Accident de voiture
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-07-2012 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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Accident de voiture
Un choc frontal entre deux voitures est mortel pour l’une d’elles. J’ai de la chance, pour mon véhicule c’est visiblement réparable, par contre l’autre auto est presque détruite. La conductrice, une jeune femme, est très ennuyée. J’avais deux solutions : l’engueuler ou la soutenir. J’ai choisi la modérée. Après tout c’était involontaire.
Le temps de remplir les constats, de bien regarder les dégâts, nous le passons dans le bistrot juste à coté. Le patron nous sert des cafés pour nous remonter. Elle me plait bien cette fille courte vêtue, aux longs cheveux arrangés en chignon, et sa poitrine proéminente. Je n’ose pas lui dire qu’elle me fait de l’effet. Comme si je voulais la consoler, je la prends par les épaules. Elle répond par un triste sourire. Je caresse son autre main qu’elle m’abandonne.
Je lui propose de la remmener chez elle puisque je peux facilement rouler sans problème. Elle accepte d’attendre que le véhicule de dépannage soit parti pour monter près de moi. Je ne remarque ses jambes que quand elle s’assoit, quand sa jupe remonte plus que la normale : un peu plus qu’à mi cuisses fort belles.
Je fais celle qui ne remarque rien. La ceinture de sécurité écarte un peu ses seins qui en ressortent encore plus. Si je pouvais, je l’embrasserais là, de suite. J’ai tort de m’exciter ainsi, même si je sens que ma petite culotte se mouille.
Elle me guide pour aller chez elle comme prévu. Elle est ennuyée parce qu’elle devait aller dans une grande surface pour des courses. Je lui propose de l’emmener l’après midi, je passerais la prendre vers 14 heures. Elle accepte ma solution. Je la laisse en bas de chez elle. Elle m’indique qu’elle habite au 3° étage.
Dans l’après midi commençant, je suis à l’heure. Elle ouvre la porte en petite tenue. Elle fait monter mon taux d’adrénaline. Son string est du genre mini, ainsi que son soutien gorge.
- Entrez, je fini de me préparer ;
- Merci.
- Je fais un café, je reviens.
Elle s’éclipse, le temps pour moi de m’assoir en regrettant qu’elle ne soit pas près de moi, j’aime son corps. Elle ne le sait pas encore, j’adore les filles, pas les hommes. Quand elle revient je suis ravie, elle est toujours aussi presque nue, sans pudeur, sans se douter de l’effet qu’elle me fait.
Nous dégustons son café, disons qu’elle le déguste, moi je déguste la vue que j’ai sur elle, surtout qu’elle se détend en écartant un peu les jambes. Ses cuisses presque ouvertes me donne à peine une vue trouble sur l’entre cuisse de son sous vêtement.
Sans pudeur, sentiment qu’elle ne semble pas connaitre elle cherche dans sa chambre la robe qu’elle doit mettre. Juste avant qu’elle l’enfile j’ai un mot qui la fait tiquer un peu :
- Dommage de cacher un si joli corps.
- Pourquoi ?
- Vous êtes bien mieux sans rien qu’habillée.
- Je ne peux pas aller en ville comme je suis.
- Qui parle d’aller en vile ? Pas moi en tout cas, je préfère rester ici avec vous pour….bavarder.
Elle ne sait pas où je veux en venir. Je vais lui montrer ce que j’aime en me mettant dans la même tenue qu’elle. Devant ses yeux écarquillés j’enlève mon jean, mon haut pour rester pratiquement nue à ses cotés.
Il me semble qu’elle commence à comprendre :
- Vous voulez aller bien plus loin ?
- Exact.
- Je n’ai jamais aimé de fille.
- Pour moi vous êtes ma proie. J’aime justement les filles, surtout si elles ne connaissent pas les plaisir de l’amour, disons de Lesbos. J’aime donner du plaisir aux autres filles.
Elle rougit comme une collégienne qu’on surprend quand elle se masturbe. Comme je l’ai fait quand j’avais un douzaine d’années. Elle ne dit pas non en tout cas. A-t-elle un copain, un amant régulier, d’autres relations peu platoniques avec quelqu’un, je m’en fiche. J’ai envie d’elle je ne vais pas m’en priver.
Je n’ai qu’un pas à faire pour la toucher. Je le franchis ce pas en posant ma bouche sur la sienne. Elle me repousse un peu, cède quand ma langue entre dans sa bouche. J’ai la partie gagnée, à moi de ne pas la perdre. Je la prends dans mes bras, ma bouche toujours enfermée dans le baiser que je donne, pardons que nous échangeons, puisqu’elle participe aussi aux jeux de langues. Je la serre contre moi pour avoir accès à son soutien gorge. Je le défais sans qu’elle proteste. Apparaissent ses seins splendides. J’en veux encore plus. Je me baisse un peu pour enlever le string. Elle ne dit toujours rien. Je profite de ma position pour poser ma bouche sur son jardin secret pour lui tondre la chatte.
Si elle ne dit rien, elle attend que je la suce complètement. Je me pose une question :
- Est-ce que tu te branles souvent ?
- Oui.
- Tu as un gode ?
- Oui.
- Tu aime te le mettre où ?
- Partout.
- Devant et derrière.
- Devant et des fois derrière.
- Tu aimes te faire mettre par les hommes.
- Oui, surtout pas mon copain de maintenant.
- Tu verras avec moi, c’est meilleur.
Je reprends ma caresse linguale sur sa minette. Je la fait gémir. En me relevant :
- Tu aime les 69 ?
- Le sperme ?
- Non, je le recrache.
- Tu verras, ma cyprine tu la garderas dans ta bouche. Goutes la tienne.
Ma langue entre à nouveau dans la bouche. Elle me la lèche pour finir par dire qu’elle connait bien son propre gout. Nous allons enfin dans sa chambre, sur son lit. Ainsi couchées je commence à la branler sur le clitoris en passant par les lèvres que j’écarte. Je la sens toute molle quand je la caresse. Je ne peux pas tellement compter sur elle pour prendre des initiatives. C’est sa première fois, c’est donc pardonnable.
Je la fait jouir. Je me trompais dans mon jugement, d’elle-même elle pose sa main sur mon jardin des sens. Si elle farfouille un peu c’est qu’elle veut bien faire. Et elle fait bien en me branlant. En plus elle m’embrasse ; Je jouis vite sans qu’elle en soit surprise.
- J’ai vu comment les filles se font l’amour ans un film porno. Je me suis même branlée en regardant.
- Alors tu aimeras la suite, tu sais en 69.
- Ca, je ne sais pas.
- Essayons, reste dessous.
Je vais sur elle en me tournant pour avoir son sexe sur ma bouche et le mien sur la sienne. Je baisse bien la tête pour arriver sur son abricot. Elle sent bon de sa cramouille. Ma langue passe sur la fente en éclaireur pour se fixer encore sur le clitoris. Je la sens chercher elle aussi l’endroit où mettre sa langue. Elle trouve d’abord mon puits, et enfin le bouton. Malgré moi j’ai des frissons de plaisir. Je retiens mon orgasme pendant que je la fait jouir. Elle lâche un peu plus de cyprine sans excès. Je boirais à sa source un bon moment par gourmandise. J’ajoute deux doigts que j’entre très lentement entre ses fesses. Elle écarte l’anus, elle a du se faire mettre souvent par là. J’y mets plus de la moitié des doigts, elle en voudrait encore.
Mon con est presque empli de sa bouche, elle me lèche le clitoris, son nez est sur mon con. Elle a le culot de le mettre dedans. C’est une nouveauté pas désagréable du tout. Le dommage est qu’elle ne me mets aucun doigt dans le cul. Mais je dis du mal, elle change d’emplacement, sa langue me lèche l’anus. Là si elle continue comme ça, je vais partir dans les étoiles du ciel d’Eros et Cupidon réunis.
Je la pensais réservée, alors qu’elle devient une furie. Elle a le sexe dans le sang. Une nymphomane refoulée. Nous nous aimons depuis 14 heures, et il est 20 heures, 6 heures à baiser entre filles, c’est énorme. Elle en veut toujours, alors que je calle, même si je me suis régalée de son corps. Elle se lève pour m’entrainer vers sa cuisine.
Nous sommes nues, bien sur. Elle prend un tablier pour se protéger : elle me donne envie de ses fesses apparentes. Je les embrasse pendant qu’elle prépare un en cas copieux. Après avoir enlevé le tablier elle retourne dans la chambre pour sortir son gode. Elle s’assoit au bord de la table, tout en grignotant, elle se baise avec le gode. Elle l’enfonce à fond pour le garder sans le toucher. Je ne sais comment elle fait, surtout qu’elle sort une courgette d’assez gros diamètre pour continuer. Cette sois elle est simplement accoudée à la table, le cul bien dehors. Le gode a disparu dans son cul, et la courgette passe dans son vagin élargit énormément. Je me demande comment elle peut supporter ce légume.
Mon bas ventre s’en fout, il a besoin de mes mains pour le branler. Elle me regarde pendant que je me masturbe. Son regard m’excite encore plus que sa courgette. Je suis sur le point de partir au paradis quand elle pousse un grand cri de plaisir quand elle jouit.
Nous nous revoyons une ou deux fois par semaine pour faire nos courses ensemble, nous visitons souvent les cabines d’essayage pour nous y « amuser ».
Le temps de remplir les constats, de bien regarder les dégâts, nous le passons dans le bistrot juste à coté. Le patron nous sert des cafés pour nous remonter. Elle me plait bien cette fille courte vêtue, aux longs cheveux arrangés en chignon, et sa poitrine proéminente. Je n’ose pas lui dire qu’elle me fait de l’effet. Comme si je voulais la consoler, je la prends par les épaules. Elle répond par un triste sourire. Je caresse son autre main qu’elle m’abandonne.
Je lui propose de la remmener chez elle puisque je peux facilement rouler sans problème. Elle accepte d’attendre que le véhicule de dépannage soit parti pour monter près de moi. Je ne remarque ses jambes que quand elle s’assoit, quand sa jupe remonte plus que la normale : un peu plus qu’à mi cuisses fort belles.
Je fais celle qui ne remarque rien. La ceinture de sécurité écarte un peu ses seins qui en ressortent encore plus. Si je pouvais, je l’embrasserais là, de suite. J’ai tort de m’exciter ainsi, même si je sens que ma petite culotte se mouille.
Elle me guide pour aller chez elle comme prévu. Elle est ennuyée parce qu’elle devait aller dans une grande surface pour des courses. Je lui propose de l’emmener l’après midi, je passerais la prendre vers 14 heures. Elle accepte ma solution. Je la laisse en bas de chez elle. Elle m’indique qu’elle habite au 3° étage.
Dans l’après midi commençant, je suis à l’heure. Elle ouvre la porte en petite tenue. Elle fait monter mon taux d’adrénaline. Son string est du genre mini, ainsi que son soutien gorge.
- Entrez, je fini de me préparer ;
- Merci.
- Je fais un café, je reviens.
Elle s’éclipse, le temps pour moi de m’assoir en regrettant qu’elle ne soit pas près de moi, j’aime son corps. Elle ne le sait pas encore, j’adore les filles, pas les hommes. Quand elle revient je suis ravie, elle est toujours aussi presque nue, sans pudeur, sans se douter de l’effet qu’elle me fait.
Nous dégustons son café, disons qu’elle le déguste, moi je déguste la vue que j’ai sur elle, surtout qu’elle se détend en écartant un peu les jambes. Ses cuisses presque ouvertes me donne à peine une vue trouble sur l’entre cuisse de son sous vêtement.
Sans pudeur, sentiment qu’elle ne semble pas connaitre elle cherche dans sa chambre la robe qu’elle doit mettre. Juste avant qu’elle l’enfile j’ai un mot qui la fait tiquer un peu :
- Dommage de cacher un si joli corps.
- Pourquoi ?
- Vous êtes bien mieux sans rien qu’habillée.
- Je ne peux pas aller en ville comme je suis.
- Qui parle d’aller en vile ? Pas moi en tout cas, je préfère rester ici avec vous pour….bavarder.
Elle ne sait pas où je veux en venir. Je vais lui montrer ce que j’aime en me mettant dans la même tenue qu’elle. Devant ses yeux écarquillés j’enlève mon jean, mon haut pour rester pratiquement nue à ses cotés.
Il me semble qu’elle commence à comprendre :
- Vous voulez aller bien plus loin ?
- Exact.
- Je n’ai jamais aimé de fille.
- Pour moi vous êtes ma proie. J’aime justement les filles, surtout si elles ne connaissent pas les plaisir de l’amour, disons de Lesbos. J’aime donner du plaisir aux autres filles.
Elle rougit comme une collégienne qu’on surprend quand elle se masturbe. Comme je l’ai fait quand j’avais un douzaine d’années. Elle ne dit pas non en tout cas. A-t-elle un copain, un amant régulier, d’autres relations peu platoniques avec quelqu’un, je m’en fiche. J’ai envie d’elle je ne vais pas m’en priver.
Je n’ai qu’un pas à faire pour la toucher. Je le franchis ce pas en posant ma bouche sur la sienne. Elle me repousse un peu, cède quand ma langue entre dans sa bouche. J’ai la partie gagnée, à moi de ne pas la perdre. Je la prends dans mes bras, ma bouche toujours enfermée dans le baiser que je donne, pardons que nous échangeons, puisqu’elle participe aussi aux jeux de langues. Je la serre contre moi pour avoir accès à son soutien gorge. Je le défais sans qu’elle proteste. Apparaissent ses seins splendides. J’en veux encore plus. Je me baisse un peu pour enlever le string. Elle ne dit toujours rien. Je profite de ma position pour poser ma bouche sur son jardin secret pour lui tondre la chatte.
Si elle ne dit rien, elle attend que je la suce complètement. Je me pose une question :
- Est-ce que tu te branles souvent ?
- Oui.
- Tu as un gode ?
- Oui.
- Tu aime te le mettre où ?
- Partout.
- Devant et derrière.
- Devant et des fois derrière.
- Tu aimes te faire mettre par les hommes.
- Oui, surtout pas mon copain de maintenant.
- Tu verras avec moi, c’est meilleur.
Je reprends ma caresse linguale sur sa minette. Je la fait gémir. En me relevant :
- Tu aime les 69 ?
- Le sperme ?
- Non, je le recrache.
- Tu verras, ma cyprine tu la garderas dans ta bouche. Goutes la tienne.
Ma langue entre à nouveau dans la bouche. Elle me la lèche pour finir par dire qu’elle connait bien son propre gout. Nous allons enfin dans sa chambre, sur son lit. Ainsi couchées je commence à la branler sur le clitoris en passant par les lèvres que j’écarte. Je la sens toute molle quand je la caresse. Je ne peux pas tellement compter sur elle pour prendre des initiatives. C’est sa première fois, c’est donc pardonnable.
Je la fait jouir. Je me trompais dans mon jugement, d’elle-même elle pose sa main sur mon jardin des sens. Si elle farfouille un peu c’est qu’elle veut bien faire. Et elle fait bien en me branlant. En plus elle m’embrasse ; Je jouis vite sans qu’elle en soit surprise.
- J’ai vu comment les filles se font l’amour ans un film porno. Je me suis même branlée en regardant.
- Alors tu aimeras la suite, tu sais en 69.
- Ca, je ne sais pas.
- Essayons, reste dessous.
Je vais sur elle en me tournant pour avoir son sexe sur ma bouche et le mien sur la sienne. Je baisse bien la tête pour arriver sur son abricot. Elle sent bon de sa cramouille. Ma langue passe sur la fente en éclaireur pour se fixer encore sur le clitoris. Je la sens chercher elle aussi l’endroit où mettre sa langue. Elle trouve d’abord mon puits, et enfin le bouton. Malgré moi j’ai des frissons de plaisir. Je retiens mon orgasme pendant que je la fait jouir. Elle lâche un peu plus de cyprine sans excès. Je boirais à sa source un bon moment par gourmandise. J’ajoute deux doigts que j’entre très lentement entre ses fesses. Elle écarte l’anus, elle a du se faire mettre souvent par là. J’y mets plus de la moitié des doigts, elle en voudrait encore.
Mon con est presque empli de sa bouche, elle me lèche le clitoris, son nez est sur mon con. Elle a le culot de le mettre dedans. C’est une nouveauté pas désagréable du tout. Le dommage est qu’elle ne me mets aucun doigt dans le cul. Mais je dis du mal, elle change d’emplacement, sa langue me lèche l’anus. Là si elle continue comme ça, je vais partir dans les étoiles du ciel d’Eros et Cupidon réunis.
Je la pensais réservée, alors qu’elle devient une furie. Elle a le sexe dans le sang. Une nymphomane refoulée. Nous nous aimons depuis 14 heures, et il est 20 heures, 6 heures à baiser entre filles, c’est énorme. Elle en veut toujours, alors que je calle, même si je me suis régalée de son corps. Elle se lève pour m’entrainer vers sa cuisine.
Nous sommes nues, bien sur. Elle prend un tablier pour se protéger : elle me donne envie de ses fesses apparentes. Je les embrasse pendant qu’elle prépare un en cas copieux. Après avoir enlevé le tablier elle retourne dans la chambre pour sortir son gode. Elle s’assoit au bord de la table, tout en grignotant, elle se baise avec le gode. Elle l’enfonce à fond pour le garder sans le toucher. Je ne sais comment elle fait, surtout qu’elle sort une courgette d’assez gros diamètre pour continuer. Cette sois elle est simplement accoudée à la table, le cul bien dehors. Le gode a disparu dans son cul, et la courgette passe dans son vagin élargit énormément. Je me demande comment elle peut supporter ce légume.
Mon bas ventre s’en fout, il a besoin de mes mains pour le branler. Elle me regarde pendant que je me masturbe. Son regard m’excite encore plus que sa courgette. Je suis sur le point de partir au paradis quand elle pousse un grand cri de plaisir quand elle jouit.
Nous nous revoyons une ou deux fois par semaine pour faire nos courses ensemble, nous visitons souvent les cabines d’essayage pour nous y « amuser ».
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