à 38 ans la révalation d'une femme

- Par l'auteur HDS Aristochat -
Récit érotique écrit par Aristochat [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : à 38 ans la révalation d'une femme Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-02-2005 dans la catégorie Pour la première fois
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à 38 ans la révalation d'une femme
J’ai 41 ans et je suis chef d’entreprise dans une ville bourgeoise de province. Comme régulièrement, ma femme et moi sommes invités à dîner chez des gens bien élevés, faisant partie de la bourgeoisie catho de cette petite ville.
Les femmes portent la robes en dessous du genou, les chemisiers fermés jusqu’au ernier bouton sous un collier permettant d’entre apercevoir leur train de vie. Alors que je discute, je suis surpris de croiser, au loin, le regard d’une femme d’une quarantaine d’année qui me fixe sans baisser les yeux. Elle porte son age assez joliment dotées de quelques rondeurs que les hommes apprécient tant. Au moment de passer à table, la maîtresse de maison place ses convives et je me retrouve à l’autre bout de la table, loin de ma femme avec pour voisine cette femme. Le repas s’anime de rires et de discussions plus ou moins sérieuses et je ne peux m’empêcher de sentir régulièrement la jambe de ma voisine se frotter à la mienne. Je me dis que je me fais des idées mais cette jambe se frotte belle et bien à ma cuisse. Une envie soudaine me pousse à laissé tomber ma serviette et de me servir de cette ruse pour laisser courir ma main genre « je vos demande pardon je n’ai pas fait attention ».ou plutot pour lui faire remarquer que, si c'est le cas, j'ai reperé son manège.
Quelques semaines passent et nous nous retrouvons chez d’autres amis. Je n’avais pas oublié son regard et souhaitais secrètement qu’elle soit là. La chance était avec moi Caroline puisque c’était son nom, était comme par hazard a coté de moi. C’était maintenant certain sa jambe cherchait le contact de la mienne sans qu’elle ne me montre un encore un intérêt particulier. Je me mis alors à l’imaginer autrement que dans son rôle de mère de famille rangée prônant le catéchisme
et allant à l’église tout les dimanches. Je sentais des picotements dans mon bas ventre. Mon sexe commençait à vibrer et une irrésistible envie de passer ma main entre ses cuisses naissait en moi au point de regarder mes interlocuteurs sans entendre un mot de ce qu’il me disait. Ma main glissait lentement sous la nappe pour se poser délicatement à l’intérieur du genou de caroline. Je la sentie sursauter. Elle sera immédiatement les cuisses coinçant ma main puis desserra l’emprise et se leva de table pour aider la maîtresse de maison.
A son retour, je la vis remonter légèrement sa jupe. Je voulais la caresser tout en essayant de toucher du bout des doigts son sexe au travers de sa culotte. Elle laissait mes doigts la caresser mais elle m’empêchait d’atteindre son sexe. Ses joues étaient roses et je la sentais inquiète si bien que j’arrêtais avec la ferme intention de lui laisser ma carte de visite.
Ce fut chose faite lorsqu’elle et son mari nous saluèrent avant de partir.
Le lundi matin mon portable sonna et elle m’invita à prendre un café chez elle vers 13h00. Son air de sainte ni touche m’excitait et je sentais en moi un certain trouble à l’idée de ce couple dont la femme était probablement délaissée depuis longtemps. Son mari ne devait plus la regarder et leurs années de mariage devaient rendre leurs relations sexuelles d’une banalité à toute épreuve. Je ne voyais que cela ou sinon qu’elle était une vraie salope habituée à ce genre de chose auquel cas il me faudrait assurer pour ne pas la décevoir et au cas où je m'étais munis de quelques artifices.
Lorsqu’elle ouvrit la porte elle semblait gênée, se rendez vous ressemblait pour beaucoup à certain rendez professionnel ou il est si difficile de rentrer dans le vif du sujet. J’essayais d’être avenant et de détendre l’atmosphère en parlant de connaissances communes, de la pluie et du beau temps. Le café était servit, la demeure était vaste et décorée avec beaucoup de goût. J’étais assis sur le canapé en face d’elle. Je remarquais que son chemisier était ouvert et que sa jupe l’était aussi sur le coté. Lorsqu’elle changeait ses jambes de place je pu remarquer qu’elle portait des bas. Une demi heure après mon arrivée aucune signe d’une quelconque envie de la part de Caroline. Je décidais donc de me lancer et de lui avouer que depuis la dernière fois je ne pensais qu’à elle et à l’envie de lui faire l’amour. Elle devint immédiatement rouge et m’expliqua qu’elle n’avait jamais trompé son mari, que même si cela lui avait traversé l’esprit elle était terriblement intimidé par moi.
Il me vint alors une idée.
« et si je te bande les yeux tu ne me verras pas et je pourrai te voler un baiser déjà pour commencer «
Je pris alors le foulard qu’elle portait et elle me laissa lui bander les yeux. La prenant par la main je la conduis vers le canapé pour l’installer assise en appuis entre l’accoudoir et le dossier.
Lentement sans lui parler je déboutonnais son chemisier laissant apparaître une poitrine généreuse. Sa bouche était légèrement ouverte et sa respiration se faisait de plus en plus rapide. Puis mes mains ôtèrent sa jupe la laissant ainsi en culotte chemise ouverte et chaussures à talons hauts. M’asseyant à coté d’elle je commençais à goûter à ses lèvres. Sa langue était hésitante jusqu'à ce qu’une de mes mains repousse les bretelles de son soutient gorges et que ses seins soient libérés de leurs bonnets. Hummm ses mamelons étaient larges et leurs bouts étaient durs. J’humidifiais mes doigts et entrepris de caresser leurs pointes. Caroline se cambra en gémissant sa bouche aveugle attrapa la mienne et sa langue maintenant caressait mes lèvres avec une formidable douceur. Ma bouche descendait pour lécher et sucer ses seins. A chaque coup de langue, son bassin bougeait d'avant en arrière comme pour m’appeler. Je me reculais pour mieux la regarder s’enflammer et gémir. J’écartais ses cuisses tout en la regardant et faisait glisser sa culotte sur le coté.
Son sexe était brillant de mouille, je ne l’avais pas encore touché à cet endroit et j’avais envie de jouer avec elle. Elle était ma proie et j’avais bien l’intention de la faire jouir de torture. Je lui demandais d’une douce mais ferme :
« Écartes tes lèvres, plonges tes doigts dans ta chatte et donnes les moi à sucer »

Caroline s’exécuta immédiatement en lorsqu’elle me mis ses doigts dans ma bouche mon érection devint épouvantablement douloureuse tellement elle m’excitait. Elle se mit à se branler devant moi écartant ses cuisses au maximum caressant son sexe et son anus. Elle pilonnait maintenant avec fougue son vagin qui coulait à vue d'oeil. Ma bouche aspirait son clito et mes doigts plongeaient en elle en même temps que ces doigts. de mon autre main je plongeais lentement et délicatement dans son anus pour l'ouvrir.
Son orgasme explosa si violement que son corps fut prit de spasmes et elle me supplia:

"GREG prends moi prends moi vite pénètre moi je n'en peux plus"

Il fallait d'abord qu’elle me prenne dans sa bouche. Je l’allongeais et avant de la rejoindre j’avais pris soin, au cas ou, de prendre dans mon cartable deux gods; un de taille normal et un d’un diamètre très gros. Pendant qu’elle me suçait je laissais ma langue et mes doigts la branler. Ses gémissements devenaient des hurlements comme si elle jouissait encore. Sa bouche me dévorait. Sans qu’elle le sache j’approchais le gros god de sa chatte et délicatement présentais le gland du jouet en latex à l'entrée de son vagin. Je du d’abord forcé un court instant avant que son sexe, complètement remplit, l’avale. Elle fut alors prit d'autres spasmes et dans un hurlement étouffé se mis à me crier;
" VAS Y GREG DEFONCES MOI GREG DEFONCES MOI HAAAAAAAAA JE JOUIS JE JOUIS!!!!!"
Le god allait et venait en elle. Je le ressortais pour mieux la baiser. Puis ayant lubrifié de ma salive et de ma langue son anus et l'autre jouet je la double pénétrait sans aucune difficulté tellement elle était ouverte et coulante. Je la retournais, la mis a genoux, cambrée pour mieux faire aller les jouets. Un court instant elle tenta de se débattre supplia qu’elle ne voulait pas puis lui tenant les bras tendus vers l’arrière, les jouet appuyé contre mon ventre elle céda tant et si bien qu'elle seule maintenant donnait le rythme.
Elle se mit à avoir un orgasme extraordinaire dans lequel elle cria;

"HAAAAA GREG, JE JOUIS ENCORE, MAIS QU’EST-CE QUE TU ME FAIS HAAAAAAAAA !!"

Une fois les jouets hors de ses trous mon sexe passa de son sexe à son anus. D'elle même ses mains s'étaient emparées de ses fesses pour les écarter et me permettre de la pénétrer au plus profond. C'était si bon de m'introduire en elle, j'avais envie de tout en même temps. J’avais envie de la serrer dans mes bras mais n’en pouvant plus, je lui demandais l’autorisation de jouir dans sa bouche. Elle prit mon sexe entre ses mains je retirais son foulard et lui demandais de me regarder dans les yeux pendant que je jouissais. Mon sperme jaillit sur le bord de ses lèvres et mon orgasme fut d’une violence interminable.
C’était réellement son premier écart et une révélation pour caroline qui m'avoua plus tard se masturber très très souvent et dont les fantasmes qu'elle estimait inavouables étaient multiples. Depuis ce jour, j’ai fait vivre des tas d’expériences insolites à cette néanmoins adorable Caroline mais ces histoires seront pour une prochaine fois si vous le souhaitez.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
vraiment super! une belle description de la femme qui espère un jour se faire prendre ,par un ami de la famille,un inconnu mais le fera peut-être!
Moi j'attends!



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