A la découverte de la vie - histoire érotique

Je m’appelle Julio, je viens d’avoir 18 ans. Je suis brun, mat de peau et complètement imberbe. Je mesure 1m70 pour 60 kilos, plutôt fluet. Je fais très minet avec mon visage fin aux traits assez féminin.
Je suis fils unique, et je ne connais pas mon père. Ma mère est ce qu’on appelle une croqueuse d’hommes. J’ai eu beaucoup de beaux pères, tous plus stupides les uns que les autres. Ma mère va de petits boulots en petits boulots, gagnant juste de quoi nous permettre de vivre dignement. Durant les vacances et quand j’ai un moment j’aide les gens du voisinage pour des petits travaux du genre laver une voiture ou tondre la pelouse. Cela me permet de contribuer au coût de la vie et d’avoir un peu d’argent pour me faire plaisir.
Enfin ça c’était avant. Il y a deux ans ma mère a rencontré un homme, Daniel, 40 ans directeur financier dans une grosse boîte ou un truc comme ça. En gros il est à l’aise. Lorsqu’ils se sont rencontrés ça a été le coup de foudre. Je n’ai jamais vu ma mère aussi heureuse, elle m’a parlé de lui dès le premier soir où ils se sont rencontrés à la station service et qu’il lui a proposé un rendez vous au restaurant le lendemain. Je ne suis pas ici pour vous raconter cette histoire mais en gros, ça a été le coup de foudre, et 4 mois plus tard nous avons aménagé chez lui, dans sa grande maison.
Ça a été un changement radical dans nos vies. Débarrassée de sa solitude et de l’angoisse des fins de mois, ma mère a pu faire une formation et a obtenu un temps plein dans la société de Daniel au service comptabilité. Elle travaille dur et aime son boulot. Daniel a changé nos vies, sur énormément de points.
Daniel a une fille, Sophie qui a 3 ans de plus que moi. C’est une blonde assez grande aux yeux bleus. Elle fait beaucoup de sport, ce qui lui donne un corps ferme et élancé, et des formes plus que généreuses. Lorsque je l’ai rencontrée j’avais 16 ans, j’étais encore vierge et elle a été la source d’inspiration de délicieuses branlettes. Nous nous sommes tout de suite bien entendus. Elle a bien compris mon tempérament doux, presque soumis, et m’a pris sous son aile. Je l’aime beaucoup, et cela rend mes sentiments encore plus paradoxaux, car je ne peux m’empêcher de l’imaginer nue. Cela peut poser problème à certains moments pour dissimuler ma gêne : voyez vous j’ai ce que l’on nomme le syndrome du vestiaire. J’ai peur de me retrouver nu devant d’autres personnes, et c’est à cause de la taille de mon sexe. C’est un complexe courant, exacerbé par les générations de garçons bercés au porno. Ils trouvent leur bite trop petite, et craignent d’être jugés pour cela. Ma situation est légèrement différente. Ou plutôt il y a une grande différence, de 23 centimètres par 8 de diamètre en érection. Avec mon gabarit de poids plume j’ai l’air d’avoir une trompe, qui me tapote à mi cuisse au repos quand je suis nu. Je me trouve disproportionné, cela me gène quand je suis habillé et c’est une catastrophe quand je bande.
D’où mon problème avec Sophie.
Cette énorme bite me pose aussi problème dans mes relations. J’ai eu quelques copines avec qui j’ai essayé ; elles ont toutes pris peur en voyant cette queue aussi grande et épaisse que leur avant bras. L’une d’elle a essayé de me sucer, elle n’a même pas pu prendre mon gland en bouche. Cela a quand même suffit à me faire jouir, une quantité de sperme proportionnelle à l’engin. Elle s’est retrouvée aspergée de mon jus après en avoir pris une grosse giclée dans la gorge. Après s’être étouffée elle m’a engueulé et est partie en m’insultant. Je lui ai dit que j’étais désolé, c’est parti tout seul. Parce que oui, je suis aussi précoce.
Je suis donc sous pression constante, et cette frustration me transforme en une grenade prête à exploser, ce qui pourrait causer de sérieux dégâts. Ça ne s’arrête pas là, j’ai aussi découvert que je suis très sensible de l’anus. Mon petit trou, caché entre mes fesses lisses et rebondies est une zone érogène incroyable, et lorsque j’ai découvert ma prostate, j’ai joui si fort que je m’en suis mis dans l’œil, sensation intense autant en positif qu’en négatif.
Cela ne m’a pas découragé et j’ai acheté un gode ainsi qu’un plug et une poire à lavement, que j’utilise tous les jours. Le soir j’alterne mes branlettes entre des séances ou je pense à Sophie et d’autres où je me gode en mordant mon oreiller afin de ne pas faire trop de bruit. C’est dans une de ces séances que j’ai découvert que je peux jouir plusieurs fois. À la fin je dois changer mes draps, parfois nettoyer le mur ou le sol et surtout prendre une douche car je suis couvert de mon foutre.

Je vais vous raconter la soirée de mes 18 ans, et la perte de ma virginité.
Je n’ai pas beaucoup de copains, hormis Théo, un copain d’enfance, aucun n’est mon ami. J’ai quelques copines filles aussi mais pour la plupart ce sont les meufs de mes potes. Mes invités sont une dizaine. Sophie, qui est bien sûr présente et qui a négocié la maison à nos parents pour la soirée, à aussi ramené ses potes. Parmi eux il y a Jérémy, un macho arrogant et vantard grand et musclé qui je le sais couche avec Sophie de temps en temps. Il a tendance à me rabaisser quand il est chez nous, ce qui me met mal à l’aise tant je sens le vice en lui. Sophie, qui ne semble pas le sentir, l’envoie toujours promener quand il me parle mal, mais ça ne l’empêche pas de lui sucer la bite. Je les ai vus une fois lorsqu’il l’a raccompagné en voiture. Il y a aussi Lily, la meilleure amie de Sophie, qui est tout le temps fourrée chez nous. Elle est aussi canon que Sophie, on dirait deux sœurs, et me fait presque autant d’effet. Elle est très gentille avec moi, et taquine.

Durant la soirée nous buvons discutons écoutons de la musique. Nous faisons un jeu d’alcool où il y a des gages. Désinhibé par l’alcool je me prête au jeu, et me retrouve à devoir baisser mon pantalon devant tout le monde. Sans réfléchir je baisse mon jean et me retrouve en boxer vert devant tout le monde. Il y a un grand silence et je vois les yeux de tout le monde s’agrandir. Je baisse les yeux et vois que ma bite est sur le côté. On voit qu’elle est molle mais dans cette position on peut aussi en apprécier la taille. Je remonte précipitamment mon jean et tout le monde rit en faisant des blagues, mais sans se moquer de moi. J’ai quand même droit à un « t’as une troisième jambe » semi admiratif de Seb un pote, et d’une remarque sur le fait que ça me rend ridicule de la part de Jérémy.
La soirée se déroule sans encombres, je suis content d’avoir fêté dignement ma majorité. Une fois qu’ils sont tous partis il n’y a plus que Sophie Lily et moi, qui rangeons. Lily dort à la maison ce soir. Une fois la maison propre je dis bonne nuit aux filles et je file prendre une douche avant d’aller me coucher. Il est tard je m’endors aussitôt.
Je suis réveillé un peu plus tard par le bruit de la porte qui s’ouvre. Je sens un corps s’allonger sur moi, qui suis en caleçon sous les draps. Je sens le parfum de Lily et l’entends me dire à l’oreille «tu dors ? »
Je lui réponds que non et lui demande ce qu’elle fait là, passablement alarmé parce qu’elle est allongée sur ma queue et je sens son bassin chercher le contact avec.
Elle me répond qu’elle a été impressionnée par ma prestation, et qu’elle m’a toujours trouvé mignon, en commençant à se frotter sur moi, ce qui me fait bander instantanément, elle commence à gémir.
L’alcool faisant encore effet, je suis chaud bouillant, je n’ai pas peur. Néanmoins je lui dis que je suis vierge et que je ne sais pas comment m’y prendre. Elle me dit de me détendre, qu’elle s’occupe de moi, avant de m’embrasser tendrement. Je me laisse aller à ses baiser, ses caresses dans mes cheveux et le mouvement de son bassin régulier qui la fait glisser sur ma bite. Elle retire le drap et je sens son corps qui est nu contre le mien. Sa main se glisse dans mon caleçon et empoigne ma queue. Elle dit « oh putain » et descend directement vers elle, en m’enlevant mon dernier rempart de tissu. Elle commence à lécher ma queue sur toute sa longueur, avant de titiller mes grosses couilles du bout de sa langue. Je sens que je monte et la préviens. Elle place sa bouche à l’extremité de mon gland et reçoit tout mon sperme dans sa bouche, qu’elle avale comme elle peut, surprise par la quantité. Elle ne se décourage pas et lèche le sperme qui a échappé à sa succion. Ensuite, elle réalise l’exploit de mettre ma bite dans sa bouche. Elle peine un peu mais fait entrer mon gland, ce qui maintient ma queue en érection. Elle me suce pendant quelques minutes quand je sens que je reviens. Elle m’empoigne les couilles et les tire assez fort, ce qui stoppe mon orgasme. Elle remonte vers mon visage et m’embrasse. Je sens le goût de mon sperme, je l’ai déjà goûté mais ça m’excite qu’il vienne de sa bouche. Ma queue palpite. Elle me dit « il n’y a aucune capote dans cette maison assez grande pour ta bite. Fais moi confiance je te promets que ça va bien se passer ».
Elle m’enfourche alors et positionne ma bite contre l’entrée de sa chatte. Je manque de gicler mais elle me donne une gifle avant de m’embrasser. Elle m’ordonne de me retenir. Tant bien que mal je me contrôle car je ne veux pas rater ce moment, je vais être dépucelé. Lily maintient fermement ma bite pointée et s’assoit lentement dessus. Je suis submergé par cette sensation nouvelle lorsqu’elle se pénètre avec ma queue. Je jouis instantanément en gémissant. Elle plaque une main sur ma bouche tout en m’enfonçant de plus en plus profond. Mon éjaculation et les pulsations de ma queue l’ouvrent et la font elle aussi jouir jusqu’à ce que je sois au fond d’elle. Elle se stoppe et nous savourons notre orgasme mutuel. Ça y est je ne suis plus puceau.
Mais elle n’en a pas fini avec moi. Elle commence à se baiser sur moi, ma queue toujours aussi dure l’ouvre comme jamais elle n’a été ouverte. Elle se retient de hurler et me mord l’épaule en me griffant le torse tout en se baisant de plus en plus fort. Je suis dans un état second, submergé par ces sensations je suis dans un état de lâcher prise complet.
Elle jouit une dernière fois ce qui me déclenche un autre orgasme, avant de s’enlever de mon chibre. Elle se relève, m’embrasse une dernière fois en me souhaitant un joyeux anniversaire et repars en marchant les jambes arquées et couvrant son vagin de sa main pour éviter je pense que le flot de sperme que je lui ai mis ne s’échappe pas sur mon parquet.
Je m’endors comme ça, homme fait mais vidé, profitant des derniers effets du meilleur moment de ma jeune vie.

Voilà ma première histoire, j’espère qu’elle vous aura plu. N’hésitez pas à me dire si vous en voulez encore.
À bientôt ;)