A trois, c'est mieux
Récit érotique écrit par Maitre A [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-11-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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A trois, c'est mieux
Ceci est notre histoire, comptée par Maître A, notre confident
Je m’appelle Martine et j’ai, aujourd’hui, 60 ans. Mariée depuis 35 ans avec celui que j’ai vite regretté d’avoir épousé tant il est nul au lit ! Jusqu’au jour ou…
Après 5 ans de mariage, il arriva un truc incroyable. Ma sœur ayant divorcé, il se trouva que son ex mari s’incrusta de plus en plus chez nous. Jean a 4 ans de plus que nous et c’est une force de la nature. Mon mari, Philippe, semblait l’admirer et le craindre. Mais ils étaient toujours ensemble. Souvent quand je rentrais du boulot vers 17h, je les trouvais devant la télé. Cela ne me dérangeait pas, mais Jean avait une façon de me regarder qui me faisait frissonner.
Ce jour là, suite à une panne, je rentrais vers 15h30. La maison semblait vide, mais la porte n’était pas fermée. Il me semblait entendre du bruit en provenance de notre chambre. La porte était entrouverte et je me figeais sur le seuil. Jean étais nu, debout et Philippe tout aussi nu, à genoux devant lui, le suçait. La bite de Jean me semblait énorme (25*7 apprendrais je) et mon mari la prenait entière avec des bruits révélateurs.
« C’est bien ma petite salope ! Maintenant allonge toi sur le lit que je t’encule… »
Sidérée, je vis philippe obéir, relevé les jambes en les écartant et Jean venir lui perforer l’anus, sans hésitation.
« Elle est bonne ma queue hein ! »
« Oui, mon chéri, elle est formidable ! Et mon cul te plait ? »
« Bien sûr ! Je suis fier de l’avoir dépucelé. Maintenant, tu es ma salope… »
Sur le moment, je failli partir et ne plus revenir. Puis, je retournais sur mes pas et m’installais dans le salon. Quand ils sortir de la chambre, une heure plus tard, ils se figèrent sur place.
« Ça fait longtemps que vous vous envoyez en l’air dans mon dos ? »
Jean haussa les épaules :
« Ça ne te gênes pas vu que tu lui refuse de baiser 9 fois sur 10 »
« Avec son asticot qui jute en 5 minutes maxi, ça n’en vaut pas la peine. Il met une heure à daigner rebander !!! »
« Fout toi à poil, moi je vais te montrer ce que c’est un mâle… »
Je n’hésitais pas une seconde, mon jean fut vite ôté puis mon tee-shirt. Mon tanga et le soutif suivirent et je m’agenouillais devant Jean, qui m’offrais sa bite !
J’avais du mal à la prendre en bouche et impossible de faire une gorge profonde. Alors, Philippe me montra la façon de faire et quand Jean fut satisfait, il me prit en levrette sur le sol du salon. C’est là que je découvris que Philippe portait une cage de chasteté ! Dire que le monstre me retourna la chatte, c’est faible. J’avais l’impression qu’il allait me couper en deux. Trois orgasmes plus tard, il décida de m’enculer. Philippe fut chargé de me préparer avec sa langue et ses doigts. Je n’avais pas envie d’être dépucelée du cul par cette bite, mais vu que mon mari la prenait, je me sentais obligée. . . Quand le gland franchit ma rosette je hurlais de douleur et ces salops rigolaient en me tenant bien à plat sur le ventre. Après 25 minutes Jean déchargea dans mon cul et je jouissais !
Le soir, à table, il fixa les nouvelles règles de vie.
Nous devions vivre nus toute la journée à la maison. Quand des visiteurs venaient, la plus part du temps, nous restions à poil et certains nous baisaient, mais avec capote. Au bout de 6 mois, je fus enceinte et Jean n’en était pas peu fier. C’est lui qui a suivi ma grossesse comme un mari et qui assista à l’accouchement. Notre fils, Raphaël, grandit au milieu de nous trois et ne fut jamais perturbé par la nudité de Philippe, toujours encagé, ou la mienne. Vers 14 ans, il prit l’habitude de s’isoler davantage. Il eut sa première petite amie et commença à s’éloigner.
Voilà, aujourd’hui, Philippe est moins bien portant, mais Jean continue à être notre étalon. Raphaël a fait sa vie avec une jolie américaine et ils vivent aux USA. Dans notre entourage familial, certains nous ont « répudié », d’autre ont admis et parfois profiter des vices de Jean !
Vraiment, vivre à trois c’est génial…
Je m’appelle Martine et j’ai, aujourd’hui, 60 ans. Mariée depuis 35 ans avec celui que j’ai vite regretté d’avoir épousé tant il est nul au lit ! Jusqu’au jour ou…
Après 5 ans de mariage, il arriva un truc incroyable. Ma sœur ayant divorcé, il se trouva que son ex mari s’incrusta de plus en plus chez nous. Jean a 4 ans de plus que nous et c’est une force de la nature. Mon mari, Philippe, semblait l’admirer et le craindre. Mais ils étaient toujours ensemble. Souvent quand je rentrais du boulot vers 17h, je les trouvais devant la télé. Cela ne me dérangeait pas, mais Jean avait une façon de me regarder qui me faisait frissonner.
Ce jour là, suite à une panne, je rentrais vers 15h30. La maison semblait vide, mais la porte n’était pas fermée. Il me semblait entendre du bruit en provenance de notre chambre. La porte était entrouverte et je me figeais sur le seuil. Jean étais nu, debout et Philippe tout aussi nu, à genoux devant lui, le suçait. La bite de Jean me semblait énorme (25*7 apprendrais je) et mon mari la prenait entière avec des bruits révélateurs.
« C’est bien ma petite salope ! Maintenant allonge toi sur le lit que je t’encule… »
Sidérée, je vis philippe obéir, relevé les jambes en les écartant et Jean venir lui perforer l’anus, sans hésitation.
« Elle est bonne ma queue hein ! »
« Oui, mon chéri, elle est formidable ! Et mon cul te plait ? »
« Bien sûr ! Je suis fier de l’avoir dépucelé. Maintenant, tu es ma salope… »
Sur le moment, je failli partir et ne plus revenir. Puis, je retournais sur mes pas et m’installais dans le salon. Quand ils sortir de la chambre, une heure plus tard, ils se figèrent sur place.
« Ça fait longtemps que vous vous envoyez en l’air dans mon dos ? »
Jean haussa les épaules :
« Ça ne te gênes pas vu que tu lui refuse de baiser 9 fois sur 10 »
« Avec son asticot qui jute en 5 minutes maxi, ça n’en vaut pas la peine. Il met une heure à daigner rebander !!! »
« Fout toi à poil, moi je vais te montrer ce que c’est un mâle… »
Je n’hésitais pas une seconde, mon jean fut vite ôté puis mon tee-shirt. Mon tanga et le soutif suivirent et je m’agenouillais devant Jean, qui m’offrais sa bite !
J’avais du mal à la prendre en bouche et impossible de faire une gorge profonde. Alors, Philippe me montra la façon de faire et quand Jean fut satisfait, il me prit en levrette sur le sol du salon. C’est là que je découvris que Philippe portait une cage de chasteté ! Dire que le monstre me retourna la chatte, c’est faible. J’avais l’impression qu’il allait me couper en deux. Trois orgasmes plus tard, il décida de m’enculer. Philippe fut chargé de me préparer avec sa langue et ses doigts. Je n’avais pas envie d’être dépucelée du cul par cette bite, mais vu que mon mari la prenait, je me sentais obligée. . . Quand le gland franchit ma rosette je hurlais de douleur et ces salops rigolaient en me tenant bien à plat sur le ventre. Après 25 minutes Jean déchargea dans mon cul et je jouissais !
Le soir, à table, il fixa les nouvelles règles de vie.
Nous devions vivre nus toute la journée à la maison. Quand des visiteurs venaient, la plus part du temps, nous restions à poil et certains nous baisaient, mais avec capote. Au bout de 6 mois, je fus enceinte et Jean n’en était pas peu fier. C’est lui qui a suivi ma grossesse comme un mari et qui assista à l’accouchement. Notre fils, Raphaël, grandit au milieu de nous trois et ne fut jamais perturbé par la nudité de Philippe, toujours encagé, ou la mienne. Vers 14 ans, il prit l’habitude de s’isoler davantage. Il eut sa première petite amie et commença à s’éloigner.
Voilà, aujourd’hui, Philippe est moins bien portant, mais Jean continue à être notre étalon. Raphaël a fait sa vie avec une jolie américaine et ils vivent aux USA. Dans notre entourage familial, certains nous ont « répudié », d’autre ont admis et parfois profiter des vices de Jean !
Vraiment, vivre à trois c’est génial…
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