Abdalla2
Récit érotique écrit par Mic79 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-06-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Abdalla2
Mico m’attendait sur le lit, nue , les cuisses outrageusement écartées ; je me doutais qu’elle m’attendait tout en se caressant et en effet, sa chatte est brillante et mes doigts y pénètrent facilement, lubrifiés par une sécrétion abondante « tu t’es branlée en m’attendant » je n’ai pas besoin de réponse car sans aucune difficultés, je peux la fister la main en entier lui fouillant la caverne ; « fait moi jouir avant de me raconter, cela dut être bon car cela fait cinq heures que je t’ai quitté ; j’ai pensé à toi te faisant enculer pendant tout ce temps, vieux salop ! « Ma main lui laboure la chatte béante et mes doigts lui titillent son point sensible ; il ne lui faut pas longtemps pour partir dans un long feulement signe de sa jouissance proche ; je connais le moyen de la faire définitivement partir ; ses tétons, très sensibles ne résistent pas à mes agacements et brutalement elle jouit bruyamment; inondant un peu plus ma main.
Pendant le récit de mon après-midi, elle s’est contentée de se caresser, attentionnée, à l’écoute de mes réactions, posant parfois une question ou me demandant mes sensations à certain moment des événements ; pour moi il en était très différent ; l’envie de la prendre sauvagement me tiraillait et ma queue tendue ne souhaitait que la chaude humidité de sa chatte et n’y tenant plus je la renverse sur le dos. La suite un long combat ponctué d’un langage des plus colorés ; épuisés l’un et l’autre, nous nous sommes assoupis
« Tu as encore envie de cet homme », « «plus que tu ne le penses et de plus j’aimerai que tu le rencontres, c’est à la fois un homme bien monté, plein de classe, sachant te faire monter au ciel, et à priori il ne lui déplairait pas de te connaitre, en un mot tout ce qui te plait » « appelle le , j’ai envie de te voir sous sa queue et pourquoi pas plus » « tu es complètement folle ,il est deux heures du matin
Quand femme veut………malgré l’heure il semble satisfait de mon appel et il me propose de nous prendre vers 10 h pour nous faire visiter la ville, celle inconnue des visiteurs, puis ensuite de passer le reste de la journée à mieux nous connaitre. Pour une fois elle est prête (il est 9h45), fébrile, attendant de voir notre guide du jour ; 10h déception, ce n’est pas lui, retenu pour affaire urgente, mais l’un des jeunes hommes d’hier ; discret, cultivé, il nous fait découvrir sa ville, pleine de beauté et de mystère. 13h, repas marocain, simple et délicieux, parfumé et épicé ; un vrai régal.
Enfin 15 heure l’arrivée chez notre hôte ; il nous accueille avec délicatesse, vêtu d’une superbe djellaba blanche, brodée finement ; « est-il nu en dessous, » la curiosité de Mico est évidente. Très vite elle est sous le charme, il faut dire qu’il est empressé auprès d’elle, la complimentant, prenant tous les prétextes pour la frôler je connais ma femme et ses yeux brillants traduisent son émoi, mais aussi sans doute ses envies. Il est le maitre de cérémonie et c’est lui qui lance les hostilités en écartant les pans du corsage, découvrant ainsi les poitrine libre de tout soutien les seins sont fermes, offerts, les auréoles rosées, les pointes déjà tendues ; sans un regard vers moi, il s’en empare d’une main , lui pétrissant doucement les globes elle se cambre , renversant sa tête en arrière en signe d’abandon, avançant son pubis au contact du membre qui devient perceptible, tendu sous l’ample vêtement.
le corsage tombe à terre, bientôt suivi de la jupe protégeant un simple string blanc, qui se détache sur le bronzage ; une main vient se poser sur son pubis et s’infiltre entre les cuisses qui s’ouvrent, laissant libre le passage vers une chatte plus qu’offerte ; je ne bouge pas, lui laissant le plaisir de la posséder pour lui seul ; les gémissements jaillissent des lèvres de Mico, investie par des doigts fureteurs.
L’homme est habile et très vite elle jouit, sans retenue, s’offrant, réclamant de son corps une pénétration.
Abdala (nous saurons son prénom plus tard) la prend dans ces bras, la porte dans la salle de nos ébats d’hier et la dépose sur le dos sur la couche ; la djellaba tombe au sol et il apparait nu, le sexe bandé, fier, arqué, le gland gorgé de sang. L’écartelant, sans préambule, il la plante d’une seule poussée ; même excitée, sa chatte ne doit pas être encore aux dimensions du sexe car elle ne peut retenir un cri , vite étouffé, et relayé par un feulement de plaisir ; sans brutalité mais avec vigueur, il la lime puissamment s’enfonçant jusqu’à la garde, ses couilles frappant le bassin ; je ne comprends pas les paroles d’Abdal, mais vu son excitation et la rapidité de ses va et vient, elles ne peuvent qu’être crues ; elle aussi vocifère et réclame « vas-y baise moi, défonce moi, remplit mon ventre, comme tu as rempli mon homme, fait moi jouir comme il a jouit » lui comprend très bien et c’est en français qu’il enchaine « , rassure toi, tu vas en avoir , j’aime vous baiser et demain vos trous seront douloureux tellement nous allons nous en servir » son pistonnage se fait plus puissant, son bassin claquant sur la chaire offerte ; maintenant, les yeux vitreux ,elle crie son bonheur sous le poids de la saillie" donne-moi ta jute, emplit mon ventre de ta ……… » Elle n’a pas le temps de terminer car il vient de se cambrer, libérant sans doute ses jets « putain c’est chaud, jean, il me remplît je jouis……encore… « Puis plus rien .
Dans mon coin, le short sur les chevilles, je me branle, essayant de me retenir mais son plaisir me fait partir en longs jets qui s’écrasent au sol. Il vient de se retirer, la queue encore raide ; me rapprochant d’eux, je me penche et ma langue vient lécher le sexe encore plein de semence ; il se laisse faire et j’essaie de le gober, enfonçant le gland au fond de ma gorge, je le branle , ressortant parfois pour lui prendre les couilles entre mes lèvres ;
le traitement lui plait car il est à nouveau prêt, me prenant la tête c’est lui qui donne le rythme ; une main se pose sur mon anneau, l’agace et un doigt s’infiltre , tournoyant pour le dilater ; je m’offre, reculant mes fesses ; et soudain je sursaute, ce n’est plus un doigt mais un gland qui se frotte, s’invite à l’entrée de mon cul .
Je n’ai pas vu rentrer l’individu et en me retournant je découvre un homme de40 ans, la barbe courte , bien bâti et à en croire le diamètre de la bite qui me force l’entrée, bien membré ; il a du mal , car je ne suis pas dilaté, mais il m’en a cure , il pousse, gagnant peu à peu et quand le gland franchit l’obstacle, une violente poussée, l’enfourne jusqu’aux couilles ; la douleur me vrille le corps et je lâche la queue que je suce ; j’aperçois alors Mico qui nous regarde , les doigts dans la chatte, encore dégoulinante de sperme ; je n’ai pas le temps de récupérer la douleur, qu’il se retire pour mieux ,d’une seule enculade, replonger dans l’anneau.
accroché à mes hanches, sa pénétration s’accélère ; entre douleur et plaisir, je ne sais plus où je suis ; Mico s’est enfilée sous mon ventre et me malaxe les couilles « putain, t’en prend plein le cul, mon chéri, j’aime te voir enfiler ; vas-y défonce le, il aime, …….. putain ça m’excite »
L’autre en profite et maintenant il me pistonne rapidement, buttant à chaque fois sur mon bassin ; la douleur est absorbée par la jouissance et si je gueule, c’est de plaisir ; ma queue a repris du mordant sous les caresses de Mico ; mais pour l’instant elle m’oublie « oh il vient de m’enculer…..putain il est gros….ah ah « je comprends mieux, car en effet, Abdal, que j’ai délaissé, s’en prend maintenant à elle ; nous sommes tous les deux enculés par deux baiseurs de première, et bientôt nos cris de jouissance se mêlent ; le mien sait s’y prendre, et il varie le rythme et me redressant les épaules, il reste parfois au fond du fondement, s’écrasant les couilles sur mes fesses ; il m’amène où il veut, se retenant pour ne pas jouir, se retirant pour mieux m’enfiler ensuite ; soudain une vague monte de mon corps possédé, et je termine par un long cri de bonheur ; ma jouissance est intense, profonde, complète et quand enfin ses jets s’écrasent contre les parois, je m’écroule, vaincu par le plaisir, les entrailles pleine de sève ; à coté, elle aussi ne tarde pas à me rejoindre et il nous faut un long moment pour revenir à la normale.
Nos deux maitres de plaisir (à savoir le père et le fils, nous le saurons plus tard), sont assis sur des poufs et fument tranquillement le narguilé ; ils nous en proposent
pour nous c’est nouveau et nous décidons d’essayer.
Mico, toujours nue, les cuisses écartées ,fume, sous le sourire moqueur de nos hôtes ; pour ma part, je m’arrête rapidement car je crains les effets ; la voir ainsi, ouverte, offerte à nos regards, impudique m’excite et ma virilité se réveille ; pour elle , l’envie est manifeste ; elle se caresse le minou, provoquant du regard les deux hommes, puis se levant, elle renverse Abdal, qui la queue bandée, se retrouve sur le dos ; sans aucune hésitation, elle positionne sa chatte au-dessus du gland et se plante sur la queue , descendant jusqu’à toucher le pubis ; amusé, il se laisse faire et elle le baise, se penchant sur sa poitrine pour l’embrasser ; il l’évite ;
dans sa détermination, elle s’est collée contre le buste masculin , offrant alors une vue bien dégagée sur son sillon. il ne me faut pas longtemps pour venir au son contact et d’un doigt conquérant, je lui pénètre l’anus, le dilatant au max ; sous le contact, elle se cambre un peu plus « prend moi, j’ai envie de deux bites, faites-moi jouir « ce que femme veut ! Me positionnant sur l’anneau dilaté, je m’enfonce, sans aucune difficulté, dans le conduit déjà lubrifié ; sous le double possession, elle ne peut retenir un petit cri plaisir ou douleur ? C’est moi qui donne le rythme, lui la tenant fermement par les épaules ; son plaisir vient vite et je la barate vigoureusement ;
soudain deux mains m’emprisonnent les hanches, et un gland vient me perforer le cul ;
j’avais oublié le fils et ma position lui tend un postérieur et un trou encore sensible de la précédente pénétration ; il m’en tiens pas compte ; il me baise pour mon plus grand plaisir ; je ne peux plus bouger et elle comprend pourquoi « il te baise mon salop ; tu aimes te faire prendre, je sens les coups qu’il te donne ;bon dieu que c’est bon » il est vrai que chacun de ces coups se répercutent par une pénétration plus importante pour elle ; d’autant plus que sous l’enculade j’ai encore pris du volume ; quand il me défonce, je la défonce en même temps ; c’est à mon tour de jouir et je me vide , remplissant le conduit dilaté ; je débande, et ressors de la caverne , alors que je suis toujours pris ; enfin je le sens se crisper et si je ne le comprends pas, ses paroles, sans aucun doute pleines de « doux mots « à mon égard », accompagnent ses jets ; les grognements de mes voisins prouvent qu’eux aussi ont atteint le point de non-retour.
Nos hôtes ont repris leurs vêtements et ils nous invitent pour le repas du soir, dans un restaurant typique et nous proposent de retourner à l’hôtel pour nous changer ; nous acceptons, et le trajet se fait en silence, Mico blottie dans mes bras.
Pendant le récit de mon après-midi, elle s’est contentée de se caresser, attentionnée, à l’écoute de mes réactions, posant parfois une question ou me demandant mes sensations à certain moment des événements ; pour moi il en était très différent ; l’envie de la prendre sauvagement me tiraillait et ma queue tendue ne souhaitait que la chaude humidité de sa chatte et n’y tenant plus je la renverse sur le dos. La suite un long combat ponctué d’un langage des plus colorés ; épuisés l’un et l’autre, nous nous sommes assoupis
« Tu as encore envie de cet homme », « «plus que tu ne le penses et de plus j’aimerai que tu le rencontres, c’est à la fois un homme bien monté, plein de classe, sachant te faire monter au ciel, et à priori il ne lui déplairait pas de te connaitre, en un mot tout ce qui te plait » « appelle le , j’ai envie de te voir sous sa queue et pourquoi pas plus » « tu es complètement folle ,il est deux heures du matin
Quand femme veut………malgré l’heure il semble satisfait de mon appel et il me propose de nous prendre vers 10 h pour nous faire visiter la ville, celle inconnue des visiteurs, puis ensuite de passer le reste de la journée à mieux nous connaitre. Pour une fois elle est prête (il est 9h45), fébrile, attendant de voir notre guide du jour ; 10h déception, ce n’est pas lui, retenu pour affaire urgente, mais l’un des jeunes hommes d’hier ; discret, cultivé, il nous fait découvrir sa ville, pleine de beauté et de mystère. 13h, repas marocain, simple et délicieux, parfumé et épicé ; un vrai régal.
Enfin 15 heure l’arrivée chez notre hôte ; il nous accueille avec délicatesse, vêtu d’une superbe djellaba blanche, brodée finement ; « est-il nu en dessous, » la curiosité de Mico est évidente. Très vite elle est sous le charme, il faut dire qu’il est empressé auprès d’elle, la complimentant, prenant tous les prétextes pour la frôler je connais ma femme et ses yeux brillants traduisent son émoi, mais aussi sans doute ses envies. Il est le maitre de cérémonie et c’est lui qui lance les hostilités en écartant les pans du corsage, découvrant ainsi les poitrine libre de tout soutien les seins sont fermes, offerts, les auréoles rosées, les pointes déjà tendues ; sans un regard vers moi, il s’en empare d’une main , lui pétrissant doucement les globes elle se cambre , renversant sa tête en arrière en signe d’abandon, avançant son pubis au contact du membre qui devient perceptible, tendu sous l’ample vêtement.
le corsage tombe à terre, bientôt suivi de la jupe protégeant un simple string blanc, qui se détache sur le bronzage ; une main vient se poser sur son pubis et s’infiltre entre les cuisses qui s’ouvrent, laissant libre le passage vers une chatte plus qu’offerte ; je ne bouge pas, lui laissant le plaisir de la posséder pour lui seul ; les gémissements jaillissent des lèvres de Mico, investie par des doigts fureteurs.
L’homme est habile et très vite elle jouit, sans retenue, s’offrant, réclamant de son corps une pénétration.
Abdala (nous saurons son prénom plus tard) la prend dans ces bras, la porte dans la salle de nos ébats d’hier et la dépose sur le dos sur la couche ; la djellaba tombe au sol et il apparait nu, le sexe bandé, fier, arqué, le gland gorgé de sang. L’écartelant, sans préambule, il la plante d’une seule poussée ; même excitée, sa chatte ne doit pas être encore aux dimensions du sexe car elle ne peut retenir un cri , vite étouffé, et relayé par un feulement de plaisir ; sans brutalité mais avec vigueur, il la lime puissamment s’enfonçant jusqu’à la garde, ses couilles frappant le bassin ; je ne comprends pas les paroles d’Abdal, mais vu son excitation et la rapidité de ses va et vient, elles ne peuvent qu’être crues ; elle aussi vocifère et réclame « vas-y baise moi, défonce moi, remplit mon ventre, comme tu as rempli mon homme, fait moi jouir comme il a jouit » lui comprend très bien et c’est en français qu’il enchaine « , rassure toi, tu vas en avoir , j’aime vous baiser et demain vos trous seront douloureux tellement nous allons nous en servir » son pistonnage se fait plus puissant, son bassin claquant sur la chaire offerte ; maintenant, les yeux vitreux ,elle crie son bonheur sous le poids de la saillie" donne-moi ta jute, emplit mon ventre de ta ……… » Elle n’a pas le temps de terminer car il vient de se cambrer, libérant sans doute ses jets « putain c’est chaud, jean, il me remplît je jouis……encore… « Puis plus rien .
Dans mon coin, le short sur les chevilles, je me branle, essayant de me retenir mais son plaisir me fait partir en longs jets qui s’écrasent au sol. Il vient de se retirer, la queue encore raide ; me rapprochant d’eux, je me penche et ma langue vient lécher le sexe encore plein de semence ; il se laisse faire et j’essaie de le gober, enfonçant le gland au fond de ma gorge, je le branle , ressortant parfois pour lui prendre les couilles entre mes lèvres ;
le traitement lui plait car il est à nouveau prêt, me prenant la tête c’est lui qui donne le rythme ; une main se pose sur mon anneau, l’agace et un doigt s’infiltre , tournoyant pour le dilater ; je m’offre, reculant mes fesses ; et soudain je sursaute, ce n’est plus un doigt mais un gland qui se frotte, s’invite à l’entrée de mon cul .
Je n’ai pas vu rentrer l’individu et en me retournant je découvre un homme de40 ans, la barbe courte , bien bâti et à en croire le diamètre de la bite qui me force l’entrée, bien membré ; il a du mal , car je ne suis pas dilaté, mais il m’en a cure , il pousse, gagnant peu à peu et quand le gland franchit l’obstacle, une violente poussée, l’enfourne jusqu’aux couilles ; la douleur me vrille le corps et je lâche la queue que je suce ; j’aperçois alors Mico qui nous regarde , les doigts dans la chatte, encore dégoulinante de sperme ; je n’ai pas le temps de récupérer la douleur, qu’il se retire pour mieux ,d’une seule enculade, replonger dans l’anneau.
accroché à mes hanches, sa pénétration s’accélère ; entre douleur et plaisir, je ne sais plus où je suis ; Mico s’est enfilée sous mon ventre et me malaxe les couilles « putain, t’en prend plein le cul, mon chéri, j’aime te voir enfiler ; vas-y défonce le, il aime, …….. putain ça m’excite »
L’autre en profite et maintenant il me pistonne rapidement, buttant à chaque fois sur mon bassin ; la douleur est absorbée par la jouissance et si je gueule, c’est de plaisir ; ma queue a repris du mordant sous les caresses de Mico ; mais pour l’instant elle m’oublie « oh il vient de m’enculer…..putain il est gros….ah ah « je comprends mieux, car en effet, Abdal, que j’ai délaissé, s’en prend maintenant à elle ; nous sommes tous les deux enculés par deux baiseurs de première, et bientôt nos cris de jouissance se mêlent ; le mien sait s’y prendre, et il varie le rythme et me redressant les épaules, il reste parfois au fond du fondement, s’écrasant les couilles sur mes fesses ; il m’amène où il veut, se retenant pour ne pas jouir, se retirant pour mieux m’enfiler ensuite ; soudain une vague monte de mon corps possédé, et je termine par un long cri de bonheur ; ma jouissance est intense, profonde, complète et quand enfin ses jets s’écrasent contre les parois, je m’écroule, vaincu par le plaisir, les entrailles pleine de sève ; à coté, elle aussi ne tarde pas à me rejoindre et il nous faut un long moment pour revenir à la normale.
Nos deux maitres de plaisir (à savoir le père et le fils, nous le saurons plus tard), sont assis sur des poufs et fument tranquillement le narguilé ; ils nous en proposent
pour nous c’est nouveau et nous décidons d’essayer.
Mico, toujours nue, les cuisses écartées ,fume, sous le sourire moqueur de nos hôtes ; pour ma part, je m’arrête rapidement car je crains les effets ; la voir ainsi, ouverte, offerte à nos regards, impudique m’excite et ma virilité se réveille ; pour elle , l’envie est manifeste ; elle se caresse le minou, provoquant du regard les deux hommes, puis se levant, elle renverse Abdal, qui la queue bandée, se retrouve sur le dos ; sans aucune hésitation, elle positionne sa chatte au-dessus du gland et se plante sur la queue , descendant jusqu’à toucher le pubis ; amusé, il se laisse faire et elle le baise, se penchant sur sa poitrine pour l’embrasser ; il l’évite ;
dans sa détermination, elle s’est collée contre le buste masculin , offrant alors une vue bien dégagée sur son sillon. il ne me faut pas longtemps pour venir au son contact et d’un doigt conquérant, je lui pénètre l’anus, le dilatant au max ; sous le contact, elle se cambre un peu plus « prend moi, j’ai envie de deux bites, faites-moi jouir « ce que femme veut ! Me positionnant sur l’anneau dilaté, je m’enfonce, sans aucune difficulté, dans le conduit déjà lubrifié ; sous le double possession, elle ne peut retenir un petit cri plaisir ou douleur ? C’est moi qui donne le rythme, lui la tenant fermement par les épaules ; son plaisir vient vite et je la barate vigoureusement ;
soudain deux mains m’emprisonnent les hanches, et un gland vient me perforer le cul ;
j’avais oublié le fils et ma position lui tend un postérieur et un trou encore sensible de la précédente pénétration ; il m’en tiens pas compte ; il me baise pour mon plus grand plaisir ; je ne peux plus bouger et elle comprend pourquoi « il te baise mon salop ; tu aimes te faire prendre, je sens les coups qu’il te donne ;bon dieu que c’est bon » il est vrai que chacun de ces coups se répercutent par une pénétration plus importante pour elle ; d’autant plus que sous l’enculade j’ai encore pris du volume ; quand il me défonce, je la défonce en même temps ; c’est à mon tour de jouir et je me vide , remplissant le conduit dilaté ; je débande, et ressors de la caverne , alors que je suis toujours pris ; enfin je le sens se crisper et si je ne le comprends pas, ses paroles, sans aucun doute pleines de « doux mots « à mon égard », accompagnent ses jets ; les grognements de mes voisins prouvent qu’eux aussi ont atteint le point de non-retour.
Nos hôtes ont repris leurs vêtements et ils nous invitent pour le repas du soir, dans un restaurant typique et nous proposent de retourner à l’hôtel pour nous changer ; nous acceptons, et le trajet se fait en silence, Mico blottie dans mes bras.
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