A la plage - histoire érotique

J'étais en vacances dans l'île de Ré cet été là, dans un camping pas loin de la mer. Mes amis travaillaient tous la journée alors je me retrouvais seul pour partir à la plage. Dans le coin où j'étais les plages sont grandes et ce jour là je m'éloignais de l'entrée de la plage pour m'installer un peu à l'écart : je me change, vire mon t-shirt, mon short et prêt à m'enrouler la serviette autour de la taille je me dis que les gens sont assez éloignés et je vire mon caleçon. C'était la première fois que je me retrouvais à poil sur une plage et ça me plaisais bien puisque je fis un peu durer avant d'enfiler mon maillot, jusqu'à ce que mon sexe forme un angle droit avec mon bide... Je finissais alors vite fais d'enfiler mon maillot pour planquer ce début d'érection incontrôlable dont j'avais un peu honte : si quelqu'un la voyait je passerais pour un pervers et malgré la distance j'étais persuadé que tout le monde pouvait me voir. Je filais à la mer pour que l'eau fraiche fasse redescendre ma verge plaquée entre l'élastique du maillot.
Au retour de l'eau je m'allonge sur ma serviette et me laisse sécher. Au bout de 2 minutes maxi j'ai déjà envie de retrouver ma nudité et mon sexe grossit douloureusement entre mon ventre et la serviette. Je suis surexcité et me décide à virer mon maillot humide : debout la serviette autour de la taille je le fais glisser par terre et contemple la bosse sous la serviette. Je m'assoie les jambes relevées vers moi et je ne peux m'empêcher de laisser ma main venir titiller mon gland, ma verge à sa taille maximum, puis mes testicules que je frôle du bout des doigts... Je n'avais jamais senti ma bite aussi réceptive à mes caresses. Je repousse les deux bords de la serviette et me voilà le sexe tendu, sous le soleil, et je n'y tient plus je commence quelques allers-retours de la main. C'est à ce moment que j'entends un bruit de course derrière moi : paniqué je me retourne et m'aperçois qu'un peu plus haut sur la dune il y a un sentier et que sur ce sentier une femme, disons une quarantaine d'année, a cessé de courir et préfère marcher tranquillement la tête tournée vers moi et le regard plus exactement rivé sur ma jeune bite que je lui présentais malgré moi. Je me suis alors vite fait couvert de ma serviette et elle a continué son chemin sans rien dire... Le coeur battant, rempli d'adrénaline, rassuré aussi que la femme n'aie pas crié au scandale, il ne me faut pas cinq minutes pour de nouveau virer la serviette, mais cette fois complètement, le cul dans le sable, et reprendre une masturbation dont je mourais d'envie. Je montais et descendais très lentement, sentant l'éjaculation possible à chaque effleurement de mon gland. J'étais trop excité pour chercher à cacher quoique ce soit, me branlant de plus en plus intensément : je relève quand même la tête et me rend compte qu'un couple longe le bord de l'eau à 10 mètres plus bas : ils m'ont forcément vu depuis longtemps mais comme la femme poursuivent leur chemin : la différence c'est que je n'ai pas voulu cacher mon érection cette fois, bien décidé à finir de m'exhiber... Le couple passé, je me suis senti un peu gêné de mon attitude, j'avais pas l'habitude de faire ce genre de trucs : à contre coeur je me relève pour renfiler mon maillot mais lorsque je me penche pour le ramasser je sens mon gland frotter mon ventre : je me redresse pour contempler une dernière fois cette belle érection insatisfaite et à peu près au même moment me rend compte que je suis pas le seul ! un coureur, un mec, était carrément arrêté sur le sentier au dessus à me mater tout entier ! Je me suis retourné très gêné dans l'autre sens après qu'il m'ait adressé un sourire que je ne voulais interpréter comme une invitation n'étant à priori pas attiré par les hommes. Il s'est remis à courir, et je me suis dit que le coin devenait un peu trop fréquenté pour continuer à me foutre à poil mais la pensée de ce mec reluquant mon sexe et peut être en avoir envie, plus les 3 autres personnes qui connaissait maintenant à peu près tout de mon anatomie finirent d'achever mes résistances : je m'allonge encore une fois dans le sable, recommence à me branler d'une main, me tripoter les couilles de l'autre, au comble du plaisir solitaire je laisse même un doigt pénétrer mon anus et rapidement mon sexe se décharge d'une force que je n'avais jamais connue. Le premier jet de sperme a atterri sur mon visage, je me suis penché sur le côté pour éjaculer le reste dans le sable.
Cette jouissance était à l'époque la plus forte que j'avais connue : je suis revenu le lendemain, je me suis de nouveau masturbé mais cette fois personne ne m'a surpris, ce qui m'a un peu déçu...