Il, elle, eux
Récit érotique écrit par Huguette34 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-06-2014 dans la catégorie A dormir debout
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Couleur du fond :
Il, elle, eux
LUI :
Avoir une paire de couilles. Découverte au moment de mon conseil de révision : tous en avaient. Plus tard à incorporation, pareil tous nus. Je pouvais regarder les autres aussi à poils que moi. Et ainsi de suite presque jusqu’à la fin de mon temps. J’étais logé dans une pièce à l’arrière de mon bureau. Le planton venait me réveiller bien après le réveil officiel. Vers la dernière quinzaine de mon temps, un copain venait passer de longs moments avec moi. Si au début nous ne parlions que de la quille, nous nous intéressions maintenant aux magazines coquins. Je bandais, comme lui à la lecture des histoires salées. Mais à force il me tardait qu’il parte pour me masturber. Comme il restait, que comme moi il bandait visiblement un jour j’enlevais ce que je portais. Je me présentais donc nu en bandant. Il faisait comme moi. Nous étions deux spécimens de militaires excités. Je ne lui voulais rien : j’ai pris ma bite dans la main, j’ai commencé à me masturber. Je n’avais absolument pas honte puisque quelques jours avant je bandais devant lui aussi en prenant notre douche.
Il sortait lui aussi sa queue : un beau et gros morceau. Il s’est mis à me parler :
- Je vais me branler, ça ne te dérange pas ?
- Non, vas-y.
Je voyais sa main sur son manche. Il s’astiquait de belle façon. Je le laissais faire et j’avais moi envie connaitre la même jouissance que lui. Sa main allait vite, très vite : son sperme est parti très haut avant de retomber sur sa poitrine.
C’était trop pour moi. Je prenais à mon tour la queue. Je la caressais très doucement, je faisais descendre le prépuce bien en bas en me caressant également les couilles. Je remontais ma main vers le gland. Je prenais de la salive pour enduire le bout. Avec le pouce et un autre doigt je caressais le gland, faisant ainsi durer et augmenter le plaisir.
Et lui me regardait. Il me semble que si je lui avais proposé de le branler ou mieux d’aller vers son anus, il aurait accepté.
Je continué un instant ma branlette quand je me suis décidé ;
- Tu veux que je te la mette au cul ?
- Oui, si tu me branle aussi.
- Non, tu te branle.
- OK
Il est venu sur mon lit, je lui ai laissé un peu de place. Je sentais ses jambes poilues contre les miennes. J’avais ses fesses presque sur ma queue. Je trouvais agréable sa raie, alors j’y ai mis ma queue.
Il s’est encore approché de moi, il ouvrait ses fesses, il se tenait la queue. Et moi, j’en ai profité ; J’ai un peu force pour le mettre en levrette. Mais j’avais gagné un cul neuf je crois.
J’étais contre lui, mon bas ventre sur ses fesses chaudes. Ma queue allait facilement vers son cul. J’étais sur lui. Je sentais son anus s’ouvrir doucement puis totalement quand je suis entré. Il était doux et chaud. Ma bite se sentait bien en lui. Je cherchais sa queue qu’il avait dans sa main. Je la lui ai prise, il me la donnée. J’entrais dans son cul, je le branlais. Nos mouvements étaient synchrones. J’étais au fond de son cul quand j’ai senti ses muscles avoir de drôles de mouvements. Je n’ai compris que plus tard qu’il venant de jouir. Son jet de semence partait vers le lit et le mien dans son cul…..
Nous avons souvent recommencé en nous cachant. La dernière fois il a voulu m’enculer à son tour. J’ai accepté. Je n’ai pas pris de plaisir à cette chose naturelle chez lui. J’ai du finir par l’enculer une dernière fois. Je jouissais en lui.
Nous ne nous sommes jamais revu. S’il me lit qu’il pense que je regrette toujours son petit cul.
ELLE
Pendant qu’il faisait l’imbécile, je terminais mes études en pension. Ma meilleure amie était sur la couchette juste à côté de moi. Je l’entendais souvent gémir, quand je lui posais la question de savoir pourquoi, elle me disait qu’elle se masturbait avec sa culotte qu’elle entrait à fond dans sa chatte. Elle me donnait l’exemple un soir que nous étions seules. Elle se caressait un moment le petit bout de chair entre ses jambes avant de mette sa culotte en entier : elle la faisait bouger avec ses deux mains crispées.
Elle m’entraînait à en faire autant. Nous nous masturbions en chœur. C’était merveilleux, pas autant que par la suite quand elle est venue me caresser. Je serais restée des heures entières à me laisser masturber. Il fallait bien que je lui rende le plaisir.
C’est pourquoi, presque tous les soirs nous nous masturbions l’une l’autre. Un jour je lui ai demandé de la lécher, ce qu’elle n’osait pas me demander. Notre fin de scolarité c’est passée en 69 sacrément relevés.
A peine quelques jours après le début des vacances, je l’ai rencontré, lui, celui avec qui je me suis marié. Il voulait me baiser et je voulais rester vierge jusqu’au mariage. Je ne voulais pas le priver de certains plaisirs. Après qu’il m’a appris à le masturber je lui ai montré comment je me faisais jouir. Nous nous sommes branlés souvent à deux. Un jour il m’a demandé de lui donner mon cul. Comme il avait pris l’habitude d’enculer un autre, je me suis laissé faire. J’ai pris gout aussitôt à la sodomie
EUX
Il ne m’a baissé que le jour des noces. Je recevais sa grosse queue ailleurs que dans le cul. C‘était aussi bon, sinon meilleur.
Des fois je sais qu’il lui manque un cul d’homme, je lui demande d’aller voir un copain à lui et moi je fais venir une copine avec qui nous aimons passer du temps à nous lécher les cons et doigter les culs.
Il est question de faire venir de nouveaux amis. J’ai vu sa braguette : elle est bien garnie, je vais en prendre plein les fesses.
Avoir une paire de couilles. Découverte au moment de mon conseil de révision : tous en avaient. Plus tard à incorporation, pareil tous nus. Je pouvais regarder les autres aussi à poils que moi. Et ainsi de suite presque jusqu’à la fin de mon temps. J’étais logé dans une pièce à l’arrière de mon bureau. Le planton venait me réveiller bien après le réveil officiel. Vers la dernière quinzaine de mon temps, un copain venait passer de longs moments avec moi. Si au début nous ne parlions que de la quille, nous nous intéressions maintenant aux magazines coquins. Je bandais, comme lui à la lecture des histoires salées. Mais à force il me tardait qu’il parte pour me masturber. Comme il restait, que comme moi il bandait visiblement un jour j’enlevais ce que je portais. Je me présentais donc nu en bandant. Il faisait comme moi. Nous étions deux spécimens de militaires excités. Je ne lui voulais rien : j’ai pris ma bite dans la main, j’ai commencé à me masturber. Je n’avais absolument pas honte puisque quelques jours avant je bandais devant lui aussi en prenant notre douche.
Il sortait lui aussi sa queue : un beau et gros morceau. Il s’est mis à me parler :
- Je vais me branler, ça ne te dérange pas ?
- Non, vas-y.
Je voyais sa main sur son manche. Il s’astiquait de belle façon. Je le laissais faire et j’avais moi envie connaitre la même jouissance que lui. Sa main allait vite, très vite : son sperme est parti très haut avant de retomber sur sa poitrine.
C’était trop pour moi. Je prenais à mon tour la queue. Je la caressais très doucement, je faisais descendre le prépuce bien en bas en me caressant également les couilles. Je remontais ma main vers le gland. Je prenais de la salive pour enduire le bout. Avec le pouce et un autre doigt je caressais le gland, faisant ainsi durer et augmenter le plaisir.
Et lui me regardait. Il me semble que si je lui avais proposé de le branler ou mieux d’aller vers son anus, il aurait accepté.
Je continué un instant ma branlette quand je me suis décidé ;
- Tu veux que je te la mette au cul ?
- Oui, si tu me branle aussi.
- Non, tu te branle.
- OK
Il est venu sur mon lit, je lui ai laissé un peu de place. Je sentais ses jambes poilues contre les miennes. J’avais ses fesses presque sur ma queue. Je trouvais agréable sa raie, alors j’y ai mis ma queue.
Il s’est encore approché de moi, il ouvrait ses fesses, il se tenait la queue. Et moi, j’en ai profité ; J’ai un peu force pour le mettre en levrette. Mais j’avais gagné un cul neuf je crois.
J’étais contre lui, mon bas ventre sur ses fesses chaudes. Ma queue allait facilement vers son cul. J’étais sur lui. Je sentais son anus s’ouvrir doucement puis totalement quand je suis entré. Il était doux et chaud. Ma bite se sentait bien en lui. Je cherchais sa queue qu’il avait dans sa main. Je la lui ai prise, il me la donnée. J’entrais dans son cul, je le branlais. Nos mouvements étaient synchrones. J’étais au fond de son cul quand j’ai senti ses muscles avoir de drôles de mouvements. Je n’ai compris que plus tard qu’il venant de jouir. Son jet de semence partait vers le lit et le mien dans son cul…..
Nous avons souvent recommencé en nous cachant. La dernière fois il a voulu m’enculer à son tour. J’ai accepté. Je n’ai pas pris de plaisir à cette chose naturelle chez lui. J’ai du finir par l’enculer une dernière fois. Je jouissais en lui.
Nous ne nous sommes jamais revu. S’il me lit qu’il pense que je regrette toujours son petit cul.
ELLE
Pendant qu’il faisait l’imbécile, je terminais mes études en pension. Ma meilleure amie était sur la couchette juste à côté de moi. Je l’entendais souvent gémir, quand je lui posais la question de savoir pourquoi, elle me disait qu’elle se masturbait avec sa culotte qu’elle entrait à fond dans sa chatte. Elle me donnait l’exemple un soir que nous étions seules. Elle se caressait un moment le petit bout de chair entre ses jambes avant de mette sa culotte en entier : elle la faisait bouger avec ses deux mains crispées.
Elle m’entraînait à en faire autant. Nous nous masturbions en chœur. C’était merveilleux, pas autant que par la suite quand elle est venue me caresser. Je serais restée des heures entières à me laisser masturber. Il fallait bien que je lui rende le plaisir.
C’est pourquoi, presque tous les soirs nous nous masturbions l’une l’autre. Un jour je lui ai demandé de la lécher, ce qu’elle n’osait pas me demander. Notre fin de scolarité c’est passée en 69 sacrément relevés.
A peine quelques jours après le début des vacances, je l’ai rencontré, lui, celui avec qui je me suis marié. Il voulait me baiser et je voulais rester vierge jusqu’au mariage. Je ne voulais pas le priver de certains plaisirs. Après qu’il m’a appris à le masturber je lui ai montré comment je me faisais jouir. Nous nous sommes branlés souvent à deux. Un jour il m’a demandé de lui donner mon cul. Comme il avait pris l’habitude d’enculer un autre, je me suis laissé faire. J’ai pris gout aussitôt à la sodomie
EUX
Il ne m’a baissé que le jour des noces. Je recevais sa grosse queue ailleurs que dans le cul. C‘était aussi bon, sinon meilleur.
Des fois je sais qu’il lui manque un cul d’homme, je lui demande d’aller voir un copain à lui et moi je fais venir une copine avec qui nous aimons passer du temps à nous lécher les cons et doigter les culs.
Il est question de faire venir de nouveaux amis. J’ai vu sa braguette : elle est bien garnie, je vais en prendre plein les fesses.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci pour vos com sur mes textes... Azer29
un couple sympathique qui fait révé !Un vrai fantasme de femme.Une belle
histoire.
histoire.
Ravie surtout par le 2ème paragraphe qui m'évoque des souvenirs.