A la découverte de plaisirs nouveaux (2)
Récit érotique écrit par Juldes [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-12-2012 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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A la découverte de plaisirs nouveaux (2)
Le matin suivant, dès les premières lueurs du jour, j’enfourche mon vélo et, tout
troublé, je me dirige à bonne allure vers ma plage préférée. Il n’y a pas une minute à
perdre. Je dévale le sentier, je me dessape, et en maillot de bain, j’examine les
alentours. Personne. Je scrute attentivement la falaise. Pas de pêcheur. Je suis à 5
ou 6 mètres du bord de l’eau. Je décide d’enlever le maillot et de le laisser sur la
plage. Mon cœur bat vite. Je respire doucement pour tenter de maîtriser mon excitation
et me dirige lentement vers l’eau complètement nu, la queue un peu gonflée mais
toujours pendante. Je nage et batifole dans l’eau, complètement nu. Quelle agréable
sensation de liberté. Après-une bonne demi-heure, je décide de sortir. Toujours
personne à l’horizon. Je remonte sur la plage et marche un peu pour me sécher,
toujours entièrement nu. Je suis étonnamment calme et je surveille les environs
attentivement. Après une dizaine de minute de ballade à poils, je suis presque sec. Je
me rhabille et me dirige vers le petit chemin pour reprendre mon vélo.
Stupeur ! A quelques mètres, quelqu’un est assis sur l’un des transats de la plage. Il
me semble reconnaître le mec qui m’a déjà observé hier. Aujourd’hui, il a du vachement
bien se rincer l’œil. Comment ne l’ai-je pas vu ? Un mec d’une trentaine d’année,
cheveux courts et foncés en brosse, le teint super bronzé. Il doit faire à peu près
1,85 m, comme moi. Il porte des vêtements amples, mais on peut deviner un corps bien
dessiné légèrement musclé. Un mec finalement bien foutu. Je suis un peu gêné, je
continue mon chemin le plus naturellement possible.
Il me regarde dans les yeux, me dévisage et me lance une phrase en italien que je ne
comprends pas. Je réponds par un « no italiano » abominable.
- Tu parles français ? me lance-t-il.
- Oui.
- Je suis français. La baignade était bonne ?
- Un vrai délice.
- A te voir, j’en suis persuadé. Et te regarder est aussi un délice
me dit-il avec un grand sourire
Je pique un fard pas possible et lui répond en balbutiant :
- Je suis content que ça t’aie plus. Je dois y aller…
Et je poursuis mon chemin. Il aurait voulu m’allumer qu’il ne s’y serait pas pris
autrement. Mais les mecs, ça ne m’intéresse pas ! « Je dois y aller… ». Je n’ai pas du
avoir l’air con moi !
Arrivé à mon vélo, je me rends compte que j’ai une trique d’enfer. Dans le feu de
l’action, je ne m’en étais pas rendu compte. Il n’a pas pu la rater malgré mon short
ample. Il me regarde toujours. Je lui lance un petit signe poli et grimpe sur ma
bécane.
Tout en roulant, j’essaie de me calmer. Je suis confus. Mais qu’est-ce qu’il m’arrive
? Un mec me reluque quand je me ballade à poils, il m’allume, et moi, je rougis et je
bande comme un âne !
Toute la journée, j’ai repensé à ce moment bizarre, à mon plaisir d’être nu sur la
plage et de nager ainsi, à l’idée que peut-être que ce beau pécheur aie d’autres
envies que de seulement me mater ou que d’autres m’observaient plus discrètement. Des
sensations nouvelles mais finalement très agréables et excitantes. Il me tardait
d’être demain pour ressentir encore ces émotions.
6 heures moins 5. Pas envie de perdre une minute ! Juste vêtu d’un short ample et
léger et d’un t-shirt, des tongs aux pieds, je saute sur ma bicyclette. Malgré que le
jour ne soit pas encore levé et qu’il fasse donc encore assez sombre, je me dirige à
vive allure directement vers la petite plage de mes fantasmes. Le vent frais gonfle
mon short et caresse délicieusement ma queue et mes couilles. Je suis persuadé que
j’offre ainsi mon attirail à la vue de tous, mais à cette heure, je ne croise
personne.
6 heures 5. Je suis à pied d’œuvre. Je dévale rapidement le petit chemin tout en
commençant à scruter les environs. Comme il fait encore sombre, je n’y vois pas grand-
chose, mais tout semble désert. La vue est superbe. Tout au fond de la baie, la petite
ville voisine perchée sur sa falaise est illuminée et se reflète dans l’eau
parfaitement calme.
Je retire mes chaussures et avance sur la plage. Le sable est humide et froid, ça
tranche un peu avec la douceur matinale de l’air. Je pars vers la gauche pour
m’écarter un peu des transats. A quelques mètres de l’eau, je jette mes tongs, retire
mon t-shirt, et, après un nouveau tour d’horizon, tombe le short.
Comme il ne fait pas encore clair, je décide de faire quelques pas sur la plage et
respirant profondément et en essayant de me vider l’esprit. Sans m’en rendre compte je
suis déjà à une cinquantaine de mètres de mes petites affaires, complètement à poils !
Ma hardiesse finira par me jouer des tours. Je fais demi-tour et me rapproche de
l’eau, au cas où… Après quelques mètres, je me jette à l’eau et continue à la nage.
L’eau est délicieuse. Je retrouve cette très agréable sensation de liberté. Je me
lance dans un crawl assez rapide tout en m’éloignant. A une quarantaine de mètre du
bord, je suis un peu essoufflé, mais j’ai toujours pieds. Je me retourne pour admirer
le paysage qui commence à s’éclairer. C’est magnifique.
Au loin, j’aperçois quelqu’un qui descend le petit chemin. D’après l’allure, ce doit
être un homme. Restons ici le temps qu’il passe pensais-je. A ma grande surprise, je
le vois, non loin de mes vêtements, retirer son t-shirt et son short et se mettre à
l’eau. Je n’ai pas vu s’il avait un maillot. Que faire ? Je me remets à nager, sans
énervement, pour m’éloigner vers la gauche.
Après avoir batifolé quelques instants près du rivage, l’inconnu nage maintenant dans
ma direction. Impossible de lui échapper. Je m’arrête et fais, l’air de rien quelques
mouvement d’étirement. En quelques instants, il est à quelques mètres de moi.
- Salut. Tu vas bien ?
Je le reconnais, c’est le beau pécheur allumeur de la veille.
- Super ! C’est génial de pouvoir se baigner à cette heure. Il fait si doux et
si calme.
Il est maintenant tout près de moi. Il est aussi à poils. A travers l’eau, je vois
furtivement une queue qui à l’air de belle proportion qui flotte librement, et une
touffe de poils noirs pas trop importante. Je n’ose pas regarder plus.
- Tu as vachement raison. Surtout aussi peu vêtus que nous le sommes !
A ces mots, je sens un frisson qui parcourt tout mon corps, ma bite frétille.
Excitation et stress ce mélange, j’arrive maîtriser un début d’érection.
- Cela fait plusieurs jours que je t’observe le matin. Tu oses chaque fois un
peu plus. On dirait bien tu aimes être à poil.
- En effet, c’est tellement agréable d’être aussi libre
- Pour être libre, tu l’es ! Te balader nu sur la plage alors que quelqu’un peut
débarquer à n’importe quel moment… Tu ne serais pas un peu exhib ?
- Heu… Tu m’as vu ?
- Oui. J’étais là haut. Joli spectacle ! J’espère qu’aujourd’hui, tu es moins
pressé qu’hier !
« Voilà de nouveau qu’il essaie de m’allumer ? » pensais-je. Je pique un bon fard. Mon
nouvel ami s’en aperçoit et tente de détendre l’atmosphère.
- Une petite course à la nage, ça te dit ? Le premier qui grimpe sur le rocher
là-bas a gagné.
Pas possible de se dérober. Et nous voilà parti pour un petit concours. J’avais
quelques mètres d’avance. Tout à coup, je pensais qu’en arrivant le premier, je devrai
monter sur le rocher… à poils… Alors, mine de rien, je ralentis un peu et le laisse
passer devant.
troublé, je me dirige à bonne allure vers ma plage préférée. Il n’y a pas une minute à
perdre. Je dévale le sentier, je me dessape, et en maillot de bain, j’examine les
alentours. Personne. Je scrute attentivement la falaise. Pas de pêcheur. Je suis à 5
ou 6 mètres du bord de l’eau. Je décide d’enlever le maillot et de le laisser sur la
plage. Mon cœur bat vite. Je respire doucement pour tenter de maîtriser mon excitation
et me dirige lentement vers l’eau complètement nu, la queue un peu gonflée mais
toujours pendante. Je nage et batifole dans l’eau, complètement nu. Quelle agréable
sensation de liberté. Après-une bonne demi-heure, je décide de sortir. Toujours
personne à l’horizon. Je remonte sur la plage et marche un peu pour me sécher,
toujours entièrement nu. Je suis étonnamment calme et je surveille les environs
attentivement. Après une dizaine de minute de ballade à poils, je suis presque sec. Je
me rhabille et me dirige vers le petit chemin pour reprendre mon vélo.
Stupeur ! A quelques mètres, quelqu’un est assis sur l’un des transats de la plage. Il
me semble reconnaître le mec qui m’a déjà observé hier. Aujourd’hui, il a du vachement
bien se rincer l’œil. Comment ne l’ai-je pas vu ? Un mec d’une trentaine d’année,
cheveux courts et foncés en brosse, le teint super bronzé. Il doit faire à peu près
1,85 m, comme moi. Il porte des vêtements amples, mais on peut deviner un corps bien
dessiné légèrement musclé. Un mec finalement bien foutu. Je suis un peu gêné, je
continue mon chemin le plus naturellement possible.
Il me regarde dans les yeux, me dévisage et me lance une phrase en italien que je ne
comprends pas. Je réponds par un « no italiano » abominable.
- Tu parles français ? me lance-t-il.
- Oui.
- Je suis français. La baignade était bonne ?
- Un vrai délice.
- A te voir, j’en suis persuadé. Et te regarder est aussi un délice
me dit-il avec un grand sourire
Je pique un fard pas possible et lui répond en balbutiant :
- Je suis content que ça t’aie plus. Je dois y aller…
Et je poursuis mon chemin. Il aurait voulu m’allumer qu’il ne s’y serait pas pris
autrement. Mais les mecs, ça ne m’intéresse pas ! « Je dois y aller… ». Je n’ai pas du
avoir l’air con moi !
Arrivé à mon vélo, je me rends compte que j’ai une trique d’enfer. Dans le feu de
l’action, je ne m’en étais pas rendu compte. Il n’a pas pu la rater malgré mon short
ample. Il me regarde toujours. Je lui lance un petit signe poli et grimpe sur ma
bécane.
Tout en roulant, j’essaie de me calmer. Je suis confus. Mais qu’est-ce qu’il m’arrive
? Un mec me reluque quand je me ballade à poils, il m’allume, et moi, je rougis et je
bande comme un âne !
Toute la journée, j’ai repensé à ce moment bizarre, à mon plaisir d’être nu sur la
plage et de nager ainsi, à l’idée que peut-être que ce beau pécheur aie d’autres
envies que de seulement me mater ou que d’autres m’observaient plus discrètement. Des
sensations nouvelles mais finalement très agréables et excitantes. Il me tardait
d’être demain pour ressentir encore ces émotions.
6 heures moins 5. Pas envie de perdre une minute ! Juste vêtu d’un short ample et
léger et d’un t-shirt, des tongs aux pieds, je saute sur ma bicyclette. Malgré que le
jour ne soit pas encore levé et qu’il fasse donc encore assez sombre, je me dirige à
vive allure directement vers la petite plage de mes fantasmes. Le vent frais gonfle
mon short et caresse délicieusement ma queue et mes couilles. Je suis persuadé que
j’offre ainsi mon attirail à la vue de tous, mais à cette heure, je ne croise
personne.
6 heures 5. Je suis à pied d’œuvre. Je dévale rapidement le petit chemin tout en
commençant à scruter les environs. Comme il fait encore sombre, je n’y vois pas grand-
chose, mais tout semble désert. La vue est superbe. Tout au fond de la baie, la petite
ville voisine perchée sur sa falaise est illuminée et se reflète dans l’eau
parfaitement calme.
Je retire mes chaussures et avance sur la plage. Le sable est humide et froid, ça
tranche un peu avec la douceur matinale de l’air. Je pars vers la gauche pour
m’écarter un peu des transats. A quelques mètres de l’eau, je jette mes tongs, retire
mon t-shirt, et, après un nouveau tour d’horizon, tombe le short.
Comme il ne fait pas encore clair, je décide de faire quelques pas sur la plage et
respirant profondément et en essayant de me vider l’esprit. Sans m’en rendre compte je
suis déjà à une cinquantaine de mètres de mes petites affaires, complètement à poils !
Ma hardiesse finira par me jouer des tours. Je fais demi-tour et me rapproche de
l’eau, au cas où… Après quelques mètres, je me jette à l’eau et continue à la nage.
L’eau est délicieuse. Je retrouve cette très agréable sensation de liberté. Je me
lance dans un crawl assez rapide tout en m’éloignant. A une quarantaine de mètre du
bord, je suis un peu essoufflé, mais j’ai toujours pieds. Je me retourne pour admirer
le paysage qui commence à s’éclairer. C’est magnifique.
Au loin, j’aperçois quelqu’un qui descend le petit chemin. D’après l’allure, ce doit
être un homme. Restons ici le temps qu’il passe pensais-je. A ma grande surprise, je
le vois, non loin de mes vêtements, retirer son t-shirt et son short et se mettre à
l’eau. Je n’ai pas vu s’il avait un maillot. Que faire ? Je me remets à nager, sans
énervement, pour m’éloigner vers la gauche.
Après avoir batifolé quelques instants près du rivage, l’inconnu nage maintenant dans
ma direction. Impossible de lui échapper. Je m’arrête et fais, l’air de rien quelques
mouvement d’étirement. En quelques instants, il est à quelques mètres de moi.
- Salut. Tu vas bien ?
Je le reconnais, c’est le beau pécheur allumeur de la veille.
- Super ! C’est génial de pouvoir se baigner à cette heure. Il fait si doux et
si calme.
Il est maintenant tout près de moi. Il est aussi à poils. A travers l’eau, je vois
furtivement une queue qui à l’air de belle proportion qui flotte librement, et une
touffe de poils noirs pas trop importante. Je n’ose pas regarder plus.
- Tu as vachement raison. Surtout aussi peu vêtus que nous le sommes !
A ces mots, je sens un frisson qui parcourt tout mon corps, ma bite frétille.
Excitation et stress ce mélange, j’arrive maîtriser un début d’érection.
- Cela fait plusieurs jours que je t’observe le matin. Tu oses chaque fois un
peu plus. On dirait bien tu aimes être à poil.
- En effet, c’est tellement agréable d’être aussi libre
- Pour être libre, tu l’es ! Te balader nu sur la plage alors que quelqu’un peut
débarquer à n’importe quel moment… Tu ne serais pas un peu exhib ?
- Heu… Tu m’as vu ?
- Oui. J’étais là haut. Joli spectacle ! J’espère qu’aujourd’hui, tu es moins
pressé qu’hier !
« Voilà de nouveau qu’il essaie de m’allumer ? » pensais-je. Je pique un bon fard. Mon
nouvel ami s’en aperçoit et tente de détendre l’atmosphère.
- Une petite course à la nage, ça te dit ? Le premier qui grimpe sur le rocher
là-bas a gagné.
Pas possible de se dérober. Et nous voilà parti pour un petit concours. J’avais
quelques mètres d’avance. Tout à coup, je pensais qu’en arrivant le premier, je devrai
monter sur le rocher… à poils… Alors, mine de rien, je ralentis un peu et le laisse
passer devant.
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