ABIGAELLE I
Récit érotique écrit par Monsieur Pat [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-12-2008 dans la catégorie Dominants et dominés
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ABIGAELLE I
<p>Il y a plusieurs mois que nous sortions ensemble, Abigaëlle et moi, et sur le plan de l’amour c’était presque parfait. Je dis presque, car depuis un moment, l’idée me trottait en tête de lui faire découvrir d’autres réjouissances. Des plaisirs que j’avais abordés avec elle, mais qui n’avaient pas l’air de lui plaire.
Je lui avais souvent parlé de mon amie d’enfance Stéphanie, qu’elle n’avait jamais rencontré. Steph était plus qu’une amie, elle était ma sœur, ma maîtresse, ma confidente, en fait elle était mon double. Quand nous nous retrouvions, nous faisions l’amour avec plaisir. Mais parfois il nous arrivait de rester simplement nus et enlacés, pour le plaisir d’être ensemble. Steph n’avait aucun tabou, et avait déjà de nombreuses expériences à son actif. Abigaëlle savait que nous étions sortis ensemble un moment, mais elle n’en n’était pas jalouse. Par contre, tout le reste elle l’ignorait.
Abigaëlle et moi ne vivions pas ensemble, mais elle venait me retrouver tous les samedis en début d’après midi. Chaque fois qu’elle arrivait, je lui disais qu’elle avait un corps sublime, et que j’adorerais qu’elle vienne dans mes bras entièrement nue. A force de persuasion, j’étais arrivé à mes fins. Dès qu’elle entrait dans mon appartement, elle se déshabillait entièrement et me sautait au cou pour un baiser passionné.
L’occasion d’initier davantage Abigaëlle, se présenta le jour où j’avais invité Steph à passer le week-end chez moi. Elle était arrivée le vendredi, et je lui avais exposé mon projet le soir même, alors nous étions sous la couette tous les deux. Steph avait tout de suite été d’accord, et pour fêter cela nous avons naturellement fait l’amour.
Ce samedi là en arrivant, Abigaëlle ne changea pas ses habitudes et se précipita nue vers moi. Je m’étais placé de manière à ce qu’elle ne voie pas Steph en arrivant. Après ce premier baiser, je lui annonçai une surprise.
-Ferme les yeux, et retourne toi. Tu pourras les ouvrir lorsque je te le dirai.
Ne se doutant de rien, elle obtempéra. Lorsqu’elle fut face à Steph, je m’arrangeai pour lui tenir fermement les mains, afin qu’elle ne puisse pas cacher sa nudité.
- Mon amie Steph est là pour le week-end, tu peux ouvrir les yeux.
Passé le moment de surprise, et rouge de honte, elle essaya bien sûr de se soustraire au regard de Steph. Cette dernière, comme nous l’avions mis au point la veille, la complimenta sur sa beauté.
- Tu es encore plus belle que ce que m’avait dit Joshua. Tu as un corps splendide.
Touchée par ces louanges, Abigaëlle se calma rapidement, et je pus lui lâcher les mains.
- Assieds toi sur le canapé en face de Steph, je vais ouvrir du Champagne pour fêter sa venue.
Cette divine boisson était le pêché mignon d’Abigaëlle, et elle adorait en boire, quelques fois avec un léger excès. Steph et elle avaient très vite sympathisé, et après plusieurs coupes, Abigaëlle, toujours nue, était à présent très détendue.
Tout en devisant avec les deux filles, je commençai à cajoler les jambes d’Abigaëlle, celle-ci ne broncha pas. Après être descendu plus à l’intérieur de ses cuisses, j’amenai tout doucement Abigaëlle à les écarter davantage.
J’invitai alors Steph à s’asseoir à côté d’Abigaëlle. J’avais bien remarqué que ce petit spectacle avait émoustillé notre invitée. Cette dernière posa alors à son tour une main sur les cuisses de Steph. N’y voyant qu’un geste amical, Abigaëlle la laissa faire. Nous continuâmes de dialoguer en attaquant la deuxième bouteille. J’orientai discrètement la conversation sur la période pendant laquelle Steph et moi étions ensemble. Connaissant le caractère latin de mon Abigaëlle, je lançai :
- Si je me rappelle bien, Stéphanie tu embrassais très bien, peut être même mieux qu’Abigaëlle.
Piquée au vif mon amie répliqua :
- Ca m’étonnerait fort.
Et elle m’embrassa passionnément dans la seconde. J’en profitai pour titiller un peu ses seins, puis je répondis :
- Il y a longtemps que je n’ai pas embrassé Steph, je ne peux plus comparer.
L’ivresse aidant, Abigaëlle m’autorisa à embrasser exceptionnellement Steph. Ce que je fis mais sans trop de passion, pour ne pas gâcher mon plan.
- Elle embrasse toujours très bien, mais tu es meilleure. Dis-je à l’intention d’Abigaëlle.
- Le contraire m’aurait étonné. Rétorqua t’elle.
- Peut être, mais si tu avais embrassé Steph, tu verrais qu’elle est tout juste derrière toi.
Avant que je n’aie eu le temps de percuter, Abigaëlle se tourna vers Steph qu’elle embrassa à pleine bouche. Cette dernière qui n’attendait que cela, empalma aussitôt les seins d’Abigaëlle, qu’elle caressa comme seule une femme peut le faire à une autre.
Voyant cela, je repris mes caresses entre les cuisses d’Abigaëlle. Ce baiser semblant ne pas vouloir se terminer, je guidai une main de Steph à l’endroit où se trouvait la mienne une seconde avant, pour lui indiquer que la voie était libre. Steph s’empressa de me remplacer, et à priori avantageusement, car Abigaëlle écarta sensiblement plus les cuisses.
Après encore de longues secondes, leur étreinte prit tout de même fin. Abigaëlle se tourna alors vers moi en m’informant :
- C’est vrai qu’elle embrasse très bien.
Puis après un instant, en éclatant de rire:
- En plus, elle caresse mieux que toi.
Allez, Joshua, prends ça dans la figure, tu l’as bien mérité.
En tout cas mon dessein se déroulait bien. Après voir bu une nouvelle coupe, et voyant qu’Abigaëlle était à présent amadouée, je lançai un nouveau challenge :
- Mais concernant vos poitrines, Steph, est sans conteste devant toi.
Répondant au quart de tour, Abigaëlle demanda à Steph de prouver mes dires. Notre amie commune à présent, se leva et enleva son chemisier, elle se retrouva seins nus. Steph ne portait plus de soutien-gorge depuis longtemps. Je renchéris alors :
- Pendant que tu y es, enlève le reste, Abigaëlle se sentira moins seule.
Dix secondes plus tard, Steph était en tenue d’Eve.
- Allez j’avoue, m’excusai-je, je voulais voir Steph nue comme toi. Vous avez toutes les deux des seins magnifique.
Les deux filles étaient aussi fières l’une que l‘autre de leur poitrine, et n’avaient rien à s’envier.
Comme convenu, Steph proposa :
- Si l’on faisait quelques photos pour marquer ces retrouvailles.
Abigaëlle avait toujours refusé que je la prenne nue en photo, même pas ses seins. Mais encouragée par Steph, elle me surprit en donnant son accord. Steph renchérit alors :
- Ce serait peut être mieux si l’on allait dans votre chambre.
Tout le monde s’y dirigea alors avec entrain. Je demandai alors aux filles de me faire une place entre elles, pendant que je réglais le retardateur de mon appareil. Quelques minutes après, la première photo était dans l’appareil. Nouvelle pose, nouvelle photo, et ainsi de suite, plusieurs fois.
Je proposai alors de ne les prendre que toutes les deux, prise dans l’euphorie, Abigaëlle accepta une nouvelle fois.
Après quelques clichés, je ne maîtrisais plus du tout la situation. Les filles se lâchèrent comme lors de leur baiser passionné un peu plus tôt. J’en profitai pour faire un maximum de photos de leurs ébats.
Abigaëlle appréciait grandement les caresses et les baisers de Steph, mais pas avare, elle les lui rendait bien. En voyant ce spectacle, j’étais de plus en plus heureux de mon idée, mais une nouvelle fois, je n’étais que témoin de leurs ébats. Après m’être bien rincé l’œil, et rempli la carte mémoire de mon appareil, je continuai de jouir des différents tableaux qu’elles me présentaient, sans oser m’immiscer entre elles.
La soirée était prévue normalement par une sortie resto, mais Abigaëlle déclina l’offre, et proposa de rester chez moi. La fatigue et le champagne avaient eu raison d’elle. Après un rapide repas, tout le monde alla se coucher. Comme il n’y avait qu’un seul lit, le problème du couchage fut vite résolu, nous dormirions tous ensemble. Lorsque j’arrivai le dernier après la douche, je trouvai Abigaëlle et Steph profondément endormies dans les bras l’une de l’autre.
Avant de m’endormir, je redoutai le réveil d’Abigaëlle, lorsqu’elle serait dégrisée, et aurait pris conscience de ce qu’elle avait fait la veille.
Le lendemain matin assez tôt, je sentis Abigaëlle se lever pour aller à la salle de bain. Un moment plus tard, j’entendis la porte de l’appartement se fermer, Abigaëlle était partie acheter des croissants. Je me rapprochai de Steph, qui se colla instinctivement à moi. Nous restâmes ainsi enserrés dans un demi sommeil.
Ce que j’avais redouté la veille, se réalisa. Abigaëlle entra dans la chambre, et nous trouva tendrement enlacés. Sur un air pas du tout plaisant, elle se mit à crier :
- Tu te moques de moi, tu en profites dès que je tourne le dos.
Je ne savais plus où me mettre. Puis, affichant son plus beau sourire, elle annonça :
- Tu crois que je vais te laisser profiter de Steph tout seul.
En quelques secondes, elle se mit nue et vint nous rejoindre pour nous prendre tous deux dans ses bras. Comme il était encore assez tôt, et après quelques bavardages anodins, nous replongeâmes tous trois dans les bras de Morphée.
Au réveil, Abigaëlle nous annonça qu’elle n’était pas en forme. Sûrement des reliquats de champagne qui lui embrumait encore le cerveau. Steph proposa de lui faire un massage, pendant que j’irais préparer le repas.
Steph commença par caresser doucement le cou, en descendant lentement vers la poitrine. Ses mains allaient et venaient amoureusement autour des seins sans oser les approcher. Puis elles se mirent à tourner lentement en effleurant ponctuellement les pointes dressées. Ce furent ensuite les mamelons qui furent l’objet d’une attention particulière. Déjà excités, ces derniers semblèrent encore doubler de volume et de longueur. Ils dépassaient largement des masses globuleuses, d’autant que la langue de Steph avait remplacé avantageusement ses mains. Abigaëlle était heureuse, en se trémoussant au rythme des petits coups de langue.
Steph, fit ensuite glisser sa langue vers le nombril, qu’elle investit rapidement. Juste quelques secondes, puis elle continua sa descente. Abigaëlle, après avoir ouvert davantage la fourche de ses cuisses, n’osa ensuite plus bouger. Steph qui avait l’habitude de transmettre cette caresse, fit un petit break pour faire réagir Abigaëlle. Cette dernière ne fut pas longue à prendre la tête de son amie pour l’approcher encore plus de son minou, et la supplier de ne pas s’arrêter. Steph n’attendait que ce signal pour se libérer complètement.
Sa langue glissa de l’intérieur d’une cuisse à l’autre, puis revenait à son point de départ. Et reprenait son petit manège, en s’attardant chaque fois davantage sur le point sensible. Abigaëlle se trémoussait de plus en plus, et Steph avait du mal à arriver à ses fins. La tête de Steph se stabilisa enfin juste au milieu des cuisses, il n’y avait plus que sa langue qui s’agitait. Abigaëlle s’immobilisa ensuite quelques secondes, avant de pousser un grand râle. Son corps était trempé de sueur comme si elle venait de faire un marathon.
Steph resta elle aussi figée un instant pour reprendre également son souffle. Puis elle remonta s’allonger sur son amie, ventre contre ventre, seins contre seins, pour un baiser des plus passionnés. Elles restèrent ainsi collées par la bouche un long moment.
Mais Steph ne voulait pas en rester là, elle voulait elle aussi sentir les caresses d’Abigaëlle, et avoir son quota de plaisir. Entraînant Abigaëlle avec elle, elle opéra un savant demi tour pour se retrouver sous son amie. Tout en continuant à l’embrasser et à la caresser, elle la poussa doucement par les épaules afin que la bouche d’Abigaëlle se trouve face à ses seins à elle. Abigaëlle reçu le message et d’elle-même, après avoir lutiner un moment la poitrine offerte, opéra une lente descente pour se retrouver devant le ventre de Steph. Cette dernière prit la tête d’Abigaëlle, et la guida selon ses désirs. L’élève sembla assez douée car quelques minutes plus tard seulement, Steph prit son plaisir dans un long feulement.
L’heure du repas arriva rapidement sans que personne ne s’en rende compte. Personne n’ayant ressenti le besoin de se rhabiller, nous nous mîmes à table toujours entièrement nus. Comme une collégienne, Steph passa discrètement une main sous la table en verre, pour caresser les cuisses d’Abigaëlle. Celle-ci répondit à l’invite en écartant ses genoux, et favoriser ainsi la caresse naissante. Semblant oublier que la table n’était pas opaque, Steph s’activait de plus belle. Voyant ce spectacle, mon sexe prit du volume et se dressa fièrement.
J’étais heureux du déroulement du week-end, mon plan avait dépassé mes espérances. Abigaëlle avait fait connaissance avec l’amour entre filles, et semblait bien l’apprécier. Il y avait seulement une petite ombre à ce tableau idyllique: je n’avais fait que jouer les voyeurs. En effet, pas une seule fois les filles n’avaient pensé à m’inviter à leurs jeux. Il fallait y remédier assez vite, car Steph devait reprendre un train bientôt.
Au dessert j’intervins assez énergiquement :
- Dites donc les filles, vous passez un bon week-end, mais si vous pensiez à vous occuper un peu de moi.
- Oh ! Le pauvre chéri. On l’oublie. Commença Steph.
- On va vite y remédier mon amour. Renchérit Abigaëlle.
Comme si elles s’étaient données le mot, toutes deux se levèrent et se précipitèrent vers moi. Après une montagne de baisers de part et d’autres, elles m’agrippèrent et me jetèrent comme un sac sur le lit. A peine eus je temps de me remettre sur le dos, qu’elles se couchèrent sur moi pour un nouveau festival de baisers. L’instant d’après, leurs seins me caressaient la bouche sans discontinuer. Je ne savais plus si je léchais ceux d’Abigaëlle, ou si je tétais un de Steph, une vraie pluie de seins.
Une fois l’orage passé, les deux poitrines descendirent de concert vers mon bas ventre. Ce furent ensuite leurs chevelures qui mirent de l’électricité dans mon sexe déjà trop excité. Une langue timide vint caresser l’extrémité de ma tige, pendant qu’une autre explorait mes bourses. Je les sentis ensuite se rapprocher l’une de l’autre, puis plus rien. Levant la tête, je vis les deux filles s’embrasser passionnément. Je dus les apostropher, avant qu’elles ne se prennent trop à leurs jeux, et ne me laissent de côté.
Les deux bouches se déplacèrent pour venir me gober chacune à leur tour. Elles étaient vraiment incorrigibles, car elles trouvèrent le moyen de s’embrasser une nouvelle fois. Cette fois je les laissai faire, car leurs langues se caressaient tout en câlinant mon extrémité. Jamais je n’aurais pu rêver plus intense plaisir.
Après en avoir fini avec leur baiser, chacune à leur tour elles vinrent m’absorber pour quelques allers retours. Je n’allais pas résister longtemps à ce traitement. Ce fut Steph qui goûta la première ma semence, en avalant toute la gorgée qu’elle avait recueilli. Abigaëlle, qui habituellement ne pratiquait pas cette ingestion, ne voulut pas être en reste, et but le reliquat sans en perdre une seule goutte.
Le départ de Steph fut douloureux pour Abigaëlle. Les nouvelles maîtresses restèrent longtemps enlacées. De vraies larmes de tristesse vinrent embuer les yeux d’Abigaëlle, et perler sur ses joues. Elle fit promettre à Steph de revenir nous voir souvent.
Abigaëlle, grâce à Steph et moi, avait grandi, et n’était plus la même à présent.
Après le départ de Steph, Abigaëlle et moi eûmes une longue conversation sur le nouveau plaisir qu’elle venait de découvrir.
Elle convint que le week-end avait été plus qu’agréable, et que si je le lui avais proposé de but en blanc, elle aurait refusé.
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Je lui avais souvent parlé de mon amie d’enfance Stéphanie, qu’elle n’avait jamais rencontré. Steph était plus qu’une amie, elle était ma sœur, ma maîtresse, ma confidente, en fait elle était mon double. Quand nous nous retrouvions, nous faisions l’amour avec plaisir. Mais parfois il nous arrivait de rester simplement nus et enlacés, pour le plaisir d’être ensemble. Steph n’avait aucun tabou, et avait déjà de nombreuses expériences à son actif. Abigaëlle savait que nous étions sortis ensemble un moment, mais elle n’en n’était pas jalouse. Par contre, tout le reste elle l’ignorait.
Abigaëlle et moi ne vivions pas ensemble, mais elle venait me retrouver tous les samedis en début d’après midi. Chaque fois qu’elle arrivait, je lui disais qu’elle avait un corps sublime, et que j’adorerais qu’elle vienne dans mes bras entièrement nue. A force de persuasion, j’étais arrivé à mes fins. Dès qu’elle entrait dans mon appartement, elle se déshabillait entièrement et me sautait au cou pour un baiser passionné.
L’occasion d’initier davantage Abigaëlle, se présenta le jour où j’avais invité Steph à passer le week-end chez moi. Elle était arrivée le vendredi, et je lui avais exposé mon projet le soir même, alors nous étions sous la couette tous les deux. Steph avait tout de suite été d’accord, et pour fêter cela nous avons naturellement fait l’amour.
Ce samedi là en arrivant, Abigaëlle ne changea pas ses habitudes et se précipita nue vers moi. Je m’étais placé de manière à ce qu’elle ne voie pas Steph en arrivant. Après ce premier baiser, je lui annonçai une surprise.
-Ferme les yeux, et retourne toi. Tu pourras les ouvrir lorsque je te le dirai.
Ne se doutant de rien, elle obtempéra. Lorsqu’elle fut face à Steph, je m’arrangeai pour lui tenir fermement les mains, afin qu’elle ne puisse pas cacher sa nudité.
- Mon amie Steph est là pour le week-end, tu peux ouvrir les yeux.
Passé le moment de surprise, et rouge de honte, elle essaya bien sûr de se soustraire au regard de Steph. Cette dernière, comme nous l’avions mis au point la veille, la complimenta sur sa beauté.
- Tu es encore plus belle que ce que m’avait dit Joshua. Tu as un corps splendide.
Touchée par ces louanges, Abigaëlle se calma rapidement, et je pus lui lâcher les mains.
- Assieds toi sur le canapé en face de Steph, je vais ouvrir du Champagne pour fêter sa venue.
Cette divine boisson était le pêché mignon d’Abigaëlle, et elle adorait en boire, quelques fois avec un léger excès. Steph et elle avaient très vite sympathisé, et après plusieurs coupes, Abigaëlle, toujours nue, était à présent très détendue.
Tout en devisant avec les deux filles, je commençai à cajoler les jambes d’Abigaëlle, celle-ci ne broncha pas. Après être descendu plus à l’intérieur de ses cuisses, j’amenai tout doucement Abigaëlle à les écarter davantage.
J’invitai alors Steph à s’asseoir à côté d’Abigaëlle. J’avais bien remarqué que ce petit spectacle avait émoustillé notre invitée. Cette dernière posa alors à son tour une main sur les cuisses de Steph. N’y voyant qu’un geste amical, Abigaëlle la laissa faire. Nous continuâmes de dialoguer en attaquant la deuxième bouteille. J’orientai discrètement la conversation sur la période pendant laquelle Steph et moi étions ensemble. Connaissant le caractère latin de mon Abigaëlle, je lançai :
- Si je me rappelle bien, Stéphanie tu embrassais très bien, peut être même mieux qu’Abigaëlle.
Piquée au vif mon amie répliqua :
- Ca m’étonnerait fort.
Et elle m’embrassa passionnément dans la seconde. J’en profitai pour titiller un peu ses seins, puis je répondis :
- Il y a longtemps que je n’ai pas embrassé Steph, je ne peux plus comparer.
L’ivresse aidant, Abigaëlle m’autorisa à embrasser exceptionnellement Steph. Ce que je fis mais sans trop de passion, pour ne pas gâcher mon plan.
- Elle embrasse toujours très bien, mais tu es meilleure. Dis-je à l’intention d’Abigaëlle.
- Le contraire m’aurait étonné. Rétorqua t’elle.
- Peut être, mais si tu avais embrassé Steph, tu verrais qu’elle est tout juste derrière toi.
Avant que je n’aie eu le temps de percuter, Abigaëlle se tourna vers Steph qu’elle embrassa à pleine bouche. Cette dernière qui n’attendait que cela, empalma aussitôt les seins d’Abigaëlle, qu’elle caressa comme seule une femme peut le faire à une autre.
Voyant cela, je repris mes caresses entre les cuisses d’Abigaëlle. Ce baiser semblant ne pas vouloir se terminer, je guidai une main de Steph à l’endroit où se trouvait la mienne une seconde avant, pour lui indiquer que la voie était libre. Steph s’empressa de me remplacer, et à priori avantageusement, car Abigaëlle écarta sensiblement plus les cuisses.
Après encore de longues secondes, leur étreinte prit tout de même fin. Abigaëlle se tourna alors vers moi en m’informant :
- C’est vrai qu’elle embrasse très bien.
Puis après un instant, en éclatant de rire:
- En plus, elle caresse mieux que toi.
Allez, Joshua, prends ça dans la figure, tu l’as bien mérité.
En tout cas mon dessein se déroulait bien. Après voir bu une nouvelle coupe, et voyant qu’Abigaëlle était à présent amadouée, je lançai un nouveau challenge :
- Mais concernant vos poitrines, Steph, est sans conteste devant toi.
Répondant au quart de tour, Abigaëlle demanda à Steph de prouver mes dires. Notre amie commune à présent, se leva et enleva son chemisier, elle se retrouva seins nus. Steph ne portait plus de soutien-gorge depuis longtemps. Je renchéris alors :
- Pendant que tu y es, enlève le reste, Abigaëlle se sentira moins seule.
Dix secondes plus tard, Steph était en tenue d’Eve.
- Allez j’avoue, m’excusai-je, je voulais voir Steph nue comme toi. Vous avez toutes les deux des seins magnifique.
Les deux filles étaient aussi fières l’une que l‘autre de leur poitrine, et n’avaient rien à s’envier.
Comme convenu, Steph proposa :
- Si l’on faisait quelques photos pour marquer ces retrouvailles.
Abigaëlle avait toujours refusé que je la prenne nue en photo, même pas ses seins. Mais encouragée par Steph, elle me surprit en donnant son accord. Steph renchérit alors :
- Ce serait peut être mieux si l’on allait dans votre chambre.
Tout le monde s’y dirigea alors avec entrain. Je demandai alors aux filles de me faire une place entre elles, pendant que je réglais le retardateur de mon appareil. Quelques minutes après, la première photo était dans l’appareil. Nouvelle pose, nouvelle photo, et ainsi de suite, plusieurs fois.
Je proposai alors de ne les prendre que toutes les deux, prise dans l’euphorie, Abigaëlle accepta une nouvelle fois.
Après quelques clichés, je ne maîtrisais plus du tout la situation. Les filles se lâchèrent comme lors de leur baiser passionné un peu plus tôt. J’en profitai pour faire un maximum de photos de leurs ébats.
Abigaëlle appréciait grandement les caresses et les baisers de Steph, mais pas avare, elle les lui rendait bien. En voyant ce spectacle, j’étais de plus en plus heureux de mon idée, mais une nouvelle fois, je n’étais que témoin de leurs ébats. Après m’être bien rincé l’œil, et rempli la carte mémoire de mon appareil, je continuai de jouir des différents tableaux qu’elles me présentaient, sans oser m’immiscer entre elles.
La soirée était prévue normalement par une sortie resto, mais Abigaëlle déclina l’offre, et proposa de rester chez moi. La fatigue et le champagne avaient eu raison d’elle. Après un rapide repas, tout le monde alla se coucher. Comme il n’y avait qu’un seul lit, le problème du couchage fut vite résolu, nous dormirions tous ensemble. Lorsque j’arrivai le dernier après la douche, je trouvai Abigaëlle et Steph profondément endormies dans les bras l’une de l’autre.
Avant de m’endormir, je redoutai le réveil d’Abigaëlle, lorsqu’elle serait dégrisée, et aurait pris conscience de ce qu’elle avait fait la veille.
Le lendemain matin assez tôt, je sentis Abigaëlle se lever pour aller à la salle de bain. Un moment plus tard, j’entendis la porte de l’appartement se fermer, Abigaëlle était partie acheter des croissants. Je me rapprochai de Steph, qui se colla instinctivement à moi. Nous restâmes ainsi enserrés dans un demi sommeil.
Ce que j’avais redouté la veille, se réalisa. Abigaëlle entra dans la chambre, et nous trouva tendrement enlacés. Sur un air pas du tout plaisant, elle se mit à crier :
- Tu te moques de moi, tu en profites dès que je tourne le dos.
Je ne savais plus où me mettre. Puis, affichant son plus beau sourire, elle annonça :
- Tu crois que je vais te laisser profiter de Steph tout seul.
En quelques secondes, elle se mit nue et vint nous rejoindre pour nous prendre tous deux dans ses bras. Comme il était encore assez tôt, et après quelques bavardages anodins, nous replongeâmes tous trois dans les bras de Morphée.
Au réveil, Abigaëlle nous annonça qu’elle n’était pas en forme. Sûrement des reliquats de champagne qui lui embrumait encore le cerveau. Steph proposa de lui faire un massage, pendant que j’irais préparer le repas.
Steph commença par caresser doucement le cou, en descendant lentement vers la poitrine. Ses mains allaient et venaient amoureusement autour des seins sans oser les approcher. Puis elles se mirent à tourner lentement en effleurant ponctuellement les pointes dressées. Ce furent ensuite les mamelons qui furent l’objet d’une attention particulière. Déjà excités, ces derniers semblèrent encore doubler de volume et de longueur. Ils dépassaient largement des masses globuleuses, d’autant que la langue de Steph avait remplacé avantageusement ses mains. Abigaëlle était heureuse, en se trémoussant au rythme des petits coups de langue.
Steph, fit ensuite glisser sa langue vers le nombril, qu’elle investit rapidement. Juste quelques secondes, puis elle continua sa descente. Abigaëlle, après avoir ouvert davantage la fourche de ses cuisses, n’osa ensuite plus bouger. Steph qui avait l’habitude de transmettre cette caresse, fit un petit break pour faire réagir Abigaëlle. Cette dernière ne fut pas longue à prendre la tête de son amie pour l’approcher encore plus de son minou, et la supplier de ne pas s’arrêter. Steph n’attendait que ce signal pour se libérer complètement.
Sa langue glissa de l’intérieur d’une cuisse à l’autre, puis revenait à son point de départ. Et reprenait son petit manège, en s’attardant chaque fois davantage sur le point sensible. Abigaëlle se trémoussait de plus en plus, et Steph avait du mal à arriver à ses fins. La tête de Steph se stabilisa enfin juste au milieu des cuisses, il n’y avait plus que sa langue qui s’agitait. Abigaëlle s’immobilisa ensuite quelques secondes, avant de pousser un grand râle. Son corps était trempé de sueur comme si elle venait de faire un marathon.
Steph resta elle aussi figée un instant pour reprendre également son souffle. Puis elle remonta s’allonger sur son amie, ventre contre ventre, seins contre seins, pour un baiser des plus passionnés. Elles restèrent ainsi collées par la bouche un long moment.
Mais Steph ne voulait pas en rester là, elle voulait elle aussi sentir les caresses d’Abigaëlle, et avoir son quota de plaisir. Entraînant Abigaëlle avec elle, elle opéra un savant demi tour pour se retrouver sous son amie. Tout en continuant à l’embrasser et à la caresser, elle la poussa doucement par les épaules afin que la bouche d’Abigaëlle se trouve face à ses seins à elle. Abigaëlle reçu le message et d’elle-même, après avoir lutiner un moment la poitrine offerte, opéra une lente descente pour se retrouver devant le ventre de Steph. Cette dernière prit la tête d’Abigaëlle, et la guida selon ses désirs. L’élève sembla assez douée car quelques minutes plus tard seulement, Steph prit son plaisir dans un long feulement.
L’heure du repas arriva rapidement sans que personne ne s’en rende compte. Personne n’ayant ressenti le besoin de se rhabiller, nous nous mîmes à table toujours entièrement nus. Comme une collégienne, Steph passa discrètement une main sous la table en verre, pour caresser les cuisses d’Abigaëlle. Celle-ci répondit à l’invite en écartant ses genoux, et favoriser ainsi la caresse naissante. Semblant oublier que la table n’était pas opaque, Steph s’activait de plus belle. Voyant ce spectacle, mon sexe prit du volume et se dressa fièrement.
J’étais heureux du déroulement du week-end, mon plan avait dépassé mes espérances. Abigaëlle avait fait connaissance avec l’amour entre filles, et semblait bien l’apprécier. Il y avait seulement une petite ombre à ce tableau idyllique: je n’avais fait que jouer les voyeurs. En effet, pas une seule fois les filles n’avaient pensé à m’inviter à leurs jeux. Il fallait y remédier assez vite, car Steph devait reprendre un train bientôt.
Au dessert j’intervins assez énergiquement :
- Dites donc les filles, vous passez un bon week-end, mais si vous pensiez à vous occuper un peu de moi.
- Oh ! Le pauvre chéri. On l’oublie. Commença Steph.
- On va vite y remédier mon amour. Renchérit Abigaëlle.
Comme si elles s’étaient données le mot, toutes deux se levèrent et se précipitèrent vers moi. Après une montagne de baisers de part et d’autres, elles m’agrippèrent et me jetèrent comme un sac sur le lit. A peine eus je temps de me remettre sur le dos, qu’elles se couchèrent sur moi pour un nouveau festival de baisers. L’instant d’après, leurs seins me caressaient la bouche sans discontinuer. Je ne savais plus si je léchais ceux d’Abigaëlle, ou si je tétais un de Steph, une vraie pluie de seins.
Une fois l’orage passé, les deux poitrines descendirent de concert vers mon bas ventre. Ce furent ensuite leurs chevelures qui mirent de l’électricité dans mon sexe déjà trop excité. Une langue timide vint caresser l’extrémité de ma tige, pendant qu’une autre explorait mes bourses. Je les sentis ensuite se rapprocher l’une de l’autre, puis plus rien. Levant la tête, je vis les deux filles s’embrasser passionnément. Je dus les apostropher, avant qu’elles ne se prennent trop à leurs jeux, et ne me laissent de côté.
Les deux bouches se déplacèrent pour venir me gober chacune à leur tour. Elles étaient vraiment incorrigibles, car elles trouvèrent le moyen de s’embrasser une nouvelle fois. Cette fois je les laissai faire, car leurs langues se caressaient tout en câlinant mon extrémité. Jamais je n’aurais pu rêver plus intense plaisir.
Après en avoir fini avec leur baiser, chacune à leur tour elles vinrent m’absorber pour quelques allers retours. Je n’allais pas résister longtemps à ce traitement. Ce fut Steph qui goûta la première ma semence, en avalant toute la gorgée qu’elle avait recueilli. Abigaëlle, qui habituellement ne pratiquait pas cette ingestion, ne voulut pas être en reste, et but le reliquat sans en perdre une seule goutte.
Le départ de Steph fut douloureux pour Abigaëlle. Les nouvelles maîtresses restèrent longtemps enlacées. De vraies larmes de tristesse vinrent embuer les yeux d’Abigaëlle, et perler sur ses joues. Elle fit promettre à Steph de revenir nous voir souvent.
Abigaëlle, grâce à Steph et moi, avait grandi, et n’était plus la même à présent.
Après le départ de Steph, Abigaëlle et moi eûmes une longue conversation sur le nouveau plaisir qu’elle venait de découvrir.
Elle convint que le week-end avait été plus qu’agréable, et que si je le lui avais proposé de but en blanc, elle aurait refusé.
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