Une rencontre particulière
Récit érotique écrit par Mic79 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-12-2019 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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Une rencontre particulière
Un conseil syndical surprenantDepuis deux ans, je suis président du conseil syndical de notre résidence, avec son lot de surprise, d’aléas, de reproches, mais cela me plait beaucoup et de toute façon, il en faut un. Parfois les rencontres sont très enrichissantes, parfois surprenantes ; c’est le cas de celle-ci, Il est10h et je dois voir le propriétaire d’un appartement en raison de problème avec sa ventilation. Si je l’ai aperçu lors de réunion, par contre je ne le connais pas personnellement. Un coup de sonnette et après un laps de temps, la porte s’ouvre ; je me trouve en face d’un homme d’environ 50 ans, chauve, mais le plus surprenant, il est en caleçon, sans apparemment aucune gêne, et en tee short Formalité de courtoisie, et il m’invite dans son salon, où nous commençons à étudier le problème.Me proposant un café, il s’absente un long moment et quand il revient avec deux tasses, il s’excuse du temps mis , mais me dis t il , en principe c’est ma femme qui s’occupe de cela et elle est absente pour la journée.
J’avoue que cela me surprend un peu, car il est notoire dans la résidence, qu’il a non pas une compagne, mais un compagnon. Mais après tout ce n’est pas mon problème. Alors que se termine la conversation concernant les problèmes de ventilation , il continue à m’entretenir, mais, me parlant de son travail, de la difficulté pour eux d’avoir des contacts avec les résidents, ajoutant il est vrai que je n’ai pas une situation maritale standard ; vous savez sans doute que je suis marié, mais avec un homme. Un peu gêné, je lui avoue que je suis au courant et que pour moi ce n’est pas un problème ; gêné oui mais pas seulement par la conversation, mais surtout par ce que je découvre.
En effet sur le bord de son caleçon, son gland dépasse, décalotté, à priori de belle taille et son membre est bien visible, tendu sous le fin tissu. J’avoue que malgré moi, j’essaie de m’imaginer la taille de son sexe, et dans mon ventre, une douce chaleur me fait grossir le vit ; j’essaie de le cacher, mais c’est assez difficile, sans qu’il s’en aperçoive ; même si je suis hétéro, j’ai déjà eu quelques relations avec un homme, ce qui, je le reconnais m’avais procuré beaucoup de plaisir.
Il me fixe intensément, remue sur son fauteuil, ce qui ne m’arrange pas la situation, car sa tige ressort un peu plus ; finalement il s’aperçoit de mon émoi ; « désolé, mais j’ai du mal à me contrôler ; je dois vous choquer ? » « Non rassurerez-vous, simplement surpris, mais la vue que j’ai est un peu spéciale » « oui je le reconnais mais j’aime les hommes et vous me plaisez, j’espère que je ne vous choque pas ! »Je dois reconnaitre que l’attaque est directe, mais finalement j’aime cela « non mais la vue de votre sexe a réveillé des souvenirs » alors que je viens de prononcer cette phrase, je réalise que j’ai sans aucun doute été trop loin ; tant pis, c’est trop tard pour avoir des regrets. « Cela vous excite si j’en crois la bosse qui s’est formée dans votre pantalon, et je pense que vous devez être bien loti » un petit moment de silence « en fonction de ce que je vois, vous aussi je pense ! » « Vous voulez voir ? » et avant que je lui réponde, il a baissé son caleçon, et un très gros membre jaillit, bien bandé, dressé sur son ventre. Dans mon ventre, c’est un volcan ; « elle vous plait ? » Sans réfléchir, attiré par ce vit, je lui réponds affirmativement, alors qu’il se rapproche de moi, prenant ma main, pour la poser sur son sexe , j’ai du mal à en faire le tour. C’est lui qui m’ouvre mon pantalon et fait surgir mon mandrin, tout aussi bandé : pas mal, je ne me suis pas trompé ; je suis sûr que vous avez déjà pris du plaisir avec un homme, je me trompe ?
« Non et je dois reconnaitre que vous me faites en envie ; s’appuyant sur mes épaules, il me fait mettre à genoux et je me retrouve avec son gland sur mes lèvres ; sans hésiter, je le lèche, avant d’enfourner son vit, en partie seulement ; quand il s’enfonce, je ne peux le gober en entier. Il se branle littéralement entre mes lèvres ; il sent fort, mais cela m’excite et quand il se repend dans ma gorge, m’obligeant à avaler, je comprends que je vais lui appartenir.
N’ayant pas débandé, ee couchant sur le bras du canapé, il crache sur mon petit trou et il essaie de me pénétrer ; il est trop gros et je ne suis pas dilaté ; une claque bien appuyée, un sursaut du à la surprise et il en profite, me perforant l’anneau ; sous l’assaut, la douleur est fulgurante et je le supplie d’arrêter, mais il n’en tient pas compte, bien au contraire ; bien planté au fond de mon conduit, il reste un moment immobile ce qui me permet de récupérer, avant qu’il ne commence à me pistonner.
ses enculades sont puissantes, viriles ; accroché à mes hanches, il me pilonne ; ses couilles viennent buter contre les miennes ; j’aime me faire défoncer et il le comprend vite, me traitant de petite lope aimant les queues viriles ; ses paroles ne me blessent pas bien au contraire et je l’encourage pour qui me possède encore plus fort ; maintenant son bassin claque contre le mien et sa queue vient percuter ma prostate, ce qui bien évidemment déclenche une jouissance intense ; je suis sa chose, et j’aime tellement cela , que sans que je me touche , j’éjacule à longs flots sur le canapé.
Malgré ma jouissance, il ne s’arrête pas ; performant, il continue à me sodomiser pendant de longues minutes, puis s’arque boutant contre mon fessier, je le sens se tendre et sa semence, chaude et importante, se répand en moi ; pour moi, c’est à nouveau une explosion de plaisir et je râle de bonheur, avant qu’il ne se retire.
alors que je récupère, affalé sur le canapé, mon petit trou béant laissant s’échapper sa jute, il me replace sa queue devant les lèvres « refait moi bander, je vois que tu es un bon passif ; tu vas etre à moi, et je sais que dorénavant, je pourrais profiter de ton petit cul bien accueillant ». pour en profiter, il en a eu tout le loisir, me possèdant une bonne partie de la matinée, me fécondant comme une bonne petite femelle, me faisant hurler de plaisir.
a mon retour à la maison, j’ai retrouvé mon épouse, et devant ma mine déconfite, je lui ai raconté ma matinée, ce qui l’a à son tour excitée
J’avoue que cela me surprend un peu, car il est notoire dans la résidence, qu’il a non pas une compagne, mais un compagnon. Mais après tout ce n’est pas mon problème. Alors que se termine la conversation concernant les problèmes de ventilation , il continue à m’entretenir, mais, me parlant de son travail, de la difficulté pour eux d’avoir des contacts avec les résidents, ajoutant il est vrai que je n’ai pas une situation maritale standard ; vous savez sans doute que je suis marié, mais avec un homme. Un peu gêné, je lui avoue que je suis au courant et que pour moi ce n’est pas un problème ; gêné oui mais pas seulement par la conversation, mais surtout par ce que je découvre.
En effet sur le bord de son caleçon, son gland dépasse, décalotté, à priori de belle taille et son membre est bien visible, tendu sous le fin tissu. J’avoue que malgré moi, j’essaie de m’imaginer la taille de son sexe, et dans mon ventre, une douce chaleur me fait grossir le vit ; j’essaie de le cacher, mais c’est assez difficile, sans qu’il s’en aperçoive ; même si je suis hétéro, j’ai déjà eu quelques relations avec un homme, ce qui, je le reconnais m’avais procuré beaucoup de plaisir.
Il me fixe intensément, remue sur son fauteuil, ce qui ne m’arrange pas la situation, car sa tige ressort un peu plus ; finalement il s’aperçoit de mon émoi ; « désolé, mais j’ai du mal à me contrôler ; je dois vous choquer ? » « Non rassurerez-vous, simplement surpris, mais la vue que j’ai est un peu spéciale » « oui je le reconnais mais j’aime les hommes et vous me plaisez, j’espère que je ne vous choque pas ! »Je dois reconnaitre que l’attaque est directe, mais finalement j’aime cela « non mais la vue de votre sexe a réveillé des souvenirs » alors que je viens de prononcer cette phrase, je réalise que j’ai sans aucun doute été trop loin ; tant pis, c’est trop tard pour avoir des regrets. « Cela vous excite si j’en crois la bosse qui s’est formée dans votre pantalon, et je pense que vous devez être bien loti » un petit moment de silence « en fonction de ce que je vois, vous aussi je pense ! » « Vous voulez voir ? » et avant que je lui réponde, il a baissé son caleçon, et un très gros membre jaillit, bien bandé, dressé sur son ventre. Dans mon ventre, c’est un volcan ; « elle vous plait ? » Sans réfléchir, attiré par ce vit, je lui réponds affirmativement, alors qu’il se rapproche de moi, prenant ma main, pour la poser sur son sexe , j’ai du mal à en faire le tour. C’est lui qui m’ouvre mon pantalon et fait surgir mon mandrin, tout aussi bandé : pas mal, je ne me suis pas trompé ; je suis sûr que vous avez déjà pris du plaisir avec un homme, je me trompe ?
« Non et je dois reconnaitre que vous me faites en envie ; s’appuyant sur mes épaules, il me fait mettre à genoux et je me retrouve avec son gland sur mes lèvres ; sans hésiter, je le lèche, avant d’enfourner son vit, en partie seulement ; quand il s’enfonce, je ne peux le gober en entier. Il se branle littéralement entre mes lèvres ; il sent fort, mais cela m’excite et quand il se repend dans ma gorge, m’obligeant à avaler, je comprends que je vais lui appartenir.
N’ayant pas débandé, ee couchant sur le bras du canapé, il crache sur mon petit trou et il essaie de me pénétrer ; il est trop gros et je ne suis pas dilaté ; une claque bien appuyée, un sursaut du à la surprise et il en profite, me perforant l’anneau ; sous l’assaut, la douleur est fulgurante et je le supplie d’arrêter, mais il n’en tient pas compte, bien au contraire ; bien planté au fond de mon conduit, il reste un moment immobile ce qui me permet de récupérer, avant qu’il ne commence à me pistonner.
ses enculades sont puissantes, viriles ; accroché à mes hanches, il me pilonne ; ses couilles viennent buter contre les miennes ; j’aime me faire défoncer et il le comprend vite, me traitant de petite lope aimant les queues viriles ; ses paroles ne me blessent pas bien au contraire et je l’encourage pour qui me possède encore plus fort ; maintenant son bassin claque contre le mien et sa queue vient percuter ma prostate, ce qui bien évidemment déclenche une jouissance intense ; je suis sa chose, et j’aime tellement cela , que sans que je me touche , j’éjacule à longs flots sur le canapé.
Malgré ma jouissance, il ne s’arrête pas ; performant, il continue à me sodomiser pendant de longues minutes, puis s’arque boutant contre mon fessier, je le sens se tendre et sa semence, chaude et importante, se répand en moi ; pour moi, c’est à nouveau une explosion de plaisir et je râle de bonheur, avant qu’il ne se retire.
alors que je récupère, affalé sur le canapé, mon petit trou béant laissant s’échapper sa jute, il me replace sa queue devant les lèvres « refait moi bander, je vois que tu es un bon passif ; tu vas etre à moi, et je sais que dorénavant, je pourrais profiter de ton petit cul bien accueillant ». pour en profiter, il en a eu tout le loisir, me possèdant une bonne partie de la matinée, me fécondant comme une bonne petite femelle, me faisant hurler de plaisir.
a mon retour à la maison, j’ai retrouvé mon épouse, et devant ma mine déconfite, je lui ai raconté ma matinée, ce qui l’a à son tour excitée
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Les avis des lecteurs
Waw j'ai bien aimé. Moi je ne suis pas homo. Mais J'aimerais essayer ce que vous avez raconté. Je suis Bi depuis 6 ans.