça sent la sueur, le fauve même pendant que le pubis de Ba claque fortement sur ses fesses.
Et les deux sénégalais jouissent ensemble, ça pour être rempli il est rempli Vincent.
Ils changent de place et les coups de reins reprennent, aussi durs, aussi secs, les mains parcourent son corps, ses tétons sont pincés.
Ba jouit au fond de sa gorge, et Vincent le redresse contre lui, laissant Ba admirer le corps et la queue de Vincent. Sans se faire prier il se penche sur celle belle queue et l'avale directement au fond de sa gorge, la tenant par les couilles, il le pipe comme un morfale et Vincent continue de couiner car les coups de reins de Babacar continuent.
Il jouit en serrant ses fesses, pour sentir le bangala de Babacar lui offrir sa semence brûlante. Ba avale tout.
Il est bien Vincent entre ses deux beaux blacks qui sont aussi doux et tendres. Il est couvert de bisous, ils le lèchent et lui offrent leurs tétons qu'il tète comme un nouveau né et cela semble les ravir et les exciter encore plus.
D'un seul coup c'est le calme, juste quelques bisous et des caresses mais Vincent sent bien les deux bangala encore raides contre lui, chauds bouillants encore les sénégalais.
C'est Ba qui se penche au dessus de lui, écrasant son torse au sien :
-tu prends facilement 20 cm, mais 40 tu peux ? demande t-il d'un air gourmand.
Vincent regarde Babacar qui sourit, le voit se mettre sur le dos et tenir sa queue bien droite :
-viens t'asseoir dessus Vincent, ton cul va tout avaler m'sieur!
Gourmand et curieux, Vincent obéit et sent la queue du sénégalais retrouver son conduit et s'enfoncer assez facilement en lui. Il aime cette belle queue en lui, il la sent palpiter. Il est face à Babacar qui le prend aux épaules et le tire à lui.
Ses lèvres se posent sur les siennes et la langue envahit sa bouche jouant avec la sienne, la langue est douce comme du velours, juteuse comme sa bite et ses mains chaudes le caressent.
Il sent les mains de Ba caresser ses fesses, le pousser un peu en avant, du liquide tombe sur l'entrée, la queue de Babacar semble se retirer un peu et le gland de Ba vient appuyer sur la queue de son pote.
Babacar tient la tête de Vincent entre ses mains, ses yeux le fixent, et, comme dans le métro lui parle doucement :
-ça va aller m'sieur, tu vas voir tu vas aimer les bangala des sénégalais quand ils vont te donner leur jus! T'es un veinard m'sieur d'avoir deux queues comme ça!
Vincent sent le gland forcer, écraser la queue raide de Babacar pour essayer de se frayer un passage. Son anus semble accepter, il sent comme une déchirure, une douleur fulgurante qui le fait hurler mais en bonne salope gourmande il tend bien son cul et le miracle se produit.
Le bangala de Ba glisse sur celui de Babacar et c'est comme si Vincent était écartelé, les larmes coulent sur son visage, il gueule, gémit... Babacar le fixe toujours, soudain la douleur s'arrête, les deux queues sont bien arrivées à destination.
-tu vois m'sieur que du bonheur! dit Babacar en lui souriant, il approche son visage et la bataille des langues reprend.
Mais Vincent sent Ba bouger en lui, se retirer lentement et revenir plus rapidement. Il grogne. Le va-et-vient prend de la vitesse. Il gémit et sent les larmes revenir sur ses joues. Maintenant les deux queues glissent bien l'une sur l'autre et Vincent sent sa queue se réveiller à force de frotter sur le ventre de Babacar qui n'arrête pas de l'embrasser, de lui sourire.
C'est Babacar qui jouit en premier libérant encore une fois de sacrés doses de sperme chaud, suivit de Vincent qui gicle sur le corps de Babacar tout sourire et pour finir les doses de Ba viennent se mélanger à celles de Babacar. Et sa queue glisse à l'extérieur.
Vincent veut bouger, mais Babacar le retient.
-attend m'sieur, laisse ton cul s'habituer!
Et c'est vrai qu'il sent son cul se refermer sur la queue de Babacar toujours souriant.
-j'vais rester en toi tout le temps m'sieur dit Babacar en riant.
-fais gaffe dit Ba il en est capable, il bande tout le temps lui!
-ah bon et pas toi ? dit Vincent en le regardant.
C'est Ba qui sort la queue de Babacar et Vincent sent la langue de Ba lécher son anus jusqu'à la fermeture.
Un sénégalais encore dans chaque bras, Vincent les serre contre lui.
-vous êtes des amours tous les deux! Heureusement qu'on a eu une panne de métro dit Vincent en riant.
-le chauffeur c'est un copain dit Babacar en riant.
Il est bien Vincent entre ses deux beaux mecs et il ne peut s'empêcher de demander:
-vous êtes de la même famille ? car je trouve que vous vous ressemblez beaucoup!
-non dit Ba, comme t'a dit Babacar on est ami d'enfance et on baisait sous les cocotiers sur les plages de Dakar! On partage tout maintenant, surtout les beaux culs des blancs gourmands!
Ils riaient tous les deux et n'arrêtaient pas de faire des bisous à Vincent.
-j'croyais que t'étais pressé de rentrer chez toi ?
-maintenant ça va pas être facile, je ne sais pas si je vais pouvoir marcher!
-c'est pas grave dit Babacar, j'peux te garder ici m'sieur et Ba va rentrer chez lui!
Ba regarde Vincent en prenant un air triste.
-pourquoi il ne peut pas rester ?
-il ronfle la nuit dit Babacar.
-tu parles lui aussi, et plus fort que moi.
Ils se chamaillent au dessus de Vincent qui voit dans leurs regards de l'amusement et les lèvres se rapprochent, juste devant ses yeux et les sénégalais se roulent une pelle de compétition les yeux fermés. Vincent voit les langues déformer les joues.
Il caresse les corps encore chauds de ces beaux mecs en souriant.
Les deux têtes se rapprochent et viennent l'embrasser ensemble, les langues se battent pour entrer en lui.
Bah dit Vincent je crois que je ne suis pas parti!
Vincent 35 ans au compteur, gueule d'ange aux cheveux châtains clairs et aux yeux gris, un corps de ouf sans salle de sport, ni muscu, non dit il souvent en riant, mon sport favori "marcher pour trouver une belle queue!"
Mais en cette fin d'après-midi il rentrait du boulot en métro et, comme d'habitude il y avait du monde dans le wagon, un peu comme des sardines dans leur boite et avec la chaleur, les transpirations, l'odeur du métro commençait à devenir insupportable. Il avait hâte d'arriver chez lui pour prendre une douche.
Il se tenait à la barre central et était entouré de pas mal de monde, beurs, blancs et blacks et comme souvent dans le métro personne ne faisait attention à son voisin.
Sauf Vincent bien sûr toujours en recherches...
La rame arrivait à la station de Barbès Rochechouart via le métro aérien quand il a freiné brusquement pour s'arrêter avant d'entrer à la station. Dans le mouvement tous les corps ont été projetés les uns contre les autres accompagnés de cris, et de rires.
Vincent a senti un corps se plaquer à son dos et une main se tenir à son épaule en même temps qu'une voix qu'il a reconnu comme celle d'un black lui dire :
-désolé m'sieur.
Mais le corps restait collé au sien et, quand Vincent a tourné la tête il a vu une belle tête de jeune black, 20-25 ans, souriante aux dents blanches, des yeux noirs perçants mais souriants.
-c'est pas grave a dit Vincent en essayant de se tourner un peu pour mieux voir ce jeune black.
Mais la main du black est descendue le long de son corps pour se poser sur sa hanche, sa tête s'est approchée et dans un sourire au regard coquin lui a dit :
-bouge pas m'sieur.
Sa main approchait encore plus son corps au sien et en bon connaisseur Vincent a bien senti qu'une barre se frottait à ses fesses.
Le métro était à l'arrêt et une voix indique : nous devons attendre quelques instants.
La main s'appesantissait sur sa hanche et la belle voix de ce jeune black :
-j'te tiens m'sieur au cas où ça redémarre trop vite!
Ses belles lèvres étaient humides, et sa langue rose n'arrêtait pas de passer dessus, ses yeux riaient car il bougeait imperceptiblement son bassin sur les fesses et Vincent sentait qu'il devait y avoir une belle barre.
Ils se regardaient sans rien dire, souriants tous les deux, la main du black caressait sa hanche, passant sous sa veste, remonte sur son ventre pour mieux le coller à lui et là Vincent sent bien le bangala qui décidément semble devenir de plus en plus gros.
Ses doigts pianotent sur son ventre, il ondule sur ses fesses.
-moi c'est Babacar m'sieur dit le black à son oreille tout bas.
-moi c'est Vincent.
La main bouge sur son ventre remonte sur son torse, mais revient sur son ventre, descend encore et vient toucher son sexe, juste le caresser en se serrant encore plus contre lui.
-Vincent a la même maladie que moi dit le black à son oreille.
Le métro redémarre, les obligeant à bouger les pieds mais Vincent ne fait rien pour se dégager, au contraire frotte ses fesses sur le bangala pendant que la main le serre encore plus.
Le métro s'arrête à nouveau, Vincent lâche la barre et sa main glisse le long de son corps, touche le corps de Babacar qui recule juste un peu le temps que la main passe et puisse caresser son sexe. Le black n'a pas lâché celui de Vincent et les voilà au milieu de la foule se tripotant comme des gamins.
La main serre bien le sexe de Vincent. Lui constate que le bangala est plein de promesses, il lui reste quelques stations pour trouver une solution...
-tu fais quoi maintenant m'sieur ? demande Babacar, enfin quand on arrivera dans une station!
-je rentre chez moi dit Vincent.
-t'as le temps de venir visiter ma piaule ? demande Babacar en le serrant encore plus contre lui.
-c'est où ? demande Vincent.
-ici à Barbès, enfin si on y arrive un jour...
Ils y sont arrivés quelques minutes plus tard et, sans façon Babacar a pris la main de Vincent pour ne pas le perdre!
Il habitait vers la Goutte d'Or, un quartier haut en couleurs qui a fait fantasmer Vincent de suite, en voyant tous ces blacks et beurs qui les regardaient passer.
Mais ils avaient hâte d'arriver et dès la porte refermée Babacar s'est jeté sur lui pour l'aider à se déshabiller. Il avait les yeux brillants en découvrant son cadeau.
Puis il s'est mis nu devant Vincent qui bandait dur de voir ce corps d'ébène se dévoiler devant lui et de voir le bangala libre osciller. Il était un peu déçu Vincent, si le sexe était épais il n'était pas si long qu'il s'était imaginé. Mais bon, ce black était magnifique et il est venu se coller à lui, les mains se sont refermées sur ses fesses, les écartant et un doigt fouineur venir s'enfoncer directement faisant gémir Vincent.
-c'est ma queue que tu veux là dit Babacar, alors tourne toi, penche toi sur le lit! J'ai pas baisé depuis longtemps, j'espère que t'es endurant.
Tu parles qu'il est endurant Vincent!
Les doigts sont revenus dans son trou, s'enfonçant facilement, le black a fait couler de la salive frottée par les doigts et le bangala a fait son entrée.
Bon il l'a senti entrer, mais il pensait qu'il lui ferait plus d'effets. Heureusement que les mains chaudes du black le caressaient partout, le redressant pour qu'il s'assoit sur la queue, les lèvres de Babacar dans son cou, sa main s'est emparée de son sexe et l'a branlé en cadence de ses coups de reins.
C'est un doux Babacar, il aime baiser et voir son partenaire jouir sous ses coups de reins et là il n'a pas été déçu car Vincent jute énormément. Lui s'est bien vidé dans ce cul accueillant en râlant, grognant.
Ils se sont enlacés et les lèvres de Babacar sont venues prendre les siennes et il a pu goûter la salive de ce jeune black souriant, heureux apparemment de l'avoir dans son lit.
-il faut que je rentre dit Vincent.
Babacar le retient gentiment.
-t'as l'air déçu Vincent, mon bangala n'est pas assez gros pour ton petit cul ?
-non c'est pas ça Babacar mais il faut bien que je rentre chez moi!
-oui mais t'aimes pas mes 20 cm ?
-si Babacar, t'es très gentil et très doux même j'ai vraiment apprécié.
Il le fixait et ses yeux devenaient plus durs. Il tend la main, s'empare de son téléphone et Vincent écoute, la conversation est très courte.
-viens de suite dit Babacar et il raccroche en regardant Vincent.
-bouge pas tu vas être comblé Vincent.
Vincent a comme une appréhension et fait mine de vouloir se relever, mais Babacar s'allonge sur lui et l'embrasse comme un perdu, bougeant sur lui, faisant rouler les sexes redevenus durs.
On frappe à la porte et sans s'habiller, le sexe raide, Babacar va ouvrir la porte et un autre jeune black entre, qui ressemble comme un jumeau à Babacar.
-Vincent, c'est Ba, un ami d'enfance de Dakar, il est comme moi, 20 cm dans le pantalon, alors voilà est ce que 40 cm te font peur ?
Vincent ne peut s'empêcher de sourire et ses yeux s'émerveillent quand il voit Ba se mettre nu et exhiber son corps et son sexe qui bande déjà.
Ils viennent s'allonger de chaque côté de Vincent qui se retrouve avec un jeune black dans chaque bras et la fiesta commence.
Les corps sont chauds, lisses et doux aux caresses. Les mains des blacks passent partout sur son corps, ils se servent de Vincent comme d'un pantin, le caressant partout, le retournant dans tous les sens, lui ouvrant les fesses et les langues des sénégalais sont entrées en action.
Il aimait ça Vincent se faire bouffer le cul, mais là les deux langues le faisaient couiner avec force, il ne savait pas laquelle, mais une arrivait à entrer en lui et il la sentait toucher ses muqueuses, lui donnant des frissons partout.
Babacar est venu devant lui, prenant sa tête entre ses mains et lui donne sa belle queue black à sucer, pendant qu'il sent celle de Ba faire son entrée.
Les deux sénégalais trouvent le rythme et Vincent est baisé en cadence qui s'accélère de plus en plus! La chaleur monte, ça sent la sueur, le fauve même pendant que le pubis de Ba claque fortement sur ses fesses.
Et les deux sénégalais jouissent ensemble, ça pour être rempli il est rempli Vincent.
Ils changent de place et les coups de reins reprennent, aussi durs, aussi secs, les mains parcourent son corps, ses tétons sont pincés.
Ba jouit au fond de sa gorge, et Vincent le redresse contre lui, laissant Ba admirer le corps et la queue de Vincent. Sans se faire prier il se penche sur celle belle queue et l'avale directement au fond de sa gorge, la tenant par les couilles, il le pipe comme un morfale et Vincent continue de couiner car les coups de reins de Babacar continuent.
Il jouit en serrant ses fesses, pour sentir le bangala de Babacar lui offrir sa semence brûlante. Ba avale tout.
Il est bien Vincent entre ses deux beaux blacks qui sont aussi doux et tendres. Il est couvert de bisous, ils le lèchent et lui offrent leurs tétons qu'il tète comme un nouveau né et cela semble les ravir et les exciter encore plus.
D'un seul coup c'est le calme, juste quelques bisous et des caresses mais Vincent sent bien les deux bangala encore raides contre lui, chauds bouillants encore les sénégalais.
C'est Ba qui se penche au dessus de lui, écrasant son torse au sien :
-tu prends facilement 20 cm, mais 40 tu peux ? demande t-il d'un air gourmand.
Vincent regarde Babacar qui sourit, le voit se mettre sur le dos et tenir sa queue bien droite :
-viens t'asseoir dessus Vincent, ton cul va tout avaler m'sieur!
Gourmand et curieux, Vincent obéit et sent la queue du sénégalais retrouver son conduit et s'enfoncer assez facilement en lui. Il aime cette belle queue en lui, il la sent palpiter. Il est face à Babacar qui le prend aux épaules et le tire à lui.
Ses lèvres se posent sur les siennes et la langue envahit sa bouche jouant avec la sienne, la langue est douce comme du velours, juteuse comme sa bite et ses mains chaudes le caressent.
Il sent les mains de Ba caresser ses fesses, le pousser un peu en avant, du liquide tombe sur l'entrée, la queue de Babacar semble se retirer un peu et le gland de Ba vient appuyer sur la queue de son pote.
Babacar tient la tête de Vincent entre ses mains, ses yeux le fixent, et, comme dans le métro lui parle doucement :
-ça va aller m'sieur, tu vas voir tu vas aimer les bangala des sénégalais quand ils vont te donner leur jus! T'es un veinard m'sieur d'avoir deux queues comme ça!
Vincent sent le gland forcer, écraser la queue raide de Babacar pour essayer de se frayer un passage. Son anus semble accepter, il sent comme une déchirure, une douleur fulgurante qui le fait hurler mais en bonne salope gourmande il tend bien son cul et le miracle se produit.
Le bangala de Ba glisse sur celui de Babacar et c'est comme si Vincent était écartelé, les larmes coulent sur son visage, il gueule, gémit... Babacar le fixe toujours, soudain la douleur s'arrête, les deux queues sont bien arrivées à destination.
-tu vois m'sieur que du bonheur! dit Babacar en lui souriant, il approche son visage et la bataille des langues reprend.
Mais Vincent sent Ba bouger en lui, se retirer lentement et revenir plus rapidement. Il grogne. Le va-et-vient prend de la vitesse. Il gémit et sent les larmes revenir sur ses joues. Maintenant les deux queues glissent bien l'une sur l'autre et Vincent sent sa queue se réveiller à force de frotter sur le ventre de Babacar qui n'arrête pas de l'embrasser, de lui sourire.
C'est Babacar qui jouit en premier libérant encore une fois de sacrés doses de sperme chaud, suivit de Vincent qui gicle sur le corps de Babacar tout sourire et pour finir les doses de Ba viennent se mélanger à celles de Babacar. Et sa queue glisse à l'extérieur.
Vincent veut bouger, mais Babacar le retient.
-attend m'sieur, laisse ton cul s'habituer!
Et c'est vrai qu'il sent son cul se refermer sur la queue de Babacar toujours souriant.
-j'vais rester en toi tout le temps m'sieur dit Babacar en riant.
-fais gaffe dit Ba il en est capable, il bande tout le temps lui!
-ah bon et pas toi ? dit Vincent en le regardant.
C'est Ba qui sort la queue de Babacar et Vincent sent la langue de Ba lécher son anus jusqu'à la fermeture.
Un sénégalais encore dans chaque bras, Vincent les serre contre lui.
-vous êtes des amours tous les deux! Heureusement qu'on a eu une panne de métro dit Vincent en riant.
-le chauffeur c'est un copain dit Babacar en riant.
Il est bien Vincent entre ses deux beaux mecs et il ne peut s'empêcher de demander:
-vous êtes de la même famille ? car je trouve que vous vous ressemblez beaucoup!
-non dit Ba, comme t'a dit Babacar on est ami d'enfance et on baisait sous les cocotiers sur les plages de Dakar! On partage tout maintenant, surtout les beaux culs des blancs gourmands!
Ils riaient tous les deux et n'arrêtaient pas de faire des bisous à Vincent.
-j'croyais que t'étais pressé de rentrer chez toi ?
-maintenant ça va pas être facile, je ne sais pas si je vais pouvoir marcher!
-c'est pas grave dit Babacar, j'peux te garder ici m'sieur et Ba va rentrer chez lui!
Ba regarde Vincent en prenant un air triste.
-pourquoi il ne peut pas rester ?
-il ronfle la nuit dit Babacar.
-tu parles lui aussi, et plus fort que moi.
Ils se chamaillent au dessus de Vincent qui voit dans leurs regards de l'amusement et les lèvres se rapprochent, juste devant ses yeux et les sénégalais se roulent une pelle de compétition les yeux fermés. Vincent voit les langues déformer les joues.
Il caresse les corps encore chauds de ces beaux mecs en souriant.
Les deux têtes se rapprochent et viennent l'embrasser ensemble, les langues se battent pour entrer en lui.
Bah dit Vincent je crois que je ne suis pas parti!
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Nico T
1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Ah j'aurais aimé être à la place de Vincent 👍

