A l'université, on fouette le cul des étudiantes, on les enconne et on les encule
Récit érotique écrit par Different [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-04-2012 dans la catégorie Dominants et dominés
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A l'université, on fouette le cul des étudiantes, on les enconne et on les encule
A l'université, on fouette le cul des étudiantes, on les enconne et on les encule.
Venez, s'il vous plait mademoiselle Freeman.Vous entrez dans la salle de classe, vous êtes un peu nerveuse, vous vous retournez, vous relevez une mèche de vos cheveux qui tombe sur votre visage. Je remarque que vous avez des boucles d'oreilles et que vous portez des hauts talons rouges. Je dois vous rappeler que vous êtes nouvelle et étrangère à l'université. Silence, Melle Freeman. Vous faites silence mais vos mains jouent avec vos cheveux, ça ne peut pas continuer ainsi.
Ma voix est sévère, je suis près de vous et je vous regarde. Avant tout, laissez moi vous souhaiter la bienvenue à l'université. J'espère que vous serez très heureuse ici. Nous avons quelques règles simples, que nous devons appliquer rigoureusement. Vous me comprenez ? Oui.
Vous avez une très jolie voix. Oui, Monsieur, Melle Freeman, vous répondrez oui, Monsieur? C'est compris ? Oui, Monsieur.
Il faut marquer un temps d'arrêt avant de dire Monsieur. Je fronce les sourcils mais je lui accorde le bébéfice du doute. Pour les nouvelles, il faut un certain temps pour s'habituer. Maintenant Melle Freeman , dis-je en souriant pour la mettre à l'aise. Il y a simplement quelques petites choses que je voudrais porter à votre attention. Quand une fille se distingue dans cette université, elle le fait d'une manière particulière. Vous êtes nouvelle ici, aussi il est naturel qu'on vous explique. Relevez le menton. Je pose mes doigts sous votre menton et je le relève.
Une bonne fille doit se tenir droit, ses pieds doivent être l'un à côte de l'autre. Je hoche la tête en signe d'approbation comme vous mettez vos chaussures à hauts talons l'une à côte de l'autre, et vous mettez vos mains derrière votre dos. Non pas là , ici.
Je lève vos bras pour les amener juste au dessus de votre cul. Je tire sur vos épaules pour que votre dos s'incurve un peu, pour mettre en valeur vos nichons bien galbés.Je sens ma bite qui se raidit. Vous avez vraiment un corps superbe.Vous vous rappellerez cette position, Ma demoiselle Freeman, c'est celle qu'une bonne fille doit prendre lorsque je m'adresse à elle et que je l'inspecte. Je procède à des inspections au moins deux fois par jour avec chaque jeune fille de cet établissement. Je trouve qu'un bon comportement est la base de tout ce qui se fait ici. "Vous vous en souviendrez ?"
"Oui,Monsieur", dit elle sans hésitation.
Il se peut que de temps en temps vous commettiez une infraction au réglement, alors vous prendrez cette position, mais vous baisserez la tête. Je prends votre menton entre le pouce et l'index pour que vous baissiez la tête, bien que vos nichons fermes et fiers pointent de façon très provocante sous votre sweater très serré.
Prenez garde à votre attitude et adressez vous à moi toujours correctement et il n'y aura aucun problème, Mademoiselle Freeman.Vous pouvez relever votre tête maintenant. Vous le faites.
Et rappelez vous, Mademoiselle Freemann, qu'une jeune fille doit toujours dire merci, lorsqu'elle reçoit des instructions.
"Oui Monsieur".
Excellent : Je souris et elle sourit timidement en baissant les cils.Pas de maquillage, pas de parfum, pas de bijoux.
Il reste encore une chose : Vous devez avoir un uniforme. Je montre de la tête la pile de vêtements bien pliés sur mon bureau. Vous hésitez. Mais vous dites : Oui,Monsieur.
Où puis-je me changer, Monsieur ?
Ici, ma fille, ici.
Vous êtes choquée ?
Jeune fille, j'inspecte toutes les filles fréquentant cette université et je dois m'assurer qu'elle ne porte rien d'illégal sur elle, je dois aussi m'assurer que vous savez comment enfiler votre uniforme convenablement.
Déhabillez vous, sil vous plait.
"Non, non",
Vous faites un pas en arrière.
Mademoiselle Freeman, vous êtes inscrite maintenant dans cette université ei si vous ne répondez pas favorablement à mes demandes, je n'aurais pas d'autre alternative que de vous châtier sévèrement.
Vous êtes nouvelle et je suis prêt à oublier cette incartade, mais seulement si vous suivez rapidement mes instructions. Soyez une gentille fille, Mademoiselle Freeman.
Je veux vous prendre, vous calmer, Vous vous dirigez vers la porte qui est fermée à clef. Vous vous retournez lorsque j'approche, vous avez le dos à la porte.
Restez loin de moi, votre mépris repose sur la peur.Vos yeux sombres sont grands, vos nichons ballotent. Il n'est pas rare chez les nouvelles étudiantes d'être timide, lorsqu'il s'agit de se déshabiller, et parfois elles protestent.
C'est tout à fait extraordinaire. Je vous préviens, Mademoiselle Freeman, votre puntion sera sévère. Cela na pas de sens de rendre les choses plus difficile qu'elles ne le sont. Je vous dis pour la dernière fois, déshabillez vous.
Je vous prends la taille, je fais un effort pour vous porter sur mon dos . Bien que vous soyez une des filles les plus petites de l'université, vous êtes bien batie, vos poings me frappent le dos, vos jambes se débattent et je vais être obligé d'utiliser ma main libre pour vous donner de très fortes claques sur votre cul.
Mademoiselle, vlan, Freeman vlan, vlan , vlan . Deux gifles sont nécessaires Vous vous tortillez et vous aller tomber. Vlan, vlan. Je vous donne une dernière claque sur votre cul qui est déjà tout rouge et je m'approche de mon bureau, où je vous dépose sans ménagement. Vous avez perdu un talon, l'autre égratigne mon tibia et me fait terriblement mal. Je serre les dents, je saisis une mèche de vos cheveux et d'une main je vous rosse. Je n'ai jamais fouetté une jeune étudiante plus de une ou deux fois, normalement le fait de menacer de la châtier suffit, mais vous, vous êtes une furie échevelée, votre sweater est relevé sur vos gros nichons, vos bas sont à vos pieds, je n'ai pas le choix et je vais fouetter impitoyablement votre gros cul sauvagement, m'efforçant de vous faire souffir de façon abominable.Vos cris ont fait place à des pleurs et vous ne luttez plus.
Je vous donne peut-être encore une douzaine de coups de fouet qui zèbre votre beau cul , vous bougez à peine et vous pleurnichez. Je m'arrête, posant ma main sur votre cul.
Eh bien mademoiselle Freeman, ce fut une séance bien agréable pour moi et bien désagréable pour vous. Je respire avec difficulté, ma bite est très raide dans mon pantalon.
Allez soyez une gentille fille, sinon je devrais vous fouetter encore et croyez moi, les coups de fouet que je vous assainerais seront infiniment plus douloureux que ceux que vous venez de recevoir.
Vous reniflez et sanglotez en disant : "Oui, Monsieur".
Restez calme, Mademoiselle Freeman. Je me dirige vers le tiroir du bureau et je prends une paire de ciseaux. Avec ma main libre, je saisis votre robe et je vous tire pour que vous soyez penchée sur le bord du bureau.
Je suis debout pès de vous et je pose la pointe de ma bite sur votre trou du cul. Ma pine bat au rythme de mon coeur. J'utilise le ciseau pour couper votre sweater et le retirer de votre poitrine, je coupe les manches et j'enlève le reste.Votre soutien gorge est à ma portée et je coupe les lacets et le fais glisser par le bas.Tout le temps, j'enfonce ma bite dans la chair chaude de votre cul. Je n'ai pas besoin de couper ta robe, je défais la fermeture éclair que je descends jusqu' à vos pieds et je prends vos jambes recouvertes de vos bas et j'admire la façon dont votre string encadre les "joues" de votre cul. Mes coups de fouet les ont rendu toutes rouges. C'est très beau...
Les tongs ne sont pas permis, Mademoiselle Freeman. Je vais utiliser de nouveau les ciseaux pour couper le tissus. Votre chatte replète s'offre à moi.
Je déboutonne ma cravate et baisse mon pantalon. Le bout de ma bite est mouillé, mon slip est également mouillé. Je le baisse et pointe ma bite contre votre con. Vous gémissez un peu et puis vous vous taisez.
Voilà ce qui arrive aux jeunes filles qui défient le réglement de notre établissement, dis-je en poussant violemment ma bite dans votre con.
Vous êtes mouillée et votre chatte est brûlante et elle bat comme un coeur, lorsque je rentre ma pine dedans, vous criez et vous vous penchez pour essayer d'expulser ma bite de votre mignon trou d'amour et votre cul bien rond est pressé contre moi. Immédiatemnt je saisis fermement votre cou d'une main et avec mon autre main je donne un coup terrible sur votre cul . Ma bite est prisionnière de votre chatte, je me penche en avant vous poussant contre le bureau, ainsi ma pine est retenue par votre minou, malgré que vous vous tortillez pour vous dégager.
Désirez vous de nouveau être battue ,Mademoiselle Freeman ?
"Non, Monsieur", svp, bredouilla-elle.
Alors je suggère que vous demandiez votre punition. Demander comme une petit fille bien gentille. Je sens que vous tremblez, vos cuisses potelées tremblent aussi. Vous pleurnichez un peu et vous marmonnez "Oui ,Monsieur". Plus fort? Mademoiselle Freeman, j'enfonce toute la longueur de ma bite sauvagement dans votre con, voulez vous aussi dans votre trou du cul ? S'il vous plait, s'il vous plait, Monsieur prenez moi, s'il vous plait, je veux que vous remplissez mon con avec votre bite si dure. Ouvrez moi, ma chatte vous appartient et mon cul est à vous, Monsieur. Les mots sortaient de sa bouche si innocemment et je commençais à foutre ma bite dans son con, en lui donnant de petit coups, puis vous hésitez , comme si vous ne croyez pas ce que vous venez de me dire. J'enfonce ma bite entièrement dans votre minou, oui la totalité de ma bite qui est très dure, dure comme de la pierre, si profondement avec une force inouie.
Continuez à demander, Mademoiselle Freeman, comme la bonne petite salope que vous êtes". Les larmes coulent sur vos joues et vous me demandez de vous baiser encore plus brutalement. Je sens votre petit con humide se préparer à vous faire jouir intensément. Baisez moi plus fort, plus fort, Monsieur "Faites de moi une fille obéissante en me déchiran , en me faisant souffrir abominablement sous l'action de votre énorme bite qui cingle mes chairs intimes de mon con et peu-têtre aussi plus tard de mon cul.
Alors vous jouissez et vos cris de plaisir se font entendre dans toute la pièce. Je suis très fier du résultat obtenu et tout cela avec un fouet et une bite.
Je n'arrête pas, je continue à vous baiser pour faire plaisir à votre douce chatte dégoulinante de mouille jusqu'à ce que vous jouissiez de nouveau.
Je pèse sur vous sauvagement et votre cul est pressé contre vous.
Je me retire et je vous mets à genoux devant moi.
"Vous avez quelque chose à me dire, Mademoiselle Freeman ?
Merci, Monsieur et vous regardez ma bite devenue très molle.
Merci, Monsieur pour avoir pris soin de me punir et avoir essayé de m'apprendre ce qu'il fallait faire pour que je devienne une gentille fille.
Je vous regarde et je vois que vos mamelons sont durs comme de la pierre, vos yeux sont grands et votre langue sort de votre bouche.
Vous me dites timidement : "S'il vous plait, Monsieur, est-ce que vous me permettez de nettoyer vore belle bite ?
"Très bien, une gentille fille nettoye toujours ma bite, mais faites vite, Mademoiselle Freeman.
Vous ête rapide et travailleuse, vos lèvres et votre langue ont enlevé toutes traces de votre jus de chatte de ma bite et de mes couilles. Vous avez sucé ma pine avec un enthousiasme grandissant et vous avez terminé en grognant lorsque je vous foutais ma bite dans la bouche et que je jutais dans ce réceptable, vous avez avalé mon foutre jusqu'à la dernière goûte comme une gentille fille.
Maintenant,Mademoiselle Freeman, dis-je, laissant ma bite dans sa bouche, lui permettant de sucer le bout comme un bon dessert. Vous avez fait un début prometteur à l'université, vous m'avez montré que vous désirez apprendre, que vous êtes d'accord pour vous soumettre aux punitions méritées, mais vous n'êtes pas encore prête à revêtir l'uniforme de l'université, c'est un privilège que vous devez gagner, Mademoiselle Freeman.
Vous allez suivre des cours pendant la première semaine comme vous êtes maintenant, c'est à dire toute nue ? Cela comportera la course matinale obligatoire dans le parc. Levez vous.
Vous le faites et je dois dire que vous le faites très bien, avec vos jambes l'une à côté de l'autre votre tête est bien droite, vos nichons sont tendus. Ma bite enfle et devient très grosse, je bande fort. Malgré vos larmes, votre visage brille de fierté, quand je dis, "Gentille fille".
J'appuie sur ule bouton de l'interphone posé sur mon bureau : Madame Presswood, venez ici imédiatement. La porte n'est pas fermée à clef et Madame Prresswood entre dans le bureau. Elle est saisie par la beauté de votre nudité, se remet de ses émotions et vint vers mo, ne cessant pas de regarder ma bite, comme toutes les gentilles filles se doivent de faire aussi. Mademoiselle Freeman. Elle est nouvelle à l'université, mais elle ne portera pas notre uniforme pendant quelque temps.
Mademoiselle Freeman, Heidi est une de mes plus gentilles filles et vous ferez bien d'être son émule. Essayez de l'imiter en fait.
Je passe ma main sous sa robe pour vérifier ses sous vêtements, je tâte son gros cul recouvert de soie. Je fais un bruit pour marquer mon approbation et je laisse ma main où je l'avais mise, c'est à dire sur son cul que je presse et Melle Presswood ronronne de plaisir. Je regarde votre regard et je vois que vous êtes blessée. Je retire ma main du cul de Mademoiselle Presswood pour la poser sur le vôtre de cul qui est large et je le le presse très fort. Je glisse un doigt dans votre petite chatte humide et bien chaude et je me penche en disant :"je suis certain que vous aimeriez surpasser Mademoiselle Presswood, n'est-ce pas, Caroline? Comme je prononce votre prénom, votre con me serre le doigt. Tous les jours Mademoiselle Presswood s'efforce d'exceller. Maintenant allez avec Mademoiselle Presswood au dortoir. Je vous regarde partir en caressant ma longue bite. Arrivée à la porte, vous vous retournez et vous dites : Merci, Monsieur pour m'apprendre à être une gentille fille. Vous regardez ma bite qui est très raide. En fait, Mademoiselle Freeman, il y a un problème urgent et je pense que vous pourrez m'aider, vous irez au dortoir plus tard.
Venez maintenant.
Vous fermez la porte, vous vous agenouillez et vous venez vers moi à quatre pattes, vos yeux fixant toujours ma bite, comme une gentille et belle petite putain.
Venez, s'il vous plait mademoiselle Freeman.Vous entrez dans la salle de classe, vous êtes un peu nerveuse, vous vous retournez, vous relevez une mèche de vos cheveux qui tombe sur votre visage. Je remarque que vous avez des boucles d'oreilles et que vous portez des hauts talons rouges. Je dois vous rappeler que vous êtes nouvelle et étrangère à l'université. Silence, Melle Freeman. Vous faites silence mais vos mains jouent avec vos cheveux, ça ne peut pas continuer ainsi.
Ma voix est sévère, je suis près de vous et je vous regarde. Avant tout, laissez moi vous souhaiter la bienvenue à l'université. J'espère que vous serez très heureuse ici. Nous avons quelques règles simples, que nous devons appliquer rigoureusement. Vous me comprenez ? Oui.
Vous avez une très jolie voix. Oui, Monsieur, Melle Freeman, vous répondrez oui, Monsieur? C'est compris ? Oui, Monsieur.
Il faut marquer un temps d'arrêt avant de dire Monsieur. Je fronce les sourcils mais je lui accorde le bébéfice du doute. Pour les nouvelles, il faut un certain temps pour s'habituer. Maintenant Melle Freeman , dis-je en souriant pour la mettre à l'aise. Il y a simplement quelques petites choses que je voudrais porter à votre attention. Quand une fille se distingue dans cette université, elle le fait d'une manière particulière. Vous êtes nouvelle ici, aussi il est naturel qu'on vous explique. Relevez le menton. Je pose mes doigts sous votre menton et je le relève.
Une bonne fille doit se tenir droit, ses pieds doivent être l'un à côte de l'autre. Je hoche la tête en signe d'approbation comme vous mettez vos chaussures à hauts talons l'une à côte de l'autre, et vous mettez vos mains derrière votre dos. Non pas là , ici.
Je lève vos bras pour les amener juste au dessus de votre cul. Je tire sur vos épaules pour que votre dos s'incurve un peu, pour mettre en valeur vos nichons bien galbés.Je sens ma bite qui se raidit. Vous avez vraiment un corps superbe.Vous vous rappellerez cette position, Ma demoiselle Freeman, c'est celle qu'une bonne fille doit prendre lorsque je m'adresse à elle et que je l'inspecte. Je procède à des inspections au moins deux fois par jour avec chaque jeune fille de cet établissement. Je trouve qu'un bon comportement est la base de tout ce qui se fait ici. "Vous vous en souviendrez ?"
"Oui,Monsieur", dit elle sans hésitation.
Il se peut que de temps en temps vous commettiez une infraction au réglement, alors vous prendrez cette position, mais vous baisserez la tête. Je prends votre menton entre le pouce et l'index pour que vous baissiez la tête, bien que vos nichons fermes et fiers pointent de façon très provocante sous votre sweater très serré.
Prenez garde à votre attitude et adressez vous à moi toujours correctement et il n'y aura aucun problème, Mademoiselle Freeman.Vous pouvez relever votre tête maintenant. Vous le faites.
Et rappelez vous, Mademoiselle Freemann, qu'une jeune fille doit toujours dire merci, lorsqu'elle reçoit des instructions.
"Oui Monsieur".
Excellent : Je souris et elle sourit timidement en baissant les cils.Pas de maquillage, pas de parfum, pas de bijoux.
Il reste encore une chose : Vous devez avoir un uniforme. Je montre de la tête la pile de vêtements bien pliés sur mon bureau. Vous hésitez. Mais vous dites : Oui,Monsieur.
Où puis-je me changer, Monsieur ?
Ici, ma fille, ici.
Vous êtes choquée ?
Jeune fille, j'inspecte toutes les filles fréquentant cette université et je dois m'assurer qu'elle ne porte rien d'illégal sur elle, je dois aussi m'assurer que vous savez comment enfiler votre uniforme convenablement.
Déhabillez vous, sil vous plait.
"Non, non",
Vous faites un pas en arrière.
Mademoiselle Freeman, vous êtes inscrite maintenant dans cette université ei si vous ne répondez pas favorablement à mes demandes, je n'aurais pas d'autre alternative que de vous châtier sévèrement.
Vous êtes nouvelle et je suis prêt à oublier cette incartade, mais seulement si vous suivez rapidement mes instructions. Soyez une gentille fille, Mademoiselle Freeman.
Je veux vous prendre, vous calmer, Vous vous dirigez vers la porte qui est fermée à clef. Vous vous retournez lorsque j'approche, vous avez le dos à la porte.
Restez loin de moi, votre mépris repose sur la peur.Vos yeux sombres sont grands, vos nichons ballotent. Il n'est pas rare chez les nouvelles étudiantes d'être timide, lorsqu'il s'agit de se déshabiller, et parfois elles protestent.
C'est tout à fait extraordinaire. Je vous préviens, Mademoiselle Freeman, votre puntion sera sévère. Cela na pas de sens de rendre les choses plus difficile qu'elles ne le sont. Je vous dis pour la dernière fois, déshabillez vous.
Je vous prends la taille, je fais un effort pour vous porter sur mon dos . Bien que vous soyez une des filles les plus petites de l'université, vous êtes bien batie, vos poings me frappent le dos, vos jambes se débattent et je vais être obligé d'utiliser ma main libre pour vous donner de très fortes claques sur votre cul.
Mademoiselle, vlan, Freeman vlan, vlan , vlan . Deux gifles sont nécessaires Vous vous tortillez et vous aller tomber. Vlan, vlan. Je vous donne une dernière claque sur votre cul qui est déjà tout rouge et je m'approche de mon bureau, où je vous dépose sans ménagement. Vous avez perdu un talon, l'autre égratigne mon tibia et me fait terriblement mal. Je serre les dents, je saisis une mèche de vos cheveux et d'une main je vous rosse. Je n'ai jamais fouetté une jeune étudiante plus de une ou deux fois, normalement le fait de menacer de la châtier suffit, mais vous, vous êtes une furie échevelée, votre sweater est relevé sur vos gros nichons, vos bas sont à vos pieds, je n'ai pas le choix et je vais fouetter impitoyablement votre gros cul sauvagement, m'efforçant de vous faire souffir de façon abominable.Vos cris ont fait place à des pleurs et vous ne luttez plus.
Je vous donne peut-être encore une douzaine de coups de fouet qui zèbre votre beau cul , vous bougez à peine et vous pleurnichez. Je m'arrête, posant ma main sur votre cul.
Eh bien mademoiselle Freeman, ce fut une séance bien agréable pour moi et bien désagréable pour vous. Je respire avec difficulté, ma bite est très raide dans mon pantalon.
Allez soyez une gentille fille, sinon je devrais vous fouetter encore et croyez moi, les coups de fouet que je vous assainerais seront infiniment plus douloureux que ceux que vous venez de recevoir.
Vous reniflez et sanglotez en disant : "Oui, Monsieur".
Restez calme, Mademoiselle Freeman. Je me dirige vers le tiroir du bureau et je prends une paire de ciseaux. Avec ma main libre, je saisis votre robe et je vous tire pour que vous soyez penchée sur le bord du bureau.
Je suis debout pès de vous et je pose la pointe de ma bite sur votre trou du cul. Ma pine bat au rythme de mon coeur. J'utilise le ciseau pour couper votre sweater et le retirer de votre poitrine, je coupe les manches et j'enlève le reste.Votre soutien gorge est à ma portée et je coupe les lacets et le fais glisser par le bas.Tout le temps, j'enfonce ma bite dans la chair chaude de votre cul. Je n'ai pas besoin de couper ta robe, je défais la fermeture éclair que je descends jusqu' à vos pieds et je prends vos jambes recouvertes de vos bas et j'admire la façon dont votre string encadre les "joues" de votre cul. Mes coups de fouet les ont rendu toutes rouges. C'est très beau...
Les tongs ne sont pas permis, Mademoiselle Freeman. Je vais utiliser de nouveau les ciseaux pour couper le tissus. Votre chatte replète s'offre à moi.
Je déboutonne ma cravate et baisse mon pantalon. Le bout de ma bite est mouillé, mon slip est également mouillé. Je le baisse et pointe ma bite contre votre con. Vous gémissez un peu et puis vous vous taisez.
Voilà ce qui arrive aux jeunes filles qui défient le réglement de notre établissement, dis-je en poussant violemment ma bite dans votre con.
Vous êtes mouillée et votre chatte est brûlante et elle bat comme un coeur, lorsque je rentre ma pine dedans, vous criez et vous vous penchez pour essayer d'expulser ma bite de votre mignon trou d'amour et votre cul bien rond est pressé contre moi. Immédiatemnt je saisis fermement votre cou d'une main et avec mon autre main je donne un coup terrible sur votre cul . Ma bite est prisionnière de votre chatte, je me penche en avant vous poussant contre le bureau, ainsi ma pine est retenue par votre minou, malgré que vous vous tortillez pour vous dégager.
Désirez vous de nouveau être battue ,Mademoiselle Freeman ?
"Non, Monsieur", svp, bredouilla-elle.
Alors je suggère que vous demandiez votre punition. Demander comme une petit fille bien gentille. Je sens que vous tremblez, vos cuisses potelées tremblent aussi. Vous pleurnichez un peu et vous marmonnez "Oui ,Monsieur". Plus fort? Mademoiselle Freeman, j'enfonce toute la longueur de ma bite sauvagement dans votre con, voulez vous aussi dans votre trou du cul ? S'il vous plait, s'il vous plait, Monsieur prenez moi, s'il vous plait, je veux que vous remplissez mon con avec votre bite si dure. Ouvrez moi, ma chatte vous appartient et mon cul est à vous, Monsieur. Les mots sortaient de sa bouche si innocemment et je commençais à foutre ma bite dans son con, en lui donnant de petit coups, puis vous hésitez , comme si vous ne croyez pas ce que vous venez de me dire. J'enfonce ma bite entièrement dans votre minou, oui la totalité de ma bite qui est très dure, dure comme de la pierre, si profondement avec une force inouie.
Continuez à demander, Mademoiselle Freeman, comme la bonne petite salope que vous êtes". Les larmes coulent sur vos joues et vous me demandez de vous baiser encore plus brutalement. Je sens votre petit con humide se préparer à vous faire jouir intensément. Baisez moi plus fort, plus fort, Monsieur "Faites de moi une fille obéissante en me déchiran , en me faisant souffrir abominablement sous l'action de votre énorme bite qui cingle mes chairs intimes de mon con et peu-têtre aussi plus tard de mon cul.
Alors vous jouissez et vos cris de plaisir se font entendre dans toute la pièce. Je suis très fier du résultat obtenu et tout cela avec un fouet et une bite.
Je n'arrête pas, je continue à vous baiser pour faire plaisir à votre douce chatte dégoulinante de mouille jusqu'à ce que vous jouissiez de nouveau.
Je pèse sur vous sauvagement et votre cul est pressé contre vous.
Je me retire et je vous mets à genoux devant moi.
"Vous avez quelque chose à me dire, Mademoiselle Freeman ?
Merci, Monsieur et vous regardez ma bite devenue très molle.
Merci, Monsieur pour avoir pris soin de me punir et avoir essayé de m'apprendre ce qu'il fallait faire pour que je devienne une gentille fille.
Je vous regarde et je vois que vos mamelons sont durs comme de la pierre, vos yeux sont grands et votre langue sort de votre bouche.
Vous me dites timidement : "S'il vous plait, Monsieur, est-ce que vous me permettez de nettoyer vore belle bite ?
"Très bien, une gentille fille nettoye toujours ma bite, mais faites vite, Mademoiselle Freeman.
Vous ête rapide et travailleuse, vos lèvres et votre langue ont enlevé toutes traces de votre jus de chatte de ma bite et de mes couilles. Vous avez sucé ma pine avec un enthousiasme grandissant et vous avez terminé en grognant lorsque je vous foutais ma bite dans la bouche et que je jutais dans ce réceptable, vous avez avalé mon foutre jusqu'à la dernière goûte comme une gentille fille.
Maintenant,Mademoiselle Freeman, dis-je, laissant ma bite dans sa bouche, lui permettant de sucer le bout comme un bon dessert. Vous avez fait un début prometteur à l'université, vous m'avez montré que vous désirez apprendre, que vous êtes d'accord pour vous soumettre aux punitions méritées, mais vous n'êtes pas encore prête à revêtir l'uniforme de l'université, c'est un privilège que vous devez gagner, Mademoiselle Freeman.
Vous allez suivre des cours pendant la première semaine comme vous êtes maintenant, c'est à dire toute nue ? Cela comportera la course matinale obligatoire dans le parc. Levez vous.
Vous le faites et je dois dire que vous le faites très bien, avec vos jambes l'une à côté de l'autre votre tête est bien droite, vos nichons sont tendus. Ma bite enfle et devient très grosse, je bande fort. Malgré vos larmes, votre visage brille de fierté, quand je dis, "Gentille fille".
J'appuie sur ule bouton de l'interphone posé sur mon bureau : Madame Presswood, venez ici imédiatement. La porte n'est pas fermée à clef et Madame Prresswood entre dans le bureau. Elle est saisie par la beauté de votre nudité, se remet de ses émotions et vint vers mo, ne cessant pas de regarder ma bite, comme toutes les gentilles filles se doivent de faire aussi. Mademoiselle Freeman. Elle est nouvelle à l'université, mais elle ne portera pas notre uniforme pendant quelque temps.
Mademoiselle Freeman, Heidi est une de mes plus gentilles filles et vous ferez bien d'être son émule. Essayez de l'imiter en fait.
Je passe ma main sous sa robe pour vérifier ses sous vêtements, je tâte son gros cul recouvert de soie. Je fais un bruit pour marquer mon approbation et je laisse ma main où je l'avais mise, c'est à dire sur son cul que je presse et Melle Presswood ronronne de plaisir. Je regarde votre regard et je vois que vous êtes blessée. Je retire ma main du cul de Mademoiselle Presswood pour la poser sur le vôtre de cul qui est large et je le le presse très fort. Je glisse un doigt dans votre petite chatte humide et bien chaude et je me penche en disant :"je suis certain que vous aimeriez surpasser Mademoiselle Presswood, n'est-ce pas, Caroline? Comme je prononce votre prénom, votre con me serre le doigt. Tous les jours Mademoiselle Presswood s'efforce d'exceller. Maintenant allez avec Mademoiselle Presswood au dortoir. Je vous regarde partir en caressant ma longue bite. Arrivée à la porte, vous vous retournez et vous dites : Merci, Monsieur pour m'apprendre à être une gentille fille. Vous regardez ma bite qui est très raide. En fait, Mademoiselle Freeman, il y a un problème urgent et je pense que vous pourrez m'aider, vous irez au dortoir plus tard.
Venez maintenant.
Vous fermez la porte, vous vous agenouillez et vous venez vers moi à quatre pattes, vos yeux fixant toujours ma bite, comme une gentille et belle petite putain.
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
j'aurai tant aimé être le directeur de cette université , mais j'aurai quand même
violamment sodomisé cette petite chienne
violamment sodomisé cette petite chienne
mmmmhhh quelle plaisir de lire sa,j'aimerai aller dans cette universiter^^
hmmmmmmmmmmm, elle s'appelle comment cette unversitée pour que j'y aille?
nul
a quand la suite? :D bravo en tout cas !
J'ai beaucoup aimé cette situation. Ce que j'aurai aimé aller dans ce genre d'école ! ^^