Cléïa II

- Par l'auteur HDS Monsieur Pat -
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Récit libertin : Cléïa II Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-03-2009 dans la catégorie Dominants et dominés
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Cléïa II
<p>Bien sûr que je voulais lui faire plaisir, je l’avais dans la peau. Et sa promesse d’être le plus heureux des hommes, ne pouvait que me ravir.

Plusieurs fois de suite je l’ai rappelé au téléphone, et chaque fois n’était pas libre ou avait du travail pour ses études, me disait elle. Elle me faisait languir.

Un samedi, elle me donna rendez vous chez elle, j’étais excité comme une puce rien qu’à l’idée d’aller chez elle pour la première fois, mais principalement de la revoir.
Arrivée chez elle, Cléïa n’était pas seule, une autre fille splendide était avec elle, penchée sur un ordinateur.

- Alors, voilà ton petit puceau. Annonça la nouvelle venue en guise de préambule.

- Je te présente Jeanne, me dit Cléïa, c’est ma meilleure amie, avec laquelle je partage absolument tout. Mais avant d’aller plus loin, je pense que tu n’as pas dû voir le panneau affiché.

Ce disant, elle me montra un tableau encadré, juste à l’entrée de son appartement. Je m’approchai pour le regarder, et lus le texte qui y était inscrit dessus :
« Seuls les hommes entièrement nus ont le droit d’entrer ici. »
Je pensais que c’était une blague, mais les paroles de Cléïa me démontrèrent le contraire.

- Qu’attends-tu pour te déshabiller.

Comme je ne voulais pas passer pour un idiot devant les deux filles, je commençais à me dévêtir doucement. Lorsqu’il ne me resta plus que mon boxer, j’hésitais à continuer.

Cléïa enchaîna :

- Ce n’est pas la peine de faire ton timide devant Jeanne, je t’ai déjà dit que nous n’avons aucun secret l’une pour l’autre. De plus, je lui ai déjà montré toutes les photos que j’ai prises de toi l’autre jour, et elle veut voir si tu es aussi bien fait en vrai.

Je n’avais plus qu’à m’exécuter, devant les sourires concupiscents des deux amies. Une fois nu, j’essayais de cacher mes attributs du mieux que je pouvais.

- C’est une habitude qu’il te faudra prendre que d’être nu chez moi. De plus, j’ai été magnanime parce que c’était la première fois que tu venais, mais dorénavant tu te déshabilleras entièrement devant la porte avant d’entrer. Et tu resteras intégralement nu tout le temps que tu resteras ici, que je sois seule ou non.

Alors que cette phrase me laissa assez perplexe, elle enchaîna immédiatement :

- Comme tu as beaucoup à apprendre sur les femmes, Jeanne va m’aider à faire ton éducation, et à corriger les quelques petits défauts que tu as. Viens donc ici tout près de nous maintenant, qu’elle me dise ce qu’elle pense de toi.

- Mets toi à genoux sur le lit, les jambes écartées, et ne bouge plus.

Une fois en position, Cléïa et Jeanne m’observèrent quelques instants. Puis elles me firent mettre dans toutes les positions, pour terminer à quatre pattes. Elles se tournèrent ensuite vers leurs ordinateurs pour reprendre leur travail, sans plus s’occuper de moi. Cléïa me demanda de garder cette dernière pose sans bouger.
Après de nombreuses longues minutes, pendant lesquelles j’avais essayé de rester le plus immobile possible, Cléïa dit à son amie :

- On pourrait peut être faire une pause ?

Celle-ci acquiesça, et répondit :

- J’ai hâte de revoir ton puceau de plus près.

Comme ma maîtresse l’avait exigé, désormais à chaque fois que je la rencontrerais, je devrais me passer un petit coup de rasoir avant d’aller la voir. Les deux filles s’approchèrent alors de moi, et me firent reprendre une nouvelle fois toutes les poses comme celles de la séance de photos. Elles ne gênèrent pas pour faire des commentaires les plus crus sur mon anatomie.
D’autant plus que cette fois, leurs mains n’hésitaient pas à me palper sans vergogne. Après avoir été observé de partout lors de la séance photo, cette fois c’est à leurs attouchements que toutes les parties de mon corps furent soumises. J’étais bien évidemment, dans tous mes états, gêné au possible de montrer mon excitation à une inconnue.

- Cette petite séance m’a trop excitée, annonça Jeanne. Tu sais ce qui me ferait plaisir, dit-elle à Cléïa.
- Il n’y a pas de problème, répondit ma maîtresse qui connaissait bien son amie, Raoul est ici pour notre plaisir. Mets-toi en position Jeanne.

Cléïa me demanda alors de libérer le lit, et de mettre à genoux par terre à côté. Pendant ce temps, Jeanne se mit entièrement nue et à quatre pattes, présentant son postérieur à quelques centimètres de mon visage.

- Ce que préfère Jeanne, c’est qu’une langue curieuse vienne caresser son petit trou.

Moi qui n’avais jamais encore exploré le minou d’une fille avec ma langue, il était hors de question de m’aventurer de ce côté. Ma maîtresse dut sentir ma réticence, car avant que mon trouble ne se fasse sentir, elle avait déjà enserré mes bourses, et commençait à les presser doucement.

- Rappelle-toi que tu as promis de faire tout ce que je te demanderais, me dit-elle. Resserrant son étreinte, elle ajouta :
- Et puis, je serais désolé de te faire du mal.

N’ayant pas le choix, j’avançai timidement ma langue vers l’orifice qui n’attendait que cela. Je commençai par lécher maladroitement les fesses tendues, en évitant au maximum leur centre. Cléïa me serra davantage, en me suggérant de commencer mes caresses linguales par le minou, puis de remonter doucement. Une nouvelle fois, je n’eu pas d’autres alternatives, et fit ce que me commandait ma maîtresse.
La première approche, que je redoutais un peu, ne s’avéra pas si terrible que ça. Je pensais que cela me rebuterais, mais sentir Jeanne se trémousser, m’incita à continuer. Ma langue remonta alors tout doucement, jusqu’au point névralgique.

- C’est bien, m’encouragea alors Cléïa, à présent tu tournes tout autour, avec des petits mouvements très doux.

Je suivi ses conseils, et constatai que Jeanne était de plus en plus excitée.

- Maintenant tu vas lui faire un énorme bisou, de plus je veux voir ta langue aller et venir, et s’enfoncer le plus possible pour la fouiller profondément, comme elle l’aime tant.

Disant cela elle avait étranglé un peu plus mes bourses. Ne tenant pas à ce qu’elle serre davantage, et malgré mon dégoût, je me mis à l’œuvre. Le nez contre la partie la plus charnue de Jeanne, j’avais peine à respirer. Je m’exécutai tout de même du mieux possible, en essayant de lui faire rapidement plaisir. J’avais hâte de me libérer de cette corvée. Ma langue finit par pénétrer au plus profond de Jeanne, j’étais meurtri au possible.

Je sentis que Jeanne appréciait de plus en plus ce que je lui faisais, jusqu’à ce qu’elle se contracte une ultime fois, en écrasant mon visage entre ses fesses. J’étais à la limite de la suffocation lorsqu’elle jouit, et qu’elle libère enfin son étreinte. Elle resta ensuite sans bouger pendants plusieurs secondes.
Cléïa me caressa les fesses comme à un petit animal domestique, elle semblait contente de moi.
Lorsque Jeanne quitta le lit, ma maîtresse totalement dévêtue elle aussi à présent, prit immédiatement la place encore chaude en se mettant sur le dos, et en m’annonçant :

- Pour moi, ce sera plus classique.

Et elle ouvrit alors la fourche de ses cuisses, en attirait mon visage sur son minou. Je m’aperçus alors que, comme son amie, Cléïa était totalement dépourvue de poils pubiens.

- Tu as l’air assez doué avec ta langue, montre moi ça.

Ce fut une nouvelle séance de broutage, mais de minou cette fois. Ma maîtresse m’indiquait à chaque fois ce qu’elle voulait, et je m’activais à donner le meilleur de moi-même. Après la séance qu’il m’avait fallu subir avec Jeanne, c’était un vrai plaisir pour moi, que de contenter Cléïa.

Celle-ci me guidait pour alterner douceur et assauts plus fermes, et laissait entendre des petits gémissements lorsque ma langue remplissait correctement son office. Elle s’agitait de plus en plus frénétiquement sous mes caresses, je voyais qu’elle ne résisterait plus très longtemps. Malgré l’inconfort de ma position, j’aurais aimé pouvoir la lécher ainsi pendant des heures, juste pour le plaisir de la voir heureuse grâce à moi.
Comme je l’avais pressenti, son plaisir vint rapidement, et comme son amie, elle me retint contre elle pendant de longues secondes. J’aurais pu moi aussi jouir en même temps qu’elle, pour un peu qu’elle ait laissé vagabonder ses mains sur ma virilité. Malheureusement, cela n’avait pas l’air d’être à son programme.

Elles se remirent au travail en riant effrontément de l’état dans lequel j’étais.

- Tu auras une récompense un peu plus tard, me dit Cléïa. Pour l’instant tu t’assois sur cette chaise le temps de te calmer, et n’oublie pas de garder les cuisses bien écartées. C’est une autre habitude qu’il ne faut pas que tu oublies, ton sexe doit toujours être bien visible pour toutes celles et ceux qui sont autour de toi.

Je pris la chaise qu’elle me montrait, et regardai avec regret ces deux corps nus et splendides, que je n’avais pas de droit de toucher.

Après un long moment, elles prirent à nouveau place sur le lit. Cléïa m’annonça alors :

- C’est le moment de ta récompense pour tout le plaisir que tu nous as donné. Mais comme il a fallu que je te stimule lorsque tu t’es occupé de Jeanne, le seul plaisir que tu auras sera celui de la vue. Profites en bien, mais surtout ne t’avise pas de bouger, ne serait-ce qu’un cil.

Elle n’avait pas tort, car elle avait bien senti lors de ma prestation avec Jeanne, que je n’étais guère enthousiasmé. Je dus me contenter de mater les deux filles dans un superbe show lesbien. Spectacle beaucoup plus excitant que tous ceux que j’avais pu voir en regardant parfois des films pornos avec mes copains.

Les corps remuaient dans tous les sens, les caresses se succédèrent alors aux embrassades, et les râles couvraient avec peine les gémissements. L’apothéose survint après de longues minutes, lorsque les deux filles jouirent simultanément lors d’un 69 explosif.

Il leur fallu encore un long moment avant qu’elles ne reprennent leurs esprits. Et moi j’étais là comme un pauvre malheureux, la queue plus raide que jamais, entre les jambes.

Ma maîtresse me congédia rapidement :

- A partir de maintenant tu m’appelleras Maîtresse. A présent, tu peux te rhabiller, et rentrer chez toi, je t’appellerai bientôt.


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