À la découverte de l'Est 4 - mon masseur gay
Récit érotique écrit par Ambivalent [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-09-2011 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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À la découverte de l'Est 4 - mon masseur gay
Je reprenais doucement mes esprits. Le torse et le ventre encore parsemés du sperme de mon masseur. Quelques gouttes en perlaient encore de sa queue. Animé par un désir irrépressible, je sautais depuis la table de massage pour me jeter à ses genoux et prendre sa verge en bouche. J'entrepris de bien la nettoyer et même pourquoi pas le faire jouir à nouveau.
Mais cette fois, hors de question de la lâcher. Je voulais qu'il jute dans ma bouche et qu'il me donne son foutre à avaler. Vu la manière dont sa tige reprenait rapidement de la vigueur, je ne doutai pas qu'il fut d'accord avec moi. Je le pompai avidement en oubliant presque la présence du chauve. Je ne le vis donc pas venir quand il m'attrapa pour me jeter à terre.
Je me retrouvai au sol, ne comprenant pas tout de suite ce qui venait de se passer. Je l'entendais juste éructer au-dessus de moi visiblement en colère. Il m'agrippa de nouveau par les hanches et me souleva pour me forcer à me mettre sur les genoux, le cul cambré vers le haut et le visage contre le sol. Ses mains puissantes me manipulaient sans que je puisse avoir l'impression de résister à aucun moment. Il semblait en proie à une fièvre bestiale. Je l'entendais grommeler dans mon dos, le souffle court. Pas la peine de parler le Tchèque pour comprendre qu'il était fortement excité et qu'il devait probablement vertement m'insulter. Il appuyait sur moi de tout son poids et de sa force, m'obligeant à me cambrer comme une chienne soumise, le cul pleinement offert. Je n'eu pas à attendre très longtemps la suite. Le crachat que je sentis se déposer sur ma rondelle fut le coup de départ de ce qui m'attendait. Si mon masseur avait su être aussi doux que tendre il n'en était rien pour celui qui se tenait à califourchon au-dessus de mon cul. Il me pénétra sans ménagement et je n'osais imaginer ce que j'aurai ressenti alors si mon masseur ne m'avait pas si bien préparé avant. Mon anus tenta de se raidir et de se serrer pour ralentir la pénétration mais le chauve le força et il avait déjà enfoncé les trois quarts de sa bite sans que je puisse faire quoi ce soit. Elle était énorme. Je pouvais la sentir toute entière au fond de moi ainsi que sa grosse paire de couilles qui reposait lourdement à l'entrée de ma rondelle désormais en feu. J'avais l'impression que tout mon bas ventre était rempli par son mandrin. Je pouvais en sentir chaque détail, chaque relief, la moindre veine ainsi que son énorme gland qui butait dans mon fondement. Ses va et vient étaient violents et secs. Il m'empoignait fermement les hanches et me soulevait presque de terre à chaque coup de rein, claquant mon cul contre lui, ses testicules ballottants et venants frapper contre moi. Il ne semblait jamais vouloir ralentir. De temps en temps, il me claquait les fesses puis les agrippait en enfonçant ses doigts dans ma chair, me griffant parfois. Les seules pauses étaient où il sortait sa verge pour pouvoir cracher dans mon trou que j'imaginais béant désormais. Il écartait alors mes fesses et poussait un râle de contentement avant de me pilonner à nouveau avec un entrain redoublé. Tête contre terre, je fis quelques tentatives pour prendre un peu appui sur mes bras et me redresser mais je me retrouvai à chaque fois à nouveau les bras dans le dos, qu'il me menottait le plus souvent avec une main. Puis peu à peu, je me décidai finalement à me laisser faire. La douleur s'était rapidement atténuée pour évoluer vers une autre sensation indéfinissable. Je me prenais au jeu, me cambrant encore plus pour lui offrir pleinement mon cul. Je l'entendais pousser des râles de plaisir. Puisqu'il voulait me baiser et qu'il ne me laissait pas le choix alors il serait servi. Je tendais mes fesses le plus possible en arrière, dandinant comme une petite chatte en chaleur.
Après tout, c'est ce que j'étais sur l'instant, une chatte à remplir et qui en plus y prenait goût. Je devais me l'avouer. Je pouvais jouer ma vierge effarouchée mais la vérité est que je la voulais cette bite depuis que je l'avais aperçu dans le hammam. Je l'a voulais au fond de moi, elle et tout le foutre qu'elle pourrait y gicler. Soudain il se retira. J'en profitais pour m'allonger sur le dos et reprendre mon souffle. Un mélange de sa mouille et de sa salive s'écoulait de mon trou bien dilaté.
Mon anus se contractait encore par a coups comme par réflexe après avoir été si malmené. Il ne me laissa pas beaucoup de répit. Il m'enjamba pour venir s'agenouiller sur moi et me présenter sa queue devant mon visage. Je pris les devant en le prenant tout de suite en bouche. Je vis un sourire amusé sur son visage. Il aimait qu'on le regarde pendant qu'on le suçait. Je le pompai avec entrain, tentant de prendre le maximum de longueur dans ma bouche. On peut dire que je me donnai du mal pour lui bouffer toute la tige mais ça ne semblait pas lui suffire. Passant sa main derrière ma nuque et s'appuyant contre le sol de l'autre, il se pencha sur moi et entreprit de me baiser profondément la bouche. Mes lèvres buttaient contre ses couilles qu'il ne tarda pas à me donner à lécher. Il me les écrasait contre le visage puis réintroduisait sa queue, forçant jusqu'à ce que j'avale jusqu'au dernier centimètre. Puis il s'adressa au masseur qui était resté à nous regarder, la queue à la main, visiblement satisfait du spectacle. Je l'avais complètement oublié. Ils échangèrent quelques mots puis il vint s'agenouiller à son tour près de moi. Le message était clair: il allait falloir sucer deux fois plus. Je n'avais aucune maitrise. Il enfournait leur verge en alternance. Ma bouche était juste un orifice qu'il occupait à leur convenance. Le masseur était visiblement surexcité. Il ouvrait de temps à autre ma bouche avec ses doigts pour cracher dedans. Le chauve faisait de même pour ensuite me rouler de longues pelles. Leurs langues remplaçant alors leurs queues. Après un long moment de ce petit jeu, le chauve finit par s'allonger à mes côtés et me fit signe de venir. Je me relevais et jetais un regard vers la porte. Était-ce le moment de partir? Le masseur avait du voir mon regard car il m'attrapa par les cheveux et me jeta sur son partenaire. Sans avoir le temps de réfléchir, je me retrouvai à califourchon sur le chauve. Je le vis cracher sur sa main et empoigner sa queue avec laquelle il me pénétra d'un seul coup. Il faut croire que ma rondelle était sacrement dilaté. Il me chopa les fesses à pleine main et commença à me baiser comme un affamé. Il m'empoigna par les hanches et accéléra le rythme. La situation me semblait dingue. Il me prenait comme si j'étais une femme, de la même façon que j'avais pu par le passé prendre mes conquêtes féminines. Moi qui me considérait comme un mec viril, qui pensait être ici pour me faire quelques filles, c'est moi qui me retrouvait avec deux colosses, offrant mon cul et ma bouche à leurs bites qui bandaient pour moi. Oui, pour moi. Et cette idée avait fait son chemin dans mon esprit et ça commençait à me plaire. Ses mecs bandaient pour moi et je prenais à cœur de m'occuper de leurs queues. Je fis signe au masseur de s'approcher et me jeter avidement sur son noeud. Pour sûr, il cracherait son jus dans ma bouche. Dans le même temps, je me dandinais sur le chauve. Il avait compris que je comptais prendre les choses en main et se laissait guider. J'impulsais des va et vients le long de sa verge, ma rondelle épousant parfaitement chaque relief de sa grosse queue. Je m'empalais littéralement sur elle voulant la sentir me remplir, être en moi, combler ce qui était désormais ma petite chatte de femelle. Sans que je m'y attende, la queue du masseur se raidissait de plus en plus. Je la pris bien en bouche juste à temps pour sentir les spasmes qui l'agitait tandis que des jets de semence emplissait ma gorge. J'avalais le tout non sans difficulté. Le masseur acheva de se branler dans ma bouche afin que je n'en perde pas une goutte et il se retira qu'une fois sa verge bien nettoyée. Presque au même moment, la bite du chauve se gorgea pour éjaculer copieusement en moi. Son foutre se répandait par saccades.
La chaleur de son sperme irradiant jusque dans mes reins. Il resta quelques instants en moi avant de me mettre sur le côté avec une douceur que je n'avais pas décelé chez lui jusqu'ici. Je pris une dernière fois sa tige en bouche pour en effacer la moindre trace de son jus. Prenant mon visage dans ses mains, il m'embrassa doucement, mélangeant sa salive à son sperme encore présent sur mes lèvres. Il se remit debout et sans un regard, se dirigea vers la porte pour disparaitre. Le masseur était visiblement déjà parti sans demander son reste. Je me retrouvai seul, allongé sur le sol. Du sperme coulait abondamment de ma rondelle et j'en avais encore le goût dans la bouche. Je sentais aussi sur moi leur sueur, cette pure odeur de mâles. Je mis longtemps à reprendre mes esprits et à me lever pour quitter ce lieu.
J'espère que la suite et fin de mon récit vous plaira. N'hésitez pas à me contacter sur mon mail pour me transmettre vos commentaires, suggestions ou critiques. Ou tout simplement pour me parler.
marc.ambivalent@yahoo.fr
Mais cette fois, hors de question de la lâcher. Je voulais qu'il jute dans ma bouche et qu'il me donne son foutre à avaler. Vu la manière dont sa tige reprenait rapidement de la vigueur, je ne doutai pas qu'il fut d'accord avec moi. Je le pompai avidement en oubliant presque la présence du chauve. Je ne le vis donc pas venir quand il m'attrapa pour me jeter à terre.
Je me retrouvai au sol, ne comprenant pas tout de suite ce qui venait de se passer. Je l'entendais juste éructer au-dessus de moi visiblement en colère. Il m'agrippa de nouveau par les hanches et me souleva pour me forcer à me mettre sur les genoux, le cul cambré vers le haut et le visage contre le sol. Ses mains puissantes me manipulaient sans que je puisse avoir l'impression de résister à aucun moment. Il semblait en proie à une fièvre bestiale. Je l'entendais grommeler dans mon dos, le souffle court. Pas la peine de parler le Tchèque pour comprendre qu'il était fortement excité et qu'il devait probablement vertement m'insulter. Il appuyait sur moi de tout son poids et de sa force, m'obligeant à me cambrer comme une chienne soumise, le cul pleinement offert. Je n'eu pas à attendre très longtemps la suite. Le crachat que je sentis se déposer sur ma rondelle fut le coup de départ de ce qui m'attendait. Si mon masseur avait su être aussi doux que tendre il n'en était rien pour celui qui se tenait à califourchon au-dessus de mon cul. Il me pénétra sans ménagement et je n'osais imaginer ce que j'aurai ressenti alors si mon masseur ne m'avait pas si bien préparé avant. Mon anus tenta de se raidir et de se serrer pour ralentir la pénétration mais le chauve le força et il avait déjà enfoncé les trois quarts de sa bite sans que je puisse faire quoi ce soit. Elle était énorme. Je pouvais la sentir toute entière au fond de moi ainsi que sa grosse paire de couilles qui reposait lourdement à l'entrée de ma rondelle désormais en feu. J'avais l'impression que tout mon bas ventre était rempli par son mandrin. Je pouvais en sentir chaque détail, chaque relief, la moindre veine ainsi que son énorme gland qui butait dans mon fondement. Ses va et vient étaient violents et secs. Il m'empoignait fermement les hanches et me soulevait presque de terre à chaque coup de rein, claquant mon cul contre lui, ses testicules ballottants et venants frapper contre moi. Il ne semblait jamais vouloir ralentir. De temps en temps, il me claquait les fesses puis les agrippait en enfonçant ses doigts dans ma chair, me griffant parfois. Les seules pauses étaient où il sortait sa verge pour pouvoir cracher dans mon trou que j'imaginais béant désormais. Il écartait alors mes fesses et poussait un râle de contentement avant de me pilonner à nouveau avec un entrain redoublé. Tête contre terre, je fis quelques tentatives pour prendre un peu appui sur mes bras et me redresser mais je me retrouvai à chaque fois à nouveau les bras dans le dos, qu'il me menottait le plus souvent avec une main. Puis peu à peu, je me décidai finalement à me laisser faire. La douleur s'était rapidement atténuée pour évoluer vers une autre sensation indéfinissable. Je me prenais au jeu, me cambrant encore plus pour lui offrir pleinement mon cul. Je l'entendais pousser des râles de plaisir. Puisqu'il voulait me baiser et qu'il ne me laissait pas le choix alors il serait servi. Je tendais mes fesses le plus possible en arrière, dandinant comme une petite chatte en chaleur.
Après tout, c'est ce que j'étais sur l'instant, une chatte à remplir et qui en plus y prenait goût. Je devais me l'avouer. Je pouvais jouer ma vierge effarouchée mais la vérité est que je la voulais cette bite depuis que je l'avais aperçu dans le hammam. Je l'a voulais au fond de moi, elle et tout le foutre qu'elle pourrait y gicler. Soudain il se retira. J'en profitais pour m'allonger sur le dos et reprendre mon souffle. Un mélange de sa mouille et de sa salive s'écoulait de mon trou bien dilaté.
Mon anus se contractait encore par a coups comme par réflexe après avoir été si malmené. Il ne me laissa pas beaucoup de répit. Il m'enjamba pour venir s'agenouiller sur moi et me présenter sa queue devant mon visage. Je pris les devant en le prenant tout de suite en bouche. Je vis un sourire amusé sur son visage. Il aimait qu'on le regarde pendant qu'on le suçait. Je le pompai avec entrain, tentant de prendre le maximum de longueur dans ma bouche. On peut dire que je me donnai du mal pour lui bouffer toute la tige mais ça ne semblait pas lui suffire. Passant sa main derrière ma nuque et s'appuyant contre le sol de l'autre, il se pencha sur moi et entreprit de me baiser profondément la bouche. Mes lèvres buttaient contre ses couilles qu'il ne tarda pas à me donner à lécher. Il me les écrasait contre le visage puis réintroduisait sa queue, forçant jusqu'à ce que j'avale jusqu'au dernier centimètre. Puis il s'adressa au masseur qui était resté à nous regarder, la queue à la main, visiblement satisfait du spectacle. Je l'avais complètement oublié. Ils échangèrent quelques mots puis il vint s'agenouiller à son tour près de moi. Le message était clair: il allait falloir sucer deux fois plus. Je n'avais aucune maitrise. Il enfournait leur verge en alternance. Ma bouche était juste un orifice qu'il occupait à leur convenance. Le masseur était visiblement surexcité. Il ouvrait de temps à autre ma bouche avec ses doigts pour cracher dedans. Le chauve faisait de même pour ensuite me rouler de longues pelles. Leurs langues remplaçant alors leurs queues. Après un long moment de ce petit jeu, le chauve finit par s'allonger à mes côtés et me fit signe de venir. Je me relevais et jetais un regard vers la porte. Était-ce le moment de partir? Le masseur avait du voir mon regard car il m'attrapa par les cheveux et me jeta sur son partenaire. Sans avoir le temps de réfléchir, je me retrouvai à califourchon sur le chauve. Je le vis cracher sur sa main et empoigner sa queue avec laquelle il me pénétra d'un seul coup. Il faut croire que ma rondelle était sacrement dilaté. Il me chopa les fesses à pleine main et commença à me baiser comme un affamé. Il m'empoigna par les hanches et accéléra le rythme. La situation me semblait dingue. Il me prenait comme si j'étais une femme, de la même façon que j'avais pu par le passé prendre mes conquêtes féminines. Moi qui me considérait comme un mec viril, qui pensait être ici pour me faire quelques filles, c'est moi qui me retrouvait avec deux colosses, offrant mon cul et ma bouche à leurs bites qui bandaient pour moi. Oui, pour moi. Et cette idée avait fait son chemin dans mon esprit et ça commençait à me plaire. Ses mecs bandaient pour moi et je prenais à cœur de m'occuper de leurs queues. Je fis signe au masseur de s'approcher et me jeter avidement sur son noeud. Pour sûr, il cracherait son jus dans ma bouche. Dans le même temps, je me dandinais sur le chauve. Il avait compris que je comptais prendre les choses en main et se laissait guider. J'impulsais des va et vients le long de sa verge, ma rondelle épousant parfaitement chaque relief de sa grosse queue. Je m'empalais littéralement sur elle voulant la sentir me remplir, être en moi, combler ce qui était désormais ma petite chatte de femelle. Sans que je m'y attende, la queue du masseur se raidissait de plus en plus. Je la pris bien en bouche juste à temps pour sentir les spasmes qui l'agitait tandis que des jets de semence emplissait ma gorge. J'avalais le tout non sans difficulté. Le masseur acheva de se branler dans ma bouche afin que je n'en perde pas une goutte et il se retira qu'une fois sa verge bien nettoyée. Presque au même moment, la bite du chauve se gorgea pour éjaculer copieusement en moi. Son foutre se répandait par saccades.
La chaleur de son sperme irradiant jusque dans mes reins. Il resta quelques instants en moi avant de me mettre sur le côté avec une douceur que je n'avais pas décelé chez lui jusqu'ici. Je pris une dernière fois sa tige en bouche pour en effacer la moindre trace de son jus. Prenant mon visage dans ses mains, il m'embrassa doucement, mélangeant sa salive à son sperme encore présent sur mes lèvres. Il se remit debout et sans un regard, se dirigea vers la porte pour disparaitre. Le masseur était visiblement déjà parti sans demander son reste. Je me retrouvai seul, allongé sur le sol. Du sperme coulait abondamment de ma rondelle et j'en avais encore le goût dans la bouche. Je sentais aussi sur moi leur sueur, cette pure odeur de mâles. Je mis longtemps à reprendre mes esprits et à me lever pour quitter ce lieu.
J'espère que la suite et fin de mon récit vous plaira. N'hésitez pas à me contacter sur mon mail pour me transmettre vos commentaires, suggestions ou critiques. Ou tout simplement pour me parler.
marc.ambivalent@yahoo.fr
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
c'est mieux à trois
Merci pour vos compliments. Je me suis trompé. Voici mon adresse: marc.ambivalent@yahoo.fr
j'adore cette histoire, je suis bi et j'adore sucer un homme
je t'ai écris sur ton adresse mail, mais erreur sur ton adresse???
je t'ai écris sur ton adresse mail, mais erreur sur ton adresse???