A la clinique de repos avec une patiente 2

- Par l'auteur HDS Bonnebite83 -
Auteur homme.
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Récit libertin : A la clinique de repos avec une patiente 2 Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-04-2019 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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A la clinique de repos avec une patiente 2
A un moment donné de ma vie, je me suis retrouvé en difficulté sur le plan psychologique car suite à des surmenages et une intensité de travail, j'ai fait un burn-out. Mon médecin m'a préconisé du repos avec une cure de sommeil, il m'a dit, je vous arrête pour deux mois dans une clinique de repos dans le Sud-Ouest de la France, c'est une très bonne clinique de repos et vous y serai bien car j' ai envoyé des patients et ils en ont été très très content. Je me suis rendu dans cette clinique et c'est vrai en arrivant, j'ai été agréablement surpris par l'endroit idyllique et la gentillesse du personnel très à l'écoute.Nous étions quelques-uns à rentrer ce jour-là et j'ai remarqué une femme d'une bonne quarantaine d'années qui portait des grosses lunettes noires et était habillée avec un pantalon très large et un gros pull par-dessus ce qui cachait complètement sa féminité mais on était pas là pour ça mais plutôt pour se soigner. On m'amena dans une chambre d'isolement pendant 10 jours pour effectuer ma cure de sommeil. A la sortie, on m'amena dans une chambre très bien, grande mais la particularité de cette clinique, c'est qu'il n'y avait pas de chambres particulières, elle étaient toutes à 2 lits, c'était le seul bémol. Mon compagnon de chambre était vraiment très sympa et de toute façon, on y allait uniquement pour dormir. Quand arriva l'heure du repas, on m'amena dans la salle de restaurant et nous étions 4 par table. Je me suis retrouvé avec deux femmes très sympas et qui m'ont très bien accueilli. Au bout de quelques minutes, la femme que j'avais croisé en arrivant avec ses grosses lunettes noires est venue compléter notre table. On parlait de tout et de rien et on plaisantais un peu mais cette femme avait la tête dans son assiette et ne disait rien, elle ne parlait pas et quand elle eu fini de manger, elle s'est levée, prit son plateau pour débarrasser et partit sans rien dire. Une des deux femmes qui étaient à la table nous dit que cette femme était avec elle dans sa chambre et ça n'avait pas l'air de l'enchanter mais bon fallait faire avec. Celle qui allait devenir ma copine partait à la fin de la semaine et l'autre qui partageait la chambre avec la femme aux lunettes noires, la semaine suivante. Le soir, on se retrouvait et certain jouaient aux cartes ou autres et le petit groupe dont je faisais partie, se retrouvait devant la cheminée car même si la journée, il faisait très bon, le soir, il faisait frais car nous étions au printemps. La clinique avait mis à disposition des patients lève-tôt, une petite salle avec quelques chaises et petits fauteuils avec deux bouilloires et une infirmière ouvrait la porte à 6 heures et on se retrouvait pour boire le café que chacun amenait. ça draguait sec et les femmes le faisaient exprès car elles venaient en pyjama ou en robe de chambre légèrement ouverte avec une chemise de nuit transparente en dessous ou on pouvait voir leur poitrine avec les gros mamelons qui se dessinaient à travers le tissu fin. Celles qui étaient en pyjama, remontaient leurs pieds et les posaient sur le bord de la chaise ou du fauteuil, ce qui tendait le tissu et on pouvait voir la forme de leur chatte avec leur deux grosses lèvres qui se dessinaient à travers le tissu très fin. Elles s'en amusaient et regardaient l'entre-jambes des mecs pour déceler leurs érections, c'est ce qui se produisait à chaque fois. Le vendredi matin, la meilleure amie de ma copine qui partageait la chambre avec cette femme aux lunettes noires, n'était pas là, ma copine me demanda d'aller la réveiller. En entrant dans la chambre, elle dormait dans le premier lit près de la porte et cette femme au fond près de la fenêtre qui n'était pas tout à fait fermée et laissait entrer la lumière. Je regardai dans sa direction et fus scotché par le spectacle que m'offrait cette femme aux lunettes noires. Elle me tournait le dos et avait le drap qui arrivait sur ses hanches. Sa chemise de nuit était remontée jusqu'à sa taille, peut-être à force de se retourner. Elle m'offrait sa partie charnue et je pouvais voir son petit cul parfait, elle avait des fesses magnifiques. Je ne sais pas ce qui m'a prit, je me suis dirigé vers son lit et me suis mis à genoux, je n'en revenais pas et c'était comme ci elle s'offrait à moi. Je me suis approché et humé son odeur, elle sentait bon la femme et j'ai effleuré du bout des doigts sa peau. Je bandais tellement fort que je n'en pouvais plus, j'ai posé ma main sur ses fesses tout doucement de peur de la réveiller et j'ai commencé à la caresser, j'aimais beaucoup sa peau. Puis de peur d'être surpris, je me suis levé et j'ai réveillé la meilleure amie de ma copine et suis retourné dans la salle. Elle est arrivée quelques minutes plus tard et à été accueilli par des petites réflexions sympas comme: alors, t'es restée collé??? Je repensais à cette femme qui devait dormir encore profondément, je me suis levé prétextant que je devais aller chercher quelque chose dans ma chambre. En passant devant l'infirmerie, je pu voir que les infirmières de nuit passaient les consignes à celles de jour qui venaient d'arriver donc j'allais être tranquille pendant un bon petit moment. Je retournai dans la chambre et elle n'avait pas bougée, elle était toujours dans la même position que je l'avais laissé. Je m'approchai de son lit, me mis à genoux et commençai à nouveau à la caresser en appuyant un peu plus sur ses deux belles fesses. Je les écartai et je pu voir son oeillet foncé au fond de ses deux belles fesses blanches. Je la retournai afin de me mettre de l'autre côté du lit près de la fenêtre pour de ne pas être surpris par quelqu'un. Je lui remontai sa chemise de nuit au-dessus de sa poitrine et commençai à lui caresser ses seins lourds avec ses gros tétons qui commençaient à durcir sous mes caresses. Je descendis sur son ventre puis écarta ses cuisses, elle sursauta un peu quand je posai ma main sur son sexe. Elle n'était pas beaucoup poilue comme la plupart des blondes, je lui caressai ses grosses lèvres et dirigeai mes doigts vers son clito qui réagit immédiatement quand je le fis rouler entre mes doigts. Elle commençait à gémir et à bouger de plus en plus, je dus à un moment mettre une main sur sa bouche pour éviter qu'on l'entende. J'enlevai le drap complètement et commençai à lui sucer les tétons. Ils étaient très durs et je les mordillai puis descendis sur son ventre et sa chatte. Elle sentait bon la femme et je me régalais de son odeur, j'écartai les deux grosses lèvres et enfonçai ma langue le plus profond possible puis remontai vers son clito, le décalotta et en humectant mes lèvres et surtout ma langue, j'entrepris de le branler avec mes lèvres en passant délicatement ma langue sur le bout. Elle gémissait et se tordait dans tous les sens, on aurait dit une anguille. au bout d'un moment, j'ai senti qu'elle se cabrait en retenant sa respiration, elle inonda ma bouche d'un liquide et je m'empressai de tout avaler. C'était magique, elle venait de jouir. Elle reprenait doucement ses esprits et je pouvais voir sa poitrine se soulever et s'abaissée un petit peu moins vite jusqu'à revenir à son état normal. Comme il y avait du mouvement dans le couloir, je remis le drap bien comme il faut sur elle et sortis sans être vu. Je rejoignis le groupe qui s'était même pas aperçut de mon absence prolongé puis au bout de quelque temps, il fut l'heure d'aller déjeuner. Quelques minutes plus tard, elle est arrivé et à la surprise générale, en entrant elle a salué tout le monde avec un grand bonjour et un grand sourire. Elle n'avait plus ses lunettes noires et en arrivant à notre table, elle nous a fait la bise. On en revenait pas et elle s'est même mêlée à notre conversation!!! ce n'était plus du tout la même femme??? On se demandait tous qu'est-ce qui s'est passé pendant la nuit pour qu'elle ai pu changer à ce point??? Comme ma copine partait le lendemain matin, elle me dit: on ne pourra pas se voir la journée car je dois faire les papiers pour ma sortie, je lui ai dis ok pas de soucis et elle est partie. La matinée s'est passée très très bien comme d'habitude puis le midi on s'est retrouvé à table. Ma copine a continué ses visites dans les différents bureaux. L'après-midi, je décidai d'aller faire un tour dans le parc, il était vraiment très très grand et très beau. Arrivé tout au bout, je me suis assis sur un des bancs qui se trouvait là. Etant dans mes pensées, je ne me suis pas aperçus qu'il y avait quelqu'un qui arrivait. C'était cette femme, elle me demanda si elle pouvait s'asseoir je lui répondis avec plaisir. On a commencé à parler de tout et de rien et au bout d'un moment, elle s'est légèrement tournée vers moi et en me regardant, elle me dit merci pour ce matin. Je ne s'avais plus quoi dire, quoi faire, je bredouillais mais elle m'a mis à l'aise en me disant qu'elle avait beaucoup aimé, qu'elle avait apprécié tout ce qu je lui avait fait puis elle s'est approchée , s'est blottie contre moi et a commencé à me raconter son histoire, ce qui la minait, la rongeait depuis très longtemps. Elle me raconta qu'elle avait connu son mari très jeune et qu'elle s'était mariée à 18 ans, elle était vierge et qu'elle s'est retrouvée enceinte la nuit même de ses noces. Elle a eu 3 enfants coup su coup en 3 ans et elle a du prendre la pilule en cachette de son mari car il ne voulait pas qu'elle la prenne, pour ne pas se retrouver avec une ribambelle d'enfants. Son mari la pénétrait le matin sans préparation et elle se plaignait, ça lui faisait horriblement mal car elle était sèche. Il l'a dévalorisait tout le temps, la diminuait en lui disant que c'était de sa faute si elle n'était pas lubrifiée parce qu'elle était tout simplement frigide et qu'elle n'était pas une femme comme les autres. Voilà le discours qu'il lui tenait à chaque fois qu'elle se plaignait, elle souffrait et était irritée et quelque fois ça lui arrivait de saigner. Elle en était arrivée à un tel point, qu'elle avait fait une tentative de suicide d'ou sa présence dans cette clinique. Elle me dit, quand ce matin tu es venu et que tu as commencé à me toucher, à me caresser, j'étais tout d'abord réticente puis je me suis dis, je vais pouvoir me rendre compte si c'est vraiment de ma faute et si je suis vraiment frigide. Si c'est le cas et que je suis sèche, cet homme mettra ça sur le compte du sommeil. Quand tu as posé tes mains sur moi et que tu as commencé à me caresser, j'ai ressentis de suite des choses qui traversaient mon corps tout entier et j'ai ressenti de la chaleur au niveau de ma poitrine, dans mon ventre et dans mon sexe. Mon corps répondait à tes caresses et ma poitrine s'est mis à gonfler et mes tétons à durcir puis ma chatte s'est lubrifiée et à ma grande surprise, j'ai senti à un moment donné, une vague de chaleur m'envahir tellement fort que je n'ai pas pu me retenir et j'ai joui. J'ai sentis pour la première fois de ma vie, un liquide chaud envahir et remplir mon vagin, j'étais toute trempée... en 27 ans de mariage, cela ne m'était jamais arrivé, ça a été une révélation pour moi et tu ne peux pas savoir comme j'étais heureuse, j'étais une femme comme les autres et mon corps répondait aux caresses d'un homme. Tu m'as transformé et ça, je ne l'oublierai jamais. Elle avait les larmes aux yeux alors je l'ai serrai très fort contre moi et on s'est embrassé fougueusement et amoureusement, je ne ressentais pas que de l'amour physique. Je bandais tellement qu'elle s'en est aperçue et m'a dit: c'est moi qui te met dans cet état? Je lui répondis que oui, elle a posé sa main sur mon sexe, je me suis débraguetté et sortis mon sexe. Elle a passé sa main dessus et l'a entouré puis elle a passé ses doigts sur mon gland tout trempé et après les avoir bien imbibé de ma liqueur, elle les a porté à sa bouche et les a sucé. Elle m'a regardé dans les yeux et m'a dit: hummm!!!! ce n'est pas désagréable et c'est même bon, j'aime hummmm!!!!. Alors j'ai caressé ses seins, elle a enlevé son soutien-gorge, l'a mit dans son sac, j'ai pris ses seins lourds dans mes mains et les ai caressé longuement puis je suis descendu et j'ai déboutonné son pantalon à la taille puis fis glisser sa fermeture éclair, caressa sous sa petite culotte sa chatte puis enfonçai deux doigts dans son vagin qui était tout trempé et enduis mes doigts de sa liqueur et les portai à ma bouche pour les sucer, c'était bon, j'aimais vraiment son gout. Comme il y avait des patients qui arrivaient dans notre direction, on s'est rhabillé puis on a continué notre chemin bras dessus, bras dessous et on s'embrassait fougueusement, amoureusement et c'était bon. Puis on est rentré et on a rejoint le groupe. Le soir après le repas, elle est allée voir les infos dans la salle de télé et ma copine m'a demandé d'aller faire un tour car elle avait envie de faire l'amour une dernière fois. On est sorti et je l'ai prise en levrette derrière un buisson puis on a rejoint les autres près du feu. Le lendemain matin, ma copine est partie et la semaine suivante, c'est sa meilleure amie qui est partie à son tour. On était toujours ensemble et on s'aimait de plus en plus fort. Son mari n'est jamais venu lui rendre visite pendant ces deux mois. La direction de la clinique nous a tous réuni pour nous prévenir comme quoi à partir du weekend prochain, on pouvait si on le souhaitait, poser une permission pour le weekend et on pouvait sortir du samedi matin au dimanche soir. On a posé une permission tous les deux et on est parti le samedi matin. On a trouvé un petit village très sympa et on a prit une chambre d'hôtel pour déposer également nos affaires. Dans la chambre, on ne risquait pas d'être surpris car nous étions comme chez nous, alors on s'est déshabillé et elle m'a demandé de m'allonger sur le lit, ce que je fis sans me faire prier. Elle s'allongea à son tour sur moi mais en tête-bêche et j'avais sa chatte juste devant mes yeux et ma bouche. Je l'ai attrapé par les fesses et ai collé sa chatte sur ma bouche et ai commencé à la sucer. Je sentis sa langue sur mon gland puis ma bite disparut dans sa bouche chaude et elle commença un va et vient. Au bout d'un moment, n'y tenant plus, je voulus me retirer pour jouir mais elle garda mon sexe dans sa bouche et je la rempli de semence. Il y en avait tellement, qu'elle avait du mal à tout avaler et je l'entendait déglutir puis à son tour elle s'est mit à jouir tellement fort qu'elle me remplit la bouche d'un liquide chaud que je m'empressai de tout avaler à mon tour. C'était le meilleur 69 que j'ai connu, on est resté un moment soudé dans cette position puis à grand regret, on s'est séparé et on s'est rhabillé. Elle m'a dit en se blottissant dans mes bras, j'ai tout avalé et j'ai aimé le gout de ton sperme hummmm!!!!... On est parti déjeuner dans un petit resto sympa puis on a visité toute l'après-midi. On était vraiment heureux ensemble et le soir après avoir été au resto, on est rentré chez nous et on a prit un bain ensemble puis on s'est couché et c'était la première fois qu'on allait passer la nuit ensemble blotti l'un contre l'autre. On a refait l'amour puis éreinté on a dormi. Le lendemain matin, elles s'était réveillée avant moi et me regardait dormir. Elle s'est blottie dans mes bras tout contre moi puis me dit: J'ai entendu des femmes parler entre elles et elles se disaient qu'elles pratiquaient la sodomie? Est-ce que tu l'as déjà fait? Je lui répondis que oui. Elle me regarda droit dans les yeux et me dit: je veux tout faire avec toi, je veux tout te donner, je suis vierge de ce côté-là et j'aimerais essayer. J'ai eu quand même un peu peur car je ne voulais pas qu'elle ai mal. Il faut dire que je suis bien outillé car ma bite fait 20 cm environ très épaisse, légèrement recourbée vers le haut avec des grosses couilles. Je lui dis, je vais bien lubrifié ton oeillet et je présenterai mon gland contre ton anus et c'est toi qui te sodomisera toute seule en poussant ma colonne dans ton petit cul et si tu as mal, on arrêtera, Elle me dit ok, d'accord. Après l'avoir caressé et embrassé partout, je la retournai et j'écartai ses fesses puis puis lécha son anus en l'humectant bien comme il faut puis enfonçai ma langue dans son dans son oeillet. J'entrai délicatement un doigt puis deux dans son petit trou. Elle gémissait et me dit que ça ne lui faisait pas mal du tout bien au contraire, elle ressentait même des choses. Au bout d'un moment, son anus étant complètement distendu par mes caresses et mes doigts, je présentai mon gland et le collai contre son anus. Elle poussait tout doucement et je pu voir mon gland rentrer et disparaître dans son petit cul puis ma colonne tout entière. Son anus ayant prit la forme de mon sexe. On resta un petit moment sans bouger pour habituer son petit cul à me recevoir puis je commençai les va et vient tout doucement au départ puis de plus en plus vite. Elle gémissait, ondulait son cul, au bout d'un moment, elle me dit: vas-y défonce moi par là, tu m'as dépucelé, je t'appartiens, il est à toi. Je ne m'y pas longtemps à jouir et j'envoyai toute la purée et me vidai par de longs jets puissants dans son cul .Puis comme j'étais toujours très dur, je la pris en levrette et la besognai, elle ne mit pas longtemps à jouir également et une liqueur très chaude entoura ma bite. On resta un petit moment comme cela puis elle me dit qu'elle avait beaucoup aimé par là aussi et que cette expérience était à refaire. On retourna le soir à la clinique et après les deux mois, elle ne voulu pas retournée avec son mari et elle demanda à sa soeur qui avait divorcé de la loger le temps qu'elle puisse se retourner en lui expliquant tout. J'habitais pas trop loin d'elle et on se voyait. Elle a demandé le divorce et attend le jugement. On fait très très attention quand on se voit car elle soupçonne son mari de la surveiller par un détective ou autre, il est dans une colère noire car il n'aurait jamais pensé qu'elle était capable de prendre une telle décision et il en veut à la clinique car pour lui, ce sont eux les responsables. Une fois le divorce prononcé, on sera à nouveau ensemble et libre de faire ce que l'on veut et à la vue de tous.

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