A disposition 3
Récit érotique écrit par Docilecage [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-01-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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A disposition 3
Sur le chemin du retour chez moi, mes pensées s'entremelaient, j'étais là fiotte de Madame qui venait de me marier avec chienne, sa soumise déjà bien dressée. Et pour bien confirmer mon statut de sous mâle, je devais obéir à chienne, ma femme, dans toutes ses envies.
J'essayais de mettre en images le cul de ma femme car en le léchant je l'avais découvert bien ouvert et sensible. Madame, ne voulant pas de pénétrations de mâles, à dû s'en servir a outrance sans que ma femme ne puisse rien dire. As t'elle pris du plaisir ? Est elle ouverte en permanence ? Toutes ses pensées m'amenairent à me demander si je serai à la hauteur des demandes de Madame et de ma femme quand mon cul sera mis à disposition. Madame veut l'ouvrir sous les coups de butoir de vrais sexe masculins, mais je ne suis pas homo. Est ce que servir pour le plaisir naturel des hommes c'est être homo sachant qu'il n'y a aucuns sentiments ? Tout se bouscule dans mon esprit.
J'ai en bouche le goût de la chatte de ma femme, agréable, un peu âcre mais je ne dois pas juger, je dois juste nettoyer et apprécier. Tout comme ses lèvres intimes que j'ai découvertes distendues. Aurait elle subit des allongements, sont elles naturellement distendues?
Malgré toutes ces questions je me sentais bien, à ma place. J'avais envie de subir toutes les envies de Madame sans me poser de questions, sa supériorité m'apaisait.
Arrivé chez moi, je ne pris pas de douches car j'aime être souillé du plaisir des autres. Cela donne l'idée d'avoir une armure collante.
Le lendemain, au moment de partir travailler, je reçus un SMS:
"Bonjour ma fiotte de mari, Madame veut qu'à partir de maintenant, tu ailles prendre ton café tous les matins dans ton bar tabac préféré et que tu suives toutes les personnes qui viendront te donner un papier avec écrit dessus : fiotte."
Grosse boule au ventre et cage trop petite. Comment ferais je si cela me m'était en retard à mon travail ? Aurais-je encore une tenue présentable si je dois servir? Car il est vrai que quelques fois je suis arrivé au travail avec des tâches du plaisir de Madame sur mon t-shirt.
C'est en me posant des questions sans réponses actuelles que je rentrais dans le bar en essayant de ne dévisager personne. Madame n'était pas présente. Je commande un café et commence à regarder la pendule car je n'avais que 7min devant moi.
Au moment où j'allais partir Madame entra, vint vers moi et déposa un papier avec écrit "fiotte" dessus, puis continua vers les WC. Je suivait tête baissée. Dans les toilettes, Madame souleva son haut et me dit de bien les sucer. Alors que je prodiguai un plaisir maire Madame prît la parole :
"Je sais qu'aujourd'hui tu risque d'être en retard à ton travail. Ce n'est pas ce que je veux. Donc maintenant tu viendras au bar 30min avant pour que ton travail de lécheur puisse être reconnu. Sache que j'aurais un rapport de toutes tes utilisations. Ne me decois pas. Tu vois que je prends soin de la fiotte que tu es, j'aurais pu te faire mettre à genoux sur ce sol douteux mais je t'ai offert ma poitrine pour que tu reste debout. Aller dégage, tu vas être en retard."
Une fois de plus mon cerveau tournait à 100 à l'heure. Mélange de bonheur avec ma cage qui me serrait et boule au ventre de ce que je pourrais subir.
Au travail où je suis simple employé, sans m'en rendre compte, je devenais plus respectueux envers les femmes. Il y a eu des réflexions comme quoi j'avais trouvé une compagne mais je répondais en disant que c'était normal.
Ce ne fut que 2 jours après, au bar, qu'un homme déposa un papier avec écrit dessus "fiotte". J'étais tétanisé mais le suivi dehors. Arrivés dans une impasse, il me dit:
"Je suis un de ceux qui baisent ta nouvelle femme, c'est une chaude qui en redemande tout le temps,mais ça tu ne le sauras jamais. Baisse ton froc que je vois ta cage, ça m'amuse de savoir que tu ne peux plus bander."
Honteux je baissais mon pantalon et mon slip.
"Je sais que tu n'as pas le droit de parler quand on t'utilises mais je vais voir si tu retiens tes cris"
Il pris la cage et tira violement dessus pour voir si ça tenait bien.
Surpris je retins mes cris au maximum tellement la douleur était immense. J'avais l'impression qu'il allait m'arracher le sexe. Une douleur atroce se mit en place et je ne pensais qu'à ça.
En riant, il sortit sa bite et me dit:
"Vient lécher, moi aussi je goutte et il faut t'habituer a nettoyer le matériel qui sert pour ta femme petit cocu avec qui je vais bien m'amuser"
A contre cœur, avec une douleur aux couilles, je viens passer ma langue pour récupérer les gouttes qui perdaient sur sa bite. Sans aller plus loin je lui nettoyais la bite. Quand il estima que c'était propre, il me dit:
"Bon début la fiotte, tu attends que je sois parti avant de te r'habiller et de partir. Je ne veux pas que l'on me voit avec une fiotte."
En me réajustant je comprenais que Madame était vraiment la personne que je cherchais car elle savait faire monter en moi l'angoisse pour me dépasser et devenir ce dont je rêve depuis longtemps : un simple objet de plaisirs.
J'essayais de mettre en images le cul de ma femme car en le léchant je l'avais découvert bien ouvert et sensible. Madame, ne voulant pas de pénétrations de mâles, à dû s'en servir a outrance sans que ma femme ne puisse rien dire. As t'elle pris du plaisir ? Est elle ouverte en permanence ? Toutes ses pensées m'amenairent à me demander si je serai à la hauteur des demandes de Madame et de ma femme quand mon cul sera mis à disposition. Madame veut l'ouvrir sous les coups de butoir de vrais sexe masculins, mais je ne suis pas homo. Est ce que servir pour le plaisir naturel des hommes c'est être homo sachant qu'il n'y a aucuns sentiments ? Tout se bouscule dans mon esprit.
J'ai en bouche le goût de la chatte de ma femme, agréable, un peu âcre mais je ne dois pas juger, je dois juste nettoyer et apprécier. Tout comme ses lèvres intimes que j'ai découvertes distendues. Aurait elle subit des allongements, sont elles naturellement distendues?
Malgré toutes ces questions je me sentais bien, à ma place. J'avais envie de subir toutes les envies de Madame sans me poser de questions, sa supériorité m'apaisait.
Arrivé chez moi, je ne pris pas de douches car j'aime être souillé du plaisir des autres. Cela donne l'idée d'avoir une armure collante.
Le lendemain, au moment de partir travailler, je reçus un SMS:
"Bonjour ma fiotte de mari, Madame veut qu'à partir de maintenant, tu ailles prendre ton café tous les matins dans ton bar tabac préféré et que tu suives toutes les personnes qui viendront te donner un papier avec écrit dessus : fiotte."
Grosse boule au ventre et cage trop petite. Comment ferais je si cela me m'était en retard à mon travail ? Aurais-je encore une tenue présentable si je dois servir? Car il est vrai que quelques fois je suis arrivé au travail avec des tâches du plaisir de Madame sur mon t-shirt.
C'est en me posant des questions sans réponses actuelles que je rentrais dans le bar en essayant de ne dévisager personne. Madame n'était pas présente. Je commande un café et commence à regarder la pendule car je n'avais que 7min devant moi.
Au moment où j'allais partir Madame entra, vint vers moi et déposa un papier avec écrit "fiotte" dessus, puis continua vers les WC. Je suivait tête baissée. Dans les toilettes, Madame souleva son haut et me dit de bien les sucer. Alors que je prodiguai un plaisir maire Madame prît la parole :
"Je sais qu'aujourd'hui tu risque d'être en retard à ton travail. Ce n'est pas ce que je veux. Donc maintenant tu viendras au bar 30min avant pour que ton travail de lécheur puisse être reconnu. Sache que j'aurais un rapport de toutes tes utilisations. Ne me decois pas. Tu vois que je prends soin de la fiotte que tu es, j'aurais pu te faire mettre à genoux sur ce sol douteux mais je t'ai offert ma poitrine pour que tu reste debout. Aller dégage, tu vas être en retard."
Une fois de plus mon cerveau tournait à 100 à l'heure. Mélange de bonheur avec ma cage qui me serrait et boule au ventre de ce que je pourrais subir.
Au travail où je suis simple employé, sans m'en rendre compte, je devenais plus respectueux envers les femmes. Il y a eu des réflexions comme quoi j'avais trouvé une compagne mais je répondais en disant que c'était normal.
Ce ne fut que 2 jours après, au bar, qu'un homme déposa un papier avec écrit dessus "fiotte". J'étais tétanisé mais le suivi dehors. Arrivés dans une impasse, il me dit:
"Je suis un de ceux qui baisent ta nouvelle femme, c'est une chaude qui en redemande tout le temps,mais ça tu ne le sauras jamais. Baisse ton froc que je vois ta cage, ça m'amuse de savoir que tu ne peux plus bander."
Honteux je baissais mon pantalon et mon slip.
"Je sais que tu n'as pas le droit de parler quand on t'utilises mais je vais voir si tu retiens tes cris"
Il pris la cage et tira violement dessus pour voir si ça tenait bien.
Surpris je retins mes cris au maximum tellement la douleur était immense. J'avais l'impression qu'il allait m'arracher le sexe. Une douleur atroce se mit en place et je ne pensais qu'à ça.
En riant, il sortit sa bite et me dit:
"Vient lécher, moi aussi je goutte et il faut t'habituer a nettoyer le matériel qui sert pour ta femme petit cocu avec qui je vais bien m'amuser"
A contre cœur, avec une douleur aux couilles, je viens passer ma langue pour récupérer les gouttes qui perdaient sur sa bite. Sans aller plus loin je lui nettoyais la bite. Quand il estima que c'était propre, il me dit:
"Bon début la fiotte, tu attends que je sois parti avant de te r'habiller et de partir. Je ne veux pas que l'on me voit avec une fiotte."
En me réajustant je comprenais que Madame était vraiment la personne que je cherchais car elle savait faire monter en moi l'angoisse pour me dépasser et devenir ce dont je rêve depuis longtemps : un simple objet de plaisirs.
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'adore vos histoires , vous avez beaucoup de chance de les avoirs vécus ! J'aurais rêver être à votre place ! Vivement la suite