A Machin, mon puceau qui ne l'est plus
Récit érotique écrit par MARCUS [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-10-2010 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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A Machin, mon puceau qui ne l'est plus
Je fréquente toujours le sex-shop. J'y ai rencontré Michel, on est devenu intime, sûr l'un de l'autre, et on s'aime régulièrement, sans protection.
Puis j'ai rencontré "Machin". Je ne sais pas son prénom. Il m'a sucé, et m'a dit que les mecs de sa cité l'appelait ainsi.
Je lui ai donné rendez vous chez moi, et j'attends son arrivée avec impatience.
J'ai connu pas mal de mecs, mais pour la plupart entre 40 et 70 ans. Alors un jeune de 22 ans est inespéré. Je sais déjà que j'aurais du mal à me retenir à son arrivée, et par précaution je me masturbe, me fais jouir plusieurs fois avant sa venue.
Je referme la porte derrière lui, lui fais un gros bisou, et l'emmène au salon. Je lui propose de regarder une cassette pour se mettre dans l'ambiance, et vais chercher de quoi boire. Je reviens avec deux bières, le film a commencé. C'est un porno espagnol, où deux jeunes de 20 ans s'adonnent d'entrée à un 69 des plus torrides. Ils sont mignons, beaux, bien montés, ces salauds, et ne le laissent pas indifférent. Je vois une bosse au niveau de sa braguette, et l'invite à se déshabiller. Puis pour montrer l'exemple j'enlève mon froc, mon slip, et m'installe dans un fauteuil pour me branler.
Il se met à l'aise à son tour et s'assoie sur le canapé.
Il mâte le film, mais plus encore ma queue :
- Elle te plait?
- Oh oui, monsieur, elle est magnifique.
- N'exagères pas, il y en a de bien plus belles, mais c'est vrai que j'en suis fier.
- Oh, monsieur, c'est la taille idéale pour la prendre toute en bouche.
- Et dans le cul aussi.
- Je ne sais pas, je suis encore puceau. Mais dans la bouche, j'en ai envie.
Je me lève du fauteuil et vient contre lui sur le canapé. Je prends sa main pour la poser sur ma trique bien développée par ses promesses de pipe, et m'empare de la sienne. Il repousse ma main:
- Tu n'aimes pas mes caresses ?
- Ce n'est pas ça monsieur, mais le film, votre sexe gros et chaud dans ma main, me savoir nu en compagnie d'un homme, je suis trop excité, et je risque jouir très vite.
Je le laisse se calmer, puis reprends sa bite en main. A nouveau il me repousse, se lève, et me demande où sont les toilettes. J'ai compris qu'il ne vas pas pouvoir se retenir, et je m'agenouille devant lui.
- Mais qu'est ce que vous faites, je vais jouir.
- Laisse moi faire, et laisse toi aller.
J'ouvre grand la bouche, et la referme juste après son gland, gorgé de plaisir, rouge de désir. Je salive au maximum pour que son bout baigne dans un liquide chaud, j'enroule ma langue sur son bourgeon, et l'inévitable se produit. Au bout de quelques secondes il jouit, m'encrème la bouche de ses giclées chaudes et épaisses, rythmées par les soubresauts de sa queue. J'engloutis ses décharges bienvenues, puis le suces pour récupérer les dernières gouttes. Je relève ma tête:
- Eh bien mon salaud tu en avais vraiment envie, tu dois te sentir plus léger?
- Pardon monsieur, je ne voulais pas.
- Mais ne t'excuses mon chéri, c'était très bien. A part que tu ne m'as pas laissé le temps de savourer ta belle bite.
A peine ces paroles finies, je le reprend en bouche, pour sa première pipe. Je m'applique, j'y mets tout mon cœur, pour qu'il en garde un bon souvenir. Il trique à nouveau comme un âne, j'arrête de le pomper, et on s'assied sur le canapé pour se branler réciproquement. Je lui fais un bisou, cherche sa bouche, et lui roule une pelle vorace à laquelle il s'abandonne.
Le film n'est pas encore fini, et je le commente avec des mots obscènes, des injures, comme si c'était nous qui étions en scène.
Le film est terminé, et je l'emmène dans ma chambre, avec l'intention de me faire sucer à mon tour, et bien sucer.
Il passe devant et j'en profite pour mater son petit cul. Il a de jolies miches, un sillon tentateur, et je banderais plus, si c'était possible. On n'a enlevé que le bas, on est en tee-shirt et chaussures, et on se fout entièrement à poil. Il est super beau, je m'approche de lui, le prend par les hanches, frotte ma queue à la sienne, et l'embrasse. On se caresse les couilles, et il est surpris par la grosseur des miennes. Je lui dit qu'effectivement la nature m'a gâté de ce côté, et qu'encore elles ne sont pas au mieux de leur forme: je me suis branlé et fais jouir plusieurs fois depuis ce matin et elles sont presque vides, mais si on continue à se voir j'aurais l'occasion de les lui offrir bien pleines, énormes.
En attendant je place une chaise près de la commode, monte dessus, pose un pied sur le meuble. J'ai les cuisses ouvertes, le sexe à hauteur de sa gueule, et je l'invite à s'amuser avec ma paire de boules.
Il les caresse, les pelote, les embrasse, les lèche, les gobe, une à la fois, vu leur taille.
Il louche sur ma bite, et se décide à me lâcher la grappe pour me sucer. Il pompe voracement et je dois calmer ses ardeurs. Je descends de la chaise, m'allonge sur le lit, cuisses écartées, il vient à quatre patte entre mes jambes, et je lui explique ce que j'attends de lui:
- Suces moi salope, mais prends ton temps. On n'est pas pressé, on est seul, personne ne va te la prendre ma queue, elle est à toi, toute à toi, rien qu'à toi. Je veux une pipe caresse, une pipe tendresse, toute en finesse et subtilité. Je veux que tu salives au maximum pour qu'elle glisse mieux dans ta bouche, que tu la prennes toute jusqu'à la racine, puis dans ta main pour me branler en douceur pendant que tu reprends ton souffle. Je veux aussi que tu me regardes dans les yeux en suçant. Tu es un putain de pédé, comme moi, qui aime les mecs, les queues, et il ne faut pas en avoir honte.
Il s'applique pour me satisfaire, et si c'est vraiment sa troisième expérience, il se débrouille très bien:
- Oh oui ! C'est bon ! Tu es génial mon chéri, une bonne turluteuse. Oh salaud, tu aimes ça, une grosse queue dans ta bouche. Tu es une belle gourmande, qui aime les queues juteuses.
Il me l'a déjà dit, et me le redit: il ne veux pas que je décharge dans sa bouche. Promis, je n'en ferais rien. Il me suce longtemps, plus d'une heure, et je le fais stopper. J'ai envie de lui baiser la bouche.
Il est allongé, la tête en arrière, la bouche grande ouverte. Je suis debout contre le lit, passe une jambe par dessus lui, et baisse ma queue pour l'introduire. Je m'enfonce jusque dans sa gorge, reste quelques instants, et ressort pour le laisser respirer. Je recommence, et mes couilles pendantes caressent son visage au rythme de mes va et viens.
Puis je lui fais me les bouffer. Je les glisse, les pousse de mes doigts, l'une derrière l'autre. Il a la bouche pleine de mes couilles, et j'imagine ses joues gonflées comme celles d'un hamster.
Il les suce, tant bien que mal, et je me branle énergiquement. Je jouis et éjacule sur son corps.
Je me presse la queue pour libérer les dernières gouttes sur mes doigts que je suce.
Si mes burnes sont entrées l'une après l'autre, elles se présentent côte à côte pour une sortie délicate. Elles sont comprimées par ses lèvres pourtant ouvertes au maximum, mais retrouvent la liberté.
Je nettoie son corps de ma bouche, et avale mon sperme.
Je le laisse repartir et il me promet de revenir pour se faire enfiler et bouffer du sperme, pour sa première fois.
J'ai invité mon bon copain pour son dépucelage.
Il a mon âge (deux ans de moins), et il a une queue aussi belle que la mienne, peut-être même plus jolie. C'est lui qui m'a initié à l'amour anal. Il est tendre, doux, et je me régale autant à me faire mettre par lui, qu'à l'enfiler.
On a donné rendez-vous à notre jeune salope en début d'après midi. Mon pote est venu chez moi une heure à l'avance, et on se met en condition avant son arrivée, avec un 69 lubrique.
Il sonne, je viens ouvrir à poil, la bite à l'équerre, et l'emmène dans la chambre. Mon pote est nu sur le lit, il se branle gentiment, et je fais les présentations. Un bon moment que l'on se suçait en évitant de jouir, et il est le bienvenu pour nous soulager les couilles que l'on a bien pleines. On est debout, côte à côte, il est à genoux devant nous, et on se roule des pelles pendant qu'il nous pompe, à tour de rôle ou les deux à la fois. On ne se retient plus et on décharge de longues giclées chaudes et épaisses qu'il avale goulument.
On s'installe sur le lit, et on attend qu'il nous remette en forme avant de l'enfiler.
Il est encore habillé et va nous offrir un striptease lascif. Il a écouté mes consignes, et le voilà avec des bas résilles, porte jarretelles et string. Il est trop mignon et on ne débande plus. Il enlève son mini slip et nous rejoint. Il nous pompe à nouveau, et on le caresse de nos mains de mâles, des pieds à la tête. On trique dur, et on va passer à son dépucelage.
Il est un peu craintif devant nos belles queues dressées, qui sont bien calibrées mais n'ont rien d'exceptionnel. On l'assure d'être attentionné, et on lui jure que s'il ressent quelques petites douleurs au tout début, ça passe très vite, et ce n'est plus que du plaisir intense. Il est toujours hésitant, et on va s'enculer devant lui, pour lui montrer en vrai ce que c'est.
Michel, mon pote, se met à quatre pattes au bord du lit, et écarte ses fesses. Je coule un peu de gel lubrifiant sur son œillet, plaque mon gland dessus, et m'enfonce sans la moindre difficulté. Je suis tout en lui, et ne bouge plus. Je m'adresse à notre puceau:
- Tu vois, ça rentre comme dans du beurre, et il n'a rien sentit.
puis à mon copain:
- Pas vrai que tu n'as rien sentit?
- Baises moi au lieu de discuter. C'est trop bon ta bite dans mon cul, je suis ta pute, bourre moi.
Je le ramone quelques instant, et il râle de plaisir. Je me retire, on change de place, et c'est lui qui me tringle:
- Oh oui, c'est bon. Mets me la bien dans mon cul de grosse salope.
Il se retire. On a fait ce qu'il fallait pour lui donner envie, et il est enfin décidé.
Il est à quatre pattes, mais à la place du gel, on va te lubrifier avec nos salives. On est à genoux derrière lui et on lui bouffe le cul avec tendresse. Nos langues parcourent sa raie, creuse son sillon, fourre sa rosette. On glisse un doigt, deux, trois, et il est prêt à nous recevoir
Son petit trou est ouvert et huilé de nos salives. Michel se lève et je le suce pour bien lubrifier son gland. Il le plaque sur sa rondelle et s'enfonce délicatement. Notre jeune est en confiance, détendu, et ressent à peine une légère douleur, très supportable. Michou continue son avancée et je vois son manche disparaître entre ses belles petites miches fermes et dodues. Il reste en lui sans bouger:
- Ca va mon chéri?
- Oh oui monsieur, c'est super.
- Tu veux une petite pause, où tu veux me sentir aller et venir?
- Allez-y monsieur, enculez moi comme je le mérite, je suis votre trainée à tous les deux.
- Ok ma puce, tu vas connaître le grand frisson.
Il se met lentement en mouvement et le sodomise en douceur. Il s'exclame de l'étroitesse de son anus qui lui enserre bien le manche pour son plus grand plaisir. Je le sais performant pour me faire mettre moi aussi, et il n'est pas prêt de se retirer.
Machin gémit comme une jeune fille, et je viens m'allonger sur le lit pour me faire sucer. Il me pompe comme une professionnelle:
- Oh mon chéri c'est bon. Tu es en progrès. Tu suces à merveille, ca t'inspire une bite dans le cul.
Michel le lime un bon moment puis tient à se reposer. Je me lève, et à peine sa queue sortie, la mienne la remplace avant que son petit trou ne se referme. Je te baise à mon tour, et il le suce. Mon ami allonge son bras pour se saisir de la bite du petit minet:
- Mais tu bandes mon petit salaud! Ca te plait deux vieux qui te farcissent! Eclates toi salope, profites bien de nos belles triques qui bandent pour toi.
Je le ramone longuement, et on rechange. On l'encule ainsi plusieurs fois chacun, et on termine par se faire sucer tous les deux, et décharger dans sa bouche avide de foutre.
On fait une pause. On boit une bière au salon, assis sur le canapé, lui entre nous pour que l'on se caresse, comme deux vieux vicieux qui s'offrent un jeune petite pute, gratuite. J'ai mis une vidéo en route. Il ne s'agît pas des deux petits minets de l'autre fois et de leur 69, mais de deux mecs bien virils. Ils ont la quarantaine, le physique de rugbymen, hyper bien montés, et ils s'enculent à tour de rôle. Il n'en revient pas de ce qu'ils se mettent dans le cul, et il nous branle les manches pour qu'on le reprenne. Le film est fini, nos sexes sont dressés, et on repart à la chambre.
On se couche tous les trois sur le lit, sur le coté. Michel est face à lui, en 69, et ils se dégustent le manche. Je suis plaqué derrière Machin, et le pénètre sans précaution. On l'a déjà enfilé et je sais qu'il peut me recevoir, et puis la queue qui emplit ta bouche l'empêche de crier. Après quelques aller retour je le sens tout offert, et je le bourre sans ménagement:
- Oh mon chéri, jamais un mec ne m'a autant excité. Tu es jeune, tu es beau, tu es salope, tu es fait pour la baise. C'est bon de s'aimer entre mecs mon amour, tu es la meilleure pute que j'ai jamais aimé. Oh putain que j'aimerais être à ta place, une bite dans le cul, une dans la bouche, et se faire pomper, le paradis sur terre.
Michel m'entend lui dire ces mots, et me dit que ça peut s'arranger. Il me propose alors de prendre sa place en 69, et de me sodomiser; mais à une condition, que je lui rende la politesse. J'accepte, mais tient à ramoner encore notre visiteur. C'est son dépucelage, la fête à son fion, et il est prioritaire. Aussi on va s'enfiler entre vieux, mais pour une minute où l'on va se mettre, c'est minimum cinq minutes que son jeune petit trou va déguster. C'est ainsi que l'on se fait un 69 des plus goulu, tandis que mon pote nous encule de sa grosse queue, lui bien plus que moi. Puis c'est à Michel de le sucer tandis qu'il le suce, et je les encule.
Notre putain n'en peux plus, préviens de son éjac, et jouis dans la bouche de mon salaud de Michel qui n'attendait que ça. Il avale jusqu'à la dernière goutte. On continue à se sucer, se ramoner, jusqu'à jouir à notre tour. On est debout, lui encore à genoux devant nous, et on se soulage dans sa bouche reconnaissante.
Trois fois que l'on a joui, pour des mecs de notre âge c'est une performance, et pourtant, pour lui, on va tenter un quatrième exploit. On fait une nouvelle pause en buvant un coup et regardant des cassettes. Ce sont des mini films, à trois, deux mecs bi et une fille. Les mecs s'embrassent, s'enfilent, et la fille participe. A chaque fois un mec s'empale sur la queue de son partenaire male, et la fille s'empale par le cul, sur la sienne. Que du bonheur. Puis les mecs déchargent dans la bouche de la fille qui avale tout.
Il est sur le canapé, entre nous, on le caresse, il nous branle, on s'embrasse, et à la fin de la cassette on est prêt à se faire une nouvelle séance.
De voir ces mecs s'enfiler ça nous donne envie à tous les trois de se faire mettre. On sait que ce jeune ne veux pas nous enfiler et du coup il va avoir en permanence un manche dans le cul. On s'allonge tous les trois sur le lit, couchés sur le côté. Michel l'encule sans perdre de temps et me demande de la lui mettre bien profond. Je l'encule à mon tour et il se retrouve en sandwich, sa bite dans son cul et la mienne dans le sien. On trouve vite la bonne cadence pour se bourrer au mieux, comme des chiens. Ils gémissent de plaisir et balancent des encouragements obscènes.
Après une bonne séance je change de place avec mon pote, et me trouve entre eux deux, à ramoner et me faire farcir.
Dommage qu'il ne veuille pas nous sodomiser. Je suis sûr que sa jolie queue nous ferait le plus grand bien, mais surtout il connaitrait ces moments merveilleux d'être entre deux hommes.
On a déjà joui trois fois, et la quatrième, si on y parvient, n'est pas prête d'arriver. Autant dire qu'il va en prendre plein le cul pendant longtemps. Une bite dans le cul nous permet de bander encore plus fort. On se tient une trique béton, comme une crampe, et on le fait hurler de plaisir.
Il n'a pas assez d'une seule bite, et nous supplie pour la nième fois de venir aussi dans sa bouche.
On va le satisfaire.
On est tous les trois debout, lui penché en avant. Je l'embroche par l'anus, et mon pote vient dans sa bouche. Il ne se laisse pas le sucer. Il saisit sa tête à deux mains, et va et vient dans sa bouche, jusque dans ta gorge:
- Tu voulais une bite dans chaque trou, salope, alors tu vas être servi. On va te défoncer, ta petite gueule et ton petit cul, te baiser comme des mâles en rut qui se font une femelle en chaleur. On va te fouiller de nos grosses queues, du gland jusqu'aux couilles et des couilles jusqu'au gland.
On le prend ainsi, puis on inverse les places.
Après plus de deux heures de baise intense, on jouit enfin, en même temps, mon pote dans sa gorge, et moi entre ses reins. Je me retire, il nous nettoie les queues, puis s'accroupit, son cul recrache mon foutre dans sa main, et il bouffe tout.
Notre séance est finie. On se rhabille, puis on prend un verre en parlant de nos prochains rendez-vous. On le veux une fois par semaine, le samedi après midi, pour l'aimer durant des heures. Quand on le jugera suffisamment soumise, pute et salope, on l'emmènera au sex-shop, pour l'offrir à d'autres mecs.
Puis j'ai rencontré "Machin". Je ne sais pas son prénom. Il m'a sucé, et m'a dit que les mecs de sa cité l'appelait ainsi.
Je lui ai donné rendez vous chez moi, et j'attends son arrivée avec impatience.
J'ai connu pas mal de mecs, mais pour la plupart entre 40 et 70 ans. Alors un jeune de 22 ans est inespéré. Je sais déjà que j'aurais du mal à me retenir à son arrivée, et par précaution je me masturbe, me fais jouir plusieurs fois avant sa venue.
Je referme la porte derrière lui, lui fais un gros bisou, et l'emmène au salon. Je lui propose de regarder une cassette pour se mettre dans l'ambiance, et vais chercher de quoi boire. Je reviens avec deux bières, le film a commencé. C'est un porno espagnol, où deux jeunes de 20 ans s'adonnent d'entrée à un 69 des plus torrides. Ils sont mignons, beaux, bien montés, ces salauds, et ne le laissent pas indifférent. Je vois une bosse au niveau de sa braguette, et l'invite à se déshabiller. Puis pour montrer l'exemple j'enlève mon froc, mon slip, et m'installe dans un fauteuil pour me branler.
Il se met à l'aise à son tour et s'assoie sur le canapé.
Il mâte le film, mais plus encore ma queue :
- Elle te plait?
- Oh oui, monsieur, elle est magnifique.
- N'exagères pas, il y en a de bien plus belles, mais c'est vrai que j'en suis fier.
- Oh, monsieur, c'est la taille idéale pour la prendre toute en bouche.
- Et dans le cul aussi.
- Je ne sais pas, je suis encore puceau. Mais dans la bouche, j'en ai envie.
Je me lève du fauteuil et vient contre lui sur le canapé. Je prends sa main pour la poser sur ma trique bien développée par ses promesses de pipe, et m'empare de la sienne. Il repousse ma main:
- Tu n'aimes pas mes caresses ?
- Ce n'est pas ça monsieur, mais le film, votre sexe gros et chaud dans ma main, me savoir nu en compagnie d'un homme, je suis trop excité, et je risque jouir très vite.
Je le laisse se calmer, puis reprends sa bite en main. A nouveau il me repousse, se lève, et me demande où sont les toilettes. J'ai compris qu'il ne vas pas pouvoir se retenir, et je m'agenouille devant lui.
- Mais qu'est ce que vous faites, je vais jouir.
- Laisse moi faire, et laisse toi aller.
J'ouvre grand la bouche, et la referme juste après son gland, gorgé de plaisir, rouge de désir. Je salive au maximum pour que son bout baigne dans un liquide chaud, j'enroule ma langue sur son bourgeon, et l'inévitable se produit. Au bout de quelques secondes il jouit, m'encrème la bouche de ses giclées chaudes et épaisses, rythmées par les soubresauts de sa queue. J'engloutis ses décharges bienvenues, puis le suces pour récupérer les dernières gouttes. Je relève ma tête:
- Eh bien mon salaud tu en avais vraiment envie, tu dois te sentir plus léger?
- Pardon monsieur, je ne voulais pas.
- Mais ne t'excuses mon chéri, c'était très bien. A part que tu ne m'as pas laissé le temps de savourer ta belle bite.
A peine ces paroles finies, je le reprend en bouche, pour sa première pipe. Je m'applique, j'y mets tout mon cœur, pour qu'il en garde un bon souvenir. Il trique à nouveau comme un âne, j'arrête de le pomper, et on s'assied sur le canapé pour se branler réciproquement. Je lui fais un bisou, cherche sa bouche, et lui roule une pelle vorace à laquelle il s'abandonne.
Le film n'est pas encore fini, et je le commente avec des mots obscènes, des injures, comme si c'était nous qui étions en scène.
Le film est terminé, et je l'emmène dans ma chambre, avec l'intention de me faire sucer à mon tour, et bien sucer.
Il passe devant et j'en profite pour mater son petit cul. Il a de jolies miches, un sillon tentateur, et je banderais plus, si c'était possible. On n'a enlevé que le bas, on est en tee-shirt et chaussures, et on se fout entièrement à poil. Il est super beau, je m'approche de lui, le prend par les hanches, frotte ma queue à la sienne, et l'embrasse. On se caresse les couilles, et il est surpris par la grosseur des miennes. Je lui dit qu'effectivement la nature m'a gâté de ce côté, et qu'encore elles ne sont pas au mieux de leur forme: je me suis branlé et fais jouir plusieurs fois depuis ce matin et elles sont presque vides, mais si on continue à se voir j'aurais l'occasion de les lui offrir bien pleines, énormes.
En attendant je place une chaise près de la commode, monte dessus, pose un pied sur le meuble. J'ai les cuisses ouvertes, le sexe à hauteur de sa gueule, et je l'invite à s'amuser avec ma paire de boules.
Il les caresse, les pelote, les embrasse, les lèche, les gobe, une à la fois, vu leur taille.
Il louche sur ma bite, et se décide à me lâcher la grappe pour me sucer. Il pompe voracement et je dois calmer ses ardeurs. Je descends de la chaise, m'allonge sur le lit, cuisses écartées, il vient à quatre patte entre mes jambes, et je lui explique ce que j'attends de lui:
- Suces moi salope, mais prends ton temps. On n'est pas pressé, on est seul, personne ne va te la prendre ma queue, elle est à toi, toute à toi, rien qu'à toi. Je veux une pipe caresse, une pipe tendresse, toute en finesse et subtilité. Je veux que tu salives au maximum pour qu'elle glisse mieux dans ta bouche, que tu la prennes toute jusqu'à la racine, puis dans ta main pour me branler en douceur pendant que tu reprends ton souffle. Je veux aussi que tu me regardes dans les yeux en suçant. Tu es un putain de pédé, comme moi, qui aime les mecs, les queues, et il ne faut pas en avoir honte.
Il s'applique pour me satisfaire, et si c'est vraiment sa troisième expérience, il se débrouille très bien:
- Oh oui ! C'est bon ! Tu es génial mon chéri, une bonne turluteuse. Oh salaud, tu aimes ça, une grosse queue dans ta bouche. Tu es une belle gourmande, qui aime les queues juteuses.
Il me l'a déjà dit, et me le redit: il ne veux pas que je décharge dans sa bouche. Promis, je n'en ferais rien. Il me suce longtemps, plus d'une heure, et je le fais stopper. J'ai envie de lui baiser la bouche.
Il est allongé, la tête en arrière, la bouche grande ouverte. Je suis debout contre le lit, passe une jambe par dessus lui, et baisse ma queue pour l'introduire. Je m'enfonce jusque dans sa gorge, reste quelques instants, et ressort pour le laisser respirer. Je recommence, et mes couilles pendantes caressent son visage au rythme de mes va et viens.
Puis je lui fais me les bouffer. Je les glisse, les pousse de mes doigts, l'une derrière l'autre. Il a la bouche pleine de mes couilles, et j'imagine ses joues gonflées comme celles d'un hamster.
Il les suce, tant bien que mal, et je me branle énergiquement. Je jouis et éjacule sur son corps.
Je me presse la queue pour libérer les dernières gouttes sur mes doigts que je suce.
Si mes burnes sont entrées l'une après l'autre, elles se présentent côte à côte pour une sortie délicate. Elles sont comprimées par ses lèvres pourtant ouvertes au maximum, mais retrouvent la liberté.
Je nettoie son corps de ma bouche, et avale mon sperme.
Je le laisse repartir et il me promet de revenir pour se faire enfiler et bouffer du sperme, pour sa première fois.
J'ai invité mon bon copain pour son dépucelage.
Il a mon âge (deux ans de moins), et il a une queue aussi belle que la mienne, peut-être même plus jolie. C'est lui qui m'a initié à l'amour anal. Il est tendre, doux, et je me régale autant à me faire mettre par lui, qu'à l'enfiler.
On a donné rendez-vous à notre jeune salope en début d'après midi. Mon pote est venu chez moi une heure à l'avance, et on se met en condition avant son arrivée, avec un 69 lubrique.
Il sonne, je viens ouvrir à poil, la bite à l'équerre, et l'emmène dans la chambre. Mon pote est nu sur le lit, il se branle gentiment, et je fais les présentations. Un bon moment que l'on se suçait en évitant de jouir, et il est le bienvenu pour nous soulager les couilles que l'on a bien pleines. On est debout, côte à côte, il est à genoux devant nous, et on se roule des pelles pendant qu'il nous pompe, à tour de rôle ou les deux à la fois. On ne se retient plus et on décharge de longues giclées chaudes et épaisses qu'il avale goulument.
On s'installe sur le lit, et on attend qu'il nous remette en forme avant de l'enfiler.
Il est encore habillé et va nous offrir un striptease lascif. Il a écouté mes consignes, et le voilà avec des bas résilles, porte jarretelles et string. Il est trop mignon et on ne débande plus. Il enlève son mini slip et nous rejoint. Il nous pompe à nouveau, et on le caresse de nos mains de mâles, des pieds à la tête. On trique dur, et on va passer à son dépucelage.
Il est un peu craintif devant nos belles queues dressées, qui sont bien calibrées mais n'ont rien d'exceptionnel. On l'assure d'être attentionné, et on lui jure que s'il ressent quelques petites douleurs au tout début, ça passe très vite, et ce n'est plus que du plaisir intense. Il est toujours hésitant, et on va s'enculer devant lui, pour lui montrer en vrai ce que c'est.
Michel, mon pote, se met à quatre pattes au bord du lit, et écarte ses fesses. Je coule un peu de gel lubrifiant sur son œillet, plaque mon gland dessus, et m'enfonce sans la moindre difficulté. Je suis tout en lui, et ne bouge plus. Je m'adresse à notre puceau:
- Tu vois, ça rentre comme dans du beurre, et il n'a rien sentit.
puis à mon copain:
- Pas vrai que tu n'as rien sentit?
- Baises moi au lieu de discuter. C'est trop bon ta bite dans mon cul, je suis ta pute, bourre moi.
Je le ramone quelques instant, et il râle de plaisir. Je me retire, on change de place, et c'est lui qui me tringle:
- Oh oui, c'est bon. Mets me la bien dans mon cul de grosse salope.
Il se retire. On a fait ce qu'il fallait pour lui donner envie, et il est enfin décidé.
Il est à quatre pattes, mais à la place du gel, on va te lubrifier avec nos salives. On est à genoux derrière lui et on lui bouffe le cul avec tendresse. Nos langues parcourent sa raie, creuse son sillon, fourre sa rosette. On glisse un doigt, deux, trois, et il est prêt à nous recevoir
Son petit trou est ouvert et huilé de nos salives. Michel se lève et je le suce pour bien lubrifier son gland. Il le plaque sur sa rondelle et s'enfonce délicatement. Notre jeune est en confiance, détendu, et ressent à peine une légère douleur, très supportable. Michou continue son avancée et je vois son manche disparaître entre ses belles petites miches fermes et dodues. Il reste en lui sans bouger:
- Ca va mon chéri?
- Oh oui monsieur, c'est super.
- Tu veux une petite pause, où tu veux me sentir aller et venir?
- Allez-y monsieur, enculez moi comme je le mérite, je suis votre trainée à tous les deux.
- Ok ma puce, tu vas connaître le grand frisson.
Il se met lentement en mouvement et le sodomise en douceur. Il s'exclame de l'étroitesse de son anus qui lui enserre bien le manche pour son plus grand plaisir. Je le sais performant pour me faire mettre moi aussi, et il n'est pas prêt de se retirer.
Machin gémit comme une jeune fille, et je viens m'allonger sur le lit pour me faire sucer. Il me pompe comme une professionnelle:
- Oh mon chéri c'est bon. Tu es en progrès. Tu suces à merveille, ca t'inspire une bite dans le cul.
Michel le lime un bon moment puis tient à se reposer. Je me lève, et à peine sa queue sortie, la mienne la remplace avant que son petit trou ne se referme. Je te baise à mon tour, et il le suce. Mon ami allonge son bras pour se saisir de la bite du petit minet:
- Mais tu bandes mon petit salaud! Ca te plait deux vieux qui te farcissent! Eclates toi salope, profites bien de nos belles triques qui bandent pour toi.
Je le ramone longuement, et on rechange. On l'encule ainsi plusieurs fois chacun, et on termine par se faire sucer tous les deux, et décharger dans sa bouche avide de foutre.
On fait une pause. On boit une bière au salon, assis sur le canapé, lui entre nous pour que l'on se caresse, comme deux vieux vicieux qui s'offrent un jeune petite pute, gratuite. J'ai mis une vidéo en route. Il ne s'agît pas des deux petits minets de l'autre fois et de leur 69, mais de deux mecs bien virils. Ils ont la quarantaine, le physique de rugbymen, hyper bien montés, et ils s'enculent à tour de rôle. Il n'en revient pas de ce qu'ils se mettent dans le cul, et il nous branle les manches pour qu'on le reprenne. Le film est fini, nos sexes sont dressés, et on repart à la chambre.
On se couche tous les trois sur le lit, sur le coté. Michel est face à lui, en 69, et ils se dégustent le manche. Je suis plaqué derrière Machin, et le pénètre sans précaution. On l'a déjà enfilé et je sais qu'il peut me recevoir, et puis la queue qui emplit ta bouche l'empêche de crier. Après quelques aller retour je le sens tout offert, et je le bourre sans ménagement:
- Oh mon chéri, jamais un mec ne m'a autant excité. Tu es jeune, tu es beau, tu es salope, tu es fait pour la baise. C'est bon de s'aimer entre mecs mon amour, tu es la meilleure pute que j'ai jamais aimé. Oh putain que j'aimerais être à ta place, une bite dans le cul, une dans la bouche, et se faire pomper, le paradis sur terre.
Michel m'entend lui dire ces mots, et me dit que ça peut s'arranger. Il me propose alors de prendre sa place en 69, et de me sodomiser; mais à une condition, que je lui rende la politesse. J'accepte, mais tient à ramoner encore notre visiteur. C'est son dépucelage, la fête à son fion, et il est prioritaire. Aussi on va s'enfiler entre vieux, mais pour une minute où l'on va se mettre, c'est minimum cinq minutes que son jeune petit trou va déguster. C'est ainsi que l'on se fait un 69 des plus goulu, tandis que mon pote nous encule de sa grosse queue, lui bien plus que moi. Puis c'est à Michel de le sucer tandis qu'il le suce, et je les encule.
Notre putain n'en peux plus, préviens de son éjac, et jouis dans la bouche de mon salaud de Michel qui n'attendait que ça. Il avale jusqu'à la dernière goutte. On continue à se sucer, se ramoner, jusqu'à jouir à notre tour. On est debout, lui encore à genoux devant nous, et on se soulage dans sa bouche reconnaissante.
Trois fois que l'on a joui, pour des mecs de notre âge c'est une performance, et pourtant, pour lui, on va tenter un quatrième exploit. On fait une nouvelle pause en buvant un coup et regardant des cassettes. Ce sont des mini films, à trois, deux mecs bi et une fille. Les mecs s'embrassent, s'enfilent, et la fille participe. A chaque fois un mec s'empale sur la queue de son partenaire male, et la fille s'empale par le cul, sur la sienne. Que du bonheur. Puis les mecs déchargent dans la bouche de la fille qui avale tout.
Il est sur le canapé, entre nous, on le caresse, il nous branle, on s'embrasse, et à la fin de la cassette on est prêt à se faire une nouvelle séance.
De voir ces mecs s'enfiler ça nous donne envie à tous les trois de se faire mettre. On sait que ce jeune ne veux pas nous enfiler et du coup il va avoir en permanence un manche dans le cul. On s'allonge tous les trois sur le lit, couchés sur le côté. Michel l'encule sans perdre de temps et me demande de la lui mettre bien profond. Je l'encule à mon tour et il se retrouve en sandwich, sa bite dans son cul et la mienne dans le sien. On trouve vite la bonne cadence pour se bourrer au mieux, comme des chiens. Ils gémissent de plaisir et balancent des encouragements obscènes.
Après une bonne séance je change de place avec mon pote, et me trouve entre eux deux, à ramoner et me faire farcir.
Dommage qu'il ne veuille pas nous sodomiser. Je suis sûr que sa jolie queue nous ferait le plus grand bien, mais surtout il connaitrait ces moments merveilleux d'être entre deux hommes.
On a déjà joui trois fois, et la quatrième, si on y parvient, n'est pas prête d'arriver. Autant dire qu'il va en prendre plein le cul pendant longtemps. Une bite dans le cul nous permet de bander encore plus fort. On se tient une trique béton, comme une crampe, et on le fait hurler de plaisir.
Il n'a pas assez d'une seule bite, et nous supplie pour la nième fois de venir aussi dans sa bouche.
On va le satisfaire.
On est tous les trois debout, lui penché en avant. Je l'embroche par l'anus, et mon pote vient dans sa bouche. Il ne se laisse pas le sucer. Il saisit sa tête à deux mains, et va et vient dans sa bouche, jusque dans ta gorge:
- Tu voulais une bite dans chaque trou, salope, alors tu vas être servi. On va te défoncer, ta petite gueule et ton petit cul, te baiser comme des mâles en rut qui se font une femelle en chaleur. On va te fouiller de nos grosses queues, du gland jusqu'aux couilles et des couilles jusqu'au gland.
On le prend ainsi, puis on inverse les places.
Après plus de deux heures de baise intense, on jouit enfin, en même temps, mon pote dans sa gorge, et moi entre ses reins. Je me retire, il nous nettoie les queues, puis s'accroupit, son cul recrache mon foutre dans sa main, et il bouffe tout.
Notre séance est finie. On se rhabille, puis on prend un verre en parlant de nos prochains rendez-vous. On le veux une fois par semaine, le samedi après midi, pour l'aimer durant des heures. Quand on le jugera suffisamment soumise, pute et salope, on l'emmènera au sex-shop, pour l'offrir à d'autres mecs.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
trop bon
J'espère qu'il y aura une suite. Cette histoire m'a vraiment bien excité. Il y a une bonne dose de sperme qui englue mon drap!